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522 réponses
Bonjour
Je relance la question posée par Jeff hier : où peut-on trouver le texte de toutes les énigmes ?
Je relance la question posée par Jeff hier : où peut-on trouver le texte de toutes les énigmes ?
Bonjour,
déposition officielle effectuée à la barre, dans le cadre d'un procès. Il est parfois d'amitié
déposition officielle effectuée à la barre, dans le cadre d'un procès. Il est parfois d'amitié
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Bonjour à tous,
Concernant l'énigme 30 "Autrefois, le maître en frappait le cancre, qui la redoutait. Utilisée par le dessinateur. Elle doit être suivie par les joueurs." dont la réponse est "règle". La solution est simple, il vous suffit juste d'appuyer sur la barre "espace" avant votre réponse et le tours est joué ; ).
Concernant l'énigme 30 "Autrefois, le maître en frappait le cancre, qui la redoutait. Utilisée par le dessinateur. Elle doit être suivie par les joueurs." dont la réponse est "règle". La solution est simple, il vous suffit juste d'appuyer sur la barre "espace" avant votre réponse et le tours est joué ; ).
Bonjour,
dans une formule consacrée, par une cour exigée. A quelqu'un peut être assénée. Si par quatre est multipliée
dans une formule consacrée, par une cour exigée. A quelqu'un peut être assénée. Si par quatre est multipliée
Bonjour,
génial! merci
Jadis redouté par les marins, Aujourd'hui,appréciée par les terriens. Vous voici prévenu !
génial! merci
Jadis redouté par les marins, Aujourd'hui,appréciée par les terriens. Vous voici prévenu !
Boujour à tous,
pour ma part, je bloque à la question suivante : elle peut etre artificielle ou naturelle. En l'accomplissant on prend des risques importants.
Merci pour votre aide
pour ma part, je bloque à la question suivante : elle peut etre artificielle ou naturelle. En l'accomplissant on prend des risques importants.
Merci pour votre aide
Moi je ne réponds plus tant qu'on ne m'aura pas dit où on peut trouver toutes les questions !
Na !
;:)
Na !
;:)
voilà ce que j'ai trouvé :
1) Pas très aimé des citadins, enfants et vieux aiment l’attirer.
Il peuple pourtant toits et jardins.
Des escrocs, il est le jouet.
2) Mûr à point, l’été il est fauché.
Fauché, on l’est de n’en point avoir.
3) C’est un petit air léger qui nous ravit l’été.
Sans « R », elle est glaciale car plutôt hivernale.
4) On la tourne pour avancer.
Mais quand on l’est, cela signifie « être branché ».
5) C’est la partie intégrante d’un pont.
Le rendre, c’est en avoir ras le bol.
Contre les taches, c’est une protection.
6) Lorsqu’il n’est pas industriel, on ne manque pas de l’admirer.
Propre, il devient une chaussée.
Sur le Web, on peut le consulter.
7) On peut se taire et le garder.
Dans un studio avant de filmer, c’est toujours lui qui est demandé.
8) Il peut se battre ou se croiser.
Il aide le cheval à trotter.
Il est le père de l'acier.
Il sert également à souder.
9) Petit, sur pieds, on le trouve au salon.
Petit, pas droit, il égrène des sons.
Petit point noir au milieu du diamant.
Petit et laid s'en va en sautillant.
10) Précieux pour tout les harpagons.
On le cache bien dans les maisons.
C'est un bibelot à l'air hilare.
Ou bien un singe de Gibraltar.
11) Cet instrument de musique, des coups de baguettes n'a pas peur.
C'est une figure géométrique.
Une pyramide en comprend plusieurs.
12) Si le vent le pousse et l'excite, il dévore tout ce qu'il voit.
Son appétit est sans limite.
Mais s'il boit trop, il se noie.
13) La croquer sous la dent est un réel délice.
Mais au même endroit pourtant, elle peut être un vrai supplice.
14) Son nom signifie l'union.
Elle rappelle aussi un avion qui ne décollera jamais plus.
