Sujet De Livre SVP

JeuneEcrivain02400 Messages postés 6 Date d'inscription lundi 23 décembre 2013 Statut Membre Dernière intervention 5 janvier 2014 - 23 déc. 2013 à 12:05
JeuneEcrivain02400 Messages postés 6 Date d'inscription lundi 23 décembre 2013 Statut Membre Dernière intervention 5 janvier 2014 - 5 janv. 2014 à 12:32
Bonjour, j'ai treize ans, et j'arrive tjrs au même point : la page blanche. J'aimerai que vous me conseillez des sujets de livres que je pourrais écrire, sachant que je suis 100% fantasy, fantastique, et que j'adore les complots.
Merci à tous ^^!

3 réponses

samgunsjovirow Messages postés 40874 Date d'inscription samedi 3 mai 2008 Statut Modérateur Dernière intervention 17 février 2023 3 032
Modifié par samgunsjovirow le 23/12/2013 à 19:55
Bonjour

Comme déja répondu dans les topics similaires, l'histoire de base c'est pas loin de 90% du contenu d'un roman.

Alors honnêtement si tu n'as pas d'idée il vaut mieux ne pas écrire, sinon soit tu auras du mal à dérouler l'histoire, soit tu ne pourras de toutes façons pas dire que c'est TON oeuvre, vu que ce sont d'autres qui auront fait le gros du travail.

La révolution du saucisson est en marche !
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JeuneEcrivain02400 Messages postés 6 Date d'inscription lundi 23 décembre 2013 Statut Membre Dernière intervention 5 janvier 2014
25 déc. 2013 à 09:47
Je suis d'accord avec toi, mais l'idée de base je l'ai, c juste le déroulement que je n'ai pas. Regarde, j'ai déjà fait euh... une princesse qui ne devait pas naître, mais qui sauvera le monde du fléau, puis elle rencontre son frère jumeau caché, se trouvant être le fléau etc. ! L'histoire de base, je l'ai déjà acquise, mais le déroulement est plus complexe. Et lorsque l'on me donne un sujet de livre comme Chanera, il est plus facile de trouver le déroulement de l'histoire, mais merci d'avoir répondu ^^
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Chanera Messages postés 54 Date d'inscription jeudi 19 mars 2009 Statut Membre Dernière intervention 14 décembre 2022 2
25 déc. 2013 à 14:25
Pense à faire de la recherche à côté, lieu, époque, soit bien au courant de l'environnement
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Chanera Messages postés 54 Date d'inscription jeudi 19 mars 2009 Statut Membre Dernière intervention 14 décembre 2022 2
23 déc. 2013 à 15:31
Salut JeuneEcrivain02400,

Quand je lis ta demande je vois un univers avec un jeune héro qui du jour au lendemain se voit découvrir des pouvoirs qu'il cachera au yeux du monde car il sait que l'humain à peur de l'inconnu et de l'étrange.

Il découvrira qu'il n'est pas seul à posséder des pouvoirs, éventuellement une guerre se prépare et lui, le héro qui n'a rien demandé est l'élu !

L'option qu'il ait une amoureuse sans pouvoir est possible.

Voilà une légère pensée sur tes quelques mots.

Bon courage
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JeuneEcrivain02400 Messages postés 6 Date d'inscription lundi 23 décembre 2013 Statut Membre Dernière intervention 5 janvier 2014
25 déc. 2013 à 09:42
Merci, c'est un bon début, je vais essayer avec ça ^^et merci à toi Chanera !
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Chanera Messages postés 54 Date d'inscription jeudi 19 mars 2009 Statut Membre Dernière intervention 14 décembre 2022 2
25 déc. 2013 à 14:25
De rien ;)
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Larsen26 Messages postés 55 Date d'inscription samedi 17 août 2013 Statut Membre Dernière intervention 2 août 2015 11
27 déc. 2013 à 00:32
Sérieusement ça me tue ça !
J'ai aidé un taquet de monde à débuter leurs romans, où à avoir des idées. Mais à chaque fois j'en pense pas moins, c'est nul.
Si tu as aucune idée de comment débuter ton roman, ni de comment le faire avancer, bah écris pas.. Ouais, des fois tu seras bloqué, des fois tu trouveras ce que tu as écrit nul, des fois tu t'énerveras, des fois t'écriras rien pendant 1 ou 2 mois, parce que ta pas d'idées et que ça te gonfle.. Mais si tu demandes des idées comme ça, bah ton livre, ce sera finalement pas le tiens.
Alors si tu signes jeune écrivain, c'est que tu sais écrire, et un écrivain ça demande pas sur des forums "J'ai pas d'idées aidez moi". Donc pose toi les bonnes questions :
Ton cadre : (personnages, lieu, époque)
Un problème, et c'est ce qui va donner le genre de ton histoire : (Un meurtre, un dragon sanguinaire, le coup de foudre...)
Et tu verras si tu fais ça, ça avancera tout seul. (Et là je te donne des conseils)...
J'sais pas toi, mais j'suis quand même un peu prétentieux, et écrire une nouvelle je voulais pas : Je voulais viser grand.
Tout ça pour dire que si tu sais pas quoi écrire sur 500 pages, fais une nouvelle de 50 pages, tu verras c'est super long déjà.
J'vais parler de moi (Ouais c'est prétentieux) Mais juste pour dire que j'ai commencé à 13 ans, et au début, c'était nul. J'ai écrit 50 pages, et puis je trouvais que c'était tellement naze, j'ai tout arrêté, et là j'ai 15 ans, et je suis reparti à 0 sur une autre histoire. Et j'ai crée, tout seul une époque (2400), mon lieu, mes personnages, l'histoire de la planète terre pendant ces 400 années. Et je trouve ça bien ce que j'ai fait. Et j'ai une fierté que je suis sûr que tu n'auras pas si tu es aidé par d'autres.
Voilà mon point de vue : Pour écrire, avance seul, mais hésite pas à te faire lire par contre, que les autres donnent leurs points vue.

