OFFICINES DE RECOUVREMENT : SE DEFENDRE
Résolu/Fermé96 réponses
Utilisateur anonyme
17 juil. 2008 à 08:21
17 juil. 2008 à 08:21
http://www.commentcamarche.net/forum/affich 7166578 recouvrement de creances resume#dernier
-->Demande de paiement auprès d'un tiers pour quelques raisons que ce soient : parenté, famille, fraterie, à défaut d'empêchement du redevable : cela n'existe pas et ne saurait être admis, c'est de la tentaive d'extorsion de fonds. Un traitement égal pour tous quelles que soient leurs origines, sinon il existe des associations spécifiques de défense.
Ecrire à l'officine et leur demander de vous fiche la paix sinon vous porter plainte au tribunal pour tentative d'extorsion de fonds et harcèlement.
-->Enfin certains débiteurs sont tentés de porter plainte contre les méthodes et manières de ces officines. Hélas pour désencombrer la justice, le législateur a décidé désormais que pour porter plainte il faut déposer une caution de 1 000 €, qui sera rendue à la fin du jugement; Or cette avance peut handicaper des personnes qui voudraient se faire rendre justice. Il existe cependant d'autres moyens à condition d'être ferme et ne pas se laisser impréssionner.
-->Demande de paiement auprès d'un tiers pour quelques raisons que ce soient : parenté, famille, fraterie, à défaut d'empêchement du redevable : cela n'existe pas et ne saurait être admis, c'est de la tentaive d'extorsion de fonds. Un traitement égal pour tous quelles que soient leurs origines, sinon il existe des associations spécifiques de défense.
Ecrire à l'officine et leur demander de vous fiche la paix sinon vous porter plainte au tribunal pour tentative d'extorsion de fonds et harcèlement.
-->Enfin certains débiteurs sont tentés de porter plainte contre les méthodes et manières de ces officines. Hélas pour désencombrer la justice, le législateur a décidé désormais que pour porter plainte il faut déposer une caution de 1 000 €, qui sera rendue à la fin du jugement; Or cette avance peut handicaper des personnes qui voudraient se faire rendre justice. Il existe cependant d'autres moyens à condition d'être ferme et ne pas se laisser impréssionner.
Utilisateur anonyme
22 juil. 2008 à 18:37
22 juil. 2008 à 18:37
"merci de votre reponse (on me reclame des remboursements de prets demandes par mon frere)
je m en doutais, mais oporter plainbte, avancer 1000 euros, c est penible, vous evoquez d autres moyens
quels sont ils? merci beaucoup"
---> Re : les moyens c'est la fermeté face aux demandes de ces officines : ignorer leurs demandes, ne pas répondre à leur sollicitation par téléphone, si quelqu'un se présente lui claquer la porte au nez, ces gens n'ont aucun pouvoir et ne peuvent se permettre aucune poursuites judiciaires contre vous, sauf si vous êtes violent s'entend. Demander à des tiers pour raison familial parce que frère, parents etc... cela n'existe pas. C'est de la tentative d'extorsion de fonds. Ces voyous se permettent tout, il en va de leurs salaires, alors piquons de l'argent par tous les moyens, mais c'est illégal . "Les petites gens", j'en fais partie, n'ont plus droit de se faire faire justice parce que la justice manque de moyens...Alors c'est débrouillez-vous. Puisque ces officines n'ont aucun pouvoir juridique vous ne bougez pas, ne répondez pas jusqu'à ce qu'il se fatiguent, c'est la seule solution qui reste.
je m en doutais, mais oporter plainbte, avancer 1000 euros, c est penible, vous evoquez d autres moyens
quels sont ils? merci beaucoup"
---> Re : les moyens c'est la fermeté face aux demandes de ces officines : ignorer leurs demandes, ne pas répondre à leur sollicitation par téléphone, si quelqu'un se présente lui claquer la porte au nez, ces gens n'ont aucun pouvoir et ne peuvent se permettre aucune poursuites judiciaires contre vous, sauf si vous êtes violent s'entend. Demander à des tiers pour raison familial parce que frère, parents etc... cela n'existe pas. C'est de la tentative d'extorsion de fonds. Ces voyous se permettent tout, il en va de leurs salaires, alors piquons de l'argent par tous les moyens, mais c'est illégal . "Les petites gens", j'en fais partie, n'ont plus droit de se faire faire justice parce que la justice manque de moyens...Alors c'est débrouillez-vous. Puisque ces officines n'ont aucun pouvoir juridique vous ne bougez pas, ne répondez pas jusqu'à ce qu'il se fatiguent, c'est la seule solution qui reste.
Utilisateur anonyme
3 août 2008 à 16:58
3 août 2008 à 16:58
A Wayman;
Re,
Je retire ce que j'ai dit car j'ignoirais que vous aviez été en contact avec une de ces officines de recouvrement. Je croyais que c'était directement de Cofonoga-huissier. Si vous croyez qu'il y a eu manipulation oui vous pouvez vous adresser au procureur car c'est grave, très grave. Il m'étonnait aussi que l'on fasse appel à un huissier pour une somme aussi peu importante. A mon avis l'augmentation de la somme n'est pas due à la procédure d'un huissier mais aux démarches de l'officine privée, or ces frais supplémentaires sont absolument interdits et donc elle prend le risque de tomber sur quelqu'un qui ne se laissera pas impressionner.
Je suis entièrement d'accord avec votre opinion sur certains huissiers. Dans nos démarches, des internautes se plaignaient de la référence à certains huissiers avec nom et adresse exactes et "qui demandaient sur une lettre de ces officines de payer à l'officine" Il ne faisait aucun doute que c'était l'officine elle-même qui envoyait ces lettres. Comment un huissier de justice puisse-t-il se compromettre avec ces officines dont certaines ont déja été condamnées à payer des dommages pour leurs méthodes, il ne peut y avoir qu'une seule hypothèse au détriment de la conscience professionnelle. D'ailleurs j'ai personnellement conseillé d'écrire " son étonnement" auprès de la chambre départementale ou régionale des huissiers qui a aussi un pouvoir disciplinaire.
Je tiens à vous préciser, qu'un huissier n'a pas à demander au voisinage votre façon de vivre, tout au plus en cas d'absence si vous l'êtes régulièrement et si vous retournez aussi à votre domicile. A mon avis ce n'est pas un huissier qui oserait se permettre mais un agent de l'une de ces officines qui s'est fait passer pour huissier, c'est arrivé, nous en avons eu des témoignages. Les démarches d'huissier sont relativement discrètes.
Personnellement et régulièrement requis, je me suis vu signifier la porte par la gérante de l'une de ces officines, Avenue de Saint-Ouen dans le 18 ème de Paris et qui en plus servait de domiciliation postale. En sortant j'observais les deux médaillons qui normalement représentent "la Marianne" et signalent la domiciliation d'un officier ministériel. Stylisés laissant croire à la marianne, ils pouvaient tromper le profane. C'est vous dire jusqu'où peut aller l'arrogance et l'outrecuidance de ces personnes. Vous pouvez vous douter de la suite avec deux ans d'impayés d'impôts...
