OFFICINES DE RECOUVREMENT : SE DEFENDRE
Résolu/Fermé
Utilisateur anonyme
-
BmV -
BmV -
A voir également:
- Recocash huissier
- Contact recouvrement sfr com - Forum SFR
- Cfr recouvrement free mobile - Forum Vos droits sur internet
- Impayé bouygues et agence de recouvrement - Forum Vos droits sur internet
- Cfr recouvrement paypal - Forum Consommation & Internet
- Cfr recouvrement ebay ✓ - Forum Consommation & Internet
96 réponses
Décret régissant l'activité des officines privées de recouvrement :
Décret du 18 décembre 1996 (96-1112)
Décret n° 96-1112 du 18 décembre 1996, Portant réglementation de l'activité des personnes procédant au recouvrement amiable des créances pour le compte d'autrui
Art. 1er. Les dispositions du présent décret s'appliquent aux personnes physiques ou morales qui, d'une manière habituelle ou occasionnelle, même à titre accessoire, procèdent au recouvrement amiable des créances pour le compte d'autrui, à l'exception de celles qui y procèdent au titre de leur statut professionnel ou dans le cadre de la réglementation de leur profession.
Art. 2. Les personnes mentionnées à l'article 1er doivent justifier qu'elles ont souscrit un contrat d'assurance les garantissant contre les conséquences pécuniaires de la responsabilité civile professionnelle qu'elles peuvent encourir en raison de leur activité.
Elles doivent également justifier être titulaires d'un compte dans l'un des établissements de crédit visés à l'article 18-1 de la loi du 24 janvier 1984 susvisée [n° 84-46, relative à l'activité et au contrôle des établissements de crédit, ou l'une des institutions ou l'un des établissements visés à l'article 8 de la même loi. Ce compte doit être exclusivement affecté à la réception des fonds encaissés pour le compte des créanciers.
La justification des conditions requises aux alinéas précédents est assurée par déclaration écrite des intéressés, remise ou adressée, avant tout exercice, au procureur de la République près le tribunal de grande instance dans le ressort duquel ils ont le siège de leurs activités. A tout moment le procureur de la République peut vérifier que les intéressés se conforment aux obligations prescrites par le présent article.
Art. 3. Les personnes mentionnées à l'article 1er ne peuvent procéder au recouvrement amiable qu'après avoir conclu une convention écrite avec le créancier dans laquelle il lui [leur] est donné pouvoir de recevoir pour son compte.
Cette convention précise notamment :
1° Le fondement et le montant des sommes dues, avec l'indication distincte des différents éléments de la ou des créances à recouvrer sur le débiteur ;
2° Les conditions et les modalités de la garantie donnée au créancier contre les conséquences pécuniaires de la responsabilité civile encourue en raison de l'activité de recouvrement des créances ;
3° Les conditions de détermination de la rémunération à la charge du créancier ;
4° Les conditions de reversement des fonds encaissés pour le compte du créancier.
Art. 4. La personne chargée du recouvrement amiable adresse au débiteur une lettre qui contient les mentions suivantes :
1° Les nom ou dénomination sociale de la personne chargée du recouvrement amiable, son adresse ou son siège social, l'indication qu'elle exerce une activité de recouvrement amiable ;
2° Les nom ou dénomination sociale du créancier, son adresse ou son siège social ;
3° Le fondement et le montant de la somme due en principal, intérêts et autres accessoires, en distinguant les différents éléments de la dette, et à l'exclusion des frais qui restent à la charge du créancier en application du troisième alinéa de l'article 32 de la loi du 9 juillet 1991 susvisée [n° 91-650, portant réforme des procédures civiles d'exécution ] ;
4° L'indication d'avoir à payer la somme due et les modalités de paiement de la dette ;
5° La reproduction des troisième et quatrième alinéas de l'article 32 de la loi du 9 juillet 1991 précitée.
Les références et date d'envoi de la lettre visée à l'alinéa précédent devront être rappelées à l'occasion de toute autre démarche auprès du débiteur en vue du recouvrement amiable.
Art. 5. Une quittance est remise au débiteur pour tout paiement.
Les fonds reçus par la personne chargée du recouvrement devront donner lieu sauf convention contraire à un reversement dans un délai d'un mois à compter de leur encaissement effectif.
Art. 6. La personne chargée du recouvrement doit, lorsqu'elle a obtenu un paiement même partiel de la part du débiteur, en informer le créancier, dès lors que ce paiement ne résulte pas de l'exécution d'un accord de paiement échelonné déjà connu du créancier.
Sauf stipulation contraire, elle doit également le tenir informé de toute proposition du débiteur tendant à s'acquitter de son obligation par un autre moyen que le paiement immédiat de la somme réclamée.
Art. 7. Sera punie de la peine d'amende prévue pour les contraventions de la 5e classe toute personne qui, exerçant l'activité visée à l'article 1er :
1° Ne s'est pas conformée aux obligations prévues à l'article 2 ;
2° Aura omis l'une des mentions prévues à l'article 4 dans la lettre adressée au débiteur.
En cas de récidive, la peine d'amende prévue pour la récidive des contraventions de la 5e classe est applicable.
Art. 8. Le présent décret entrera en vigueur le premier jour du sixième mois suivant sa publication au Journal officiel de la République française. [J.O. 20 décembre]
Décret du 18 décembre 1996 (96-1112)
Décret n° 96-1112 du 18 décembre 1996, Portant réglementation de l'activité des personnes procédant au recouvrement amiable des créances pour le compte d'autrui
Art. 1er. Les dispositions du présent décret s'appliquent aux personnes physiques ou morales qui, d'une manière habituelle ou occasionnelle, même à titre accessoire, procèdent au recouvrement amiable des créances pour le compte d'autrui, à l'exception de celles qui y procèdent au titre de leur statut professionnel ou dans le cadre de la réglementation de leur profession.