A Paris c'est une place connue.
15) Fou, jaune, ou strident, il nous fait monter les dents.
Il est contagieux parfois mais ses éclats ne coupent pas.
16) On la trouve à la boulangerie ou dans un rayon de verrerie.
Son bec ne lui permet pas de manger mais elle peut être enchantée.
17) La nuit il passe inaperçu.
Sa langue peut être au menu.
Au fond des gorges il nous ennuie.
Il est "botté" pour les petits.
18) Elle chagrine le matin mais le soir, elle redonne l'espoir.
Fileuse infatigable, elle tisse des fils impalpables.
19) Qu'il soit noir, gris ou bien blanc, il n'y en a pas deux semblables.
Il suit le souffle du vent et reste pour nous impalpable.
20) Elles font le tour des continents.
On les gravit difficilement.
Mais se les tenir, c'est quand même beaucoup rire.
21) En berceau ou surbaissée, celle du ciel n'est pas celle du palais.
Chose sûre, pas de serrure pour sa clef.
22) Quand on y est, on ne sait où on est.
Il n'est fait que d'eau, mais peut devenir un impénétrable rideau.
23) Qu'elle soit de famille ou d'idée, il ne faut jamais la provoquer, car si chacun peut la chercher, nul ne sait comment l'arrêter.
24) Y monter c'est s'impliquer.
On peut parfois le rater.
On le cherche pour un rendez-vous.
25) On en use pour persuader.
En accorder c'est faire confiance.
Une simple signature suffit pour sa carte
(26) Menacé, son instinct nous pousse.
On veille à celle des documents.
Elle a ses méthodes et ses moyens.
(27) Affichant de hauts bois, il ne craint pas le froid.
Lorsqu’on le prend, c’est pour aller plus loin.
(28) Il aime à être montré et suivi, et l’imiter est toujours bon.
Il peut servir de leçon et de mise en garde aussi.
(29) Un requin peut nous y faire penser.
Un champion peut l’utiliser.
Mais il n’est alors pas pareil à celui que l’on a dans l’oreille.
(30) On le demande.
On le poursuit.
On le perd.
On le passe.
(31) À peine fini, il se perd dans le passé et ne peut être ajourné.
Demain, ce ne sera plus qu’hier.
Hier, c’était simplement demain.
(32) Elle est parfois artificielle ou bien encore naturelle.
Mais en l’accomplissant, on prend des risques importants.
(33) On peut la visiter ou bien la savourer.
Mais ce projectile léger peut-être un vrai danger.
(34) Parfois nouvelle, parfois pleine, sa couleur n’est pas celle de l’ébène.
Des rêveurs elle est la retraite favorite.
C’est le pays des Sélénites.
(35) Il est bon quand il est tôt.
Quand il est tôt, il est petit.
Mais aussi il peut être beau.
Et quand il est tard, il est fini.
(36) Quand il est cloche, il ne sonne pas.
Quand il est melon, on ne le mange pas.
(37) Toujours le premier, jamais le dernier.
Rien sans lui n’est jamais fini, car rien ne peut commencer sans lui.
(38) À la mairie pour les mariés.
A la barre pour la vérité.
Sur la piste pour le passer.
(39) Encore fléau à notre époque.
Par le loup souvent on l’évoque.
On peut hélas en souffrir, parfois au point d’en mourir.
(40) Il a des bras mais pas de mains.
Il a des pieds mais pas de jambes.
(50) Souvent utilisée en laboratoire, son trou est vraiment très petit.
Celle de l'ordinateur, bien que rapide, est manuelle.
(51) Si en amour ils sont appréciés, les gros, eux, sont à éviter.
Les auteurs en ont des fameux, et certains servent pour des jeux.
(52) Autrefois, le maître en frappait le cancre, qui la redoutait.
Utilisée par le dessinateur.
Elle doit être suivie par les joueurs.
(53) Instrument du bourreau, elle accompagnait le billot.
Si on ne la laisse point en terre, on se prépare à la guerre.