Sur ce, j'te souhaite bonne chance ;-)
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JeuneEcrivain02400 Messages postés 6 Date d'inscription lundi 23 décembre 2013 Statut Membre Dernière intervention 5 janvier 2014
27 déc. 2013 à 13:05
Tu as raison, mais le truc, c'est ça :
Death World
Prologue.


Il faisait nuit dans le royaume d'Amachyne. Les forces maléfiques venaient envahir ce monde, et trois royaumes avaient déjà était réduit à néant. Dans le château du roi, une jeune femme à la peau pâle, une tête parfaite enrobée de longs cheveux blonds, et aux yeux cristal se promène pour sauver sa vie.
Un intrus avait été détecté, accompagné d'une armée obscure, et elle allait s'isoler dans un lieu sûr qu'elle avait créée elle-même, justement pour échapper à la situation actuelle. Sa robe de soie blanche l'empêchait de courir vite, et elle trébucha en face d'un miroir. Elle était arrivée.
Qui était-elle ? Bellawhyne, reine des elfes. Et oui, Amachyne était le nom du royaume des elfes. D'ailleurs, les elfes étaient la cible principale du fléau. Plus précisément, un nouveau-né, qui allait bientôt quitter le palais dans les airs !
La reine s'approcha du miroir, après s'être relevée tant bien que mal, et elle le toucha. Ce dernier était fait avec une glace magique, permettant le voyage dimensionnel.
La reine psalmodia dans une langue inconnue, et très vite, les bords en or du miroir commençaient à s'imbiber de runes.
On pouvait y lire « Quel est la réponse : Lorsque tout le monde a cherché, et que personne n'a trouvé, que toute réponse ne sert à rien, alors le lieu divin se révélera sur ma paroi. Quel est ce lieu ? »
La reine murmura la réponse, et la surface du miroir devint fluide, et elle reine le traversa. Elle déboucha dans une immense pièce blanche. Le sol était en carrelage blanc, le plafond était en blanc, et d'immenses haies formaient un labyrinthe.
Les feuilles de ces haies avaient été peintes en blanc, et ce fut pourquoi le labyrinthe était plus hostile. Mais pas pour Bellawhyne !
La jeune elfe s'engouffra dans le dédale de buissons blancs. Elle tourna à droite, puis à gauche, puis à un embrochement, elle alla vers la droite.
Au bout d'une dizaine de minutes, elle arriva au centre du labyrinthe. Il y avait une statue la représentant, avec des colliers sertis de vrais rubis et de saphirs (juste histoire de piéger les avares : quiconque touche à un diamant se fait incinérer sur le champ !).
Bellawhyne poussa la statue de toutes ses forces, et un escalier en colimaçon se découvrit. Il s'enfonçait dans les profondeurs du labyrinthe. Là où elle sera en sécurité.