Art. 2. Les personnes mentionnées à l'article 1er doivent justifier qu'elles ont souscrit un contrat d'assurance les garantissant contre les conséquences pécuniaires de la responsabilité civile professionnelle qu'elles peuvent encourir en raison de leur activité.
Elles doivent également justifier être titulaires d'un compte dans l'un des établissements de crédit visés à l'article 18-1 de la loi du 24 janvier 1984 susvisée [n° 84-46, relative à l'activité et au contrôle des établissements de crédit, ou l'une des institutions ou l'un des établissements visés à l'article 8 de la même loi. Ce compte doit être exclusivement affecté à la réception des fonds encaissés pour le compte des créanciers.
La justification des conditions requises aux alinéas précédents est assurée par déclaration écrite des intéressés, remise ou adressée, avant tout exercice, au procureur de la République près le tribunal de grande instance dans le ressort duquel ils ont le siège de leurs activités. A tout moment le procureur de la République peut vérifier que les intéressés se conforment aux obligations prescrites par le présent article.
Art. 3. Les personnes mentionnées à l'article 1er ne peuvent procéder au recouvrement amiable qu'après avoir conclu une convention écrite avec le créancier dans laquelle il lui [leur] est donné pouvoir de recevoir pour son compte.
Cette convention précise notamment :
1° Le fondement et le montant des sommes dues, avec l'indication distincte des différents éléments de la ou des créances à recouvrer sur le débiteur ;
2° Les conditions et les modalités de la garantie donnée au créancier contre les conséquences pécuniaires de la responsabilité civile encourue en raison de l'activité de recouvrement des créances ;
3° Les conditions de détermination de la rémunération à la charge du créancier ;
4° Les conditions de reversement des fonds encaissés pour le compte du créancier.
Art. 4. La personne chargée du recouvrement amiable adresse au débiteur une lettre qui contient les mentions suivantes :
1° Les nom ou dénomination sociale de la personne chargée du recouvrement amiable, son adresse ou son siège social, l'indication qu'elle exerce une activité de recouvrement amiable ;
2° Les nom ou dénomination sociale du créancier, son adresse ou son siège social ;
3° Le fondement et le montant de la somme due en principal, intérêts et autres accessoires, en distinguant les différents éléments de la dette, et à l'exclusion des frais qui restent à la charge du créancier en application du troisième alinéa de l'article 32 de la loi du 9 juillet 1991 susvisée [n° 91-650, portant réforme des procédures civiles d'exécution ] ;
4° L'indication d'avoir à payer la somme due et les modalités de paiement de la dette ;
5° La reproduction des troisième et quatrième alinéas de l'article 32 de la loi du 9 juillet 1991 précitée.
Les références et date d'envoi de la lettre visée à l'alinéa précédent devront être rappelées à l'occasion de toute autre démarche auprès du débiteur en vue du recouvrement amiable.
Art. 5. Une quittance est remise au débiteur pour tout paiement.
Les fonds reçus par la personne chargée du recouvrement devront donner lieu sauf convention contraire à un reversement dans un délai d'un mois à compter de leur encaissement effectif.
Art. 6. La personne chargée du recouvrement doit, lorsqu'elle a obtenu un paiement même partiel de la part du débiteur, en informer le créancier, dès lors que ce paiement ne résulte pas de l'exécution d'un accord de paiement échelonné déjà connu du créancier.
Sauf stipulation contraire, elle doit également le tenir informé de toute proposition du débiteur tendant à s'acquitter de son obligation par un autre moyen que le paiement immédiat de la somme réclamée.
Art. 7. Sera punie de la peine d'amende prévue pour les contraventions de la 5e classe toute personne qui, exerçant l'activité visée à l'article 1er :
1° Ne s'est pas conformée aux obligations prévues à l'article 2 ;
2° Aura omis l'une des mentions prévues à l'article 4 dans la lettre adressée au débiteur.
En cas de récidive, la peine d'amende prévue pour la récidive des contraventions de la 5e classe est applicable.
Art. 8. Le présent décret entrera en vigueur le premier jour du sixième mois suivant sa publication au Journal officiel de la République française. [J.O. 20 décembre]
cofreco
j ai eu affaire eu en 2001 j ai besoin d avoir un recu de paiement pour justificatif (pour défichage BF)
le telephonne 03-86-93-29-00 ou 03-86-93-29-10 est devenu des boites vocales j ai envoyé un fax au 03-86-93-29-29 bien recu chez eu est sans réponse
un courriier en lettre simple et un en accusé reception bien recu
toujours pas de reponse il reste muet quel moyen me reste-t-il
j ai eu affaire eu en 2001 j ai besoin d avoir un recu de paiement pour justificatif (pour défichage BF)
le telephonne 03-86-93-29-00 ou 03-86-93-29-10 est devenu des boites vocales j ai envoyé un fax au 03-86-93-29-29 bien recu chez eu est sans réponse
un courriier en lettre simple et un en accusé reception bien recu
toujours pas de reponse il reste muet quel moyen me reste-t-il
Pour être complet sur le sujet : menaces d'un huissier de justice alsacien :
Les menaces d'un huissier alsacien, qui lui existe réellement, sont des faux émanant d'intrum justitia elle-même. Comment et pourquoi ce nom d'huissier apparait-il sur des lettres de cette officine de recouvrement : mystère. Pas la moindre crainte à avoir. Les raisons à :
http://www.commentcamarche.net/forum/affich 5832916 les zorros du recouvrement?page=2#52
Les menaces d'un huissier alsacien, qui lui existe réellement, sont des faux émanant d'intrum justitia elle-même. Comment et pourquoi ce nom d'huissier apparait-il sur des lettres de cette officine de recouvrement : mystère. Pas la moindre crainte à avoir. Les raisons à :
http://www.commentcamarche.net/forum/affich 5832916 les zorros du recouvrement?page=2#52
Bonjour :
Réponse argumentée et complète:
http://www.commentcamarche.net/forum/affich 6092846 officines de recouvrement se defendre#dernier.
