Inspirations du moment

catou - 26 mai 2008 à 14:18
 CATOU - 26 mai 2008 à 15:38
la liberté n’a pas de prix
Comme la vie défile si vite !
Lorsqu’il n’y a pas d’ennuis
Amitiés profondes, entre deux eaux
On tourne la page d’une histoire
Et on recommence, avec plus de soins
Des regards qui s’éloignent
On n’est pas des automates, juste sentimentale
Sentir ses sens,
La joie nous trucide
L’ennemi dans le coin
La voiture au placard
Tu marches sans les phares
La musique à toi
De velours ou de cuirs
Ne pas chercher à comprendre
Se laisser vivre porté par les amis
L’art veut se mettre à table
Responsable de nos âmes
Comme on parle, on aime
On donne, on prend.


Rester planté comme une plante
Se laisser regarder
Tourné autour de la mer
Sans trouver l’issue
Dans un silence étouffant
Et la fièvre qui s’installe
On est malade.
Arrête de partir dans tous les sens
Je reste là sans voix
Je cherche une bonne histoire
Et je déçois et on m’applaudit

J’aurais pu éviter les cauchemars
La cicatrice terminée
Un quotidien qui se veut plein de surprises

La contemplation du manque
J’arrive petit à petit à mon vent
Celui de te connaître
Quand le mal persiste à foudroyer les cœurs ! Juste un peu d’équilibre
A la ligne
Un peu de folie
Misère o misère
On tombe, on a peur

On se fabrique une casa
Attitude lassitude
Changer de planète
Et je t’aime et je t’aime







Trente t’est trempe
En transe tu trempes
Un manque je pense
L’original mondial
Vient se poser sur ma tête

Dors avec moi et restes
Puis s’éparpille à ma volonté
Comme à la sienne !
Son sang est transparent
Il ne coule pas
Il roule dans mon corps
Comme une flamme foudroyante !
Amour éternel je monte au ciel
Questionner sa mission
Il aime et veut se faire pardonner
Tuer par les gens, impardonnable
Sans pitié
Je lui ai dit OK
Avare de hasard
Il joue avec moi

Il aime le dessin comme j’aime son fusain
Je pars quand c’est malsain
Sa rage est violente face aux injustices
Intransigeant mais plein de chance
Plus de malheur dans ma vie
Dans le meilleur du possible
Réfléchi et intègre
Partage équitable
Bats-toi pour ton art
Voilà qu’il m’encourage
Argent et création fonctionnent, fusionnent

Donne de par sa volonté de respirer,
Profiter de la vie en comblant le principe du bien-être et du concret.























Du respect pour la gamine


De grands yeux noirs
Des cheveux longs noirs
Et une bouche sensuelle
Petits seins bien adaptés
Au corps charnu

Je ne dois que regarder
Pour toucher
Car j’ai les mains froides
Et le cœur glacé
L’esprit chaud
Avide de sentiments
J’ai rempli ma corbeille
J’aime sa peau dorée
Me laisser dire me laisser faire

M’attaquer quand j’ai tort
Suivre ses bons conseils
Pour mieux rester soi-même
Me conserver.

La chance et le miracle en somme
D’une compréhension pas banale
Une chaîne de sentiments envahissants qui pénètre son corps
Sensible, humaine, souriante
C’est mon anti-corps pour ne pas mordre
Sans haine et encore plein d’énergie
De milles pièces je suis en morceau
L’humour dans la poche
La parole dans la bouche
A éviter l’erreur
La parole de nouveau
Pour si peu importante
Devient l’essence de la volonté
Celui qui n’a rien à dire parle pour se rassurer
Et panique de lui
La maladie d’être timide
Puis se découvrir
D’une jalousie exclusive
Le dauphin a des dents
Se jeter les tympans
De nouvelles musiques














A chaque fois que tu pars, je verse une larme
Trouver l’accord parfait, au revoir alors
Le passé se déroule par mis le présent

Ces gens si chaud qui deviennent de marbre…

Parce que je t’aime plus que d’autres
J’ai l’impression qu’à chaque fois
Je casse, je n’y crois pas
Puis une lueur dans tes yeux
Une chaleur qui me monte en moi
Comme quand l’avion décolle !