Je suis perplexe suite à votre témoignage. Le personnel de l'une de ces officines ne se seraient pas permis, sans titre et sans pouvoir de pénétrer chez vous et faire un faux acte d'huissier quand même...Le juge d'instance avant de légitimer la dette ne se serait tout de même pas laisser berner...Ce dernier vous convoque et vous pose des questions. Gardez-vous de croire qu'il y ait un jugement au TGI, Cela n'existe pas, la dette est constituée en l'occurence le prêt par un contrat reconnu par le droit civil. On ne peut juger quelque chose qui est déja reconnu.
C'est l'erreur que commettent les agents des officines privées pour intimider celui qui ne sait pas. Le juge d'isntance s'assure de l'impayé et de son authenticité.
Enfin c'est la première fois que je prends connaissance d'un molosse dans un bureau d'huissier. Ce peut être plausible mais un cabinet d'huissiers comportent des clercs et des secrétaires et a le pouvoir de requérir la force publique. Peut-il détenir une arme de poing dans su bureau, je n'en sais rien mais ce pourrait être fort plausible, nous au trésor public cette sureté ne se justifiait pas.
Pour terminer sur une note amusante après ce quiproquo, alors en stage avec un ancien pendant que le serrurier trifouillait la serrure pour l'ouvrir, nous entendîmes un bruit infernal dans l'escalier, police secours qui grimpait l'escalier et qui tomba nez à nez avec l'inspecteur de police qui nous accompagnait. Nous rassurâmes la vieille dame qui avait appeler la police pour un cambriolage.
Re,
Je retire ce que j'ai dit car j'ignoirais que vous aviez été en contact avec une de ces officines de recouvrement. Je croyais que c'était directement de Cofonoga-huissier. Si vous croyez qu'il y a eu manipulation oui vous pouvez vous adresser au procureur car c'est grave, très grave. Il m'étonnait aussi que l'on fasse appel à un huissier pour une somme aussi peu importante. A mon avis l'augmentation de la somme n'est pas due à la procédure d'un huissier mais aux démarches de l'officine privée, or ces frais supplémentaires sont absolument interdits et donc elle prend le risque de tomber sur quelqu'un qui ne se laissera pas impressionner.
Je suis entièrement d'accord avec votre opinion sur certains huissiers. Dans nos démarches, des internautes se plaignaient de la référence à certains huissiers avec nom et adresse exactes et "qui demandaient sur une lettre de ces officines de payer à l'officine" Il ne faisait aucun doute que c'était l'officine elle-même qui envoyait ces lettres. Comment un huissier de justice puisse-t-il se compromettre avec ces officines dont certaines ont déja été condamnées à payer des dommages pour leurs méthodes, il ne peut y avoir qu'une seule hypothèse au détriment de la conscience professionnelle. D'ailleurs j'ai personnellement conseillé d'écrire " son étonnement" auprès de la chambre départementale ou régionale des huissiers qui a aussi un pouvoir disciplinaire.
Je tiens à vous préciser, qu'un huissier n'a pas à demander au voisinage votre façon de vivre, tout au plus en cas d'absence si vous l'êtes régulièrement et si vous retournez aussi à votre domicile. A mon avis ce n'est pas un huissier qui oserait se permettre mais un agent de l'une de ces officines qui s'est fait passer pour huissier, c'est arrivé, nous en avons eu des témoignages. Les démarches d'huissier sont relativement discrètes.
Personnellement et régulièrement requis, je me suis vu signifier la porte par la gérante de l'une de ces officines, Avenue de Saint-Ouen dans le 18 ème de Paris et qui en plus servait de domiciliation postale. En sortant j'observais les deux médaillons qui normalement représentent "la Marianne" et signalent la domiciliation d'un officier ministériel. Stylisés laissant croire à la marianne, ils pouvaient tromper le profane. C'est vous dire jusqu'où peut aller l'arrogance et l'outrecuidance de ces personnes. Vous pouvez vous douter de la suite avec deux ans d'impayés d'impôts...
Je suis perplexe suite à votre témoignage. Le personnel de l'une de ces officines ne se seraient pas permis, sans titre et sans pouvoir de pénétrer chez vous et faire un faux acte d'huissier quand même...Le juge d'instance avant de légitimer la dette ne se serait tout de même pas laisser berner...Ce dernier vous convoque et vous pose des questions. Gardez-vous de croire qu'il y ait un jugement au TGI, Cela n'existe pas, la dette est constituée en l'occurence le prêt par un contrat reconnu par le droit civil. On ne peut juger quelque chose qui est déja reconnu.
C'est l'erreur que commettent les agents des officines privées pour intimider celui qui ne sait pas. Le juge d'isntance s'assure de l'impayé et de son authenticité.
Enfin c'est la première fois que je prends connaissance d'un molosse dans un bureau d'huissier. Ce peut être plausible mais un cabinet d'huissiers comportent des clercs et des secrétaires et a le pouvoir de requérir la force publique. Peut-il détenir une arme de poing dans su bureau, je n'en sais rien mais ce pourrait être fort plausible, nous au trésor public cette sureté ne se justifiait pas.
Pour terminer sur une note amusante après ce quiproquo, alors en stage avec un ancien pendant que le serrurier trifouillait la serrure pour l'ouvrir, nous entendîmes un bruit infernal dans l'escalier, police secours qui grimpait l'escalier et qui tomba nez à nez avec l'inspecteur de police qui nous accompagnait. Nous rassurâmes la vieille dame qui avait appeler la police pour un cambriolage.
Utilisateur anonyme
6 août 2008 à 17:59
6 août 2008 à 17:59
Brweet,
Bonsoir,
la precription en matière de téléphonie, internet est de 1 an. Seul le commandement d'un huissier interrrompt le cours de la prescription. Votre dette normalement doit être forcluse et on ne peut exercer de recouvrement contentieux, mais on peut vous réclamer à l'amiable, mais alors à ce moment là à quoi bon ?
Bonsoir,
la precription en matière de téléphonie, internet est de 1 an. Seul le commandement d'un huissier interrrompt le cours de la prescription. Votre dette normalement doit être forcluse et on ne peut exercer de recouvrement contentieux, mais on peut vous réclamer à l'amiable, mais alors à ce moment là à quoi bon ?
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Utilisateur anonyme
21 août 2008 à 18:55
21 août 2008 à 18:55
A Kikoux,
Br,
Le terminal est mentionné comme élément corporel du fonds de commerce, donc c'est le créancier qui a fait l'erreur de remettre cela entre les mains de l'officine dont le moins qu'on puisse dire ne sont pas regardantes, et profitent de chaque demande de paiement à tort et à raison pour se faire de l'argent sur le dos du débiteur. Leur utilité reste encore à démonter, puisque ce qu'elles font peut l'être par n'importe qui, les relances par le commerçant lui-même. Leur pouvoir c'est elle qui laisse croire qu'elles en ont mais en réalité aucun ( sauf affacturage qu'aucune ne pratique) pas plus de pouvoirs que le commerçant lui-même qui rappelle les factures impayées à ses clients.