Précision : il ne saurait être question de répondre autrement qu'en citant les textes officiels. Que des huissiers de justice prêtent volontairement ou non leur nom à ces officines privées de recouvrement, nous n'en savons rien, c'est au débiteur à poser la question soit à l'huissier soit à la chambre départementale ou régionale des huissiers. Il en a parfaitement le droit et sans risque.
Réponse argumentée et complète:
http://www.commentcamarche.net/forum/affich 6092846 officines de recouvrement se defendre#dernier.
Précision : il ne saurait être question de répondre autrement qu'en citant les textes officiels. Que des huissiers de justice prêtent volontairement ou non leur nom à ces officines privées de recouvrement, nous n'en savons rien, c'est au débiteur à poser la question soit à l'huissier soit à la chambre départementale ou régionale des huissiers. Il en a parfaitement le droit et sans risque.
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre question
A Gloran,
"Bonjour Charly,
Je comprends votre désarroi."
Vous n'avez pas remarqué que l'histoire est complètement fausse et émane très probablement du personnel de ces officines. Vous vous êtes donné du mal pour rien. Son récit est rempli d'invraisemblances et ne fait comme vous l'avez fait remarquer références ni aux délais entre procédures, ni allusion à une forclusion possible de la prétendue dette. Ce personnel, par ces fils est aux abois. En effet il a été démonté toutes leurs combines, y compris la référence à un huissier.
Juste une remarque : ceci ne vous a pas choqué ?
"J'ai appris que les cabinets de recouvrements étaient une profession réglementée comme les autres professions juridiques, qu'ils étaient sous le contrôle de je sais plus qui au procureur de la république, que leur lettre de mise en demeure avaient la même valeur (article 1139 du code civil - celui la je l'ai retenu c'est marqué dans le jugement) et que donc je l'avais dans l'os et bien profond."
--> Depuis quand des officines privées de recouvrement sont sous contrôle d'un magistrat, en l'occurrence le procureur si j'ai bien saisi le sens de la phrase ? Franchement n'importe quoi ! !
Ils essayant de faire croire à leur autorité, or pour les démarches auprès du juge comme dit précédemment dans les autres fils, l'officine de recouvrement doit être juridiquement responsable c'est à dire qu'elle ait au préalable pratiqué l'affacturage, Pour ce faire, il faut des fonds à investir et pas certains d'être récupérés. C'est le noeud du problème et c'est pour cela qu'elles font toutes que du recouvrement amiable.
Et puis comme Chat-Teigne l'a fait remarquer :
"Un jour, toc toc toc, je recois la visite d'un huissier qui me signifie que l'agence de recouvrement a saisi le juge de l'exécution et qu'il vient faire une saisie provisoire sur mes comptes. Incompréhension !!! " ??? C'est une toute nouvelle procédure à la mode officine privée de recouvrement amiable.
--> Ce genre de témoignage est choquant et ne vise qu'à tromper ceux qui cherchent des renseignements.
Je précise que si je n'ai donné aucun détail de procédure, c'est volontaire, c'est pour éviter d'en informer "nos amis". Chat-Teigne m'en est témoin.
Encore mes remerciements pour votre travail su Wikipédia.
"Bonjour Charly,
Je comprends votre désarroi."
Vous n'avez pas remarqué que l'histoire est complètement fausse et émane très probablement du personnel de ces officines. Vous vous êtes donné du mal pour rien. Son récit est rempli d'invraisemblances et ne fait comme vous l'avez fait remarquer références ni aux délais entre procédures, ni allusion à une forclusion possible de la prétendue dette. Ce personnel, par ces fils est aux abois. En effet il a été démonté toutes leurs combines, y compris la référence à un huissier.
Juste une remarque : ceci ne vous a pas choqué ?
"J'ai appris que les cabinets de recouvrements étaient une profession réglementée comme les autres professions juridiques, qu'ils étaient sous le contrôle de je sais plus qui au procureur de la république, que leur lettre de mise en demeure avaient la même valeur (article 1139 du code civil - celui la je l'ai retenu c'est marqué dans le jugement) et que donc je l'avais dans l'os et bien profond."
--> Depuis quand des officines privées de recouvrement sont sous contrôle d'un magistrat, en l'occurrence le procureur si j'ai bien saisi le sens de la phrase ? Franchement n'importe quoi ! !
Ils essayant de faire croire à leur autorité, or pour les démarches auprès du juge comme dit précédemment dans les autres fils, l'officine de recouvrement doit être juridiquement responsable c'est à dire qu'elle ait au préalable pratiqué l'affacturage, Pour ce faire, il faut des fonds à investir et pas certains d'être récupérés. C'est le noeud du problème et c'est pour cela qu'elles font toutes que du recouvrement amiable.
Et puis comme Chat-Teigne l'a fait remarquer :
"Un jour, toc toc toc, je recois la visite d'un huissier qui me signifie que l'agence de recouvrement a saisi le juge de l'exécution et qu'il vient faire une saisie provisoire sur mes comptes. Incompréhension !!! " ??? C'est une toute nouvelle procédure à la mode officine privée de recouvrement amiable.
--> Ce genre de témoignage est choquant et ne vise qu'à tromper ceux qui cherchent des renseignements.
Je précise que si je n'ai donné aucun détail de procédure, c'est volontaire, c'est pour éviter d'en informer "nos amis". Chat-Teigne m'en est témoin.
Encore mes remerciements pour votre travail su Wikipédia.
Une précision concernant les noms d'huissiers mentionnés sur lettres reçues :
En fait ces huissiers se font payer pour utilisation de leur nom par ces officines. Ce sont bien les officines qui envoient ces lettres au nom des huissiers et ces lettres n'ont aucune valeur pas plus que juridique et n'ont pour but que de faire peur.