Pendant ce temps, dans le palais, la bataille faisait rage. Des Lézardos, énormes reptiles cracheurs de feu, mais plus petit que les dragons (et sans ailes) attaquaient la garde elfique.
Des Nortas, ombres enveloppés dans des robes noires à capuchon et sans visage attaquaient la résistance à l'aide de magie noire. Les elfes perdaient du terrain, et les pertes étaient nombreuses !
Soudain sortit du néant le fléau. Il mesurait deux mètres et demi de haut, et avait un visage recouvert d'un imposant masque en argent.
Il avait de longs cheveux noirs, de longues et fines jambes, et était extrêmement maigre. Ses doigts étaient griffus, et des cornes de trente centimètres environ sortaient de son crâne.
Il avait une queue de diablotin noire, et des ailes de démon. Son âme froide était enveloppée d'une cape de fourrure noire, et cela réduisait un peu sa vitesse.
Ses armes étaient deux katanas très longs, mais spéciaux : dès que quelqu'un se fait toucher de cette lame, il ne lui reste que deux jours à vivre, sauf si le fléau en décide autrement.
Le roi des elfes, Amonythèsces s'élança à l'assaut du fléau. Du haut de ses un mètre quatre-vingt-dix, il s'élança avec sa lame et son arc à la main. Il était recouvert d'une armure en argent, d'une couronne en érable, et ses longs cheveux bruns étaient attachés en tresse.
Ses yeux bleus donnaient un style avec avec sa peau rayonnante. Il portait aussi une cape blanche, et déterminé à défendre sa femme, il tira des centaines de flèches blanches.
Elles avaient la particularité d'exploser au contact de chaire démoniaque, et de répandre de l'eau bénite dans l'air, ce qui avait pour but d'affaiblir l'adversaire.
Malheureusement, le fléau n'eut pas l'air atteins d'une quelconque douleur. Il dégaina ses katanas, et fit face au roi des elfes.
Ce dernier assaillait le fléau de c oups plus violents les uns que les autres. Mais très vite, le roi Amonythèsces fut fatigué, et se fit frappé des katanas. Le coup étant mortel, le poison ne servait à rien...
Triomphant, le fléau se dirigea vers une chambre royale, et s'approcha d'un berceau. Malheureusement, il était vide.
Le fléau hurla, et saccagea la chambre. C'est alors qu'il vit un griffon s'éloignant du palais, transportant un bébé. Le bébé que le fléau désirait.
Il sortit en trombe du palais, qui était rempli de cadavres elfiques mais aussi des Nortas et des Lézardos. Mais le seigneur noir se fichait de simples subalternes.
Arrivé dehors, il sortit une arbalète, et tira une flèche empoisonnée sur le griffon. Cette dernière ne fit que l'érafler, mais il continuait de voler.
Le griffon s'écrasa dans un petit village d'humains après deux heures de vol, et rendit l'âme. Le fléau jura qu'il allait revenir seize ans plus tard pour reprendre ce bébé, et il partit pour le Death World, île abritant le mal incarné.
Les elfes étaient presque tous morts, et les derniers s'enfuirent dans les bois. Seul restait la reine dans sa dimension. Mais elle pouvait attendre oui ! S'il le fallait elle attendrait !
Le griffon avait voyagé la moitié du monde magique (qui, au passage, se nomme Rackangharm), et il est atterri dans un village d'humains, se situant dans le royaume d'Ezebas, et ce fut un fermier qui trouva l'enfant.
Le village se nommait Madreva, et le fermier apporta le bébé au chef du village. S'en suivit alors une réunion de deux heures.
Au final, les Madreviens enterrèrent le griffon dans un champ, et le maire adopta l'enfant. Une jeune elfe qui avait les cheveux blonds (comme sa mère), et des yeux bleus (comme son père).
Son nom ? Aelina, surnommé « l'ange venu du ciel