Vous avez été commerçante vous avez sans doute reçu des réflexions désagrébles de clients indélicate et dans l'intérête de votre commerce vous êtes résté stoïque malgré l'envie de balancer une gifle, eh bien vous faites pareil avec les relances de cette odfficiine qui ne manquera de vous prendre de haut. Ne vous formalisez aps ce sont leurs méthodes de voyous.
Quant au créancier s'"il veut récuper son dû qu'il s'adresse au tribunal, pour obtenir une exécution obligatoire de paiement de la part de l'acheteur. Ce n'est pas à vous à faire la démarche. Quant à l'officine vous la laisser s'exciter et quand elle en aura marre elle s'arrêtera. Et surtout ne croyez pas en l'intervention d'un médiateur quelconque, ce n'est jamais net.
Nous avons là un exemple parfait du travers de l"intervention de ces officine, travers qui ne devrait pas être.
Br,
Le terminal est mentionné comme élément corporel du fonds de commerce, donc c'est le créancier qui a fait l'erreur de remettre cela entre les mains de l'officine dont le moins qu'on puisse dire ne sont pas regardantes, et profitent de chaque demande de paiement à tort et à raison pour se faire de l'argent sur le dos du débiteur. Leur utilité reste encore à démonter, puisque ce qu'elles font peut l'être par n'importe qui, les relances par le commerçant lui-même. Leur pouvoir c'est elle qui laisse croire qu'elles en ont mais en réalité aucun ( sauf affacturage qu'aucune ne pratique) pas plus de pouvoirs que le commerçant lui-même qui rappelle les factures impayées à ses clients.
Vous avez été commerçante vous avez sans doute reçu des réflexions désagrébles de clients indélicate et dans l'intérête de votre commerce vous êtes résté stoïque malgré l'envie de balancer une gifle, eh bien vous faites pareil avec les relances de cette odfficiine qui ne manquera de vous prendre de haut. Ne vous formalisez aps ce sont leurs méthodes de voyous.
Quant au créancier s'"il veut récuper son dû qu'il s'adresse au tribunal, pour obtenir une exécution obligatoire de paiement de la part de l'acheteur. Ce n'est pas à vous à faire la démarche. Quant à l'officine vous la laisser s'exciter et quand elle en aura marre elle s'arrêtera. Et surtout ne croyez pas en l'intervention d'un médiateur quelconque, ce n'est jamais net.
Nous avons là un exemple parfait du travers de l"intervention de ces officine, travers qui ne devrait pas être.
Je suis de retour suite à mon soucis avec Intrum Justitia et Orange me reclamant 1200€ de factures antérieures à la signature de mon contrat Orange (factures de juin a septembre 2007 - siganture du contrat orange en novembre 2007).
apres l'envoi de courriers avec AR à Orange ainsi que Intrum justitia, je n 'ai recu aucune réponse des 2 parties... en revanche Intrum justitia a continué ses actions par des appels telephonique et dernierement par un courrier avec sous 4 jours la menace de porter le dossier en justice.
de multiples appels telephoniques a orange n'ont rien changé... ils cherchent dans mes contrats et dossiers sans bien sur trouver de trace de dettes.. et de ce fait me repondent qu'ils ne peuvent rien pour moi... en attendant ces tetes de mules de Intrum Jutstitia qui osent dire que je ne donne pas de nouvelles (je me demande si ils etudient bien leurs dossiers avant d'envoyer des courriers a foisons... vue qu'apparamment mon courrier avec AR n'a pas été pris en compte) vont continuer à me harceler...
que faire pour faire stopper tout ce cirque?? je ne vais tous de meme pas débarquer dans les locaux de Intrum à Lyon, déchirer/bruler/manger mon dossier pour leur enlever toute possibilité de continuer a me harceler pour rien...
apres l'envoi de courriers avec AR à Orange ainsi que Intrum justitia, je n 'ai recu aucune réponse des 2 parties... en revanche Intrum justitia a continué ses actions par des appels telephonique et dernierement par un courrier avec sous 4 jours la menace de porter le dossier en justice.
de multiples appels telephoniques a orange n'ont rien changé... ils cherchent dans mes contrats et dossiers sans bien sur trouver de trace de dettes.. et de ce fait me repondent qu'ils ne peuvent rien pour moi... en attendant ces tetes de mules de Intrum Jutstitia qui osent dire que je ne donne pas de nouvelles (je me demande si ils etudient bien leurs dossiers avant d'envoyer des courriers a foisons... vue qu'apparamment mon courrier avec AR n'a pas été pris en compte) vont continuer à me harceler...
que faire pour faire stopper tout ce cirque?? je ne vais tous de meme pas débarquer dans les locaux de Intrum à Lyon, déchirer/bruler/manger mon dossier pour leur enlever toute possibilité de continuer a me harceler pour rien...
Br,
Ils sont têtus, carrément brûler le bureau de Lyon serait une possibilité mais réprouvable. On ne peut les empêcher d'envoyer des lettres dont on peut allumer le feu sans même les lire. Les appels téléphoniques du soir : demander le respect de la vie privée et répondre sèchement. Certains ont répondiu par le silence et ont tenu bon, Intrum justitia a fini par se lasser. Vous avez compris ils travaillent en dépis du bon sens leur seul but intimider pour faire payer. Ce bureau serait capable de faire payer le diable qui ne leur doit rien. Porter plainte mais ceci engage des frais ils le savent..Alors le silebce et ne pas se stresser sachant qu'ils ne peuvent rien.
Ils sont têtus, carrément brûler le bureau de Lyon serait une possibilité mais réprouvable. On ne peut les empêcher d'envoyer des lettres dont on peut allumer le feu sans même les lire. Les appels téléphoniques du soir : demander le respect de la vie privée et répondre sèchement. Certains ont répondiu par le silence et ont tenu bon, Intrum justitia a fini par se lasser. Vous avez compris ils travaillent en dépis du bon sens leur seul but intimider pour faire payer. Ce bureau serait capable de faire payer le diable qui ne leur doit rien. Porter plainte mais ceci engage des frais ils le savent..Alors le silebce et ne pas se stresser sachant qu'ils ne peuvent rien.
Autre question si vous le voulez bien ?
J'ai eu le 1er impayé le 22/02/08, la date de forclusion commence t'elle à cette date?
Aujourd'hui avec IJ, j'en suis à la phase de l'ultime recours avant requête au tribunal avec fac similé injonction à payer, pensez-vous que d'ici février prochain, je reçoive un recommandé me convoquant devant le juge?
J'ai eu le 1er impayé le 22/02/08, la date de forclusion commence t'elle à cette date?