Porter plainte, difficile d'avoir raison, car l'huissier peut prétendre ne pas être au courant d'une utllisation illégale de son nom et il est difficile voir impossible de prouver qu'il est informé des manigances de ces officines. Mais par contre on peut sans le moindre risque s'en étonner auprès de la chambre départementale ou régionale des huissiers. Et ce serait à faire.
En fait ces huissiers se font payer pour utilisation de leur nom par ces officines. Ce sont bien les officines qui envoient ces lettres au nom des huissiers et ces lettres n'ont aucune valeur pas plus que juridique et n'ont pour but que de faire peur.
Porter plainte, difficile d'avoir raison, car l'huissier peut prétendre ne pas être au courant d'une utllisation illégale de son nom et il est difficile voir impossible de prouver qu'il est informé des manigances de ces officines. Mais par contre on peut sans le moindre risque s'en étonner auprès de la chambre départementale ou régionale des huissiers. Et ce serait à faire.
bonjour
J'aimerais avoir un renseignement j'avais un abonement chez orange pour 24mois or orange me la resilié suite a un impayé Aujourd'huit il me reclame la totalité de l'abonement d'un montant de 873 EURO j'avais un forfait pro de 52euro
Mon abonement a ete resilier vers le mois de fevrier2008 je n'ai pas reçu de lettre precise d'orange uniquement au debut d'intrum justicia auquel je n'ai pas repondu et la en l'espace d'un mois j'ai reçu un courrier de COFRECO et aujourd'hui dun huissier de justice JACQUES ANTOINE A BELFORT ou il me demande donc cette somme sans precision et le montant et a envoyer a cofreco j'aimerais savoir si je doit payer et a qui.
Merci
J'aimerais avoir un renseignement j'avais un abonement chez orange pour 24mois or orange me la resilié suite a un impayé Aujourd'huit il me reclame la totalité de l'abonement d'un montant de 873 EURO j'avais un forfait pro de 52euro
Mon abonement a ete resilier vers le mois de fevrier2008 je n'ai pas reçu de lettre precise d'orange uniquement au debut d'intrum justicia auquel je n'ai pas repondu et la en l'espace d'un mois j'ai reçu un courrier de COFRECO et aujourd'hui dun huissier de justice JACQUES ANTOINE A BELFORT ou il me demande donc cette somme sans precision et le montant et a envoyer a cofreco j'aimerais savoir si je doit payer et a qui.
Merci
A Patournets,
cofreco = Intrum Justitia, comme par hasard !!!! ---> se fait une spécialité de ne jamais répondre au courrier, alors pourquoi dépenser pour des lettres recommandées ??? une lettre simple suffit, une seule pas de réponse dans ce cas précis reste la seule solution : le juge de proximité au tribunal du coin.
Bonne démarche judiciaire
cofreco = Intrum Justitia, comme par hasard !!!! ---> se fait une spécialité de ne jamais répondre au courrier, alors pourquoi dépenser pour des lettres recommandées ??? une lettre simple suffit, une seule pas de réponse dans ce cas précis reste la seule solution : le juge de proximité au tribunal du coin.
Bonne démarche judiciaire
Bonjour
j 'ai reçu une lettre de l' amr mise en demeure pour une facture toujours non justifiée par veolia .... qui me reclame indument 580€ .... ils ont rajouté entre tps ( alors que veolia s 'engageait à me repondre et traiter mon pb par une reponse ecrite ) 40 euros de dommages interets et 30 euros frais veolia .. .
je decide de ne pas donner suite au chantage
pouvez vous me recontacter car l affaire est urgente et visiblement juridiquement tres interessante
j 'ai reçu une lettre de l' amr mise en demeure pour une facture toujours non justifiée par veolia .... qui me reclame indument 580€ .... ils ont rajouté entre tps ( alors que veolia s 'engageait à me repondre et traiter mon pb par une reponse ecrite ) 40 euros de dommages interets et 30 euros frais veolia .. .
je decide de ne pas donner suite au chantage
pouvez vous me recontacter car l affaire est urgente et visiblement juridiquement tres interessante
A Merlins,
Veolia ??? pour une facture de quoi, d'eau ??
Qui est "amr" une officine de recouvrement ??? auquel cas elle n'a pas le droit d'imposer 40 de dommages et intérêts et 30 € de frais sans justification : frais d'envoi de lettre en recommandé, frais de timbre etc...
Soyez précis, on n'arrête pas de le répéter !!!
Veolia ??? pour une facture de quoi, d'eau ??
Qui est "amr" une officine de recouvrement ??? auquel cas elle n'a pas le droit d'imposer 40 de dommages et intérêts et 30 € de frais sans justification : frais d'envoi de lettre en recommandé, frais de timbre etc...
Soyez précis, on n'arrête pas de le répéter !!!
Au sujet d'Intrum-Justitia :
Il est une mention obligatoire figurant au bas de certaines de leurs lettres, écrite en minuscule mais non moins très importante :
S.A.S ( société en actions simplifiées) au capital de 1 500 000 € ( montant minimum lors de la création pour le droit au statut de SAS, compromis entre une SA et une SARL), Société de recouvrement amiable agissant en vertu du décrett 96-1112 du 18/12/96..
-----> Pas question de poursuites, d'huissier, de tribunal. Leurs lettres de menaces sont des faux et leur envoi des tentatives d'intimidation, uniquement
A Chacun d'agir en conséquence et rien ne vous oblige à répondre à leurs exigences si vous les jugez trop contraignantes pour vous. Cette officine n'a pas à donner d'ordre et fixer par elle-même le montant des remboursements, ceux-ci doivent être conclus d'un commun accord; S'il refuse, ce qui se passe, ne rien faire. Votre bonne volonté ne pourra être pas mise en cause. Se méfier des rappels de sommes impayées sorties de nulle part et en demander l'origine, la cause etc. Avec la facilité offerte par internet l'usurpation de nom et les erreurs sont toujours possibles. Cette officine se fait une spécialité de refuser toute objection aussi authentique soit-elle. ( voir les témoignages sur internet et différents sites).
