Avis sur mon prologue et 1 er chapitre

Bonjour,
Alors voila, j'ai 14 ans et je suis pasionnée par l'écriture.
Alors je me suis lancée dans l'écriture d'un roman.
Je n'ai pas encore de titre, je pensais à : ne m'oublie pas.
Je vous donne mon prologue et mon premier chapitre et j'aimerais savoir ce que vous en pensez.
Je m'excuse d'avance pour les fautes d'orthographes.
Merci d'avance
G.A

Prologue:
J'ai perdu mon rayon de soleil, et depuis six mois, je vis dans l'obscurité. Sans aucune particule de lumière, ma vie à été réduit à néant en l'espace d'une année. Je me glisse souvent au fond de ma piscine, dos contre la paroi granuleuse pour admirer mes bulles d'air remonté une à une vers la surface, vers cet autre endroit que j'aime appeler : un monde parallèle.
Ce monde où je ne me sens maintenant plus à ma place, après six mois à endurer touts ses regards, j'ai était faible, j'ai lâché prise.
Ma vie me semble tellement pathétique à présent, mais, dans ce monde aquatique si parfait, je ne pense plus à lui.
Je suis tellement émerveillé par toute cette beauté que son nom, son visage, ou la sensation quand ses lèvres touchaient les miennes me sors complètement de l'esprit.
Se sentir portait par toute cette eau, ce sentiment de liberté me fait oublier ma peine.
Le sourire me revient dans ces moments-la, ma joie de vivre renaît.
Mais très vite je manque d'air, j'étouffe et il faut rapidement que
j'émerge, je passe ce portail et la c'est le drame, je revient subitement à la réalité en un claquement de doigts, en une fraction de secondes.
Il hante de nouveau mes pensées, mes faits et gestes comme si il était encore avec moi.
Je fond littéralement en larmes à chaque musique que nous avions écouté, à chaque film que nous avions regardé ou à chaque endroit où il m'avait conduit.
Le plus dur je crois, c'est quand je ressasse le jour de notre rencontre, que je ressens toute cette joie qui hante encore les lieux. Toute cette émotion m'envahis de nouveaux et je le revois devant moi, la main dans ses cheveux, regardant par la vitre.
Je me sens tellement seul à présent sans personne pour m'aimer.
Personne pour me comprendre, je passe le plus claire de mon temps dans cette bulle que je me suis construite, qui me permet tout juste de vivre.
Je repense souvent a ce rêve éveillé que j'ai vécus cette année, mais il est désormais finie, et malgré cela, il est encore en moi.
Je relis souvent cette phrase qui m'évoque inévitablement ce qui c'est passé : « Nous nous étions trouvés, nous nous étions perdus »
C'était nous cette phrase, c'était notre histoire.

Chapitre 1- Une rencontre pas comme les autres :