Chapitre I : L'étrange Arthur



Seize ans passèrent, et la jeune Aelina avait bien grandi. Elle portait ses cheveux longs jusqu'au bas de son dos, et ses yeux bleus étaient rayonnants. Sa peau pâle et ses lèvres fines la rendait parfaite.
Chez elle, seules ses oreilles pointues la différenciaient des autres Madreviens. Son père adoptif (elle ne savait pas que ce n'était pas le siens), le maire, tenait à ce qu'elle soit traitée comme tout leur monde, venue du ciel ou pas !
A Madreva, on n'allait à l'école que jusqu'à la troisième, et c'était fini ! Aelina avait fini l'école depuis trois mois. Malheureusement, ses amis, Mathieu, un grand brun, et Mathias (ils étaient jumeaux) aussi, qui, quant à lui, était grand, mais avait des cheveux noirs.
Il lui restait au moins Rubis, mais elle était partie en voyage pendant une semaine, alors ! Ce n'était pas vraiment ce qu'elle voulait...
Je resterai donc seule pendant deux ans ou plus, et Rubis sera là une semaine sur deux !, pensa-t-elle. Cette idée ne la réjouissait pas, mais bon, elle n'allait pas demander à ses amis de laisser tomber les études par pur égoïsme ! Ce n'était pas son genre !
Alors qu'elle se promenait tranquillement dans les rues du village, elle crut qu'on la suivait. Cette idée lui sembla stupide, mais en regardant discrètement derrière elle, elle vit une silhouette enveloppé dans un manteau noir qui la suivait.
Juste pour vérifier, et accéléra le pas. L'inconnu aussi. Elle se mit à courir dans toutes les rues, en faisant attention au stand du marché annuel de Madreva, et s'arrêta, essoufflée dans une ruelle en cul de sac.
- Qu'est-ce que tu as à courir comme ça dans les sens ?, questionna une voix
Aelina se releva, et en face d'elle, l'inconnu avait enlevé son manteau... et il était ridicule : il portait un chapeau haute-forme blanc, avec un ruban rose, une cape en soie blanche à l'extérieur et rose à l'intérieur, une chemise blanche à boutons roses, un jean blanc, des chaussures blanches et roses. (Il faut noter que la mode vestimentaire de Rackangharm ressemblait à la nôtre)
- Haya !, hurla-t-elle. En garde sale clown ! J'ai fait des entraînements au combat au collège ! Tu vas morfler !!!
Tout ce qu'elle fit, ce fut de faire tomber le chapeau de l'inconnu, qui laissa place à de longs cheveux bleus, un visage bizarre, et une bouche avec une canine dépassant vers le bas.
- Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ? C'est quoi cet accoutrement ridicule ?, questionna Aelina, qui avait frôlé la crise cardiaque de peu. Répondez !
- Bonjour Dame... machinbidulechouette, je me nomme Arthur Frosk. Tout comme vous, je suis un elfe, et je viens vous voir au nom de mon royaume.
- Primo, répondit sèchement Aelina, mon nom ce n'est pas machinbiduleect. mais Aelina. Secundo, vous n'êtes pas un elfe, aucun des nôtres ne porte un accoutrement aussi ridicule. Troisio, tout le monde sait que le fléau a détruit le royaume des elfes il y a seize ans, et que je suis probablement la dernière, d'après les Madreviens !
- Oh ? Vous doutez de ma parole ?, répondit Arthur. Cela ne vous étonne-t-il pas que vous soyez le dernier elfe, mais que vous soyez née de parents humains, qui plus est, dans le royaume des hommes ? Vous ne vous êtes jamais questionnée, Dame Aelina ?
- La ferme !, tonna-t-elle. Mon père m'a dit que ma mère était une elfe qu'il avait rencontré lors d'un voyage dans les bois. Il m'a dit qu'elle faisait partie d'une deuxième sorte d'elfes, les elfes sylvestres. Et je le crois ! Je suis une elfe sylvestre, et je tiens cela de ma mère !
- Je ne vous suis pas..., raisonna Arthur. Vous dites que les vôtres ont étés détruits par le fléau il y a de cela seize ans, et que vous êtes probablement la dernière de ces derniers... et pourtant, votre père vous dit que votre mère était une elfe sylvestre, donc que vous en êtes une aussi. Et à ma connaissance, les elfes sylvestres sont toujours prospères... Alors ? Etes-vous sylvestre ou une elfe pure ? Etes-vous sûre de votre naissance ? De vos parents ? Je dis qu'on vous cache la vérité et que...