Enfin précaution indispensable : demander au vrai créancier le détail ainsi que le total de la somme due et la rapprocher de celle demandée par cette officine qui n'a pas le droit d'imposer des frais autre que le courrier et justifiés ( frais de timbres, soit quelques euros tout au plus), indemnités, dommages et intérêts. Refuser ces frais ajoutés, ainsi que ceux ajoutés par le créancier.
Voir le décret dont se réclame Intrum Justitia.
Il est une mention obligatoire figurant au bas de certaines de leurs lettres, écrite en minuscule mais non moins très importante :
S.A.S ( société en actions simplifiées) au capital de 1 500 000 € ( montant minimum lors de la création pour le droit au statut de SAS, compromis entre une SA et une SARL), Société de recouvrement amiable agissant en vertu du décrett 96-1112 du 18/12/96..
-----> Pas question de poursuites, d'huissier, de tribunal. Leurs lettres de menaces sont des faux et leur envoi des tentatives d'intimidation, uniquement
A Chacun d'agir en conséquence et rien ne vous oblige à répondre à leurs exigences si vous les jugez trop contraignantes pour vous. Cette officine n'a pas à donner d'ordre et fixer par elle-même le montant des remboursements, ceux-ci doivent être conclus d'un commun accord; S'il refuse, ce qui se passe, ne rien faire. Votre bonne volonté ne pourra être pas mise en cause. Se méfier des rappels de sommes impayées sorties de nulle part et en demander l'origine, la cause etc. Avec la facilité offerte par internet l'usurpation de nom et les erreurs sont toujours possibles. Cette officine se fait une spécialité de refuser toute objection aussi authentique soit-elle. ( voir les témoignages sur internet et différents sites).
Enfin précaution indispensable : demander au vrai créancier le détail ainsi que le total de la somme due et la rapprocher de celle demandée par cette officine qui n'a pas le droit d'imposer des frais autre que le courrier et justifiés ( frais de timbres, soit quelques euros tout au plus), indemnités, dommages et intérêts. Refuser ces frais ajoutés, ainsi que ceux ajoutés par le créancier.
Voir le décret dont se réclame Intrum Justitia.
Bonsoir à tous. J'ai reçu il y a de cela 2 jours un courrier de la société Intrum Justitia. Je n'y connais pas grand chose puis-je vous exposer mon cas?
Un grand merci pour toutes ces explications claires et très pertinentes.
Je me permet à mon tour de vous donner quelques informations et cas pratiques qui pourront vous êtres utiles. Ces cas sont décrits sur un autre forum, mais concernent 2 sociétés de recouvrements dont l'une est nommée ici, à savoir SOGECOR (et sa filliale SOGECOR NORD), l'autre étant RECOFACT (maintenant faisant partie du groupe RECOCASH).
Concernant SOGECOR, l'histoire se trouve ici :
http://forum.lesarnaques.com/telephonie-fixe-mobile/affaire-orange-sogecor-t33390.html
On y apprend, après renseignement auprès de la CNIL, que ni cette société ni sa filliale n'ont déclaré de fichiers à la CNIL. Ceci, malgré un site web qui vante l'utilisation au sein de la société d'un système d'information contenant des bases de données sur les clients et sur les créances. Et lorsqu'on demande à exercer son droit d'accès aux informations personnelles (par exemple pour avoir les motivations de la créance), la personne de la filliale répond carrément que la loi Informatique et Liberté n'exite pas !
Une plainte est en cours auprès de la CNIL sur ce point.
Concernant les lettres recues, c'est un florilège des abus cités ci-dessus, que ce soit l'utilisation de termes comme huissier ou assignation en payement, la mention d'absence de contestation alors qu'une réclamation est en cours auprès du créancier, et bien sur l'absence des mentions obligatoires du décret n°96-1112 du 18 décembre 1996 (sur une des lettres).
Concernant RECOFACT, l'histoire se trouve ici :
http://forum.lesarnaques.com/telephonie-fixe-mobile/litige-resiliation-sfr-t35098.html
On y apprend que la société RECOFACT, qui est bien celle nommée sur les courriers, et dont le numéro apparait sur les courriers, est en fait radiée du registre du commerce.
Concernant les lettres recues, c'est encore un florilège, avec même directement la citation de la loi concernant l'illégalité de rajouter les frais de recouvrement à la dette, et pourtant, dans le détail de la somme demandée, se retrouvent les frais de recouvrement de la société !
Une demande d'information auprès de la CNIL est en cours concernant les fichiers déclarés, par cette société ainsi que par son groupe. Une plainte au procureur suivra, avec peut-être une plainte à la CNIL suivant la réponse de la CNIL.
Voilà. J'espère que cela pourra vous aider, notamment en éclairant de ces témoignages vos explications pertinentes.
Je me permet à mon tour de vous donner quelques informations et cas pratiques qui pourront vous êtres utiles. Ces cas sont décrits sur un autre forum, mais concernent 2 sociétés de recouvrements dont l'une est nommée ici, à savoir SOGECOR (et sa filliale SOGECOR NORD), l'autre étant RECOFACT (maintenant faisant partie du groupe RECOCASH).
Concernant SOGECOR, l'histoire se trouve ici :
http://forum.lesarnaques.com/telephonie-fixe-mobile/affaire-orange-sogecor-t33390.html
On y apprend, après renseignement auprès de la CNIL, que ni cette société ni sa filliale n'ont déclaré de fichiers à la CNIL. Ceci, malgré un site web qui vante l'utilisation au sein de la société d'un système d'information contenant des bases de données sur les clients et sur les créances. Et lorsqu'on demande à exercer son droit d'accès aux informations personnelles (par exemple pour avoir les motivations de la créance), la personne de la filliale répond carrément que la loi Informatique et Liberté n'exite pas !
Une plainte est en cours auprès de la CNIL sur ce point.
