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Bonjour,
Il ne me viendrait pas à l'idée de jouer à ce jeu, d'une part parce que je ne joue pas, d'autre part parce que je ne fume pas, sniffe pas, ne me pique pas, etc. (ne pas y voir de sous-entendus).
Je réponds sur un autre plan : ne serait-il pas utile de signaler ce type de jeu aux autorités compétentes sous peine de voir naître un catalogue de jeux d'entrainement aux perversions à réaliser in real life, par exemple : "Mèmère attack", "Enlèvement d'influenceuse", Human Traffic", "Real murder", "Domestic Guantanamo".
Le délit d'incitation à la commission d'actes délictueux existe que je sache, quoiqu'en disent les avocats des trafiquants de tous poils.
Par ailleurs, cela rappelle les publicités du commerce légal d'armes pour enfants aux Etats-Unis (à partir de 4 ans) et il ne serait pas étonnant que certaines mafias bien connues opérant du Sud (et plus si affinités) de la Méditerranée, financent cette "production" pour recruter à terme les meilleurs "éléments", comme elles le font déjà pour amorcer le recrutement des tueurs à gage en culotte courte.
Mais je ne suis pas un spécialiste des mondes obscurs et ce ne sont peut-être que d'innocentes fariboles.
In Cauda Venenum.
Bonjour,
La polémique n'est pas vraiment nouvelle.
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2022/03/15/grand-theft-auto-vingt-cinq-ans-de-polemique_6117659_4408996.html
Quand mes mômes étaient petits, il m'arrivait de jouer avec eux à Super Mario plutôt qu'à des jeux de baston, j'étais sans doute un peu naïf.
Il semble que pour qu'un jeu ait du succès il doive être transgressif.
La réelle question n'est pas de prendre ces jeux pour ce qu'ils sont, des jeux, même immoraux, mais de ces jeunes qui passent tout leur temps à jouer au point d'imaginer que ces mondes imaginaires sont la réalité et de chercher à l'y transcrire.