Aujourd'hui avec IJ, j'en suis à la phase de l'ultime recours avant requête au tribunal avec fac similé injonction à payer, pensez-vous que d'ici février prochain, je reçoive un recommandé me convoquant devant le juge?
Utilisateur anonyme
21 sept. 2008 à 20:53
21 sept. 2008 à 20:53
Re,re
A l'injonction du juge, non mais après uniquement les frais d'actes d'huissiers et différents autres frais courrier etc..
A l'injonction du juge, non mais après uniquement les frais d'actes d'huissiers et différents autres frais courrier etc..
merling
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vendredi 30 mai 2008
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30 mai 2008
30 mai 2008 à 13:55
30 mai 2008 à 13:55
amr est une agence de recouvrement mandatée par veolia
voila
voila
Moi je ne suis pas d'accord car je l'ai vécu.
Je devais 550 euros à une opérateur téléphonique et je recevais des menaces d'un cabinet de recouvrement.
Moi aussi je pensais que ces sociétés n'avais aucun pouvoir juridique que seuls les huissiers pouvaient et avaient le droit de recouvrer les créances par la voie légale.
Je l'ai appris à mes dépens. Je pensais aussi que n'importe qui était cabinet de recouvrement jusqu'à qu'à l'audience je me fasse rabattre malheureusement pour moi le caquet par l'avocat de l'agence et par le Juge qui m'a dit que je ferais mieux de lire le code civil ou de faire appel à un avocat plutôt que de raconter ce que je ne savais pas.
Tout a commencé avec ces lettres à répétition. D'abord, pour suivre les conseils d'un forum, je suis allé porté plainte pour harcèlement. Non seulement, j'ai reçu un classement sans suite, mais j'ai été convoqué deux semaines plus tard par la gendarmerie, car l'agence de recouvrement avait porté plainte pour dénonciation calomnieuse. Ouf ! Les gendarmes m'ont un peu aidé alors je n'ai eu qu'un rappel à la loi sur ordre du procureur.
Maintenant, même si ce n'était pas du harcèlement, je me suis dit que les lettres des cabinets de recouvrements n'avaient aucune valeur, donc je n'ai pas donné suite.
Un jour, toc toc toc, je recois la visite d'un huissier qui me signifie que l'agence de recouvrement a saisi le juge de l'exécution et qu'il vient faire une saisie provisoire sur mes comptes. Incompréhension !!!
Je suis allé voir le juge de l'exécution qui a prononcé la main levé parce que j'avais de lourdes difficultés financières, mais il m'a dit que l'agence avait le droit.
Je pensais que tout était fini là.
Je n'avais semble-t-il rien compris. Toc Toc Toc. 2 mois après, de nouveau le même huissier de justice qui vient me signifier une ordonnance me condamnant à payer à orange la somme. Je m'explique avec lui et il me dit que l'agence a saisit en même temps les deux juges : le juge de proximité et le juge de l'exécutif.
Mais il me dit que je peux faire appel en faisant opposition. Il m'explique que oui, les agences de recouvrement ont le droit de saisir la justice comme les huissiers.
Ils m'expliquent aussi que leurs lettres a la même valeur qu'une sommation d'huissier par un article dont je ne me souvenais (c'est l'article 1139 du code civil c'est le juge qui me l'a dit plus tard).
Que né ni. Je me dis que l'huissier roule pour le cabinet de recouvrement et que donc je vais contester.
Je suis convoqué à une audience et je prépare sur les conseils d'un ami des conclusions écrites. Je me fais fort de dire que les cabinets de recouvrement pratiquent du harcèlement que leur requête n'est pas valable pas plus que leur lettre, qu'ils n'ont aucun pouvoir, que n'importe qui etc.... Bref que c'est de la merde (mais en mot joli).
Là, je me suis fais laminé par l'avocat et par le juge.
J'ai appris que les cabinets de recouvrements étaient une profession réglementée comme les autres professions juridiques, qu'ils étaient sous le contrôle de je sais plus qui au procureur de la république, que leur lettre de mise en demeure avaient la même valeur (article 1139 du code civil - celui la je l'ai retenu c'est marqué dans le jugement) et que donc je l'avais dans l'os et bien profond.
Non seulement le juge m'a condamné à payer les 550 euros à orange, mais en plus je me suis retrouvé avec 250 euros pour contestation abusive de l'ordonnance. J'ai pris en plus 500 euros au titre des frais d'avocat adverse, plus les frais de justice et après j'ai appris en plus que les frais d'huissier (350 euros en tout) était pour ma pomme.
Heureusement le juge m'a accordé malgré tout un échelonnement sur deux ans.
Donc je l'ai eu bien profond. Et ce n'est pas finit.
Comme j'avais pas trop de tune, je n'ai donné suite à l'affaire.
Jusqu'à que je recoive un recommandé du tribunal.... de nouveau convoqué.... pour une saisie arrêt sur salaire.
Et sur qui je suis tombé ? Sur un agent de cette société de recovurement en personne ! Là aussi, j'ai encore dit qu'il n'avait le droit de venir en personne qu'il fallait un huissier ou un avocat. Je me suis fait remettre dans mes buts par le Juge qui m'a dit que si.
Résultat des courses : pour une facture à 550 €uros, cela m'a couté presque 2000 €uros.
En plus j'ai été saisit sur mon salaire, et à la fin j'ai perdu mon boulot mon patron m'ayant trouvé un prétexte falacieux à la suite de cela.
Donc moi, je dis méfiance.
Comme vous, je disais ci, je disais là, je disais surtout des conneries car je ne connaissais rien en droit.
Alors, certaine société ne font que des menaces, mais il y en a qui vont en justice et tout à fait légalement.
Alors, moi maintenant j'essaie de payer ce que je dois ou de demander à l'amiable des délais.
Je devais 550 euros à une opérateur téléphonique et je recevais des menaces d'un cabinet de recouvrement.
Moi aussi je pensais que ces sociétés n'avais aucun pouvoir juridique que seuls les huissiers pouvaient et avaient le droit de recouvrer les créances par la voie légale.
Je l'ai appris à mes dépens. Je pensais aussi que n'importe qui était cabinet de recouvrement jusqu'à qu'à l'audience je me fasse rabattre malheureusement pour moi le caquet par l'avocat de l'agence et par le Juge qui m'a dit que je ferais mieux de lire le code civil ou de faire appel à un avocat plutôt que de raconter ce que je ne savais pas.
Tout a commencé avec ces lettres à répétition. D'abord, pour suivre les conseils d'un forum, je suis allé porté plainte pour harcèlement. Non seulement, j'ai reçu un classement sans suite, mais j'ai été convoqué deux semaines plus tard par la gendarmerie, car l'agence de recouvrement avait porté plainte pour dénonciation calomnieuse. Ouf ! Les gendarmes m'ont un peu aidé alors je n'ai eu qu'un rappel à la loi sur ordre du procureur.
Maintenant, même si ce n'était pas du harcèlement, je me suis dit que les lettres des cabinets de recouvrements n'avaient aucune valeur, donc je n'ai pas donné suite.