Je m'étais toujours demander à quoi pouvais ressembler la vie d'une lycéenne, mais aujourd'hui j'allais en vivre l'expérience. Je rentrais en seconde ce matin-là.
Le seul mot qui me venais à l'esprit,c'est le stress, ce sentiment si terrifiant qu'il vous paralyse, cette boule au ventre si pesante qu'elle vous ferais bien tomber.
Il fallait bien que cela arrive un jour. Un jour ou l'autre j'allais bien me retrouver au lycée et ce jour-là c'était maintenant.
Je devais absolument sortir de mon lit, mais j'en étais incapable.
J'étais tellement tétaniser par la peur qu'il m'étais impossible de bouger.
Vite ! Le temps défilé si vite, déjà sept heures et demi et dans un quart d'heure, je devais prendre mon bus, ce moyen de transport qui me conduirais vers cette terre inconnue, c'était le seule endroit ou je ne voulais en aucun cas posait un seul pied, j'étais si terrifiée par tout ça que des petites larmes me coulais le long des joues, ce qui ne faisait qu'accentuer mes craintes.
Je m 'étais levée si rapidement que pendant quelques secondes j'étais complètement déséquilibré.
Le temps de prendre une douche en vitesse, de déjeuner très rapidement et de me mettre quelques coups de crayons sur mes yeux qu'il était déjà l'heure de partir.
Le stress montait peu à peu, la boule qui trônait dans mon ventre se faisait de plus en plus présente, maintenant des gouttes de sueurs perlaient sur mon front.
Après tout pourquoi m'inquiétait, ce n'était pas la mort je rentrais
simplement dans un lycée que je ne connaissais pas, une cage aux fauves où j'allais me faire dévorer. C'est comme ça que je voyais cet endroit, mais je n'avais plus le temps de réfléchir, il fallait que je parte et rapidement.
Je ne ressemblais à rien, mon maquillage était complètement difforme : un oeil plus maquillait que l'autre quant à mes cheveux, ils étaient encore un peu en pétard et mes habits n'en parlons pas, pour mon premier jour je portais tout simplement une jupe serrée d'un noir si profond qu'on aurait pu penser que j'étais en deuil avec un modeste chemisier qui lui était blanc comme neige.
Avant je ne voyais pas l'utilité ni le besoin de me maquiller ou de m'habiller comme une diva, je m'aimais comme j'étais mais, maintenant tout à changer, le simple regard des autres me fait très peur.
Je suis devenue comme toutes ces filles très superficielles, qui ne pense qu'à leur apparence et au regard qu'un simple inconnu porte sur elle.
Je n'avais pas encore vécue ma première journée dans ce lycée que j'avais déjà des préjugés sur tout ce qui si passe.
Il fallait que je me dépêche, mon arrêt de bus n'est pas très loin de chez moi, seulement une centaine de mètres mais, vu mon état, le trajet allait me prendre une éternité.
Je n'arrivais pas à courir, mes jambes étaient toutes engourdies, après un été passait à la plage et autour de la piscine, elles ne suivaient plus le rythme.
Au moment où je suis arrivée sur place, un groupe d'élèves trônait déjà devant l'arrêt de bus.
Il y avait à vue d'oeil une dizaine de personnes et on distinguait très clairement trois groupes d'individus : le premier était composé de trois ou quatre membres, ils portaient tous des tenues noirs et toutes aussi extravagante les unes que les autres.
Les filles portaient pratiquement toutes de longues robes noires, avec un col en dentelle blanche qui était placé très près de leurs cou, elles n'étaient pas très rassurante, elles m'ont quelques peu effrayait mais, dans la tenue où je me présentais, ils auraient sans doute m'accepter sans hésitation dans leur groupe. Dans mon ancien collège, nous portions tous l'uniforme, aucun élèves dans cette tenue n'aurait été accepté, c'est pour ça que cela me semblait étrange, au moins il n'y avait aucune moquerie sur le style vestimentaire de chaque élève, alors qu'ici, j'en redoutais un nombre incalculable de à mon égard.
Le deuxième groupe lui n'étais composé que de garçons, tous habillés comme de vieux hommes à la retraite depuis bien longtemps, un d'entre eux portais un sac à dos sur ses deux épaules, il était noir ou bleue marine, de ma position je n'arrivais pas très bien à distinguer sa couleur et sur la poche avant, il était inscrit un mot assez étrange, « SKIN », je ne connaissais pas la signification de ce mot mais, il ne faisait aucun doute que ce groupe d'individus pouvait se nommé
« Les geeks ».
Il avaient tous des coiffures très étranges et portaient tous ou presque une grosse paire de lunettes de vue avec une correction extrême.
Quand au troisième groupe, eux c'était les populaires. Les pom-pom girls et leurs basketteurs.
Elles étaient toutes aussi magnifiques les unes que les autres, on auraient pu penser que c'était des poupées de cire neuves tout droit sortie de l'usine, l'acné n'était jamais arrivée sur leurs visages.
Elles portaient toutes un uniforme avec inscrit en gros sur la partie du haut de l'ensemble, le nom de l'équipe de basket du lycée : « les chuck-luckys », un nom plutôt étrange.
Sur le haut de leurs têtes toutes blondes, elles avaient une coiffure très stricte, ce qui me rappelait mon ancien collège, un catogan ou aucune mèches ne dépassaient.
Mais une des filles attirait particulièrement mon attention, elle se trouvait un peu en avant des autres, comme si c'était elle qui commandée toute cette petite troupe, elle était tellement jolie, la plus belle de toutes.
Elle avait une main sur sa hanche, de jolies basket bleue marine comme quelques parties de sa jupe. Son uniforme était impeccable, pas un seul plis sur sa tenue, elle était composé de deux pièces, la partie basse ou se trouvait la jupe rouge avec très peu de bleue marine sur les côtés et, des franges sur toute la partie inférieure, le haut lui etait du même rouge que la jupe avec seulement sur la partie haute le nom de l'équipe de basket, elle portait aussi collier avec inscrit en lettre d'or, un prénom : « Sam », c'est sans aucun doute le nom du basketteur à qui elle tenait la main.
Quant à eux, les basketteurs, ils portaient une veste de la même couleur que l'uniforme de leurs copines, avec eux aussi inscrit sur la partie haute de la veste le nom de l'équipe.
Sam lui, était bien différent des autres garçons, sa veste n'était pas posée sur ses épaules musclés comme un athlète mais il la tenait simplement de la main qui n'était pas prise par la pom-pom girl.
Il avait une belle chevelure blonde, plus clair encore que celle de sa petite amie qui lui tombait à peine devant ses grands yeux bleue lagon, d'une tel puissance qu'ils auraient fait chavirer un grand pat bot.
C'était sans aucun doute le plus beau garçon de son équipe.
Pendant que j'étais dans mes pensées, je n'avais même pas remarqué que le bus qui devait me conduire vers le lycée était arrivé depuis quelques secondes.
Il était jaune comme j'aurais pu m'en douter avec marquer en grand écriteau noir le nom de mon très cher nouveau lycée : le lycée Mcflield. C'était un joli nom pour un lycée, après avoir découvert le nom de l'équipe de basket qui lui était affreux, je m'attendais à ce que celui du lycée soit encore pire.
J'ai tout d'abord laisser passer devant moi « les gotiques » puis « les geeks » et enfin quand « les populaires » sont arrivés, j'ai pu encore mieux constater la beauté de Sam, il avait lâché le main de sa pom-pom girls, il a tout d'abord laisser passait tout son groupe devant lui et quand il s'est aperçue de ma présence, il s'est exclamé :
-Tu es la nouvelle ?
J'étais tellement tétanisé par sa demande que je répond d'une voix peu distincte :
-Oui c'est moi.
Il m'a de nouveaux posé une question:
-Comment t'appelles tu ?
Sa question me troublait, pourquoi a-il besoins de connaître mon nom, est-ce par simple politesse ou parce qu'il s'intéressait à moi. Je le faisait attendre, je me suis donc empressé de répondre :
-Je m'appelle Quinn et toi ?
Il me répondit en me lançant un sourire :
-Moi c'est Sam.
Soudainement dans le bus, un cri retentit : -Sam tu viens ?
Il s'est empressé de répondre :
-Oui j'arrive. Bon on se verra plus tard
-Oui à plus tard
Je suis montée immédiatement après lui, essayant de trouver une place avec personne à côté de moi, la seul place vide qu'il restait était celle en face de Sam et sa copine, je m'y suis donc assise sans tarder car le bus commençait déjà à partir.