Comment trouvez-vous mon livre?
Paupaul340
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Paupaul340 Messages postés 20 Date d'inscription jeudi 15 décembre 2016 Statut Membre Dernière intervention 10 août 2017 - 11 juin 2017 à 12:06
Paupaul340 Messages postés 20 Date d'inscription jeudi 15 décembre 2016 Statut Membre Dernière intervention 10 août 2017 - 11 juin 2017 à 12:06
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25 avril 2017 à 19:12
25 avril 2017 à 19:12
Salut à toi,
Vu ton âge relativement jeune, c'est étonnant, positivement bien sûr...
Le suspense est présent ainsi que l'ambiance, la mise en scène un peu rapide mais correcte.
Juste un petit problème, tu appuies, à mon goût, trop sur les détails, bien cela soit nécessaire pour certain, mais pas pour tous.
Hâte de voir la suite, mais n'étant pas très actif ici j'ai peur de ne pas être au courant... J'essaierai de trouver une solution viable.
Bien à toi.
PS: vérifie ton orthographe, il me semble que j'ai croisé quelques fautes mineures.
--
Vu ton âge relativement jeune, c'est étonnant, positivement bien sûr...
Le suspense est présent ainsi que l'ambiance, la mise en scène un peu rapide mais correcte.
Juste un petit problème, tu appuies, à mon goût, trop sur les détails, bien cela soit nécessaire pour certain, mais pas pour tous.
Hâte de voir la suite, mais n'étant pas très actif ici j'ai peur de ne pas être au courant... J'essaierai de trouver une solution viable.
Bien à toi.
PS: vérifie ton orthographe, il me semble que j'ai croisé quelques fautes mineures.
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Pommy145
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2 mai 2017
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30 avril 2017 à 19:07
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Je trouve ça pas mal du tout, j'aime bien (revoies peut-être quelques thermes) ! :)
Paupaul340
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10 août 2017
1 mai 2017 à 13:16
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Merci beaucoup! Tu m'aides à avancer! :-)
Pommy145
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Paupaul340
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10 août 2017
1 mai 2017 à 14:09
1 mai 2017 à 14:09
Avec grand plaisir, et si tu as besoin de quelques conseils, ou d'avis, n'hésites pas. :)
Bonne continuation !
Bonne continuation !
L-Elf
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4 décembre 2017
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11 mai 2017 à 22:41
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Quelques "thermes" ? Y a que moi que ça choque? :(
Paupaul340
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10 août 2017
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L-Elf
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4 décembre 2017
13 mai 2017 à 08:37
13 mai 2017 à 08:37
Figure toi qu'écrire un livre à mon âge n'est pas chose facile. Alors si ça ne te plait pas, ne lis pas. Je suis ici pour lire les commentaires objectifs.
lixette
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12 mai 2017 à 07:42
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Forcément, ça saute aux yeux, mais il lui faudra reprendre l’ensemble pour éradiquer les fautes !
lixette
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Modifié le 9 mai 2017 à 11:33
Modifié le 9 mai 2017 à 11:33
Eh bien, moi j’aime bien, et j’avoue que je suis étonnée qu’un garçon de ton âge écrive déjà si bien ; D’accord, je ne suis pas experte en matière d’écriture, mais j’apprécie ton style, la richesse de ton vocabulaire, et le suspense que tu sais mettre dans ta narration (quelques petites fautes d’orthographe à dépister …) tu m’as intriguée et j’attends la suite …
Bonne continuation
Lixette
« Agis comme s’il était impossible d’échouer » – Dorothea Bronde
Bonne continuation
Lixette
« Agis comme s’il était impossible d’échouer » – Dorothea Bronde
Paupaul340
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10 août 2017
9 mai 2017 à 21:39
9 mai 2017 à 21:39
Merci beaucoup! Je vais revoir mon orthographe. :-)
lixette
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Paupaul340
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10 août 2017
10 mai 2017 à 07:16
10 mai 2017 à 07:16
Si tu mets une suite à ton livre ici, fais-moi signe s'il te plait, (en MP) car souvent je ne peux que survoler certains forums et je ne voudrais pas te rater !
A bientôt peut-être.
