J'ai écrit une partie de livre à 13 ans
chuiunpoulet
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Bon alors.... J'ai écrit un début de livre. Je suis soumise à toutes les critiques. Je veux savir si ça vaut la peine de le continuer.
Hera se réveilla au beau milieu de la nuit, une nuit bizarre et sombre, tellement sombre que l'on pouvait percevoir les étoiles. Hera prit un certain moment à prendre conscience de ce phénomène. Dans ce cas spécifique, il n'est pas seulement question d'un ou deux petits points blancs, on parlait bien de constellations complètes. C'était pourtant scientifiquement impossible de voir les étoiles dans la ville de New York principalement à cause de la pollution lumineuse. Habituellement, il ne fesait pas vraiment nuit dans cette partie de la ville. Le bleu du ciel ne faisait que s'assombrir et prendre une couleur bleu royal qui ne ressemblait point à celle de la nuit. Même si les feux de circulation et ceux des voitures étaient allumés, tout comme les lumières des casinos et des hôtels, et celles des nombreuses boutiques fermées à cette heure dans lesquelles les employés s'affairent à nettoyer et à compter l'argent, le ciel se teinta d'une nuance plutôt noire et lugubre. La jeune femme à la chevelure noire de jais se questionnait sur se phénomène surnaturel.
C'est à ce moment qu'elle remarqua une douleur fulgurante au niveau du dos. La sensation qui se rapprochait abominablement de celle d'un coup de fouet terrassa Hera. La souffrance ne s'atténuait pas au fil des minutes; au contraire, elle se répandait dans tout son corps comme si elle voulait s'emparer de chaque parcelle de Hera; comme si elle voulait lui dévorer chaque membre, chaque muscle, chaque tissu et chaque cellule de son corps. Même le fait de respirer ou de remuer une jambe la torturait. Elle luttait pour éviter d'émettre un son qui éveillerait les quelque trente autres filles endormies dans le dortoir du pensionnat.
Ce pensionnat était au situé au coin de deux rues entre les innombrables immeubles de la ville. On le percevait à peine; il était minuscule comparé aux bâtiments près de lui. Quelques années auparavant, on avait refait la peinture. La couleur roussâtre des briques se transforma en gris, couleur de la peine, au grand désarroi de tout le monde sauf Hera qui adorait les teintes sombres. En arrière de cet endroit s'étendait un grand jardin. Certaines des fleurs étaient massacrées par les intempéries et le manque de soins, les survivantes se dressaient timidement, mais encore, il ne leur reste pas grand temps à vivre si on ne s' occupait pas d'eux. Avant la mort du jardinier, à l'apogée du jardin, se dressaient plusieurs pommiers. À son départ, personne ne leur accorda d'attention.
Durant la torture de la fille aux yeux et au cheveux noirs, Mme Becky, la surveillante, une quinquagénaire qui disait avoir trente ans qui était venue pour sa vérification des dortoirs, apparut sur le seuil de la porte. Elle arborait sa silhouette pas mal ronde et ses cheveux bruns courts. Elle était sévère et ne laissait aucune chance à personne, Hera la détestait de toute son âme. Cette femme ne pouvait parler de quelqu'un ou à quelqu'un ou même de quelque part sans dire de gros mots. Hera s'aperçut de sa présence et émit un gémissement faible. Il était minime, mais il ne laissait pas moins paraître la douleur pour autant.
-Hera! Espèce d''andouille. Mais est-ce que vous essayez de vous faire punir? Il est temps de dormir. Vous n'êtes pas différente ou plus importante que les autres filles ici. Arrêtez de faire du bruit et endormez-vous! Vous allez réveiller toutes les autres ânesses de ce maudit dortoir! Il est deux heures, enfin!
Mme Becky s'approcha de son chevet et commença à paniquer suite à la vue de l'état de Hera.