Arthur n'eut pas le temps de finir sa phrase : en pleurs, Aelina lui assena un énorme coup de poing dans le ventre, ce qui le fit tomber à terre.
Avant qu'Arthur ne se relève, Aelina courra dans le marché, traversa la moitié du village, et arriva chez elle, le cerveau en ébullition. Mais qui était cet inconnu ? Que lui voulait-il ? Comment pouvait-il en savoir autant ?
Elle poussa la porte en érable entouré d'un mur de pierres bleues, et traversa le hall d'entrée. Sur les escaliers, son père, un homme grand et musclé qui portait la barbe et les cheveux longs et frisés, se tenait là.
- Qui a-t-il ma fille ?, dit-il alors de sa voix mielleuse. Pourquoi pleures-tu ? On t'a dit que tu n'étais pas des nôtres ?
- Dites-moi la vérité !, tonna-t-elle. Pourquoi ? Pourquoi me mentez bous hein ? Pourquoi ? Tout le monde dit que je suis la dernière elfe pure, probablement, et que le fléau a détruit les miens... alors pourquoi dites-vous que ma mère était une elfe sylvestre ! Qu'est-ce que vous ne me dites pas?
Je te dois en effet quelques explications. Approches.
Aelina s'approcha, et son père l'invita dans le salon. Il ouvrit une porte donnant sur une pièce avec des canapés brodés, des vases remplis de bouquets sur des napperons en crochets, une table, un service à thé datant d'il y a cent ans, et une imposante cheminée.
Une fois assis, le maire expliqua à Aelina qu'il n'était pas son père. Il lui expliqua comment, venue à dos de griffon, il l'avait adoptée. Il lui dit qu'ils avaient enterrés le griffon, et qu'il l'avait adoptée pour sa sécurité.
Ces révélations soudaines firent un choc émotionnel à Aelina, qui, en titubant, s'approcha de la fenêtre, puis alla sur le balcon. Son père lui laissa son intimité, et sortit, comme si il était en deuil.
- Heureusement que je suis intervenu, maugréa Arthur, sinon, il n'aurait pas craché le morceau !
- Qu'est-ce que tu as fait ?!, tonna a Aelina. Et que fais-tu sur mon balcon ?!
- Moi ?, miaula Arthur. Dison que je suis ici pour t'expliquer certaines choses. Discrètement, je t'ai ensorcelée lors de notre rencontre : pendant trente minutes toutes les questions que tu poses devrons avoir une réponse de la part de la personne et...
- Qui es-tu ?, questionna tout simplement Aelina.
- Merd*** ! Je suis un sorcier d'Emparhus, et j'ai une mission qui consiste à éradiquer le fléau, et pour cela, il faut que tu connaisses la vérité, et que tes pouvoirs se révélent. Si jamais ma mission échoue, j'ai pour ordre de tuer le fléau moi-même, ce qui signifie ma mort... Ben dis donc ! T'es maligne toi ! Heureusement, le sort s'arrêtera d'ici une minute. Tu n'es pas heureuse d'avoir appris la vérité ? Réponds-moi tout simplement : si tu veux en savoir plus, rejoins-moi ce soir, à la taverne « Deuxième Chance », à minuit. Si tu viens, je te dévoilerai tout. Si tu ne viens pas... je te laisse deviner, sachant que je suis un maître en kidnapping. A ce soir !
Arthur se jeta du haut du balcon, atterri en bas, et s'engouffra dans la foule de Madreviens, laissant Aelina, incrédule sur son balcon.
La jeune elfe ne savait plus où elle en était : toutes ces révélations d'un coup, des chocs émotionnels, et en plus, elle était terrifiée. Et tout ça à cause de ce... Arthur ! « Il est venu pour me pourrir la vie c'te put*** de clown ou quoi ?! », pensa-t-elle.
Puis, elle capta les paroles d'Arthur. Il était sorcier ? Cela pouvait expliquer tout... une rumeur courrait depuis l'aube des temps, et, selon laquelle, certains sorciers maîtrises le temps, et peuvent accélérer les choses... Ce sorcier avait-il ensorcelé Aelina ?
Cette dernière esquissa un regard vers la taverne qu'on pouvait voir d'ici. C'était le repaire de brigands, et elle n'avait pas envie de s'y aventurer ! Son père n'était que le maire, mais chaque royaume est dirigé par un roi, alors si elle se faisait enlevée, son père irait voir le roi...
En quoi étais-ce affreux ? Le roi tient Aelina à l'oeil depuis son arrivée... remarquable. Et si il apprenait qu'elle avait été enlevée, il fendra de la chercher, mais il engagerait sûrement des assassins !