Un jour, toc toc toc, je recois la visite d'un huissier qui me signifie que l'agence de recouvrement a saisi le juge de l'exécution et qu'il vient faire une saisie provisoire sur mes comptes. Incompréhension !!!
Je suis allé voir le juge de l'exécution qui a prononcé la main levé parce que j'avais de lourdes difficultés financières, mais il m'a dit que l'agence avait le droit.
Je pensais que tout était fini là.
Je n'avais semble-t-il rien compris. Toc Toc Toc. 2 mois après, de nouveau le même huissier de justice qui vient me signifier une ordonnance me condamnant à payer à orange la somme. Je m'explique avec lui et il me dit que l'agence a saisit en même temps les deux juges : le juge de proximité et le juge de l'exécutif.
Mais il me dit que je peux faire appel en faisant opposition. Il m'explique que oui, les agences de recouvrement ont le droit de saisir la justice comme les huissiers.
Ils m'expliquent aussi que leurs lettres a la même valeur qu'une sommation d'huissier par un article dont je ne me souvenais (c'est l'article 1139 du code civil c'est le juge qui me l'a dit plus tard).
Que né ni. Je me dis que l'huissier roule pour le cabinet de recouvrement et que donc je vais contester.
Je suis convoqué à une audience et je prépare sur les conseils d'un ami des conclusions écrites. Je me fais fort de dire que les cabinets de recouvrement pratiquent du harcèlement que leur requête n'est pas valable pas plus que leur lettre, qu'ils n'ont aucun pouvoir, que n'importe qui etc.... Bref que c'est de la merde (mais en mot joli).
Là, je me suis fais laminé par l'avocat et par le juge.
J'ai appris que les cabinets de recouvrements étaient une profession réglementée comme les autres professions juridiques, qu'ils étaient sous le contrôle de je sais plus qui au procureur de la république, que leur lettre de mise en demeure avaient la même valeur (article 1139 du code civil - celui la je l'ai retenu c'est marqué dans le jugement) et que donc je l'avais dans l'os et bien profond.
Non seulement le juge m'a condamné à payer les 550 euros à orange, mais en plus je me suis retrouvé avec 250 euros pour contestation abusive de l'ordonnance. J'ai pris en plus 500 euros au titre des frais d'avocat adverse, plus les frais de justice et après j'ai appris en plus que les frais d'huissier (350 euros en tout) était pour ma pomme.
Heureusement le juge m'a accordé malgré tout un échelonnement sur deux ans.
Donc je l'ai eu bien profond. Et ce n'est pas finit.
Comme j'avais pas trop de tune, je n'ai donné suite à l'affaire.
Jusqu'à que je recoive un recommandé du tribunal.... de nouveau convoqué.... pour une saisie arrêt sur salaire.
Et sur qui je suis tombé ? Sur un agent de cette société de recovurement en personne ! Là aussi, j'ai encore dit qu'il n'avait le droit de venir en personne qu'il fallait un huissier ou un avocat. Je me suis fait remettre dans mes buts par le Juge qui m'a dit que si.
Résultat des courses : pour une facture à 550 €uros, cela m'a couté presque 2000 €uros.
En plus j'ai été saisit sur mon salaire, et à la fin j'ai perdu mon boulot mon patron m'ayant trouvé un prétexte falacieux à la suite de cela.
Donc moi, je dis méfiance.
Comme vous, je disais ci, je disais là, je disais surtout des conneries car je ne connaissais rien en droit.
Alors, certaine société ne font que des menaces, mais il y en a qui vont en justice et tout à fait légalement.
Alors, moi maintenant j'essaie de payer ce que je dois ou de demander à l'amiable des délais.
Bonjour Charly,
Je comprends votre désarroi.
Mais si le piège s'est refermé sur vous, ce n'est pas parce que les sociétés de recouvrement ont tous les pouvoirs, mais bien parce que vous n'êtes pas allé au fond de la démarche juridique.
Vous avez fait notamment 2 erreurs qui me semblent fondamentales, dans le cas de la plainte pour harcèlement :
==> vous avez porté plainte nominativement contre la société. Ce faisant, en cas d'échec vous vous exposiez à un "retour de bâton" sous la forme d'une action en justice pour procédure abusive. C'est possible de l'éviter, il suffit pour cela de porter plainte contre X, tout en donnant bien entendu au juge toutes les informations nécessaires pour "deviner" qui est X... N'importe quel avocat vous le confirmera, ça n'est pas une astuce sortie de mon chapeau.
==> vous n'avez pas suivi la bonne procédure. Exit la plainte au commissariat, ou même au procureur : c'est classement sans suite assuré. Non, pour être crédible il faut lancer, ou annoncer qu'on lancera, la procédure suivante : plainte par courrier AR auprès de monsieur le doyen des juges d'instruction du tribunal de grande instance avec constitution de partie civile et demande de dommages et intérêts : là, la procédure va au bout sans que le procureur ne puisse la classer sans suite. Inconvénient : une caution à déposer au tribunal : éh oui, faut payer pour être certain d'aller au bout. MAIS : il aurait suffit d'envoyer une telle menace à la société de recouvrement pour en rester là... c'est du vécu donc certain. Ces gens-là ne se frottent pas à ceux qui connaissent vraiment les procédures qui les mettront en taule à coup sûr.
Autre point : vous n'indiquez pas dans votre texte le temps écoulé entre la mise en paiement de la facture, déclenchant le début de la créance litigieuse, et la date à laquelle le tribunal a été saisi ? Car, au bout d'un an, toute facture télécom est PRESCRITE : article L34-2 du code des postes et communications électroniques. Mais, le juge ne peut invoquer la prescription, c'est à vous de le faire en tant que défenseur. Un an s'était-il écoulé, et si oui, pourquoi alors n'avez-vous pas invoqué la prescription devant le juge ? Ou, plus simplement, mis un terme à tout ceci par courrier recommandé AR au créancier et / ou son mandataire en les prévenant que la dette était prescrite, ce qui aurait forcément eu pour conséquence l'arrêt de toute l'affaire (ils ne vont pas aller en justice sur une dette prescrite alors qu'ils savent que le défenseur invoquera la prescription).
Le problème n'est pas que les lettres d'un cabinet n'ont aucune valeur. Si, au contraire, elles en ont dans la mesure où, si vous ne répondez pas, ils saisiront le juge. Au contraire, il faut tout de suite répondre, et attaquer leur propos sur le plan du droit, pour faire passer un message subliminal fort simple : "OK les gars, vous me relancez, mais je connais le droit, j'ai noté la liste suivante de vos erreurs de procédures, je sais lancer une procédure qui ira au bout : vous ouvrez le feu pour récupérer 500 euros, et moi je vous envoie en prison à coup sûr, alors je suggère qu'on s'oublie tous mutuellement".