-Mam'zelle Hera, vous semblez dans un bien piètre état, que vous arrive-t-il? Vous n'êtes définitivement pas dans votre assiette. Dois-je appeler l'infirmière pour vous, jeune sotte?
Hera souffla un petit <<oui>> silencieux, mais tout de même audible.
L'infirmière, Mme Line arriva quelques secondes plus tard, visiblement essoufflée par le trajet de plusieurs étages vers le dortoir.
-Oh! Hera que se passe-t-il? dit Mme Line.
-Mais quelle sorte de simple d'esprit êtes-vous? Vous voyez bien qu'elle a mal! Elle est encore moins en état de parler! Emmenez vite ce garnement à l'infirmerie! dit Mme Becky.
Ce commentaire arracha un petit sourire à Hera. La jeune femme gémit. Le simple acte de sourire la faisait terriblement souffrir.
-L'ascenseur est en panne, j'ai dû monter à pied. Comment va-t-on la descendre de quatre étages? Elle n'est tout de même pas un poids plume! rétorqua l'infirmière.
-Mais appelez M. Bobert! Cet idiot musclé est tout de même costaud! Il a besoin de faire autre chose de ses journées que de nettoyer après tout le monde et ramasser ces minables ordures. répliqua la surveillante.
Le concierge vint aider à transporter Hera vers l'infirmerie.
Mme Line l'installa dans un lit. Il n'était pas très confortable, mais tout de même plus moelleux que son lit habituel. Elle lui donna deux ou trois capsules d'acétaminophène et un verre d'eau et s'éclipsa dans son bureau à l'autre bord de la porte. Hera finit par s'endormir.
À son réveil, la douleur avait considérablement diminuée, mais ses effets se faisaient encore sentir. Hera roula d'une hanche à l'autre et regarda ses couvertures. Elle était trop impuissante pour produire un son quelconque, mais elle aurait bien crié si elle aurait pu. Le drap était taché de sang à l'endroit où reposait son dos. Son chandail aussi. Hera tira ses couvertures pour cacher le dégât.
S'apercevant de l'état critique de Hera, Mme Line lui donna des somnifères. Elle se dit qu'il était bien mieux pour elle de dormir que de subir cette douleur atroce.
-Heraaaa!
Heraaaaaaaaaaaaaaa! Réveille-toi!
Hera entrouvrit les yeux et aperçut Mme Line par dessus elle, à moins de 30 centimètres . Elle sentait sa respiration, ce qui la mit dans une situation inconfortable. Ses cheveux lui collaient à la figure.
-Oh Hera il y a du sang partout! Mais qu'as-tu fait!
-Ça fait combien de temps que je dors? murmura Hera
-Trois jours ma belle. Tu as une bonne pile de devoirs qui t'attend et de leçons à rattrapper. dit l'infirmière.
Mme Becky attendait à la porte que Mme Line vienne réclamer son café quotidien.
-Non mais venez prendre votre foutu café, imbécile! Je n'ai pas toute ma journée! cria-t-elle
Hera se leva et alla prendre une douche. L'eau chaude lui brûlait le dos; elle optait donc pour la froide. À sa sortie du bain, La femme se regarda dans le miroir. Elle effaça la buée à l'aide de sa main. Elle se tourna pour avoir une meilleure vue sur son dos endolori. Un cri s'échappa de sa bouche. Elle avait peur.
Il y avait une étoile. Une étoile comme celles dans le ciel. Autour de la plaie le sang jaillissait et certaines croûtes commençaient à se former. L'entaille était profonde et douloureuse. L'étoile avait l'air d'être gravée à l'aide d'un poignard. Or, elle était sure que personne n'avait posé de couteau sur elle.
L'infirmière entra en hâte dans la salle de bains.
-Hera, ça va? Dit-elle
Hera acquiesça. La dernière chose qu'elle voudrait, c'est révéler sa découverte à quelqu'un. Elle n'était certainement pas apte à parler de son entaille à quiconque ou que les gens commencent à croire que quelqu'un lui avait jeté un sort. Elle se sentait mal de garder un secret mais c'était pour son bien.