(54) Née d’un lapin ou d’un agneau, elle tient toujours chaud.
Qu’elle soit brute ou peignée, elle peut venir des Pyrénées.
(55) Quand on joue, il faut la rattraper.
Quand on la tire, il faut l’éviter.
(56) Il est le point de départ, sans mener nul part.
Terreur de l’écolier, surtout s’il est pointé.
(57) Il peut être rond, carré et bien moulé.
Servi au marché, il est découpé.
Ça ne vaut pas le coup d’en faire un, surtout pour de tout petits riens.
(58) Elle communique les vibrations, qui font chanter le violon.
On la cherche par amour, mais on doit la rendre un jour.
(59) Grâce à lui, on peut se nourrir.
On peut le fleurir aussi.
Public, à tous il est ouvert.
Secret, il l’est pour ceux qui aiment se taire.
(60) Celui de la cathédrale de Chartres est vraiment fameux.
On n'en sort jamais sans mal, mais pour les enfants, c'est un jeu.
(61) Il fait sauter les courageux, et tomber les chaussettes quand il est lâche.
Arme des potaches, des petites filles, il tient les cheveux.
(62) De politesse, elle est conforme à l'usage.
Au restaurent, elle est du jour.
Elle est magique ou algébrique.
(63) Signe habituel de réconciliation.
Pour Judas il fut signe de trahison.
On le donne, on le prend.
On le reçoit, on le rend.
(64) Ce Génois exilé ne vit pas les Indes convoitées.
Pour les yeux d’une Isabelle, il découvrit des terres nouvelles.
(65) Malgré sa douceur, sa patte n’est pas sans douleur.
Jouer dessus est assurance d’être vainqueur.
(66) Son droit est bien lucratif et présente divers tarifs.
Il voyage à travers le monde entier et peut s'échanger sur les marchés.
(67) Du début au bout de l’an, on le garnit de l’histoire de notre vie.
Affaires, amours, jours et nuits, tout s’y inscrit précisément.
(68) S’il vous voit vieillir, sans jamais rien vous dire, c’est parce qu’il est poli.
Alors réfléchissez, dites-moi de qui il s’agit.
(69) C'est une région française.
La ville à le sien.
Commercial, on y fait ses achats.
Et d'accueil, il nous informe.
(70) Vieux zinc tout bricolé.
Ou oiseau de grande ponctualité.
C’est aussi une façon de se héler.
(71) Il est hier, simple ou composé et peut remonter à l’Antiquité
Car sans lui, demain ne signifie rien.
(72) Chacun a la sienne que nul ne doit copier, car l’imiter peut nous faire emprisonner.
Fameuse et attestée, elle est collectionnée.
Et pourtant, une simple croix peut la remplacer.
D'autres sources :
(57) On en use pour persuader. En accorder c'est faire confiance. Une simple signature suffit pour sa carte
(58) Elles font le tour des continents. On les gravit difficilement. Mais se les tenir, c'est quand même beaucoup rire
(59) Qu'il soit noir, gris ou bien blanc, il n'y en a pas deux semblables. Il suit le souffle du vent et reste pour nous impalpable
(60) Dans la cuisine je suis apprécié. Dans la nature, redoutée. Mon épaule le porte, mais si je change de coté...d'avis également j aurais changé!
(61) Quand il est tôt, il est petit. Il est bon quand il est tôt. Mais aussi il peut être beau. Et quand il est tard, il est fini
(62) Parfois nouvelle, parfois pleine. Sa couleur n’est pas celle de l’ébène. Des rêveurs elle est la retraite favorite, C’est le pays des Sélénites.
(63) Fauché, on l’est de n’en point m´avoir. Mûr à point, l’été je suis fauché
(64) L'émotion parfois nous le fait ressentir. Le froid parfois de lui nous en fait parcourir. Seul l’amour nous fait vivre le grand !
(65) On peut la visiter ou bien la savourer. Mais ce projectile léger peut-être un vrai danger.