On est obligé d’attendre le bon moment
Où l’on pourrait s’aimer, s’enlacer
Se reconnaître, même avec tout ce qui se passe,
Tu seras toujours mon amie
Si la douleur est trop pénible
Si tu n’arrive plus à me voir qu’avec ton imagination
Je resterais à tes côtés…








Une petite liqueur pour passer le blues
Avec un petit air de jazz pour se souvenir
Les images défilent une par une sans répit
Comme si je revivais nos routes !
Une par une, je fais le tour de ma réflexion
Les « mais » se bousculent, rester là ou me perdre à la passion
Je n’aurais jamais cru aimer après nous, à vrai dire
Aimer à se sacrifier et en épuisé des pages et des pages
Retrouver tous les flots de paroles, de sens ou de voyages

Ces mots que l’on met tant de temps à sortir
Adire tant d’émotions si peu de raison
C’est une nouvelle édition, une nouvelle maison
Où chacun se connecte dans cet au-delà !














ENTRE DEUX.


A force,
A se faire une idée de bonheur, de l’amour
A force,
Je m’imagine à ne croire qu’en une seule vérité.

Se donner un garde-fou, conserver nos préjugés.

A force,
On se verrait partout,
On perd tout et on se perd dans ces eaux troubles
Où rêve comme réel nous jette que de doux cailloux !

Plus de force !
Une force en plus
Conclure qu’il n’y a qu’un point
Point final ou point retour
Mal en point ou en bon point,
Sers tes poings…

Que tes ailes restent solides, que notre amour te protège là où tu es, puisque ta décision est prise, te retenir serait trop facile, mais si revenir te pose soucis ; viens, viens même si tu ne reste, même si tu n’es plus le même, en fait nous n’avons pas changé, ce n’est que la vie…



A toutes les musiques que tu m’as offertes
Les décortiquer et les réécouter, elles sont-elles
Elles, avec nos moments immortels
Elles s’entremêlent de passés en passé ; dépassées
Puisque tu n’es plus là,
Elles se sont usées puis cassées
Changées ou en milles morceaux ; comme une écorce râpée par l’humidité,
Et qui tombe par terre, que la terre l’a enfoncée dans elle-même, comme elles
Enfuies dans les ténèbres où nos vertèbres se sont brisées, jusqu’à leurs cruelles destinées les oubliettes de nos pensées…

















Dévaster la page vierge
Et noircir la foule qui se fait vieille
De lassitude et d’habitudes
Ma certitude se retrouve loin
Loin de ces bêtises, loin de ces amis
Loin de tous les mots inventés
Tu m’as soufflé la dernière page Avant première sur l’été
Transformer cette phrase en question
Si tu aime, tu comprends
Même si tu pars en dérision
De ta force tu sauras partir
Laisser passer les envies en voyages
Battre en retrait et fuir
De peur, de vie, je suis
D’une vérité s’arracher
D’un arbre fleuri s’abandonner
Et recommencer, si tel est ton désir
Fatiguée des retombées, je t ‘appelle
Et l’on s’éloigne et l’on se perd
Entre les silences et les cris
Tu me resteras graver à jamais








Faudrait-il me rétamer
Pour que tu me touche enfin ! Pourquoi je suis attirée ! Montres-toi timidité
Amitié mouillée d’amour caché

Et le temps qui fait des siennes
Attendre le moment fatidique
Ou partir vers de nouvelles contrées
Tu m’attire comme personne
Je voudrais tout te donner de moi

De moi à toi, tu me connais
La vie quand même prend forme
Pour que je me donne à toi ? Si c’est ce que tu veux

J’apprendrais tes vœux
Tes envies, tes doutes
Fidèle. J’aimerais de nouveau
J’ai plus peur de moi, de tout, de rien…











Que c’est drôle d’aimer à nouveau ! J’ai mal, je ne sais pas, je ne sais plus,
Pourquoi j’ai mal quand tu n’es pas là !
Sentiments pluriels
Le passé en miette
Seulement je revis mes envies
En fait, jamais réalisées
Il faut oublier

Les meilleurs moments resteront toujours
J’ai aimé et j’aimerais de nouveau Pour que la tristesse ne soit plus
Que l’envie soit remplacée ! Pour que les nuits soient belles remplies de tendresses !


