Mme Becky écoutait à la porte. Elle ne comprenait rien à la conversation, mais entendait tout de même quelques voix. Par contre, la surveillante n'était pas dupe, elle savait qu'il y avait quelque chose qui cloche, et elle allait le découvrir. Elle ne se gênera pas pour prolonger le séjour de Hera dans l'infirmerie s'il le faut.
voilà! avis?
Hera se réveilla au beau milieu de la nuit, une nuit bizarre et sombre, tellement sombre que l'on pouvait percevoir les étoiles. Hera prit un certain moment à prendre conscience de ce phénomène. Dans ce cas spécifique, il n'est pas seulement question d'un ou deux petits points blancs, on parlait bien de constellations complètes. C'était pourtant scientifiquement impossible de voir les étoiles dans la ville de New York principalement à cause de la pollution lumineuse. Habituellement, il ne fesait pas vraiment nuit dans cette partie de la ville. Le bleu du ciel ne faisait que s'assombrir et prendre une couleur bleu royal qui ne ressemblait point à celle de la nuit. Même si les feux de circulation et ceux des voitures étaient allumés, tout comme les lumières des casinos et des hôtels, et celles des nombreuses boutiques fermées à cette heure dans lesquelles les employés s'affairent à nettoyer et à compter l'argent, le ciel se teinta d'une nuance plutôt noire et lugubre. La jeune femme à la chevelure noire de jais se questionnait sur se phénomène surnaturel.
C'est à ce moment qu'elle remarqua une douleur fulgurante au niveau du dos. La sensation qui se rapprochait abominablement de celle d'un coup de fouet terrassa Hera. La souffrance ne s'atténuait pas au fil des minutes; au contraire, elle se répandait dans tout son corps comme si elle voulait s'emparer de chaque parcelle de Hera; comme si elle voulait lui dévorer chaque membre, chaque muscle, chaque tissu et chaque cellule de son corps. Même le fait de respirer ou de remuer une jambe la torturait. Elle luttait pour éviter d'émettre un son qui éveillerait les quelque trente autres filles endormies dans le dortoir du pensionnat.
Ce pensionnat était au situé au coin de deux rues entre les innombrables immeubles de la ville. On le percevait à peine; il était minuscule comparé aux bâtiments près de lui. Quelques années auparavant, on avait refait la peinture. La couleur roussâtre des briques se transforma en gris, couleur de la peine, au grand désarroi de tout le monde sauf Hera qui adorait les teintes sombres. En arrière de cet endroit s'étendait un grand jardin. Certaines des fleurs étaient massacrées par les intempéries et le manque de soins, les survivantes se dressaient timidement, mais encore, il ne leur reste pas grand temps à vivre si on ne s' occupait pas d'eux. Avant la mort du jardinier, à l'apogée du jardin, se dressaient plusieurs pommiers. À son départ, personne ne leur accorda d'attention.
Durant la torture de la fille aux yeux et au cheveux noirs, Mme Becky, la surveillante, une quinquagénaire qui disait avoir trente ans qui était venue pour sa vérification des dortoirs, apparut sur le seuil de la porte. Elle arborait sa silhouette pas mal ronde et ses cheveux bruns courts. Elle était sévère et ne laissait aucune chance à personne, Hera la détestait de toute son âme. Cette femme ne pouvait parler de quelqu'un ou à quelqu'un ou même de quelque part sans dire de gros mots. Hera s'aperçut de sa présence et émit un gémissement faible. Il était minime, mais il ne laissait pas moins paraître la douleur pour autant.
-Hera! Espèce d''andouille. Mais est-ce que vous essayez de vous faire punir? Il est temps de dormir. Vous n'êtes pas différente ou plus importante que les autres filles ici. Arrêtez de faire du bruit et endormez-vous! Vous allez réveiller toutes les autres ânesses de ce maudit dortoir! Il est deux heures, enfin!