(66) Quand on y est, on ne sait ou on est
(67) Le montrer c'est bien le connaitre
(68) Quand elle est traite, on la remarque. Il arrive que l'on me rate. Mr de la Fontaine m'y associa une mouche
(69) Je suis à la fois maternelle et paternelle. Quand je suis nerveuse, je n'en suis pas excitée pour autant. Au chemin de la selle, parfois je contribue
(70) D'air, je sais isoler. Pneumatique cela n'est pas pour autant que je roule. Quand le sommeil gagne je suis le bien venu
(71) Quand je suis longue je suis favori. D'éléphant me fait une belle jambe. A quatre, je n'en suis pas plus rapide!
(72) Unique, je domine! A ma façon est le reflet de mon opinion. Mais c'est fleurie que j’exprime toute ma grâce !
(73) Au féminin l'écrivain me redoute. Peu coloré je peux apporter l'ivresse.
(74) Entre votre ordinateur et un bateau, le point commun je suis. A 500 nous en formons une !
(75) Il m'arrive d'être glissant ! Mais de sport je retrouve mon adhérence. Accidenté je deviens un tout !
(76) Y aller est comme aller chez le coiffeur ! Mon regard parfois déroute. Sorti de l'eau je deviens succulent
(77) En étant sur ses gardes, on y veille!
(78) En l'air, je suis le gère! Quand je promets on me trouve belle. Face au silence je suis d'argent!
(79) Quand je suis grand je suis spectacle! On me décerne comme récompense
(80) Mon indice a son chemin
(81) Sachant voler, je n'en suis pas moins bon nageur Sur l'échiquier je ne manque pas de raison
(82) Mauvaise, on me supprime sans jugement !
(83) Au golf, je permets le plus long coup !
(84) Je suis à terre pour le coté solennel
(85) En Amérique il est supérieur
(86) Je peux être humide ou pas. Les hommes prennent plaisir à me regarder. Les gaulois se méfient de moi
(87) On me trouve chez les hommes et chez les femmes. L’ennemi n’en n’a qu’un. Mon inverse est « déteste » (Phonétique)
....
(88) Je suis souvent humide. J'existe en plusieurs versions. Babel est mon «berceau »
(89) Plus étroit chez les célibataires que chez les mariées. Lieu de punition pour certains. Mort, sur moi tu reposes
(90) J’absorbe à fort exposant, J’existe aussi pour le corps, On me trouve dans les pièces d’eau
(91) Je n'existe pas, et pourtant on me nomme. De l’heure dépends mon influence. J'aime à imiter vos pas au gré du soleil
(92) Quand il est cloche, il ne sonne pas. Il m arrive que l on me mange, même si je ne suis pas melon
(93) D’air, je peux partir sans prévenir. De joie, j offre aux hommes un plaisir intense mais éphémère ! De ferme, je suis vouée a servir ses mêmes hommes !
(94) D'un récit je suis la substance. Bien qu’osseuse, je reste très molle
(95) Sympathique, je me révèle mystérieusement !
(96) Si l'on dit que j en suis une bonne, on ne parle pas de blague!
(97) Les poils ne m'aiment pas. Je suis leur mauvais présage. Je suis humide et j'aide au rasage.
(98) Anglaise, je change tous les jours! A m'ouvrir, on se cultive
(99) D'un océan arrivé, je suis évanescent apprécié. Pour un plaisir partagé, décrié le serais-je ? Quoique toujours aimé par ceux qui applaudissent.
(100) Roi il fut. Du même nom que fut son tombeau. Et pourtant ses flots sereins nous assaillent
(101) Sombre, j'éclairci ! Doublé, je ne manque pas de tranchant ! A trop me porter aux lèvres, survient l'enivrement !
(102) Je change à longueur d'année. On me fixe pour un rendez vous
(103) Je suis parfois lourde à porter. De lorraine j ai double traverse. Un chemin pour le croyant !
(104) La catastrophe vous a frôlé si près de vous il est passé. N'en étant pas un vous même, vous en croisez régulièrement. Personne n’est ménagé quand rouge il est tiré
(105) Je suis celle qui avec l'aide des trois connus, vous livrent l'inconnu ! Parfois droite et rectiligne, je gagne aussi à être suivie !