Voilà, j'ai l'impression d'aller trop vite, faire tout ça en seulement 9 pages, je crois que c'est trop rapide, je penses qu'il faudrait l'étaler sur une vingtaine de pages ! Le voilà mon problème de page blanche : j'ai l'impression d'aller trop vite ^^. Sinon, je suis entièrement d'accord avec toi.
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JeuneEcrivain02400 Messages postés 6 Date d'inscription lundi 23 décembre 2013 Statut Membre Dernière intervention 5 janvier 2014 > JeuneEcrivain02400 Messages postés 6 Date d'inscription lundi 23 décembre 2013 Statut Membre Dernière intervention 5 janvier 2014
27 déc. 2013 à 14:36
Petite précision, 'ai un 2eme sujet en cours, si vous voulez, je le poste aussi ;)
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JeuneEcrivain02400 Messages postés 6 Date d'inscription lundi 23 décembre 2013 Statut Membre Dernière intervention 5 janvier 2014 > JeuneEcrivain02400 Messages postés 6 Date d'inscription lundi 23 décembre 2013 Statut Membre Dernière intervention 5 janvier 2014
5 janv. 2014 à 12:32
Voici le sujet n° 2, dites moi lequel vous préferez :





Prologue


Tout à commencé alors que je n'avais que l'état du foetus. Moi et mon frère jumeau étions déjà maudits, car dans notre clan, si deux jumeaux naissent, ils sont amenés à se battre jusqu'à la mort. Au début, je ne comprenais pas cette malédiction, mais je voyais bien des souffrances dans le regard de ma mère. Mon sang et celui de mon frère devraient couler à flot. Et c'est ce qu'il s'est produit...
Actuellement, je suis morte. Lorsque l'un des jumeaux à tué son frère ou sa soeur, lui même doit mourir, et nos âmes errent dans le monde qui nous a causé tant de souffrance. Mon frère vient de mourir dans mes bras après m'avoir tiré dessus avec le revolver de notre père. Étant condamné par une blessure mortelle, il avait voulu me tuer avant qu'il ne meure, pour son honneur. Cela fait six ans que moi et mon frère cherchons à nous tuer. Cela fait six ans que nous avons appris à assassiner...
Qui suis-je ? Je n'ai pas de nom. Les assassins n'ont pas de noms, cela leur est inutile. Tout le monde dans mon clan m'appelle Zarha. C'est étrange hein ? Pour préciser, je suis une fille, et mon frère... ben mon frère c'est un garçon ce qui est logique. Nous sommes les jumeaux maudits, et nous venons de mourir, dans les bras de l'autre...
Au final, je méritais de mourir, car à cause de moi, tant de gens ont soufferts... j'ai appris que je devais tuer mon frère à l'âge de douze ans, et ma mère m'a conduite dans une académie d'assassins. Quand elle m'a tenu la main, je me suis dit qu'elle allait enfin se débarrasser d'un lourd fardeau. Moi. Sa poignée de main était froide, sanguinaire, montrant qu'elle ne voulait plus de moi, et pourtant, elle réchauffait mon coeur, m'empêchant de glisser... ou de m'enfuir.
Le problème était encore plus complexe : mon frère était tout comme moi un vampire, et toute ma famille me fuyait comme la peste. La solitude que j'éprouvais était comblée par ma présence de mon frère qui me réconfortait et empêchait mes larmes de couler.
Et maintenant, je devais le tuer. Je me souviendrai toujours de ce souvenir physique et chaleureux qui fut le dernier moment passé en paix avec mon frère. Cette étreinte qui m'a fait tant de bien, et qui m'empêchait de partir. A quoi bon, ma mère m'a quand même emmenée !
Dire que je me suis abreuvée de mon frère il y a deux minutes, avant de sombrer dans la mort... lui, on lui a donné le nom d'Hojikaa. Étrange, car Hojikaa était le nom du roi du meurtre et du vol, ce qui ne me rassurait pas. Après que ma mère m'aie emmenée, je n'ai plus eut de nouvelles d'Hojikaa.
Arrivées à la grande porte d'érable ornée de motifs en rubis qui était l'entrée de l'académie, perdu dans un bois immense et impossible à traverser sans véhicule, ma mère ne fit que murmurer quelque chose, et la porte s'ouvrit. Nous avons avancées, puis, elle est sortit, refermant la porte derrière moi. Le hall d'entrée dans lequel je me trouvais était plutôt petit, à peine de quoi faire entrer dix homme.
Le sol était recouvert de carrelage avec des silhouette de démons dessus, et le plafonds était maintenu par des colonnes en or et en jade. Le plafond lui-même était en jade.
Je me suis assise dans un coin, et j'ai pleurée toute les larmes qui me restait. Mes longs cheveux bruns mettaient en valeur mes yeux rouge luisant, et ma peau pâle. Mes canines auraient put faire peur si elle avaient déjà servie. Or, le sang que je buvais était livré dans des poches en plastique.
Ma tenue en cuir noir ne faisait que me vêtir, car il ne me réchauffait pas assez, il ne réchauffait pas mon âme. Et oui, je suis plutôt sombre, mais avec la vie courte que j'ai eue, il faut me comprendre. Alors que je n'avais plus une seule larme à faire couler sur mon visage emplit de peur, un des mur est devenu fluide, puis liquide, et un homme l'a traversé.
I8l était grand, plutôt m aigre, avec de longs cheveux noirs, des lunettes rondes et des canines, tout comme moi, des canines de vampires, mes ses yeux n'étaient pas rouges non, il étaient entièrement blancs. Il était aveugle, et pourtant, il semblait me voir, assise dans l'ombre.
Il était vêtu d'une longue robe noire, de chaussures noires, d'un pantalon en cuir noir, et ses mains étaient bien au chaud dans des gants en cuir eux aussi. Sa robe ayant des manches, je doutais que c'en était une. Il avait les mains croisées derrière son dos, et il se tenait droit, un sourire sournois traversant son visage.
J'ai relevée la tête, et me suis relevée en m'aidant d'une colonne. Je me suis agrippée à cette dernière, qui semblait incassable. L'homme m'a alors tendu la main, en me disant de le suivre vers la lumière. Je ne comprenais pas comment un homme aussi terrifiant pouvait être si chaleureux.