Concernant les lettres recues, c'est un florilège des abus cités ci-dessus, que ce soit l'utilisation de termes comme huissier ou assignation en payement, la mention d'absence de contestation alors qu'une réclamation est en cours auprès du créancier, et bien sur l'absence des mentions obligatoires du décret n°96-1112 du 18 décembre 1996 (sur une des lettres).
Concernant RECOFACT, l'histoire se trouve ici :
http://forum.lesarnaques.com/telephonie-fixe-mobile/litige-resiliation-sfr-t35098.html
On y apprend que la société RECOFACT, qui est bien celle nommée sur les courriers, et dont le numéro apparait sur les courriers, est en fait radiée du registre du commerce.
Concernant les lettres recues, c'est encore un florilège, avec même directement la citation de la loi concernant l'illégalité de rajouter les frais de recouvrement à la dette, et pourtant, dans le détail de la somme demandée, se retrouvent les frais de recouvrement de la société !
Une demande d'information auprès de la CNIL est en cours concernant les fichiers déclarés, par cette société ainsi que par son groupe. Une plainte au procureur suivra, avec peut-être une plainte à la CNIL suivant la réponse de la CNIL.
Voilà. J'espère que cela pourra vous aider, notamment en éclairant de ces témoignages vos explications pertinentes.
bonjour
mon frere a pris 2 ou 3 credits revolvings il y a 3 ans et a arrete de payer puis a disparu, je pense qu il est SDF
comme il recoit ses formulaires de RMI chez moi, les recouvreurs me harcelent, menacent de me saisir etc...
je n ai rien a voir avec mon frere, qui a 48 ans (moi, 43) et je ne le vois jamais, il a une cle de ma boite aux lettres et passe tous les 3 mois pour son courrier
il n a jamais utilise mon nom, adresse, garantie, pour ses credits (genre cetelem, franfnance etc...)
les huissiers (ou pretendus) me mettent la honte devant les voisins, mon epouse est humiliee, et moi je stresse, car je ne suis pas responsable des erreurs de mon frere
que puis je faire?
merci beaucoup
mon frere a pris 2 ou 3 credits revolvings il y a 3 ans et a arrete de payer puis a disparu, je pense qu il est SDF
comme il recoit ses formulaires de RMI chez moi, les recouvreurs me harcelent, menacent de me saisir etc...
je n ai rien a voir avec mon frere, qui a 48 ans (moi, 43) et je ne le vois jamais, il a une cle de ma boite aux lettres et passe tous les 3 mois pour son courrier
il n a jamais utilise mon nom, adresse, garantie, pour ses credits (genre cetelem, franfnance etc...)
les huissiers (ou pretendus) me mettent la honte devant les voisins, mon epouse est humiliee, et moi je stresse, car je ne suis pas responsable des erreurs de mon frere
que puis je faire?
merci beaucoup
Merci Wazix23 pour cette réponse :
"Soyez rassuré, Intrum-Justitia ne procède que par menaces. Cette officine ne peut, dans son cas, absolument pas ni saisir la justice ni un huissier. "
concernant mon pb avec Intrum Justitia que voici sur le forum "les ****** zorros du recouvrement" mais je ne peux pas y répondre car erreur sur la page.
"Voilà quelques mois, je résilie et reprend un nouvel abo chez Orange Mobile en agence, la conseillère me souscrit un abo avec une promotion. Elle me dit que d'ici quelques temps si je veux changer de forfait et en prendre un plus adapté à ma conso, je n'ai qu'à appeler le service client pour faire ce changement. Donc, plusieurs mois plus tard, j'appelle ce service client et demande à prendre un forfait inférieur. Ok, le conseiller effectue ce chgmt. C'est le lendemain que les pbs commencent, en effet, je reçois un texto m'informant du chgmt mais que celui-ci m'est facturé 60€. Bien sur, lors de mon appel, on s'est bien tenu de m'informer. Je rappelle le service client pour annuler le chgmt et donc retirer cette facturation abusive, on n'a pas voulu m'écouter ni me transférer au service récla pour leur exposer les faits. On m'a juste dit que je n'avais plus qu'à payer. J'ai donc cessé les prélèvements en attendant que la situation s'éclaircisse, au fur et à mesure du tps, ils m'ont suspendu et résilié ma ligne sans avoir apporté de réponse. Par contre, ils n'ont pas hésité à transférer le dossier à Intrum qui me menace toujours avec aujourd'hui un ultime avant dépôt de requête (injonction à payer). Malgré mes différents courriers à Orange, ils n'ont toujours pas répondu et Intrum ne veut rien savoir.
Donc que dois-je faire et est-ce que cette injonction à payer avec ultime recours avant dépôt de requête est officiel et également IJ peut-il saisir le tribunal? Pour finir, quelle est la suite à cette injonction?
Autres précisions, l'impayé est de 605€ donc pour ce montant là, sont-ils capables d'aller jusqu'au tribunal?"
Cependant, j'aimerais également savoir si Orange peut lui-même saisir le tribunal pour une somme de 600€ et quelle suite à ce dossier me conseillez-vous?
Merci
"Soyez rassuré, Intrum-Justitia ne procède que par menaces. Cette officine ne peut, dans son cas, absolument pas ni saisir la justice ni un huissier. "
concernant mon pb avec Intrum Justitia que voici sur le forum "les ****** zorros du recouvrement" mais je ne peux pas y répondre car erreur sur la page.