Lixette
A bientôt peut-être.
Lixette
xplom
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10 mai 2017 à 07:46
10 mai 2017 à 07:46
salut
je passais par ici pour lire le chapitre 2...
je passais par ici pour lire le chapitre 2...
lixette
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10 mai 2017 à 10:46
10 mai 2017 à 10:46
Peut-être devrions-nous lui laisser un peu de temps ! N'oublions pas qu'il se doit de privilégier ses études et qu'il puisse encore prendre un temps de sommeil réparateur.
Mais c'est super, n'est-ce pas Paupaul, de se savoir attendu ! ?
A+
Lixette
Mais c'est super, n'est-ce pas Paupaul, de se savoir attendu ! ?
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Lixette
Paupaul340
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lixette
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6 décembre 2019
10 mai 2017 à 20:29
10 mai 2017 à 20:29
C'est vrai que ça donne confiance :-)
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Paupaul340
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10 août 2017
10 mai 2017 à 20:40
10 mai 2017 à 20:40
Comme vous avez été quelques un à me demander le deuxième chapitre, je vous le donne! Je rappelle qu'il y a encore des fautes de temps et d'orthographe, je suis toujours en train de corriger mon bébé :-).
CHAPITRE DEUX
Voyant qu’aucun adulte ne réapparaissait, des groupes furent formés. Paul se retrouva avec Anna et Cole. Anna était sa meilleure amie depuis son entrée dans le secondaire. C’était une fille plutôt petite, avec de longs cheveux auburn se terminant en fines boucles et des yeux bleus électriques, comme Ethan. Elle était jolie sans être belle. Ils cherchèrent pendant plusieurs heures, sans rien trouver.
Les enfants avaient essayé de sonner à des proches vivant dans des villes voisines, mais toutes les lignes étaient apparemment coupées. Les adolescents s’étaient arrangés pour que tout le monde dorme à l’école. Il fallait dire que personne n’avait envie de rentrer chez soi en sachant que la moitié de la ville avait disparu. Les enfants se couchèrent tard, ils avaient peur. Ils somnolaient sur les bancs, dans les couloirs... Paul était étendu sur le carrelage crasseux à coté de Cole et Matt, un ami d’enfance. Tout le monde était déjà endormi à part lui, qui ne parvient pas à fermer les yeux. Il pensait à se qu’il se passait. Où étaient passés les adultes ? Pourquoi avaient-ils disparus, et surtout, comment s’organiser ? Ses questions perturbaient C’était à cet instant inexplicable. Comment est-ce que trente-mille personnes auraient pu s’évaporer mystérieusement sans qu’aucun enfant ne s’en rende compte ? Le sommeil finit par l’emporter sur l’angoisse et la peur, et il s’endormit, lassé de ses questions sans réponses.
Le lendemain:
Il tombait des cordes et une épaisse couche nuageuse recouvrait l’entièreté de la ville. Paul regardait par la fenêtre de la classe la pluie se déchainer devant lui. Derrière lui, on commençait à s’activer, se faisant une idée que les adultes ne reviendraient pas avant longtemps. Paul n’arrivait pas à croire une chose semblable... Comment est-ce que des adultes auraient pu disparaitre? Soudain, une voix lui fit sortir de ses pensées :
-Ethan !
Ce dernier se retourna. C’était Matt, qui l’appelait depuis le couloir.
-Je suis là !
Matt entra dans la classe, haletant.
-On a un problème, personne ne sait pas ou est Cole. Il n’a pas été vu ce matin.
-Il ne doit pas être loin...Il a dormi à coté de moi cette nuit, et il n’a pas bougé. Je vais chercher avec toi si tu veux.
Des heures passèrent et aucune trace de Cole, tout le monde cherchait mais en vain.