- vérifier que leur courrier respecte le décret 96-1112 : si ça n'est pas le cas, c'est passible d'amende,
- vérifier qu'ils transmettent les fondements exacts de la dette, sinon amende comme au-desuss, sans produire de faux car c'est du 441-1 code pénal + 313-1 escroquerie,
-vérifier s'ils font du harcèlement, et rassembler les preuves, c'est du pénal,
- etc...
En répondant de suite à la société ou le créancier, par recommandé AR, en mettant leur nez dans leur caca, ils comprendront le message.
C'est du testé perso :) Avec un tel recommandé, ils seraient passé directement au pigeon suivant et vous n'auriez plus entendu parler du pays.
On vous cite l'article 1139 du code civil : j'ai envie de dire : et alors ? Qu'apporte de neuf cet article qu'on ne sache déjà, à savoir qu'un simple courrier sur lequel est écrit "mise en demeure" vaudra mise en demeure ? Attention aux articles de loio que ces gens citent, alors que ces articles ne disent franchement pas grand-chose, ou rien de méchant souvent.
Je comprends votre désarroi.
Mais si le piège s'est refermé sur vous, ce n'est pas parce que les sociétés de recouvrement ont tous les pouvoirs, mais bien parce que vous n'êtes pas allé au fond de la démarche juridique.
Vous avez fait notamment 2 erreurs qui me semblent fondamentales, dans le cas de la plainte pour harcèlement :
==> vous avez porté plainte nominativement contre la société. Ce faisant, en cas d'échec vous vous exposiez à un "retour de bâton" sous la forme d'une action en justice pour procédure abusive. C'est possible de l'éviter, il suffit pour cela de porter plainte contre X, tout en donnant bien entendu au juge toutes les informations nécessaires pour "deviner" qui est X... N'importe quel avocat vous le confirmera, ça n'est pas une astuce sortie de mon chapeau.
==> vous n'avez pas suivi la bonne procédure. Exit la plainte au commissariat, ou même au procureur : c'est classement sans suite assuré. Non, pour être crédible il faut lancer, ou annoncer qu'on lancera, la procédure suivante : plainte par courrier AR auprès de monsieur le doyen des juges d'instruction du tribunal de grande instance avec constitution de partie civile et demande de dommages et intérêts : là, la procédure va au bout sans que le procureur ne puisse la classer sans suite. Inconvénient : une caution à déposer au tribunal : éh oui, faut payer pour être certain d'aller au bout. MAIS : il aurait suffit d'envoyer une telle menace à la société de recouvrement pour en rester là... c'est du vécu donc certain. Ces gens-là ne se frottent pas à ceux qui connaissent vraiment les procédures qui les mettront en taule à coup sûr.
Autre point : vous n'indiquez pas dans votre texte le temps écoulé entre la mise en paiement de la facture, déclenchant le début de la créance litigieuse, et la date à laquelle le tribunal a été saisi ? Car, au bout d'un an, toute facture télécom est PRESCRITE : article L34-2 du code des postes et communications électroniques. Mais, le juge ne peut invoquer la prescription, c'est à vous de le faire en tant que défenseur. Un an s'était-il écoulé, et si oui, pourquoi alors n'avez-vous pas invoqué la prescription devant le juge ? Ou, plus simplement, mis un terme à tout ceci par courrier recommandé AR au créancier et / ou son mandataire en les prévenant que la dette était prescrite, ce qui aurait forcément eu pour conséquence l'arrêt de toute l'affaire (ils ne vont pas aller en justice sur une dette prescrite alors qu'ils savent que le défenseur invoquera la prescription).
Le problème n'est pas que les lettres d'un cabinet n'ont aucune valeur. Si, au contraire, elles en ont dans la mesure où, si vous ne répondez pas, ils saisiront le juge. Au contraire, il faut tout de suite répondre, et attaquer leur propos sur le plan du droit, pour faire passer un message subliminal fort simple : "OK les gars, vous me relancez, mais je connais le droit, j'ai noté la liste suivante de vos erreurs de procédures, je sais lancer une procédure qui ira au bout : vous ouvrez le feu pour récupérer 500 euros, et moi je vous envoie en prison à coup sûr, alors je suggère qu'on s'oublie tous mutuellement".
- vérifier que leur courrier respecte le décret 96-1112 : si ça n'est pas le cas, c'est passible d'amende,
- vérifier qu'ils transmettent les fondements exacts de la dette, sinon amende comme au-desuss, sans produire de faux car c'est du 441-1 code pénal + 313-1 escroquerie,
-vérifier s'ils font du harcèlement, et rassembler les preuves, c'est du pénal,
- etc...
En répondant de suite à la société ou le créancier, par recommandé AR, en mettant leur nez dans leur caca, ils comprendront le message.
C'est du testé perso :) Avec un tel recommandé, ils seraient passé directement au pigeon suivant et vous n'auriez plus entendu parler du pays.
On vous cite l'article 1139 du code civil : j'ai envie de dire : et alors ? Qu'apporte de neuf cet article qu'on ne sache déjà, à savoir qu'un simple courrier sur lequel est écrit "mise en demeure" vaudra mise en demeure ? Attention aux articles de loio que ces gens citent, alors que ces articles ne disent franchement pas grand-chose, ou rien de méchant souvent.
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16 juin 2008 à 01:09
16 juin 2008 à 01:09
Bonjour Charly,
"Un jour, toc toc toc, je recois la visite d'un huissier qui me signifie que l'agence de recouvrement a saisi le juge de l'exécution et qu'il vient faire une saisie provisoire sur mes comptes. Incompréhension !!!"
C'est nouveau comme procédure ça ?
Je n'ai jamais vu un huissier se déplacer pour signifier une saisie sur un compte bancaire...
J'espére qu'il ne s'agit pas d'intox comme nous l'avons vu ici : http://droit finances.commentcamarche.net/forum/affich 3824749 assignation au tribunal via intrum justicia?page=3#77
ps : merci de ne pas poster vos messages en triple exemplaire.
"Un jour, toc toc toc, je recois la visite d'un huissier qui me signifie que l'agence de recouvrement a saisi le juge de l'exécution et qu'il vient faire une saisie provisoire sur mes comptes. Incompréhension !!!"
C'est nouveau comme procédure ça ?
Je n'ai jamais vu un huissier se déplacer pour signifier une saisie sur un compte bancaire...
J'espére qu'il ne s'agit pas d'intox comme nous l'avons vu ici : http://droit finances.commentcamarche.net/forum/affich 3824749 assignation au tribunal via intrum justicia?page=3#77
ps : merci de ne pas poster vos messages en triple exemplaire.
J'ajoute que deux plaintes ont été déposés, aux procureurs des juridictions respectives, contre SOGECOR et SOGECOR NORD, pour les abus relevés dans les lettres de relance, couplées bien sur à la saisie de la CNIL concernant le non-respect de la loi Informatique et Liberté.
Utilisateur anonyme
20 juin 2008 à 08:51
20 juin 2008 à 08:51
Très bien Kylegl. J'avais aussi consulté votre forum. La collusion entre les deux forums, si les responsables le veulent ne peut être que bénéfique. Le témoignage de vos dépôts de plaintes peut inciter les hésitants à faire de même ou du moins à ne pas se laisser intimider et faire valoir leurs droits.
