Mon futur roman donnez votre avis svp

Fermé
soso - 21 nov. 2010 à 17:18
irongege Messages postés 40847 Date d'inscription jeudi 1 novembre 2007 Statut Modérateur Dernière intervention 29 juin 2023 - 21 nov. 2010 à 17:26
J'ai 13 ans, et je suis en train d'écrire uun roman. Pouvez-vous me dire ce que vous en pensez.
Ca s'appelle " Holly Cos Mir et la guerre des districts"

Voici le résumé de ma futur 4eme de couverture :

Holly, une fille de 14 ans, part en voyage, un long voyage de deux mois, avec sa classe, dont sa meilleure amie, Lou Farley, au Laos, dans une ville pauvre. Holly est une bourgeoise qui ne peut pas vivre sans argent, comme tous ces camarades de classe. Leur guide, une laotienne, a leur âge, et très vite, Holly et Lou deviennent amie avec elle, ainsi que Brandon, leur pire ennemi. Elles découvrent les traditions, l'alimentation, et comment manier leurs armes, de ce districts qui parle français, qu'elle commence a apprécier. Holly s'aperçut quel détenait un don, le pouvoir de l'oracle, que lui avait transmis un ancêtre d'Attapeu. C'est grâce à ce don qu'elle va essayé d'éviter le pire...

3 réponses

irongege Messages postés 40847 Date d'inscription jeudi 1 novembre 2007 Statut Modérateur Dernière intervention 29 juin 2023 5 072
21 nov. 2010 à 17:26
Bonjour

soso = lili donc merci de rester sur le sujet déjà ouvert.
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Oue ca a l'air bien.
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Voilà le 1er chapitre vous pouvez me dire ce que vous en pensez