(106) Quand on y est, on ne sait ou on est. Il n'est fait que d'eau, mais peut devenir un impénétrable rideau.
Sources :
- http://www.forum-discussions.com/
- http://dedecoxanniedeuch.centerblog.net/rub-jeux.html
1) Pas très aimé des citadins, enfants et vieux aiment l’attirer.
Il peuple pourtant toits et jardins.
Des escrocs, il est le jouet.
2) Mûr à point, l’été il est fauché.
Fauché, on l’est de n’en point avoir.
3) C’est un petit air léger qui nous ravit l’été.
Sans « R », elle est glaciale car plutôt hivernale.
4) On la tourne pour avancer.
Mais quand on l’est, cela signifie « être branché ».
5) C’est la partie intégrante d’un pont.
Le rendre, c’est en avoir ras le bol.
Contre les taches, c’est une protection.
6) Lorsqu’il n’est pas industriel, on ne manque pas de l’admirer.
Propre, il devient une chaussée.
Sur le Web, on peut le consulter.
7) On peut se taire et le garder.
Dans un studio avant de filmer, c’est toujours lui qui est demandé.
8) Il peut se battre ou se croiser.
Il aide le cheval à trotter.
Il est le père de l'acier.
Il sert également à souder.
9) Petit, sur pieds, on le trouve au salon.
Petit, pas droit, il égrène des sons.
Petit point noir au milieu du diamant.
Petit et laid s'en va en sautillant.
10) Précieux pour tout les harpagons.
On le cache bien dans les maisons.
C'est un bibelot à l'air hilare.
Ou bien un singe de Gibraltar.
11) Cet instrument de musique, des coups de baguettes n'a pas peur.
C'est une figure géométrique.
Une pyramide en comprend plusieurs.
12) Si le vent le pousse et l'excite, il dévore tout ce qu'il voit.
Son appétit est sans limite.
Mais s'il boit trop, il se noie.
13) La croquer sous la dent est un réel délice.
Mais au même endroit pourtant, elle peut être un vrai supplice.
14) Son nom signifie l'union.
Elle rappelle aussi un avion qui ne décollera jamais plus.
A Paris c'est une place connue.
15) Fou, jaune, ou strident, il nous fait monter les dents.
Il est contagieux parfois mais ses éclats ne coupent pas.
16) On la trouve à la boulangerie ou dans un rayon de verrerie.
Son bec ne lui permet pas de manger mais elle peut être enchantée.
17) La nuit il passe inaperçu.
Sa langue peut être au menu.
Au fond des gorges il nous ennuie.
Il est "botté" pour les petits.
18) Elle chagrine le matin mais le soir, elle redonne l'espoir.
Fileuse infatigable, elle tisse des fils impalpables.
19) Qu'il soit noir, gris ou bien blanc, il n'y en a pas deux semblables.
Il suit le souffle du vent et reste pour nous impalpable.
20) Elles font le tour des continents.
On les gravit difficilement.
Mais se les tenir, c'est quand même beaucoup rire.
21) En berceau ou surbaissée, celle du ciel n'est pas celle du palais.
Chose sûre, pas de serrure pour sa clef.
22) Quand on y est, on ne sait où on est.
Il n'est fait que d'eau, mais peut devenir un impénétrable rideau.
23) Qu'elle soit de famille ou d'idée, il ne faut jamais la provoquer, car si chacun peut la chercher, nul ne sait comment l'arrêter.
24) Y monter c'est s'impliquer.
On peut parfois le rater.
On le cherche pour un rendez-vous.
25) On en use pour persuader.
En accorder c'est faire confiance.
Une simple signature suffit pour sa carte
(26) Menacé, son instinct nous pousse.
On veille à celle des documents.
Elle a ses méthodes et ses moyens.
(27) Affichant de hauts bois, il ne craint pas le froid.