Je suis Amacky, directeur de l'académie des assassins. Comme tu peut le voir, je suis comme toi, enfin presque. Certaines personnes me connaissent sous le nom de Satan, mais ma réputation est fausse, car vois-tu, je suis là uniquement pour t'aider. Si on dit de moi que je suis le mal incarné, c'est juste parce que beaucoup de gens vivent un véritable enfer en ma compagnie. Ne t'en fait pas, je serais moins sévère avec toi. Suis moi allons ! Si tu es ici, c'est que tu es une future tueuse, et ta cible est... ne me dit rien... Hojikaa Prendergastr !
Là j'étais perdue, c'était le monde à 'envers : j'avais le diable en face de moi, enfin, si il disait la vérité, et il semblait chaleureux, presque gentil, et il faisait du mentalisme. Je ne croyais pas ce que je voyais, et j'ai refusée d'avancer, je n'ai fait que 'abriter derrière la colonne en jade.
L'homme s'est alors approché de moi, et 'a dit que c'était juste une blague, qu'il n'était pas Satan, qu'il était juste un vampire aveugle. Je suis quand même restée agrippée à cette colonne qui avait l'air plus sûre que cet homme qui était un parfait inconnu.
C'est alors que j'ai remarquée ses doigts griffus et ses veines ressortant de sa peau. J'ai alors vue une queue se terminant en pic derrière ses jambe, et des cornes fines et pointues de vingt centimètres poussèrent sur son crâne.
J'ai commencée à me questionner sur lui : comment un vampire pouvait être un démon à la fois ? Et alors je me suis souvenue d'une rumeur: Satan avait le pouvoir de l'oppression, c'est à dire contrôler un corps à distance. Cet homme en face de moi était le réceptacle de Satan !
Viens à moi Zarha, tu as besoin de moi, tu as besoin d'affection, d'un foyer... et si tu veux... tu pourras m'appeler... papa ! HAHAHAHAHAAA !!! Viens à moi, tu ne peux lutter éternellement HAHAA !!! Allez viens sale rejeton des Prendregarstr, viens à moi et tue moi ton frère qui doit lui aussi te tuer NIAHAHAHAHAAA !!!
Je ne me souviens plus trop de la suite, tous mes souvenirs sont flous, je ne me rappelle de rien, juste qu'en une fraction de seconde, je me retrouvais attachée sur une table d'opération, et qu'on me greffait quelque chose dans le corps, un genre de puce électronique.
Je me souviens d'avoir la lumière dans les yeux, et que des hommes en blouses m'ouvraient le ventre, et que je me vidais de mon sang. Je me souviens des cris que je poussais lorsqu'ils ont recousus mon ventre.
Puis, il y a eut anesthésie, et je me suis réveillée dans un dôme en pleine nuit. Il y avait de la végétation partout, et des cris retentissaient. Des hauts parleurs étaient de chaque côtés de ce dôme plutôt petit. Je me souviens encore de la voix de Satan qui disait « Le dernier survivant face aux loups de Gharhox aura le droit de vivre une semaine de plus ». Et cela a duré trois ans, toute les semaines, on nous envoyait dans le dôme face à des créatures immondes assoiffées de sang.
Plus tard, je me suis rendue compte que la puce décuplait mes capacités physique, et m'empêchait d'avoir faim ou soif, donc je n'avais plus besoin de m'hydrater ou de me remplir la pense.
Et tout cela pendant trois ans, à chaque fois que je ressortait du dôme, la semaine qu'on nous laissait étaient passée à l'hôpital. Puis, le jour tant attendu est arrivé alors que je n'avais que quinze ans.
On a annoncé l'arrivée de mon frère dont je n'avais aucun souvenir physique à part cette étreinte. Lorsqu'ils m'ont faits entrer dans le dôme pour la énième fois, j'avais toujours la même apparence, et pourtant, quelque chose en moi avait changé, le sang me faisait plaisir, je jouissait de voir des gens mourir.
Mais lorsque ce fut mon frère qui entra, je ne put empêcher une larme de couler, car il n'était plus le même. Il avait des centaines de cicatrices sur son torse nu, et ses courts cheveux bruns étaient devenus de longs cheveux rouges. Ses yeux étaient rouges sang, et ses canines étaient encore tachetées de sang dont il s'était abreuvé non par nécessité, mais par plaisir. Il avait un pantalon en cuir, ce qui faisait ressortir la peau pâle que nous avions out les deux.
Mais là n'était pas le problème, car lorsque le coup de feu retentit, nous fîmes deux à se jeter sur l'autre, avec l'envie de le tuer... mais alors que nos deux lames allaient trouver le corps de l'autre, le temps s'est comme qui dirait figé. Hojikaa m'a murmuré un mot à l'oreille, ce qu'i m'a rendue heureuse... fuyons !
Le dôme à alors explosé, et des centaines de gardes furent tuer, la végétation s'est enflammée, et en face de nous se trouvait un vaisseau avec deux garçons et une fille qui ouvraient les portes. Hojikaa m'a alors portée, et s'est rué vers le vaisseau. Malheureusement, nous fûmes assaillis par des monstres horribles. Ce fut à ce moment là que nous nous sommes rendus compte que nous allions mourir.
Et ce fut un soulagement pour nous deux de voir quele vaisseau était équipé d'armes. Le garçon, plutôt jeune, même pas dix ans aux longs cheveux blonds et aux yeux bleus qui tirait avait du talent, et il décima tous les loups trolls ogres et autres créatures horribles. Lorsque nous fûmes dans le vaisseau, le, pilote, avec de courts cheveux blanc et des yeux vert décolla, et rendis le vaisseau invisible pour tous à l'aide d'une technologie unique.
Et bien voilà comment à commencé mon aventure qui se finit plutôt mal. Maintenant que je suis morte, je n'ai plus trop de souvenirs, donc mon récit risque de ne pas trop être détaillé, mais bon ! Qui sommes-nous moi et mon frère ? Nous sommes les jumeaux maudits...





