Paul devint inquiet après quelques journées. D’ici là, la plupart des enfants avaient quitté l’école, errant dans les rues, apeurés, désorientés. Ethan avait décidé d’emménager dans une petite maison dans le centre, certes pas magnifique, mais proche de tout. Anna, et Matt, l’avaient rejoint quelques jours après l’emménagement. Ethan avait beau être entouré de ses amis de jours comme de nuit, la peur ne le quittait pas. Pour remettre de l’ordre, il avait fallu élire un chef... Le poste fut donné à un certain Dean Sherman, un beau gosse de terminale, un peu bête mis qui faisait craquer la quasi-totalité des filles de la ville. Ce dernier se rendit vite compte qu’il était totalement irrésistible et populaire et prit la grosse tête, en renommant quelques rues portant son nom -rien que ça- tel que Sherman Avenue, où bien la plage, désormais appelée Dean Beach. Le maire vit dans une maison énorme, avec sa soit disant « secrétaire », Kelly Niewt. Tout le monde ait que c’est sa petite copine, et qu’ils passent le plus clair de leur temps à se bécoter dans sa villa de milliardaire. Il n’y a pas eu de problèmes les trois premières semaines jusqu’à ce lundi de juillet ensoleillé. Il se rendit chez Lee, un ami, pour jouer à la console de jeux tout en mangeant des chips. Jusque là, tout est normal. Mais s’est en retournant chez lui qu’il aperçu, sur la place centrale, une masse sur le sol. Il décida de s’en approcher, perplexe. Le soleil couchant rendait la luminosité plus basse que jamais. Paul, sourcils froncés, décida de retourner le gros tas. Et la, son sang se glaça et il déglutit difficilement face au choc. Il n’avait pas tout de suite reconnu le corps sanguinolent, tel un vulgaire steak. Mais maintenant, tout se mit en place.
Le cadavre étendu devant lui, c’était Cole.
Alors voilà, si vous êtes arrivés jusqu'ici, c'est que vous avez lu mon pavé! J'aimerai vous poser quelques questions concernant le récit, en particulier une: Est ce que le deuxième chapitre donne toujours envie de lire le reste?
Merci d'avance! :-)
CHAPITRE DEUX
Voyant qu’aucun adulte ne réapparaissait, des groupes furent formés. Paul se retrouva avec Anna et Cole. Anna était sa meilleure amie depuis son entrée dans le secondaire. C’était une fille plutôt petite, avec de longs cheveux auburn se terminant en fines boucles et des yeux bleus électriques, comme Ethan. Elle était jolie sans être belle. Ils cherchèrent pendant plusieurs heures, sans rien trouver.
Les enfants avaient essayé de sonner à des proches vivant dans des villes voisines, mais toutes les lignes étaient apparemment coupées. Les adolescents s’étaient arrangés pour que tout le monde dorme à l’école. Il fallait dire que personne n’avait envie de rentrer chez soi en sachant que la moitié de la ville avait disparu. Les enfants se couchèrent tard, ils avaient peur. Ils somnolaient sur les bancs, dans les couloirs... Paul était étendu sur le carrelage crasseux à coté de Cole et Matt, un ami d’enfance. Tout le monde était déjà endormi à part lui, qui ne parvient pas à fermer les yeux. Il pensait à se qu’il se passait. Où étaient passés les adultes ? Pourquoi avaient-ils disparus, et surtout, comment s’organiser ? Ses questions perturbaient C’était à cet instant inexplicable. Comment est-ce que trente-mille personnes auraient pu s’évaporer mystérieusement sans qu’aucun enfant ne s’en rende compte ? Le sommeil finit par l’emporter sur l’angoisse et la peur, et il s’endormit, lassé de ses questions sans réponses.
Le lendemain:
Il tombait des cordes et une épaisse couche nuageuse recouvrait l’entièreté de la ville. Paul regardait par la fenêtre de la classe la pluie se déchainer devant lui. Derrière lui, on commençait à s’activer, se faisant une idée que les adultes ne reviendraient pas avant longtemps. Paul n’arrivait pas à croire une chose semblable... Comment est-ce que des adultes auraient pu disparaitre? Soudain, une voix lui fit sortir de ses pensées :
-Ethan !
Ce dernier se retourna. C’était Matt, qui l’appelait depuis le couloir.
-Je suis là !
Matt entra dans la classe, haletant.
-On a un problème, personne ne sait pas ou est Cole. Il n’a pas été vu ce matin.
-Il ne doit pas être loin...Il a dormi à coté de moi cette nuit, et il n’a pas bougé. Je vais chercher avec toi si tu veux.