Lorsqu’on le prend, c’est pour aller plus loin.
(28) Il aime à être montré et suivi, et l’imiter est toujours bon.
Il peut servir de leçon et de mise en garde aussi.
(29) Un requin peut nous y faire penser.
Un champion peut l’utiliser.
Mais il n’est alors pas pareil à celui que l’on a dans l’oreille.
(30) On le demande.
On le poursuit.
On le perd.
On le passe.
(31) À peine fini, il se perd dans le passé et ne peut être ajourné.
Demain, ce ne sera plus qu’hier.
Hier, c’était simplement demain.
(32) Elle est parfois artificielle ou bien encore naturelle.
Mais en l’accomplissant, on prend des risques importants.
(33) On peut la visiter ou bien la savourer.
Mais ce projectile léger peut-être un vrai danger.
(34) Parfois nouvelle, parfois pleine, sa couleur n’est pas celle de l’ébène.
Des rêveurs elle est la retraite favorite.
C’est le pays des Sélénites.
(35) Il est bon quand il est tôt.
Quand il est tôt, il est petit.
Mais aussi il peut être beau.
Et quand il est tard, il est fini.
(36) Quand il est cloche, il ne sonne pas.
Quand il est melon, on ne le mange pas.
(37) Toujours le premier, jamais le dernier.
Rien sans lui n’est jamais fini, car rien ne peut commencer sans lui.
(38) À la mairie pour les mariés.
A la barre pour la vérité.
Sur la piste pour le passer.
(39) Encore fléau à notre époque.
Par le loup souvent on l’évoque.
On peut hélas en souffrir, parfois au point d’en mourir.
(40) Il a des bras mais pas de mains.
Il a des pieds mais pas de jambes.
(50) Souvent utilisée en laboratoire, son trou est vraiment très petit.
Celle de l'ordinateur, bien que rapide, est manuelle.
(51) Si en amour ils sont appréciés, les gros, eux, sont à éviter.
Les auteurs en ont des fameux, et certains servent pour des jeux.
(52) Autrefois, le maître en frappait le cancre, qui la redoutait.
Utilisée par le dessinateur.
Elle doit être suivie par les joueurs.
(53) Instrument du bourreau, elle accompagnait le billot.
Si on ne la laisse point en terre, on se prépare à la guerre.
(54) Née d’un lapin ou d’un agneau, elle tient toujours chaud.
Qu’elle soit brute ou peignée, elle peut venir des Pyrénées.
(55) Quand on joue, il faut la rattraper.
Quand on la tire, il faut l’éviter.
(56) Il est le point de départ, sans mener nul part.
Terreur de l’écolier, surtout s’il est pointé.
(57) Il peut être rond, carré et bien moulé.
Servi au marché, il est découpé.
Ça ne vaut pas le coup d’en faire un, surtout pour de tout petits riens.
(58) Elle communique les vibrations, qui font chanter le violon.
On la cherche par amour, mais on doit la rendre un jour.
(59) Grâce à lui, on peut se nourrir.
On peut le fleurir aussi.
Public, à tous il est ouvert.
Secret, il l’est pour ceux qui aiment se taire.
(60) Celui de la cathédrale de Chartres est vraiment fameux.
On n'en sort jamais sans mal, mais pour les enfants, c'est un jeu.
(61) Il fait sauter les courageux, et tomber les chaussettes quand il est lâche.
Arme des potaches, des petites filles, il tient les cheveux.
(62) De politesse, elle est conforme à l'usage.
Au restaurent, elle est du jour.
Elle est magique ou algébrique.
(63) Signe habituel de réconciliation.
Pour Judas il fut signe de trahison.
On le donne, on le prend.
On le reçoit, on le rend.
(64) Ce Génois exilé ne vit pas les Indes convoitées.
Pour les yeux d’une Isabelle, il découvrit des terres nouvelles.
(65) Malgré sa douceur, sa patte n’est pas sans douleur.
Jouer dessus est assurance d’être vainqueur.
(66) Son droit est bien lucratif et présente divers tarifs.