Chapitre 1 : Retrouvailles.


Après avoir faits exploser le dôme, moi et mon frère nous sommes enfuis avec les trois pilotes de vaisseaux. J'ai appris que c'était des amis qu'Hojikaa s'était fait en s'entrainant lorsqu'il le voulait.
J'ai appris que son entrainement étant plus rude, il avait plus de temps de repos. Le tireur du vaisseau, Calhax, avait parlé au directeur de l'académie où était Hojikaa, qui était son père, et lui avait demandé un vaisseau pour nous aider à survivre. Le directeur à tout de suite accepté, traitant Hojikaa comme Calhax, le considérant comme son fils.
Le pilote du vaisseau, Edwin, s'était évadé il y a longtemps, et avait trouvé le campement de Calhax et Nora, la technicienne du vaisseau, avec de longs cheveux bruns frisés et des yeux noisettes. Calhax avait proposé à Edwin de les accompagner pour sauver tout le monde. Hojikaa m'a alors demandé de le suivre, ce que j'ai fait, et ce qu'il; m'a dit ne m'a pas rassurée du tout :
Écoutes..., dit-il de sa voix tremblante, le directeur à été obligé de m'implanter une puce électronique qui fait qu'un jour ou l'autre, je ne contrôlerai plus mon corps, et je te tuerais si je ne l'avais pas fait aujourd'hui, ce qui est le cas. Méfies-toi de moi pour l'avenir !
Non, jamais !, répondis-je sèchement. Je refuses de prendre part à ce jeux ! Il existe certainement un moyen d'éradiquer cette puce. On vas le trouver, et dès aujourd'hui !
D'accord, si tu veux, mais attention, même sans cette fichue puce, avant de venir dans ton académie, père et mère m'ont rendus visite, et ensuite, ils devaient venir te voir, mais on dirait que quelqu'un leur à arraché le coeur et s'est abreuvé de leur sang ! Tu devrais avoir peur de moi, si j'ai peut tuer père et mère, ce sera un jeux d'enfant d'en faire de même avec toi !
C'est alors que son regard à changé, et ce fut un meurtrier que j'eut en face de moi. Il sortit une dague de sa poche, et posa la lame sur mon cou, ce qui fit couler un filet de sang. Hojikaa ricana de tout coeur, puis, son regard redevint comme avant, et il loucha sur la dague. Il a reculé d'un bond, ses tenu la tête entre les mains, et a hurlé. La puce faisait déjà effet. J'étais perdue.
Je me suis précipitée à l'avant du vaisseau pour alerter les autres, et ce fut Nora qui vint voir. Lorsqu'elle fit Hojikaa dans cet état, elle le frappa de toute ses forces, ce qui le fit tomber à terre, dans le comas, et elle le déposa sur le lit d'une cabine, en fermant la porte à clef.
Visiblement, elle avait l'habitude de ces cas là, et moi, je me suis éloignée le plus possible de mon frère que je ne reconnaissais plus. Je me suis enfermé dans une cabine, et j'ai pleurée tout ce que je pouvais. A peine nous nous étions retrouvés qu'il fallait déjà en finir.
Nora est entrée, et s'est assise à côté de moi. Elle m'a tenue dans ses bras, tentant de me réconforter, ce qui fonctionna. Elle m'a alors dit que ce phénomène était dut au fait qu'Hojikaa devenait de plus en plus fragile, et que seul le comas pouvait l'aider. Elle m'a expliquée qu'à l'académie, il fallait l'assommer, et l'enfermer pour qu'il se contrôle.
J'ai appris que le père de Calhax, le directeur, après cette première manifestation avait décidé d'enlever la puce à Hojikaa même si il fallait le payer de sa vie, mais en vain...
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