On savait les personnages qui mènent ces officines peu recommandables, mais de là à exercer tout en étant rayé du registre du commerce...Faut le faire...Probablement tentative de fraude fiscale ou exercice illégal.
On savait les personnages qui mènent ces officines peu recommandables, mais de là à exercer tout en étant rayé du registre du commerce...Faut le faire...Probablement tentative de fraude fiscale ou exercice illégal.
Concernant RECOFACT, nous avons recu la réponse de la CNIL, la société a bien déclaré ses fichiers. Une demande d'accès aux informations personnelles sera prochainement en cours, ainsi qu'une plainte au procureur de la juridiction compétente concernant l'ensemble des courriers recus.
Utilisateur anonyme
21 juin 2008 à 07:30
21 juin 2008 à 07:30
Re,
N'étant pas des familiers de la CNIL, tout organisme détenant des ficheirs doit-il se déclare ou décklarer les fichiers à la CNIL ?
Il est peu probable que ces officines de recouvement amiable ne déclarent pas à cet organisme officiel qui a certainement les moyens( de sa puissance officielle) de faire respecter la règle. Leur attitide avec les particuliers est différente, évidemment, selon que tu seras grand et puissant ...
Merci, très intéressant.
N'étant pas des familiers de la CNIL, tout organisme détenant des ficheirs doit-il se déclare ou décklarer les fichiers à la CNIL ?
Il est peu probable que ces officines de recouvement amiable ne déclarent pas à cet organisme officiel qui a certainement les moyens( de sa puissance officielle) de faire respecter la règle. Leur attitide avec les particuliers est différente, évidemment, selon que tu seras grand et puissant ...
Merci, très intéressant.
Oui, tout organisme qui enregistre des informations personnelles (permettant d'identifier une personne, comme un nom et prénom, ou bien un numéro de téléphone, une adresse email ou une adresse IP) ou bien qui fait un traitement informatique sur des informations personnelles doit en faire la déclaration à la CNIL.
Plusieures types de déclarations sont possibles, notamment une déclaration simplifiées pour les domaines "courants" (domaines ou il y a forcément un fichier ou un traitement), tels que les sites webs par exemple, ou les universités.
La déclaration a comme principal avantage d'obliger l'organisme à nommer une personne "responsable CNIL", c'est l'interlocuteur privilégié dans l'organisme pour toutes ces questions.
Ne pas faire la déclaration est une faute en soi, mais n'empeche pas la loi de s'appliquer quand même : tout organisme qui enregistre des infos perso dans un fichier ou leur fait subir un traitement doit permettre à la personne concernée d'exercer un droit d'accès (et de copie), de modification et/ou de retrait, à la demande de ce dernier.
Aucune exception n'existe à ma connaissance. La loi s'applique ainsi :
- aux organismes publics
- aux hopitaux (dossier médical du patient)
- aux banques (pour connaitre les caractéristiques de votre dossier qui ont été utilisé pour évaluer votre cas, lorsque vous demander un pret par exemple)
- même aux RG (Renseignements Generaux) : vous pouvez demander à savoir ce que les RG ont sur vous (mais la procédure est alors un peu différente, on comprend aisément pourquoi)
Il n'y a donc pas d'exception pour les organismes de recouvrement.
En ce qui concerne ces derniers, les réponses officielles de la CNIL sont :
- SOGECOR et SOGECOR Nord : aucune déclaration, la personne de Sogecor Nord affirme même que la loi Informatique et Liberté et la CNIL n'existent pas !
- RECOFACT : les fichiers ont bien été déclarés (mais la société est radiée du registre du commerce, peut-être en rapport avec sa fusion dans le groupe RECOCASH). Le groupe RECOCASH n'a déclaré aucun fichier.
- Intrum Justitia : les fichiers ont bien été déclarés, avec une déclaration très complète même.
Pour faire la demande de son "dossier", il suffit d'envoyer un courrier en recommandé avec votre pièce d'identité à l'entreprise en question. Le modèle du courrier se trouve sur le site de la CNIL :
http://www.cnil.fr/index.php?id=1651
La CNIL recommande un délai de réponse de 30 jours. Sans réponse dans ce délai, vous pouvez saisir la CNIL en courrier recommandé.
La demande d'une copie des info perso est la plupart du temps gratuite. La loi n'autorise l'entreprise qu'à facturer le montant REEL de la reproduction (donc pas de frais d'envoi ni de frais de dossier ni un montant exhorbitant pour la copie - seul le prix réel que la reproduction (et uniquement la reproduction) aura couté à l'entreprise peut être facturé à la personne exercant son droit d'accès.
En espérant que cela aidera.
Plusieures types de déclarations sont possibles, notamment une déclaration simplifiées pour les domaines "courants" (domaines ou il y a forcément un fichier ou un traitement), tels que les sites webs par exemple, ou les universités.
La déclaration a comme principal avantage d'obliger l'organisme à nommer une personne "responsable CNIL", c'est l'interlocuteur privilégié dans l'organisme pour toutes ces questions.
Ne pas faire la déclaration est une faute en soi, mais n'empeche pas la loi de s'appliquer quand même : tout organisme qui enregistre des infos perso dans un fichier ou leur fait subir un traitement doit permettre à la personne concernée d'exercer un droit d'accès (et de copie), de modification et/ou de retrait, à la demande de ce dernier.
Aucune exception n'existe à ma connaissance. La loi s'applique ainsi :
- aux organismes publics
- aux hopitaux (dossier médical du patient)
- aux banques (pour connaitre les caractéristiques de votre dossier qui ont été utilisé pour évaluer votre cas, lorsque vous demander un pret par exemple)
- même aux RG (Renseignements Generaux) : vous pouvez demander à savoir ce que les RG ont sur vous (mais la procédure est alors un peu différente, on comprend aisément pourquoi)
Il n'y a donc pas d'exception pour les organismes de recouvrement.
En ce qui concerne ces derniers, les réponses officielles de la CNIL sont :
- SOGECOR et SOGECOR Nord : aucune déclaration, la personne de Sogecor Nord affirme même que la loi Informatique et Liberté et la CNIL n'existent pas !
- RECOFACT : les fichiers ont bien été déclarés (mais la société est radiée du registre du commerce, peut-être en rapport avec sa fusion dans le groupe RECOCASH). Le groupe RECOCASH n'a déclaré aucun fichier.
- Intrum Justitia : les fichiers ont bien été déclarés, avec une déclaration très complète même.
Pour faire la demande de son "dossier", il suffit d'envoyer un courrier en recommandé avec votre pièce d'identité à l'entreprise en question. Le modèle du courrier se trouve sur le site de la CNIL :
http://www.cnil.fr/index.php?id=1651
La CNIL recommande un délai de réponse de 30 jours. Sans réponse dans ce délai, vous pouvez saisir la CNIL en courrier recommandé.