Il voyage à travers le monde entier et peut s'échanger sur les marchés.
(67) Du début au bout de l’an, on le garnit de l’histoire de notre vie.
Affaires, amours, jours et nuits, tout s’y inscrit précisément.
(68) S’il vous voit vieillir, sans jamais rien vous dire, c’est parce qu’il est poli.
Alors réfléchissez, dites-moi de qui il s’agit.
(69) C'est une région française.
La ville à le sien.
Commercial, on y fait ses achats.
Et d'accueil, il nous informe.
(70) Vieux zinc tout bricolé.
Ou oiseau de grande ponctualité.
C’est aussi une façon de se héler.
(71) Il est hier, simple ou composé et peut remonter à l’Antiquité
Car sans lui, demain ne signifie rien.
(72) Chacun a la sienne que nul ne doit copier, car l’imiter peut nous faire emprisonner.
Fameuse et attestée, elle est collectionnée.
Et pourtant, une simple croix peut la remplacer.
D'autres sources :
(57) On en use pour persuader. En accorder c'est faire confiance. Une simple signature suffit pour sa carte
(58) Elles font le tour des continents. On les gravit difficilement. Mais se les tenir, c'est quand même beaucoup rire
(59) Qu'il soit noir, gris ou bien blanc, il n'y en a pas deux semblables. Il suit le souffle du vent et reste pour nous impalpable
(60) Dans la cuisine je suis apprécié. Dans la nature, redoutée. Mon épaule le porte, mais si je change de coté...d'avis également j aurais changé!
(61) Quand il est tôt, il est petit. Il est bon quand il est tôt. Mais aussi il peut être beau. Et quand il est tard, il est fini
(62) Parfois nouvelle, parfois pleine. Sa couleur n’est pas celle de l’ébène. Des rêveurs elle est la retraite favorite, C’est le pays des Sélénites.
(63) Fauché, on l’est de n’en point m´avoir. Mûr à point, l’été je suis fauché
(64) L'émotion parfois nous le fait ressentir. Le froid parfois de lui nous en fait parcourir. Seul l’amour nous fait vivre le grand !
(65) On peut la visiter ou bien la savourer. Mais ce projectile léger peut-être un vrai danger.
(66) Quand on y est, on ne sait ou on est
(67) Le montrer c'est bien le connaitre
(68) Quand elle est traite, on la remarque. Il arrive que l'on me rate. Mr de la Fontaine m'y associa une mouche
(69) Je suis à la fois maternelle et paternelle. Quand je suis nerveuse, je n'en suis pas excitée pour autant. Au chemin de la selle, parfois je contribue
(70) D'air, je sais isoler. Pneumatique cela n'est pas pour autant que je roule. Quand le sommeil gagne je suis le bien venu
(71) Quand je suis longue je suis favori. D'éléphant me fait une belle jambe. A quatre, je n'en suis pas plus rapide!
(72) Unique, je domine! A ma façon est le reflet de mon opinion. Mais c'est fleurie que j’exprime toute ma grâce !
(73) Au féminin l'écrivain me redoute. Peu coloré je peux apporter l'ivresse.
(74) Entre votre ordinateur et un bateau, le point commun je suis. A 500 nous en formons une !
(75) Il m'arrive d'être glissant ! Mais de sport je retrouve mon adhérence. Accidenté je deviens un tout !
(76) Y aller est comme aller chez le coiffeur ! Mon regard parfois déroute. Sorti de l'eau je deviens succulent
(77) En étant sur ses gardes, on y veille!
(78) En l'air, je suis le gère! Quand je promets on me trouve belle. Face au silence je suis d'argent!
(79) Quand je suis grand je suis spectacle! On me décerne comme récompense
(80) Mon indice a son chemin
(81) Sachant voler, je n'en suis pas moins bon nageur Sur l'échiquier je ne manque pas de raison
(82) Mauvaise, on me supprime sans jugement !
(83) Au golf, je permets le plus long coup !