Mme Becky s'approcha de son chevet et commença à paniquer suite à la vue de l'état de Hera.
-Mam'zelle Hera, vous semblez dans un bien piètre état, que vous arrive-t-il? Vous n'êtes définitivement pas dans votre assiette. Dois-je appeler l'infirmière pour vous, jeune sotte?
Hera souffla un petit <<oui>> silencieux, mais tout de même audible.
L'infirmière, Mme Line arriva quelques secondes plus tard, visiblement essoufflée par le trajet de plusieurs étages vers le dortoir.
-Oh! Hera que se passe-t-il? dit Mme Line.
-Mais quelle sorte de simple d'esprit êtes-vous? Vous voyez bien qu'elle a mal! Elle est encore moins en état de parler! Emmenez vite ce garnement à l'infirmerie! dit Mme Becky.
Ce commentaire arracha un petit sourire à Hera. La jeune femme gémit. Le simple acte de sourire la faisait terriblement souffrir.
-L'ascenseur est en panne, j'ai dû monter à pied. Comment va-t-on la descendre de quatre étages? Elle n'est tout de même pas un poids plume! rétorqua l'infirmière.
-Mais appelez M. Bobert! Cet idiot musclé est tout de même costaud! Il a besoin de faire autre chose de ses journées que de nettoyer après tout le monde et ramasser ces minables ordures. répliqua la surveillante.
Le concierge vint aider à transporter Hera vers l'infirmerie.
Mme Line l'installa dans un lit. Il n'était pas très confortable, mais tout de même plus moelleux que son lit habituel. Elle lui donna deux ou trois capsules d'acétaminophène et un verre d'eau et s'éclipsa dans son bureau à l'autre bord de la porte. Hera finit par s'endormir.
À son réveil, la douleur avait considérablement diminuée, mais ses effets se faisaient encore sentir. Hera roula d'une hanche à l'autre et regarda ses couvertures. Elle était trop impuissante pour produire un son quelconque, mais elle aurait bien crié si elle aurait pu. Le drap était taché de sang à l'endroit où reposait son dos. Son chandail aussi. Hera tira ses couvertures pour cacher le dégât.
S'apercevant de l'état critique de Hera, Mme Line lui donna des somnifères. Elle se dit qu'il était bien mieux pour elle de dormir que de subir cette douleur atroce.
-Heraaaa!
Heraaaaaaaaaaaaaaa! Réveille-toi!
Hera entrouvrit les yeux et aperçut Mme Line par dessus elle, à moins de 30 centimètres . Elle sentait sa respiration, ce qui la mit dans une situation inconfortable. Ses cheveux lui collaient à la figure.
-Oh Hera il y a du sang partout! Mais qu'as-tu fait!
-Ça fait combien de temps que je dors? murmura Hera
-Trois jours ma belle. Tu as une bonne pile de devoirs qui t'attend et de leçons à rattrapper. dit l'infirmière.
Mme Becky attendait à la porte que Mme Line vienne réclamer son café quotidien.
-Non mais venez prendre votre foutu café, imbécile! Je n'ai pas toute ma journée! cria-t-elle
Hera se leva et alla prendre une douche. L'eau chaude lui brûlait le dos; elle optait donc pour la froide. À sa sortie du bain, La femme se regarda dans le miroir. Elle effaça la buée à l'aide de sa main. Elle se tourna pour avoir une meilleure vue sur son dos endolori. Un cri s'échappa de sa bouche. Elle avait peur.
Il y avait une étoile. Une étoile comme celles dans le ciel. Autour de la plaie le sang jaillissait et certaines croûtes commençaient à se former. L'entaille était profonde et douloureuse. L'étoile avait l'air d'être gravée à l'aide d'un poignard. Or, elle était sure que personne n'avait posé de couteau sur elle.