"Voilà quelques mois, je résilie et reprend un nouvel abo chez Orange Mobile en agence, la conseillère me souscrit un abo avec une promotion. Elle me dit que d'ici quelques temps si je veux changer de forfait et en prendre un plus adapté à ma conso, je n'ai qu'à appeler le service client pour faire ce changement. Donc, plusieurs mois plus tard, j'appelle ce service client et demande à prendre un forfait inférieur. Ok, le conseiller effectue ce chgmt. C'est le lendemain que les pbs commencent, en effet, je reçois un texto m'informant du chgmt mais que celui-ci m'est facturé 60€. Bien sur, lors de mon appel, on s'est bien tenu de m'informer. Je rappelle le service client pour annuler le chgmt et donc retirer cette facturation abusive, on n'a pas voulu m'écouter ni me transférer au service récla pour leur exposer les faits. On m'a juste dit que je n'avais plus qu'à payer. J'ai donc cessé les prélèvements en attendant que la situation s'éclaircisse, au fur et à mesure du tps, ils m'ont suspendu et résilié ma ligne sans avoir apporté de réponse. Par contre, ils n'ont pas hésité à transférer le dossier à Intrum qui me menace toujours avec aujourd'hui un ultime avant dépôt de requête (injonction à payer). Malgré mes différents courriers à Orange, ils n'ont toujours pas répondu et Intrum ne veut rien savoir.
Donc que dois-je faire et est-ce que cette injonction à payer avec ultime recours avant dépôt de requête est officiel et également IJ peut-il saisir le tribunal? Pour finir, quelle est la suite à cette injonction?
Autres précisions, l'impayé est de 605€ donc pour ce montant là, sont-ils capables d'aller jusqu'au tribunal?"
Cependant, j'aimerais également savoir si Orange peut lui-même saisir le tribunal pour une somme de 600€ et quelle suite à ce dossier me conseillez-vous?
Merci
Re,
"Cependant, j'aimerais également savoir si Orange peut lui-même saisir le tribunal pour une somme de 600€ et quelle suite à ce dossier me conseillez-vous?"
---Réponse : oui. Conseils attendre une éventuelle convocation du juge d'instance ou un avis vous avisant par lettre recommandée d'une décision d'injonction de payer, qui ne viendra peut-être pas. Une seule attitude : attendre et au delà d'un an la dette est forcluse. Il faut savoir que les frais principaux d(huissier sot à la charge du créancier et cela peut faire hésiter.
"Cependant, j'aimerais également savoir si Orange peut lui-même saisir le tribunal pour une somme de 600€ et quelle suite à ce dossier me conseillez-vous?"
---Réponse : oui. Conseils attendre une éventuelle convocation du juge d'instance ou un avis vous avisant par lettre recommandée d'une décision d'injonction de payer, qui ne viendra peut-être pas. Une seule attitude : attendre et au delà d'un an la dette est forcluse. Il faut savoir que les frais principaux d(huissier sot à la charge du créancier et cela peut faire hésiter.
Merci pour votre réponse !
Dans l'hypothèse qu'Orange saisit le tribunal, pouvez-vous m'expliquer le déroulement c'est à dire les étapes à partir d'un éventuel recommandé de leur part?
Également la dette est forcluse à partir de quelle date précisément?
J'ai reçu d'autre réponse à mon cas sur un autre forum et la personne m'a indiqué que j'étais mal parti et devrait payer la dette. Certes, j'ai cessé les prélèvements car je ne voulais pas être prélevé de 60 € supplémentaire suite à une absence d'info crucilale de la part d'Orange. De plus, c'est Orange qui m'a résilié de leur propre chef et moi j'attendais une réponse de leur part (lettre envoyé par courrier simple) sans réponse et ensuite c'est Intrum qui a pris le dossier en main sans n'avoir eu aujourd'hui de courrier d'Orange. Qu'en pensez-vous?
Merci.
Dans l'hypothèse qu'Orange saisit le tribunal, pouvez-vous m'expliquer le déroulement c'est à dire les étapes à partir d'un éventuel recommandé de leur part?
Également la dette est forcluse à partir de quelle date précisément?
J'ai reçu d'autre réponse à mon cas sur un autre forum et la personne m'a indiqué que j'étais mal parti et devrait payer la dette. Certes, j'ai cessé les prélèvements car je ne voulais pas être prélevé de 60 € supplémentaire suite à une absence d'info crucilale de la part d'Orange. De plus, c'est Orange qui m'a résilié de leur propre chef et moi j'attendais une réponse de leur part (lettre envoyé par courrier simple) sans réponse et ensuite c'est Intrum qui a pris le dossier en main sans n'avoir eu aujourd'hui de courrier d'Orange. Qu'en pensez-vous?
Merci.
Re,
Vous pouvez ou non être convoqué par le juge d'instance qui dès qu'il est saisi par le créancier va s'assurer de l'honnêteté de la somme, c'est à dire correspond bien à ce qui est dû et sans frais supplémentaires tels que dommages et autres machins. Il va légitimer la somme c'est à dire la couvrir de son autorité qui a force de loi et ne devient contestable que devant un tribunal. Vous avez 1 mois pour contester auprès de ce juge et faire valoir vos contestations. Après il peut désigner un huissier de justice de son ressort. C'est à dire que le juge et l'huissier seront du ressort du lieu où se trouve votre domicile. Puis l'huissier commence par la phase amaible et vous demande de payer avant de procéder aux poursuites.
La date de prescription des poursuites court à partir du dernier mois de la dernière mensualité, attention le moindre paiement la moindre reconnaissance de dette peuvent annuler le cours de la prescription, c'est à vérifier.
Vous pouvez ou non être convoqué par le juge d'instance qui dès qu'il est saisi par le créancier va s'assurer de l'honnêteté de la somme, c'est à dire correspond bien à ce qui est dû et sans frais supplémentaires tels que dommages et autres machins. Il va légitimer la somme c'est à dire la couvrir de son autorité qui a force de loi et ne devient contestable que devant un tribunal. Vous avez 1 mois pour contester auprès de ce juge et faire valoir vos contestations. Après il peut désigner un huissier de justice de son ressort. C'est à dire que le juge et l'huissier seront du ressort du lieu où se trouve votre domicile. Puis l'huissier commence par la phase amaible et vous demande de payer avant de procéder aux poursuites.