(84) Je suis à terre pour le coté solennel
(85) En Amérique il est supérieur
(86) Je peux être humide ou pas. Les hommes prennent plaisir à me regarder. Les gaulois se méfient de moi
(87) On me trouve chez les hommes et chez les femmes. L’ennemi n’en n’a qu’un. Mon inverse est « déteste » (Phonétique)
....
(88) Je suis souvent humide. J'existe en plusieurs versions. Babel est mon «berceau »
(89) Plus étroit chez les célibataires que chez les mariées. Lieu de punition pour certains. Mort, sur moi tu reposes
(90) J’absorbe à fort exposant, J’existe aussi pour le corps, On me trouve dans les pièces d’eau
(91) Je n'existe pas, et pourtant on me nomme. De l’heure dépends mon influence. J'aime à imiter vos pas au gré du soleil
(92) Quand il est cloche, il ne sonne pas. Il m arrive que l on me mange, même si je ne suis pas melon
(93) D’air, je peux partir sans prévenir. De joie, j offre aux hommes un plaisir intense mais éphémère ! De ferme, je suis vouée a servir ses mêmes hommes !
(94) D'un récit je suis la substance. Bien qu’osseuse, je reste très molle
(95) Sympathique, je me révèle mystérieusement !
(96) Si l'on dit que j en suis une bonne, on ne parle pas de blague!
(97) Les poils ne m'aiment pas. Je suis leur mauvais présage. Je suis humide et j'aide au rasage.
(98) Anglaise, je change tous les jours! A m'ouvrir, on se cultive
(99) D'un océan arrivé, je suis évanescent apprécié. Pour un plaisir partagé, décrié le serais-je ? Quoique toujours aimé par ceux qui applaudissent.
(100) Roi il fut. Du même nom que fut son tombeau. Et pourtant ses flots sereins nous assaillent
(101) Sombre, j'éclairci ! Doublé, je ne manque pas de tranchant ! A trop me porter aux lèvres, survient l'enivrement !
(102) Je change à longueur d'année. On me fixe pour un rendez vous
(103) Je suis parfois lourde à porter. De lorraine j ai double traverse. Un chemin pour le croyant !
(104) La catastrophe vous a frôlé si près de vous il est passé. N'en étant pas un vous même, vous en croisez régulièrement. Personne n’est ménagé quand rouge il est tiré
(105) Je suis celle qui avec l'aide des trois connus, vous livrent l'inconnu ! Parfois droite et rectiligne, je gagne aussi à être suivie !
(106) Quand on y est, on ne sait ou on est. Il n'est fait que d'eau, mais peut devenir un impénétrable rideau.
Sources :
- http://www.forum-discussions.com/
- http://dedecoxanniedeuch.centerblog.net/rub-jeux.html
hi
petit souci sur la 34 : il est le point de départ, sans mener nul part. Terreur pour l'écolier surtout s'il est pointé...
j'essaie zéro (me semble que c'est ça) mais il me met toujours faux
help please
petit souci sur la 34 : il est le point de départ, sans mener nul part. Terreur pour l'écolier surtout s'il est pointé...
j'essaie zéro (me semble que c'est ça) mais il me met toujours faux
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Bonjour,
lolmays "se faire pointer du doigt" tu connais?
bref j'espere que jeff tu as réussi à avoir toutes les questions ainsi que toptitbal.
Sinon je vous l'enverrai par mail mais moi j'ai le tableur excel.
J'aimerai bien si vous l'avez avoir la réponse de :
Quand on y est, on ne sait ou on est
Merci bcp et bonne continuation.
lolmays "se faire pointer du doigt" tu connais?
bref j'espere que jeff tu as réussi à avoir toutes les questions ainsi que toptitbal.
Sinon je vous l'enverrai par mail mais moi j'ai le tableur excel.
J'aimerai bien si vous l'avez avoir la réponse de :
Quand on y est, on ne sait ou on est
Merci bcp et bonne continuation.
appuis sur la barre espace avant d'écrire ta réponse. ; ) Bonne continuation !
GoO