L’amitié, je n’y croyais plus. Les amis vont et viennent,
Un grand bonheur s’installe en moi
J’ai l’impression d’être guérie de tous mes maux d’amour.

Prendre les choses essentiels de la vie, la ténacité, la volonté de faire du bien autour de soi.
Changer sa façon d’agir quand on prend les choses une par une, qu’on ne se renferme pas, tout va mieux…

Si tu m’aimes, je t’aime. Est-ce aimer ?

L’amour ne dit mais se vit ; dans mon esprit, un bien-être m’envahit
C’est du tout bonheur
Je chercherais encore et encore à satisfaire l’envie…

La tendresse se laisse porter dans mon cœur
Pourquoi je t’aime, pour ton cœur, pour ta peau, pour ton corps pour tout ce qui fuse en toi
Milles espoirs pour toi…

Croire sans le vouloir mais je t’aime…






La séparation de nous deux, soit
Un nouveau départ à chacun
Afin d’éviter la haine ou l’indifférence,
Négligence et jalousie,
Ce ne pouvait plus aller entre nous,
Tous deux fauchés, perdus
Toujours de quoi se fâcher entre nous
C’est mieux ainsi…

Un jour je t’ai dit que je ne t’aimais plus,
Ce jour-là j’étais amoureuse.
Envie de cette rencontre depuis longtemps,
Afin de me débarrasser de ton amour,
Quel amour !

Tu m’as rendu aveugle
Je croyais en toi quand le doute s’est installé
Tu m’as trompée et tu me l’as caché
Dommage pour toi, retrouves-toi sans moi,
Je préfère que tu partes,
Je ne marcherais plus à tes côtés…








Quand tes mots seront mes mots !
Une soirée encore inoubliable
Il ne se passe rien, juste une force en toi
Qui te laisse impalpable !
Comme le Dieu qu’on ne voit pas !
Je te sens vraiment pourtant

Encore une journée sans toi
Mais tout avec toi en pensée
Un rêve continu est que je t’aime
Toujours et encore plus que jamais
Tu restes mon inventaire dans ma tête
Je sais qu’on peut te faire plaisir avec si peu de choses
Ca communique de toute part, sans rire…


erté n’a pas de prix
Comme la vie défile si vite !
Lorsqu’il n’y a pas d’ennuis
Amitiés profondes, entre deux eaux
On tourne la page d’une histoire
Et on recommence, avec plus de soins
Des regards qui s’éloignent
On n’est pas des automates, juste sentimentale
Sentir ses sens,
La joie nous trucide
L’ennemi dans le coin
La voiture au placard
Tu marches sans les phares
La musique à toi
De velours ou de cuirs
Ne pas chercher à comprendre
Se laisser vivre porté par les amis
L’art veut se mettre à table
Responsable de nos âmes
Comme on parle, on aime
On donne, on prend.


Rester planté comme une plante
Se laisser regarder
Tourné autour de la mer
Sans trouver l’issue
Dans un silence étouffant
Et la fièvre qui s’installe
On est malade.
Arrête de partir dans tous les sens
Je reste là sans voix
Je cherche une bonne histoire
Et je déçois et on m’applaudit

J’aurais pu éviter les cauchemars
La cicatrice terminée
Un quotidien qui se veut plein de surprises

La contemplation du manque
J’arrive petit à petit à mon vent
Celui de te connaître
Quand le mal persiste à foudroyer les cœurs ! Juste un peu d’équilibre
A la ligne
Un peu de folie
Misère o misère
On tombe, on a peur

On se fabrique une casa
Attitude lassitude
Changer de planète
Et je t’aime et je t’aime







Trente t’est trempe
En transe tu trempes
Un manque je pense
L’original mondial
Vient se poser sur ma tête

Dors avec moi et restes
Puis s’éparpille à ma volonté
Comme à la sienne !
Son sang est transparent
Il ne coule pas
Il roule dans mon corps
Comme une flamme foudroyante !
Amour éternel je monte au ciel
Questionner sa mission
Il aime et veut se faire pardonner
Tuer par les gens, impardonnable
Sans pitié
Je lui ai dit OK
Avare de hasard
Il joue avec moi

Il aime le dessin comme j’aime son fusain
Je pars quand c’est malsain
Sa rage est violente face aux injustices
Intransigeant mais plein de chance
Plus de malheur dans ma vie
Dans le meilleur du possible
Réfléchi et intègre
Partage équitable
Bats-toi pour ton art
Voilà qu’il m’encourage
Argent et création fonctionnent, fusionnent

Donne de par sa volonté de respirer,
Profiter de la vie en comblant le principe du bien-être et du concret.