L'infirmière entra en hâte dans la salle de bains.
-Hera, ça va? Dit-elle
Hera acquiesça. La dernière chose qu'elle voudrait, c'est révéler sa découverte à quelqu'un. Elle n'était certainement pas apte à parler de son entaille à quiconque ou que les gens commencent à croire que quelqu'un lui avait jeté un sort. Elle se sentait mal de garder un secret mais c'était pour son bien.
Mme Becky écoutait à la porte. Elle ne comprenait rien à la conversation, mais entendait tout de même quelques voix. Par contre, la surveillante n'était pas dupe, elle savait qu'il y avait quelque chose qui cloche, et elle allait le découvrir. Elle ne se gênera pas pour prolonger le séjour de Hera dans l'infirmerie s'il le faut.
voilà! avis?
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2 réponses
allo,
bon moi j'aime beaucoup l'histoire deja mais le premier paragraphe est trop long a mon gout il est beaucoup trop descriptif a un point ou on se perd. mais jaime le fait que tu ais ajouter une personnalité sevère a la surveillante. Le fait que t'ais mis un peu de fantastique (étoile) permet au fil de l'hisoire de nous tenir en haleine:)
bref c'est un bon début et en passant tres beau vocabulaire!
tu es tres doué:)
bon moi j'aime beaucoup l'histoire deja mais le premier paragraphe est trop long a mon gout il est beaucoup trop descriptif a un point ou on se perd. mais jaime le fait que tu ais ajouter une personnalité sevère a la surveillante. Le fait que t'ais mis un peu de fantastique (étoile) permet au fil de l'hisoire de nous tenir en haleine:)
bref c'est un bon début et en passant tres beau vocabulaire!
tu es tres doué:)
chuiunpoulet
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Merci pour tes conseils!
Powerseven
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Ca fait plaisir:)!
Bon y a quelque fautes : faisait et pas fesait par exemple c:
Le saut entre le premier et le deuxième paragraphe est un peu désorientant, on sait pas trop où tu veux nous mener. Et puis certains détails sonnent faux, du style Hera qui aime voire la dégradation des briques ça fait un peu cliché gothique mais bon.. Et sinon la surveillante incroyablement vulgaire parce-qu'elle case deux gros mots par phrase :P
Sinon c'est sympa, c'est bien écrit :)
Mais c'est assez étrange, ton extrait serait trop long pour continuer une nouvelle et bien de trop court pour continuer un livre.
Dans le sens où si tu écrivais une nouvelle à partir de ça tu as déjà mis trop d'éléments en place et si tu écrivais un livre tu passes trop vite sur les passages, c'est un peu déstabilisant.
Et après je ne comprends pas la nécessité d'indiquer l'âge ça fait un peu "Moi j'ai 13 ans et je sais déjà faire tout ça ! T"as vu ?".
Sans aucune méchante pensée hein ! J'ai bien apprécié ce que tu as écrit :)
Le saut entre le premier et le deuxième paragraphe est un peu désorientant, on sait pas trop où tu veux nous mener. Et puis certains détails sonnent faux, du style Hera qui aime voire la dégradation des briques ça fait un peu cliché gothique mais bon.. Et sinon la surveillante incroyablement vulgaire parce-qu'elle case deux gros mots par phrase :P
Sinon c'est sympa, c'est bien écrit :)
Mais c'est assez étrange, ton extrait serait trop long pour continuer une nouvelle et bien de trop court pour continuer un livre.
Dans le sens où si tu écrivais une nouvelle à partir de ça tu as déjà mis trop d'éléments en place et si tu écrivais un livre tu passes trop vite sur les passages, c'est un peu déstabilisant.
Et après je ne comprends pas la nécessité d'indiquer l'âge ça fait un peu "Moi j'ai 13 ans et je sais déjà faire tout ça ! T"as vu ?".
Sans aucune méchante pensée hein ! J'ai bien apprécié ce que tu as écrit :)