Chapitre 1
Ça y est on est arrivé. Je redoutais ce moment depuis un bout de temps, depuis qu'on m'a annoncé qu'avec notre classe, on partirait au Laos, dans un pays de pauvre. J'avoue on est des bourgeois et c'est le mot, on ne pourrait pas vivre sans argent. Alors, passer deux mois, dans ce district appelé Attapeu, m'effraie. Nos professeurs avaient décidé de nous emmener ici, pour nous détacher du virtuel, pour nous ouvrir les yeux sur ce monde merveilleux, qu'est la Terre. Il paraît que l'on deviendrait moins égoïste, qui sait. « Cela ne peut nous faire que du bien, et puis je suis sûr que ça va être cool.» Avait dit ma meilleure amie Lou Farley. Malgré moi, je savais qu'elle avait raison, je ne pourrais vous dire comment, mais je savais que ça allait me plaire.
Quand même, j'appréhende de dormir dans cet endroit. Ça ne paraît pas un supplice jusque-là, eh bien, figurez-vous que l'on devait manger et agir comme eux. Là c'en est un. Non, je ne me vois pas tuer un lapin, ils sont si mignons... Comment peuvent-ils faire ça de sang-froid ? Peut-être par faim ? De toute façon, je ne le ferais pas, il faudrait m'y forcer. Au sinon, je fondrai en larmes, je penserai tout de suite à python, mon lapin. Remarquez que l'obéissance ne me vient pas facilement, voir pas du tout, je le tiens de ma mère. Elle est têtue comme une mule, mais ça lui serre bien dans les affaires.
Je crois pas que ça serait insupportable, mais en fait j'ai peur, j'ai peur de ne pas assez manger, de ne plus pouvoir jouer pendant deux mois alors que je ne pouvais même pas m'arrêter pendant quelques jours, voilà rien que d'y penser ça me manque. J'ai peur aussi de ces gens qui vivent sans télévisions, sans téléphones, sans magasin. Comment font-ils pour occuper leur journée ? Ah oui, ils nous ont pris nos portables, on n'a aucun moyen de communication avec le monde réel. Comment va-t-on faire pour manger, s'il n'y a pas de restaurant, ni de supermarché ? Non, n'y pensez pas, je refuse de manger du lapin, vous entendez bien ?! JE REFUSE DE MANGER DU LAPIN !!
Je vous jure qu'arriver en, car dans un endroit où on voit des gens qui sautent d'arbre en arbre, qui chasse, font plein de trucs de ce genre, ça fait choc. Là j'avais envie de crier : « hé oh, on est plus au moyen âge ! » L'endroit est vaste, il y a pas d'immeuble que de la nature et les maisons sont en hauteur dans les arbres, avec des ponts qui les relient. Ils mangent, à mon avis, autour d'un feu de camp, ce village ne doit pas contenir beaucoup de personne, car malgré le grand espace autour du feu, il y a que très peu de place pour manger. Rien de familier pour moi... sauf peut-être, ah non rien, ce n'est pas un mp3, voilà, maintenant j'ai des illusions.. Cet endroit est magnifique, une jolie cascade s'écoule dans un fleuve jonché de rocher. Mais je ne vois personne vivre ici, c'est plutôt un endroit pour tourner un vieux film ou pour des photos, des cartes postales.
Voilà toutes les idées qui me sont passées par la tête en quelques secondes, c'est à cause de mon hyperactivité.
Ah oui, je ne me suis pas présenté, je suis Holly, j'ai 14 ans et je vis dans un foyer aisé. J'ai les cheveux marron foncé avec des taches de rousseur sur le nez et des yeux verts diamant. Je suis hyperactive, donc j'ai des troubles de l'attention, j'ai du mal à obéir, je le tiens de la aussi, et je suis impulsive, mais ça va je gère bien. A cette heure-ci, Prudence, ma soeur, et mes deux parents doivent être en train de manger, dans notre grande villa à Marseille.
J'ai une boule dans le ventre, et ma gorge est noué, comme avant mon spectacle au primaire ; je crois que cela veut dire que j'ai peur, mais en même temps, j'ai envie d'être au top, de plaire aux gens que je vais rencontrer. Je ne sais pas pourquoi.
Le car s'est arrêté, alors, Lou et moi, nous nous levons, et nous y allons. J'allais découvrir un autre monde que le mien.
[...]
Devant la porte du car, une fille nous attendait. Elle était belle, avec un beau visage, des taches de rousseur, des cheveux noirs avec des yeux gris-bleu. Mais, elle était maigre et ce n'est rien de le dire, j'ai même cru, qu'elle venait mendier. Elle devait avoir notre âge, et pourtant elle pourrait être jolie, mais là, rien qu'à la regarder, ça me rend triste. La misère, ça fait de la peine, je m'en voulais même d'être si riche. Mais contre toute attente, elle avait l'aire heureuse. Quand je dis heureuse, elle était, elle en avait l'air en tout cas, content de nous voir, comme si sa vie sans aucune modernité n'était pas si horrible que ça.
Avec Lou, on se regardait, elle avait la même expression que moi, et je voyais dans ces yeux de la misère. Personne ne parlait, d'habitude, ça n'arrive jamais, car on s'empresse de combler le vide, en lançant une discussion. Mais là, je ne pouvais pas parler et j'ai l'impression que Lou n'allait pas le faire non plus. Quand je regardai autour de moi, les garçons ne disaient rien, tandis les filles se recoiffaient, ou se remaquillaient. À ce sujet, je ne me maquille pas, ce qui ne veut pas dire que je ne fais pas attention à l'image que je renvoie, je fais quand même attention à ce que je mets.
* Bonjour, dit la Laotienne d'une voix chaleureuse, je vais vous montrer vos bungalows.
À ces mots, on prit nos valises, elle s'attendait à ce que nous les montions, qui était vraiment très lourde, en même temps, on restait deux mois, alors que l'échelle était presque verticale. Au bout de quelques valises hissées, Brandon, mon pire ennemi, le roi des fainéants s'exclama :
* J'en peux plus ! On fait une pause.
* On ne peut pas, fit remarquer la laotienne, dans moins d'une heure, le soleil se couchera
* J'ai une idée, dit Mary
[...]
Après avoir mis en place le plan de Mary, et monté une par une toutes les valises, il ne restait plus qu'à choisir nos bungalows. Lou et moi, on les laissa se disputait, et à la fin on prit le dernier qui était entre la chambre de la Laotienne, et celle de Brandon et ces amis. C'était un bungalow à deux places, parfait pour nous.
Peu de temps après, on avait le choix entre, allait manger des guimauves grillées en faisant connaissance avec la Laotienne, ce qui était très tentant pour les guimauves grillées. Mais on pouvait aller dormir, ce qui est encore mieux.
J'avoue, on n'avait même pas adressait la parole à notre guide, j'appris par la suite qu'elle s'appelait Malia, et qu'elle parlait français, car Attapeu était un des rares districts à avoir gardait cette langue. Je sais ce que vous pensez, ça ne se fait pas, d'ailleurs, j'avais honte, mais la crainte la surmontait. Je voudrais bien vous dire que je n'ai pas réussir à m'endormir, mais ça aurait été vous mentir. Malgré le lit dur et le coussin inconfortable, je me suis endormi très rapidement.
J'ai fait un rêve ou plutôt un cauchemar horrible. Je voyais, en premier lieu, cet endroit, Attapeu, avec les bungalows en feu, j'entendais des hurlements, et le pire, en fin je croyais que c'était le pire, je voyais des corps en sang qui gisaient sur le sol. Et.. Et dans les flammes, il y avait, une personne qui hurlait bien plus fort, elle bru... lait.. Bru... lait vif. Apparemment, je n'étais même pas là, une femme venait de me passer à travers. C'est là que mon rêve changea. Cette fois, j'étais caché derrière un rocher, et j'apercevais des gens qui attachaient des personnes d'Attapeu, je ne saurais comment vous dire que je savais qu'il venait d'Attapeu, contre des arbres. Ils étaient bâillonnés avec une tissue sale et blanc, ensanglanté, et ligotaient, avec une grosse ficelle. Un homme me regardait, je voyais de la peur dans son regard, ah non pas de la peur, il essayait de me montrer quelque chose, derrière moi. Il était trop tard, le temps que je me retourne, un autre homme était à quelques mètres de mois. Il courait en brandissant une arme, une arme vraiment très bizarre. Son visage était plus qu'à quelques centimètres du mien, et AH ! J'ai senti une douleur atroce me transpercer le ventre, cette sensation est horrible... J'ai émis le dernier gémissement qui put sortir de ma gorge, puis je voyais m'écrouler. Je me croyais mort, mais j'entendais mon nom, et je sentais ma tête bougeait de droite à gauche. D'un seul coup, je me suis réveillée, j'avais, bizarrement, le visage mouillé. Autour de moi se trouvait Malia, Lou, et Brandon qui avait un verre d'eau dans la main.
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