Les platanes blancs de Perpignan

Merci Dominique,
je viens de découvrir une page à propos de Guy Vivier.
Je vais tenter d'avoir plus d'informations :)
Sur vos questions du camp de prisonnier, je dois vous demander de quelle guerre s'agit-il?
la 1ere ou 2nde?
Et pouvez-vous aussi me préciser quelle chanson est arrivé a Grenoble?
et quelles sont ces autres paroles?

Nicolas

Bonjour nicolas
je n'ai tjs pas eu la musique de la chanson depuis toutes ces années, ni l'histoire de votre ancètre.
.Avez vous néamoins lu les paroles que j'ai poste sur ce site ?
Dominique

Bonjour Monsieur,

Pour répondre à votre demande, je ne puis vous dire de qui est la chanson : "sous les platanes blancs de Perpignan".
Je n'ai pas non plus la partition de cette chanson dont je vais vous écrire les paroles que je connais par coeur car je l'ai eu chantée plusieurs fois, et que je vous copie de sur le carnet de route de Papa lorsqu'il était prisonnier de Guerre en Allemagne en 1939-1945.

Quand vient la saison printanière,
Sous le beau ciel de Perpignan,
1er couplet,

Les Catalans pour se distraire,
Recherchent les coins attrayants,
Mais de tous celui qu'ils préfèrent,
A l'heure où le soleil descend,
C'est les platanes centenaires,
Le rendez-vous le plus charmant;
Quand souffle la brise des nuits,
Les promeneurs viennent sans bruit.......

REFRAIN

Sous les jolis platanes blancs de Perpignan
Quand revient le printemps, ah ! c'est charmant,
Les couples d'amoureux, s'en vont le coeur joyeux,
Cherchant les coins ombreux pour s'aimer mieux.
Ah ! qu'il fait bon le soir rêver au clair de lune,
Blondes et brunes aux yeux troublants,
Le bonheur règne dans les coeurs quand revient le printemps,
Sous les platanes blancs de Perpignan.

2ème couplet ,

Mais bientôt la ville est en liesse,
C'est l'époque du Carnaval,
Les jeunes gens plein d'allégresse,
Avec ardeur ouvrent le bal.
Avec les belles catalanes,
Qu'ils tiennent gaiement par le bras,
Ils dansent rondes et sardanes
Au son joyeux d'une cobla;
Les tambourins, les violons, Egrennent en gai tourbillons........

(Refrain..)

3ème couplet,

Les beaux jours comme la jeunesse,
Passent trop vite au gré de tous,
Sous les platanes en détresse,
L'hiver pourtant y parait doux.
Et quand parfois le soleil pose,
Sur leurs branchages effeuillés,
Un chaud rayon teinté de rose,
Les bons vieux vont s'y reposer !
En souvenir de leurs 20 ans,
Ils fredonnent tout doucement..........

(Refrain....)



J'espère avoir fait plaisir à votre maman avec cette chanson qui va lui rappeler certainement des souvenirs
d'antan. Tout comme à moi, elle me fait revoir Papa qui avait plaisir à la chanter.
Mais depuis 14 ans sa voie et son entrain se sont éteints..........

Bonne fin de journée,
Cordialement,

Madame A.M. BERNARD

Bonjour

nous avons la même chanson ici sur l'Isère.
nous en recherchons d'urgence la musique pour la jouer lors d'une fee avec descente de radeliers
pouvez vous me donner la musique

mon tel 0438370182

Voici le texte qui a été ramené a Grenoble, nous voulons chanter cette chanson pouvez vous nous écrire la partition ? ou sinon comment nous la faire passer au numéro de tel que j'ai ecrit précemment ? merci

Premier couplet :

Quand vient la saison printanière
sous le beau ciel dauphinois,
les jeunes gens pour se distraire
vont rechercher les sous-bois.

Mais de tous celui qu’ils préfèrent,
à l’heure où le soleil descend,
c’est, sur les bords de l’Isère,
le rendez-vous le plus charmant.
Quand souffle la brise des nuits
les promeneurs viennent sans bruit.

Refrain :

Sur les jolis bords de l’Isère bien verdoyants,
quand revient le printemps, ah ! c’est charmant.
Les couples d’amoureux s’en vont le cœur joyeux,
cherchant les coins ombrageux pour s’aimer mieux.
Ah ! qu’il fait bon se promener au clair de lune
blondes et brunes,
le bonheur règne dans les cœurs.
Quand revient le printemps
sur les bords de l’Isère, ah ! c’est charmant.

Deuxième couplet :

Mais bientôt Grenoble est en liesse,
c’est l’époque du carnaval.
Les jeunes gens plein d’allégresse
dans le corso ouvrent le bal
avec les belles Dauphinoises
qu’ils tiennent gaiement par le bras.

Leurs jolis yeux comme des turquoises
elles dansent la vraie java,
l’accordéon et les violons
entraînent les gais tourbillons.

aucune preuve pour l'instant qu'elle soit de Trenet