L'État peut-il puiser dans nos épargnes en temps de crise?
brupala Messages postés 112035 Date d'inscription Statut Membre Dernière intervention -

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3 réponses
Salut,
des fois, je me demande, car je n'y connais rien à part ce que je lis de temps en temps, si on ne nous bassine pas un peu trop avec notre fameuse dette de 3000 milliards, alors que "nous" avons par ailleurs 6000 milliards d'économies placées, la première chose que j'en déduis c'est qu'au sens général, nous empruntons notre propre argent, pour le plus grand bonheur de nos banquiers qui se servent au passage.
Bien sûr ce n'est pas aussi simple que ça, mais ça peut se résumer ainsi ... :-)
Il est temps aussi d'imposer aux personnes qui prennent de hautes décisions
un calcul de leur IMC (indice de masse corporelle) par un médecin.
Les médecins mesureraient leur tour de taille ce qui permettrait d'évaluer
un excès de graisse au niveau de l'abdomen ou pas.
Si surpoids ou obésité sont détectés leur accès aux hautes décisions leurs seraient retiré, le temps d'un régime sec.
La mesure du tour de taille est facile a effectuer par le médecin traitant:
- sans vêtements, directement sur la peau ;
- debout les pieds joints, avec les bras relâchés de chaque côté du corps ;
- à la fin d'une expiration normale ;
- en plaçant un mètre ruban horizontalement, à mi-distance entre la partie inférieure de la dernière côte et la partie la plus haute de l’os du bassin.
Ce serait bon pour la santé de tous déjà.
Bonjour,
On va droit dans le mur, je sais qu'on dépense trop, qu'on vit au dessus de nos moyens, il faut qu'on fasse des économies.
Moi je suis prêt à travailler gratuitement les jours fériés si y faut, je suis prêt à ce que on dérembourse les médicaments, qu'on supprime l'allocation logement sinon on y arrivera jamais.
J'en dors plus les nuits.
Bonjour,
Les dépenses de médicament représentent grossièrement 19% des dépenses de santé et 1,7% du PIB loin derrière le poste hôpitaux et d'autres.
L'immense majorité en est représentée par un nombre de patients relativement faible (ALD et en particulier certains médicaments très coûteux, fin de vie); on ne peut pas décemment les dérembourser bien qu'il existe des abus manifestes de prescription de tout et rien en ALD, mais cela be gagne de toute façon pas grand-chose.
La France a le niveau le plus haut d'impôts en Europe et aussi le plus haut niveau de dépenses publiques.
Le déficit annuel est de l'ordre de 175 milliards d'euros et la dette (emprunts contractés en raison du déficit chronique depuis 50 ans) de l'ordre de 3000 milliards.
On nous parle à nouveau d'augmenter les impôts, eux aussi au taux le plus élevé d'Europe et qui ont augmenté en continu sur cette période sans que cela montre une efficacité à réduire le déficit; c'est un cercle vicieux puisque plus les prélèvements sont élevés moins notamment les actifs ont les moyens de consommer et moins les entreprises la capacité de les payer correctement.
Les raisons sont multiples et se sont aggravées ces dernières années parce que contrairement à d'autres pays il n'y a pas eu de reprise économique post Covid, il y a donc moins de fiscalité des entreprises, moins de consommation, moins de TVA, une démographie vieillissante bref moins de ressources alors qu'en comparaison des pays étrangers les dépenses publiques sont obèses et continuent d'augmenter.
Le premier poste est de loin les dépenses sociales (sans compter les aides à la charge des collectivités territoriales) où les prestations sociales sont loin et les premiers postes de loin les retraites des agents de l'état et santé au sens large (aussi la leur, mais hôpitaux....).
La première mesure à prendre est bien sûr de diminuer les dépenses de l'état, le nombre des agents supérieur à ce qu'il est à l'étranger ne montrant pas une plus grande efficacité mais qui se heurte au fait que par définition ils sont fonctionnaires et à un grand nombre d'oppositions dès qu'il est question de faire ce qui pourrait être perçu comme une réduction de la voilure d'un niveau de services publics que nous n'avons plus les moyens de payer, non seulement dans des administrations parfois redondantes mais aussi dans les hôpitaux où le ratio administratifs/soignants est étonnant et où il faudra bien faire des économies d'échelle, chaque patelin ne peut pas avoir sa maternité ou te service spécialisé, c'est non seulement coûteux mais dangereux faute que les personnels aient un exercice suffisamment régulier.
C'est justement ce genre de salades que je n'ai plus envie d'entendre:
Marre que l'on incorpore dans le "budget" des dépenses (et des rentrées) qui sont juste de l'assurance, on nous bassine d'ailleurs avec nos prélèvements obligatoires alors que ceux ci sont des assurances obligatoires, d'autres pays ne les ont pas, tout simplement parce qu'ils les payent à côté ou en arrière plutôt.
Tout le monde peut constater la réduction du nombre de fonctionnaires, par exemple les fermetures de bureaux de poste, de gendarmeries, de centres des impots (mais personne ne pleure), la poste n'a pratiquement plus de fonctionnaires alors que c'était le premier recruteur dans les campagnes il y a 50 ans, tout est affecté à des contractuels pour le financier et à des sous traitants pour les colis (on oublie le courrier). Je ne parle pas des trains non plus où l'on paye de plus en plus cher pour de moins en moins de fiabilité au fur et à mesure que la privatisation avance, c
Le nombre d'hopitaux et surtout de maternités fermés est impressionnant vu du terrain et ceux qui restent ont des plannings de fous pour un personnel de plus en plus démissionnaire.
Il est clair que l'idée est de tout envoyer vers les systèmes privés, on a vu les catastrophes pour les maisons de retraite et pour les crèches, pour le plus grand bénéfice des systèmes financiers d'assurance individuelle, il est temps d'envoyer les mutuelles escrocs à la case prison.
Bonjour,
Tu confonds la dette de l'état avec les placements des particuliers qui ne sont donc pas tous si malheureux que cela bien que l'essentiel de la masse monétaire de ces placements sont entre les mains de quelques uns.
Pour revenir à l'article et aux craintes de prélèvements directs, cela s'est déjà produit de mémoire pour financer la reconstruction après la première guerre mondiale mais où l'état n'a pas à proprement piqué dans la poche des gens, il a forcé à des emprunts obligataires qu'il a remboursés.
La dette de l'état ....
on nous bassine pourtant tous les jours que nous dire que c'est la nôtre ainsi que celle de nos enfants et petits enfants et qu'il va falloir bosser jusqu'au tombeau pour la rembourser, alors qu'on ne sait pas trop qui a bénéficié de ces emprunts au quotidien, quoique j'en ait une petite idée quand même: Ceux qui ont fait gouttière au ruissellement.
Une anecdote en passant.
En Guyane, on se fait voler entre 1 et 2 tonnes d'or par mois par les orpailleurs brésilien et autre....officiellement, car officieusement, de l'avis des services de gendarmerie sur place, c'est largement le double..donc environ 30 à 40 tonnes par an.
Et mais pourquoi on l'extrait pas nous tout cet or ?? Mon brave monsieur ?? On irait vite à la renflouer la dette. Surtout qu'on pourrait en extraire bien plus que nos chers voleurs....mais non...on le fait pas....pas écologique parait-il...réglementé au niveau mondial par le méchant oncle Sam qui fait pluie et beau temps là dessus...
C'est fragile l'or "mine" de rien , c'est sa rareté qui fait sa valeur, si on en produit trop, il ne vaut plus rien, un peu comme les monnaies virtuelles, mais en plus palpable quand même.