La date de prescription des poursuites court à partir du dernier mois de la dernière mensualité, attention le moindre paiement la moindre reconnaissance de dette peuvent annuler le cours de la prescription, c'est à vérifier.
repétition ; si "amr" est un officine de recouvrement, elle n'a pas le droit de demander des dommages et intérêts et le montant des frais doivent être justifiés.
Reste la facture, est-elle légitime??? ----> la logique du droit n'est pas celle du quidam
Reste la facture, est-elle légitime??? ----> la logique du droit n'est pas celle du quidam
Bis repetitat du fil similaire :
Toujours dans le cadre des demandes de sommes dues sorties de nul part, un conseil : demander une facture "papier" avec le détail de la somme réclamée au créancier, et préciser que vous tiendrez compte de leur réclamation que seulement au reçu de cette facture. Vous avez le droit d'exiger une facture, avec TVA mentionnée. Il en est de même avec les officines de recouvrement, elles doivent vous donner toutes les références et détails et toutes arguties ayant pour but à ne pas donner satisfaction ne tiennent pas. Envoyer vos demandes en recommandé avec AR, plus la même lettre en envoi simple. Vous faites copie de cette lettre, garder l'accusé réception et si vous vous portez au tribunal, le silence, c'est à dire le non envoi de cette facture et la non réponse détaillée à laquelle vous avez droit des officines de recouvrement plaidera en votre faveur.
A la lecture des différents témoignages, il apparait nettement que les créanciers et les boites de recouvrement répugnent à fournir ces indications, ce qui ne peut laisser supposer deux choses, une tentative d'extorsion ou alors ce qui est le plus courant une vraie pagaille chez les créanciers et tant qu'à faire négligence en cours autant en profiter.
Manifestement tous ces organismes travaillent dans l'à-peu-près et de très loin.
Toujours dans le cadre des demandes de sommes dues sorties de nul part, un conseil : demander une facture "papier" avec le détail de la somme réclamée au créancier, et préciser que vous tiendrez compte de leur réclamation que seulement au reçu de cette facture. Vous avez le droit d'exiger une facture, avec TVA mentionnée. Il en est de même avec les officines de recouvrement, elles doivent vous donner toutes les références et détails et toutes arguties ayant pour but à ne pas donner satisfaction ne tiennent pas. Envoyer vos demandes en recommandé avec AR, plus la même lettre en envoi simple. Vous faites copie de cette lettre, garder l'accusé réception et si vous vous portez au tribunal, le silence, c'est à dire le non envoi de cette facture et la non réponse détaillée à laquelle vous avez droit des officines de recouvrement plaidera en votre faveur.
A la lecture des différents témoignages, il apparait nettement que les créanciers et les boites de recouvrement répugnent à fournir ces indications, ce qui ne peut laisser supposer deux choses, une tentative d'extorsion ou alors ce qui est le plus courant une vraie pagaille chez les créanciers et tant qu'à faire négligence en cours autant en profiter.
Manifestement tous ces organismes travaillent dans l'à-peu-près et de très loin.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Recouvrement_de_cr%C3%A9ances
-----> L'honnêteté m'oblige à dire que c'est exact et j'ai hésité à mettre le lien. En effet, loin de sous-estimer la capacité de nuisance de ces officines, je craignais une réaction et une mise en cause, me doutant que tous les messages ne seraient pas lus dans leur entier* . Limiter les problèmes en focalisant l'acrimonie sur ces fils, pour laisser le champ libre à Wikipédia. Un camouflage.
Je reconnais que cette brillante étude m'a énormément facilité le travail, me permettant d'approfondir d'autres détails.
Ce qui serait intéressant ce serait de trouver des jugements sur ces officines.
*Je ne me suis pas trompé sur leurs intentions puisque je suis accusé de conseiller de ne pas payer. Grossière erreur.
-----> L'honnêteté m'oblige à dire que c'est exact et j'ai hésité à mettre le lien. En effet, loin de sous-estimer la capacité de nuisance de ces officines, je craignais une réaction et une mise en cause, me doutant que tous les messages ne seraient pas lus dans leur entier* . Limiter les problèmes en focalisant l'acrimonie sur ces fils, pour laisser le champ libre à Wikipédia. Un camouflage.
Je reconnais que cette brillante étude m'a énormément facilité le travail, me permettant d'approfondir d'autres détails.
Ce qui serait intéressant ce serait de trouver des jugements sur ces officines.
*Je ne me suis pas trompé sur leurs intentions puisque je suis accusé de conseiller de ne pas payer. Grossière erreur.
A Blair,
Si vous aviez lu les fils, c'est vrai ils sont longs, avant d'engager des poursuites judiciaires vous sauriez que vous serez convoqué chez le juge d'instance qui vous questionnera et c'est lui qui décidera si oui ou non il y a lieu de pratiquer le recouvrement contentieux. Leurs méthodes habituelles envoyer des lettres simples avec menaces toutes plus fausses les unes que les autres y compris la référence à notre huissier maitre machin. Sans cet intervention du juge, ils ne peuvent demander à un huissier d'intervenir. Seul le juge rendra exécutoire le recouvrement contentieux.
Si vous voulez vous laisser intimider c'est votre choix. Allez sur le fil les zorros du recouvrement...
Si vous aviez lu les fils, c'est vrai ils sont longs, avant d'engager des poursuites judiciaires vous sauriez que vous serez convoqué chez le juge d'instance qui vous questionnera et c'est lui qui décidera si oui ou non il y a lieu de pratiquer le recouvrement contentieux. Leurs méthodes habituelles envoyer des lettres simples avec menaces toutes plus fausses les unes que les autres y compris la référence à notre huissier maitre machin. Sans cet intervention du juge, ils ne peuvent demander à un huissier d'intervenir. Seul le juge rendra exécutoire le recouvrement contentieux.
Si vous voulez vous laisser intimider c'est votre choix. Allez sur le fil les zorros du recouvrement...