La demande d'une copie des info perso est la plupart du temps gratuite. La loi n'autorise l'entreprise qu'à facturer le montant REEL de la reproduction (donc pas de frais d'envoi ni de frais de dossier ni un montant exhorbitant pour la copie - seul le prix réel que la reproduction (et uniquement la reproduction) aura couté à l'entreprise peut être facturé à la personne exercant son droit d'accès.
En espérant que cela aidera.
Pour compléter ma réponse :
La loi s'applique AUSSI aux opérateurs téléphoniques ou aux FAI, notamment lorsqu'il est question d'une créance. On notera dans ce cas plusieurs points :
- la demande, suivant le modèle de la CNIL, concerne bien "l'ensemble des données personnelles", pas "le dossier client". L'opérateur doit donc vous fournir TOUTES les informations vous concernant, pas seulement ce qui apparati dans son dossier client. L'opérateur, lui, a tendante à ne fournir QUE le dossier client.
Dans le cas d'une créance, cela signifie que l'opérateur ne pourra pas produire, au tribunal, de documents comportant vos noms et prénoms qui ne vous aura pas été fourni lors de votre demande. Sinon, il y a violation de la loi Informatique et Liberté.
- généralement, pour les opérateurs téléphonique, la demande de copie est gratuite dans le cadre d'une réclamation
- l'opérateur demande, pour satisfaire la demande, que le client indique le numéro de téléphone ou le numéro de client. Deux opérateurs ont déjà rejetés des demandes qui ne comportait que la carte d'identité, mais pas ces informations. Après renseignements auprès de la CNIL, cela n'est pas légal. La loi indique bien que pour exercer le droit d'accès, il suffit que la personne s'identifie, ce que la carte d'identité fait. La CNIL a été saisie dans ces 2 cas. Encore une fois, cela découle de la simplification "info perso" = "dossier client" que font les opérateurs, mais qui n'est pas dans le respect de la loi.
- un opérateur a même refusé une demande en prétextant qu'il fallait que le client indique la période pour laquelle il voulait la copie du dossier client. Pareil, la CNIL a été saisie.
La loi indique bien que la personne a le droit à une COPIE de l'intégralité de ses infos persos. Un simple accès à certaines infos persos à travers un site web n'est donc pas suffisant.
La loi s'applique AUSSI aux opérateurs téléphoniques ou aux FAI, notamment lorsqu'il est question d'une créance. On notera dans ce cas plusieurs points :
- la demande, suivant le modèle de la CNIL, concerne bien "l'ensemble des données personnelles", pas "le dossier client". L'opérateur doit donc vous fournir TOUTES les informations vous concernant, pas seulement ce qui apparati dans son dossier client. L'opérateur, lui, a tendante à ne fournir QUE le dossier client.
Dans le cas d'une créance, cela signifie que l'opérateur ne pourra pas produire, au tribunal, de documents comportant vos noms et prénoms qui ne vous aura pas été fourni lors de votre demande. Sinon, il y a violation de la loi Informatique et Liberté.
- généralement, pour les opérateurs téléphonique, la demande de copie est gratuite dans le cadre d'une réclamation
- l'opérateur demande, pour satisfaire la demande, que le client indique le numéro de téléphone ou le numéro de client. Deux opérateurs ont déjà rejetés des demandes qui ne comportait que la carte d'identité, mais pas ces informations. Après renseignements auprès de la CNIL, cela n'est pas légal. La loi indique bien que pour exercer le droit d'accès, il suffit que la personne s'identifie, ce que la carte d'identité fait. La CNIL a été saisie dans ces 2 cas. Encore une fois, cela découle de la simplification "info perso" = "dossier client" que font les opérateurs, mais qui n'est pas dans le respect de la loi.
- un opérateur a même refusé une demande en prétextant qu'il fallait que le client indique la période pour laquelle il voulait la copie du dossier client. Pareil, la CNIL a été saisie.
La loi indique bien que la personne a le droit à une COPIE de l'intégralité de ses infos persos. Un simple accès à certaines infos persos à travers un site web n'est donc pas suffisant.
Utilisateur anonyme
22 juin 2008 à 17:10
22 juin 2008 à 17:10
Merci Kylegl
Ainsi quiconque se voit interpeller pour des sommes dues ou prétendument dues peut demander une copie du dossier détenu par l'officine de recouvrement, le cas qui nous intéresse. Un bon point pour Intrum Justitia plutôt malmenée pour ses méthodes, qui fait ses déclarations à la CNIL. Ainsi pourra-t-on avoir des explications ou un début d'explication pour des personnes appelées sur leur portable, dont le numéro ne figure pas à l'annuaire.
Enfin peut-on imaginer qu'il existe deux dossiers : un officiel dont les informations puissent être communiquées et un second discret avec des informations particulières. C'est si facile avec le stockage d'informations amovible.
Je ne saurais faire un procès d'intention à une quelconque officine, mais je me base sur ce qu'il y a de plus sérieux et ce que je connais : l'administration. A la suite des revendications syndicales n'importe quel employé peut avoir accès aux informations de son dossier. Mais il n'échappait à personne qu'il pouvait exister un second dossier celui-là plutôt secret notamment par exemle pour des délégués syndicaux un peu trop remuants.
A croire que les règles sont faites pour être contournées même par les organismes tout ce qu'il y a de plus officiels !
Ainsi quiconque se voit interpeller pour des sommes dues ou prétendument dues peut demander une copie du dossier détenu par l'officine de recouvrement, le cas qui nous intéresse. Un bon point pour Intrum Justitia plutôt malmenée pour ses méthodes, qui fait ses déclarations à la CNIL. Ainsi pourra-t-on avoir des explications ou un début d'explication pour des personnes appelées sur leur portable, dont le numéro ne figure pas à l'annuaire.
Enfin peut-on imaginer qu'il existe deux dossiers : un officiel dont les informations puissent être communiquées et un second discret avec des informations particulières. C'est si facile avec le stockage d'informations amovible.
Je ne saurais faire un procès d'intention à une quelconque officine, mais je me base sur ce qu'il y a de plus sérieux et ce que je connais : l'administration. A la suite des revendications syndicales n'importe quel employé peut avoir accès aux informations de son dossier. Mais il n'échappait à personne qu'il pouvait exister un second dossier celui-là plutôt secret notamment par exemle pour des délégués syndicaux un peu trop remuants.
A croire que les règles sont faites pour être contournées même par les organismes tout ce qu'il y a de plus officiels !
Concernant la demande d'explication : oui, d'autant plus que le droit d'accès comprend non seulement le droit de connaitre les données en question, mais en plus de connaitre l'origine et la destination de ces données (l'origine lorsqu'on fait la demande à l'officine de recouvrement, la destination lorsqu'on fait la demande au créancier).
Pour en savoir plus :
http://www.cnil.fr/index.php?id=1683
Pour en savoir plus :
http://www.cnil.fr/index.php?id=1683