Du respect pour la gamine


De grands yeux noirs
Des cheveux longs noirs
Et une bouche sensuelle
Petits seins bien adaptés
Au corps charnu

Je ne dois que regarder
Pour toucher
Car j’ai les mains froides
Et le cœur glacé
L’esprit chaud
Avide de sentiments
J’ai rempli ma corbeille
J’aime sa peau dorée
Me laisser dire me laisser faire

M’attaquer quand j’ai tort
Suivre ses bons conseils
Pour mieux rester soi-même
Me conserver.

La chance et le miracle en somme
D’une compréhension pas banale
Une chaîne de sentiments envahissants qui pénètre son corps
Sensible, humaine, souriante
C’est mon anti-corps pour ne pas mordre
Sans haine et encore plein d’énergie
De milles pièces je suis en morceau
L’humour dans la poche
La parole dans la bouche
A éviter l’erreur
La parole de nouveau
Pour si peu importante
Devient l’essence de la volonté
Celui qui n’a rien à dire parle pour se rassurer
Et panique de lui
La maladie d’être timide
Puis se découvrir
D’une jalousie exclusive
Le dauphin a des dents
Se jeter les tympans
De nouvelles musiques














A chaque fois que tu pars, je verse une larme
Trouver l’accord parfait, au revoir alors
Le passé se déroule par mis le présent

Ces gens si chaud qui deviennent de marbre…

Parce que je t’aime plus que d’autres
J’ai l’impression qu’à chaque fois
Je casse, je n’y crois pas
Puis une lueur dans tes yeux
Une chaleur qui me monte en moi
Comme quand l’avion décolle !



On est obligé d’attendre le bon moment
Où l’on pourrait s’aimer, s’enlacer
Se reconnaître, même avec tout ce qui se passe,
Tu seras toujours mon amie
Si la douleur est trop pénible
Si tu n’arrive plus à me voir qu’avec ton imagination
Je resterais à tes côtés…








Une petite liqueur pour passer le blues
Avec un petit air de jazz pour se souvenir
Les images défilent une par une sans répit
Comme si je revivais nos routes !
Une par une, je fais le tour de ma réflexion
Les « mais » se bousculent, rester là ou me perdre à la passion
Je n’aurais jamais cru aimer après nous, à vrai dire
Aimer à se sacrifier et en épuisé des pages et des pages
Retrouver tous les flots de paroles, de sens ou de voyages

Ces mots que l’on met tant de temps à sortir
Adire tant d’émotions si peu de raison
C’est une nouvelle édition, une nouvelle maison
Où chacun se connecte dans cet au-delà !














ENTRE DEUX.


A force,
A se faire une idée de bonheur, de l’amour
A force,
Je m’imagine à ne croire qu’en une seule vérité.

Se donner un garde-fou, conserver nos préjugés.

A force,
On se verrait partout,
On perd tout et on se perd dans ces eaux troubles
Où rêve comme réel nous jette que de doux cailloux !

Plus de force !
Une force en plus
Conclure qu’il n’y a qu’un point
Point final ou point retour
Mal en point ou en bon point,
Sers tes poings…

Que tes ailes restent solides, que notre amour te protège là où tu es, puisque ta décision est prise, te retenir serait trop facile, mais si revenir te pose soucis ; viens, viens même si tu ne reste, même si tu n’es plus le même, en fait nous n’avons pas changé, ce n’est que la vie…



A toutes les musiques que tu m’as offertes
Les décortiquer et les réécouter, elles sont-elles
Elles, avec nos moments immortels
Elles s’entremêlent de passés en passé ; dépassées
Puisque tu n’es plus là,
Elles se sont usées puis cassées
Changées ou en milles morceaux ; comme une écorce râpée par l’humidité,
Et qui tombe par terre, que la terre l’a enfoncée dans elle-même, comme elles
Enfuies dans les ténèbres où nos vertèbres se sont brisées, jusqu’à leurs cruelles destinées les oubliettes de nos pensées…

















