Une histoire ? Non ! Notre histoire...

Salut à tous !

Que diriez vous de créer un récit interactif où tout le monde peut participer ?

Explications : je vais débuter une histoire, un simple texte. Le suivant devra écrire la suite de cette histoire, puis un autre, puis un autre, etcaetera, etcaetera.

Je vais également poser quelque règle :
- Chaque suite devra être écrite dans une réponse, et non en commentaire, puisqu'il serait plutot pas mal de pouvoir commenter les textes sans problème.
- Si un texte est mal écris, incohérent, ou encore bourré de faute, je me verrais dans l'obligation de le critiquer, voir même de le corriger !
- Les noms de lieux, de personnages, les dialogues et tout le reste devront pouvoir être lu par d'innocents petits mineurs (Hey Hi ! Hey Oh ! On ren-treuh du bou-lot !...), donc exemptent de toutes grossiertés, connotations sexuelles, violences grave (bon, un peu quand même bien sur, mais pas trop), etcaetera.
- Les auteurs devront respecter les univers posées par les écrits précédents.
- Si l'univers ne vous plaît pas, débrouillez vous ! Je ne souhaite pas de "voyage dans le temps", d' "entrage dans une dimension paralèlle" ou encore de mort rapide du personnage principale au bout du 3ème textes.
- Pas de limites de longueur, mais débrouillez vous pour que ça soit lisible, et interessant pour les lecteurs.


C'est bon ? Et bien je vous présente maintenant le texte de départ :

"Jasper, Asriel et Friegiel se levèrent tôt pour assister à la pendaison.

On pariait depuis des mois sur le sort qui serait réservé au bandit. Les membres de la cours l'avaient décidé hier soir : il serait pendu. Après tout, peut être est-ce la bonne solution ? Ou peut être pas... Le crime n'était pas si grave en y repensant. Mais c'était plié : pendaison. Voilà.

Les trois s'avancèrent en direction de la place. Il n'y avait encore personne, seulement quelques officieles, le bourreau et les larbins qui installaient le gibet. Les amis se regardèrent puis prirent leur place au premier rang.

Pendant ce temps là, dans les prisons impériales, Jarbane pensait. Il comtempla le ciel, puis ses mains mutilés, et ris nerveusement. Ce matin, il allait mourir. Comme tout le monde après tout. Et en cet instant où tout Homme serait triste, nostalgique et désespéré, lui, il souriait. Il était presque heureux.
"La pendaison, c'est une fin ça ! Tout le monde me verra, ça sera grandiose ! Un veritable festin pour ces charognards honteux qui scanderont ensemble "Meurt ! Meurt ! Meurt !", je renderais des gens heureux dans ma mort ! Quel pied !", pensa t'il.

Un garde vint ouvrir sa cellule, et lui fit signe de s'avancer.

"C'est beau n'est ce pas ?
- De quoi parlez vous ? fit le garde
- Ces couloirs sombres, cette prison.
- Non. C'est laid. Je ne connais rien de plus laid.
- Ah si ! C'est beau ! Regardez ces pierres, on pourrait y lire les souffrances des milliers de personnes qui ont marchés dessus ! C'est un monument, une gigantesque fresque des milliers d'âmes vendues à satan et souillées par la ruine et l'infortune !
- Vous savez moi, je ne vois que la souffrance dans ces lieux. Et d'ailleurs je m'en vais, et vous allez me suivre. Vous mourrez comme les autres, même si vous êtes fou.
- Attendez ! dit Jarbane. Je veux imprimer l'image de ce lieu dans ma tête, comme ça, je la montrerais à mon dieu, quand je monterais au paradis. Et il verra la beauté de notre monde !
- Heu... D'accord mais vite !"

Ils partirent vers la place quelques instants après [...]"

Maintenant, à vous !