Dévaster la page vierge
Et noircir la foule qui se fait vieille
De lassitude et d’habitudes
Ma certitude se retrouve loin
Loin de ces bêtises, loin de ces amis
Loin de tous les mots inventés
Tu m’as soufflé la dernière page Avant première sur l’été
Transformer cette phrase en question
Si tu aime, tu comprends
Même si tu pars en dérision
De ta force tu sauras partir
Laisser passer les envies en voyages
Battre en retrait et fuir
De peur, de vie, je suis
D’une vérité s’arracher
D’un arbre fleuri s’abandonner
Et recommencer, si tel est ton désir
Fatiguée des retombées, je t ‘appelle
Et l’on s’éloigne et l’on se perd
Entre les silences et les cris
Tu me resteras graver à jamais








Faudrait-il me rétamer
Pour que tu me touche enfin ! Pourquoi je suis attirée ! Montres-toi timidité
Amitié mouillée d’amour caché

Et le temps qui fait des siennes
Attendre le moment fatidique
Ou partir vers de nouvelles contrées
Tu m’attire comme personne
Je voudrais tout te donner de moi

De moi à toi, tu me connais
La vie quand même prend forme
Pour que je me donne à toi ? Si c’est ce que tu veux

J’apprendrais tes vœux
Tes envies, tes doutes
Fidèle. J’aimerais de nouveau
J’ai plus peur de moi, de tout, de rien…











Que c’est drôle d’aimer à nouveau ! J’ai mal, je ne sais pas, je ne sais plus,
Pourquoi j’ai mal quand tu n’es pas là !
Sentiments pluriels
Le passé en miette
Seulement je revis mes envies
En fait, jamais réalisées
Il faut oublier

Les meilleurs moments resteront toujours
J’ai aimé et j’aimerais de nouveau Pour que la tristesse ne soit plus
Que l’envie soit remplacée ! Pour que les nuits soient belles remplies de tendresses !


















L’amitié, je n’y croyais plus. Les amis vont et viennent,
Un grand bonheur s’installe en moi
J’ai l’impression d’être guérie de tous mes maux d’amour.

Prendre les choses essentiels de la vie, la ténacité, la volonté de faire du bien autour de soi.
Changer sa façon d’agir quand on prend les choses une par une, qu’on ne se renferme pas, tout va mieux…

Si tu m’aimes, je t’aime. Est-ce aimer ?

L’amour ne dit mais se vit ; dans mon esprit, un bien-être m’envahit
C’est du tout bonheur
Je chercherais encore et encore à satisfaire l’envie…

La tendresse se laisse porter dans mon cœur
Pourquoi je t’aime, pour ton cœur, pour ta peau, pour ton corps pour tout ce qui fuse en toi
Milles espoirs pour toi…

Croire sans le vouloir mais je t’aime…






La séparation de nous deux, soit
Un nouveau départ à chacun
Afin d’éviter la haine ou l’indifférence,
Négligence et jalousie,
Ce ne pouvait plus aller entre nous,
Tous deux fauchés, perdus
Toujours de quoi se fâcher entre nous
C’est mieux ainsi…

Un jour je t’ai dit que je ne t’aimais plus,
Ce jour-là j’étais amoureuse.
Envie de cette rencontre depuis longtemps,
Afin de me débarrasser de ton amour,
Quel amour !

Tu m’as rendu aveugle
Je croyais en toi quand le doute s’est installé
Tu m’as trompée et tu me l’as caché
Dommage pour toi, retrouves-toi sans moi,
Je préfère que tu partes,
Je ne marcherais plus à tes côtés…








Quand tes mots seront mes mots !
Une soirée encore inoubliable
Il ne se passe rien, juste une force en toi
Qui te laisse impalpable !
Comme le Dieu qu’on ne voit pas !
Je te sens vraiment pourtant

Encore une journée sans toi
Mais tout avec toi en pensée
Un rêve continu est que je t’aime
Toujours et encore plus que jamais
Tu restes mon inventaire dans ma tête
Je sais qu’on peut te faire plaisir avec si peu de choses
Ca communique de toute part, sans rire…





















1 réponse

moi, Katia Limonet, 20 rue des consuls , me permet plus justifiable de vous donner mon fixe: 05 61 49 22 89 pour explications si vous le désirez
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