Des heures passèrent et aucune trace de Cole, tout le monde cherchait mais en vain.
Paul devint inquiet après quelques journées. D’ici là, la plupart des enfants avaient quitté l’école, errant dans les rues, apeurés, désorientés. Ethan avait décidé d’emménager dans une petite maison dans le centre, certes pas magnifique, mais proche de tout. Anna, et Matt, l’avaient rejoint quelques jours après l’emménagement. Ethan avait beau être entouré de ses amis de jours comme de nuit, la peur ne le quittait pas. Pour remettre de l’ordre, il avait fallu élire un chef... Le poste fut donné à un certain Dean Sherman, un beau gosse de terminale, un peu bête mis qui faisait craquer la quasi-totalité des filles de la ville. Ce dernier se rendit vite compte qu’il était totalement irrésistible et populaire et prit la grosse tête, en renommant quelques rues portant son nom -rien que ça- tel que Sherman Avenue, où bien la plage, désormais appelée Dean Beach. Le maire vit dans une maison énorme, avec sa soit disant « secrétaire », Kelly Niewt. Tout le monde ait que c’est sa petite copine, et qu’ils passent le plus clair de leur temps à se bécoter dans sa villa de milliardaire. Il n’y a pas eu de problèmes les trois premières semaines jusqu’à ce lundi de juillet ensoleillé. Il se rendit chez Lee, un ami, pour jouer à la console de jeux tout en mangeant des chips. Jusque là, tout est normal. Mais s’est en retournant chez lui qu’il aperçu, sur la place centrale, une masse sur le sol. Il décida de s’en approcher, perplexe. Le soleil couchant rendait la luminosité plus basse que jamais. Paul, sourcils froncés, décida de retourner le gros tas. Et la, son sang se glaça et il déglutit difficilement face au choc. Il n’avait pas tout de suite reconnu le corps sanguinolent, tel un vulgaire steak. Mais maintenant, tout se mit en place.
Le cadavre étendu devant lui, c’était Cole.
Alors voilà, si vous êtes arrivés jusqu'ici, c'est que vous avez lu mon pavé! J'aimerai vous poser quelques questions concernant le récit, en particulier une: Est ce que le deuxième chapitre donne toujours envie de lire le reste?
Merci d'avance! :-)
xplom
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10 mai 2017 à 20:53
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ben tiens tu crois pas que j'allais me sauver
juste un truc, cette histoire ressemble a du déjà lu (ou TV)
suite au 3 eme épisode...
juste un truc, cette histoire ressemble a du déjà lu (ou TV)
suite au 3 eme épisode...
Paupaul340
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10 mai 2017 à 21:35
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Ah bon? Tu sais me dire où tu as déjà vu cette histoire?
lixette
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11 mai 2017 à 07:22
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Et bien, je te répondrais comme tu t’en doutes, vraiment remarquable ! Ce décor planté de façon si insolite, ces disparitions étranges, l’angoisse et la peur que l’on sent suintées entre les lignes … enfin tout, pour que ce roman soit une vraie réussite. J’attends évidemment la suite …
Je me pose une question (en tant que maman) à part les chips de quoi se nourrissent tous ces gosses ?
Je me pose une question (en tant que maman) à part les chips de quoi se nourrissent tous ces gosses ?
Paupaul340
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12 mai 2017 à 16:57
12 mai 2017 à 16:57
Tres bonne question lixette ! Et bien, pour le moment, ces enfants mangent ce qu'ils trouvent et ne font pas vraiment attention a leur regime alimentaire. Comme tu le sais en tant que maman : un enfant preferera toujours le gras et le sucre.
xplom
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10 mai 2017 à 21:06
10 mai 2017 à 21:06
punaise je trouve pas
j'en suis là
https://www.youtube.com/watch?v=YR5ApYxkU-U
ps : le film a bien 40 ans (celui auquel je fait allusion)
j'en suis là
https://www.youtube.com/watch?v=YR5ApYxkU-U
ps : le film a bien 40 ans (celui auquel je fait allusion)
Paupaul340
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10 mai 2017 à 21:35
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Je ne comprends pas vraiment le rapport...
xplom
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10 mai 2017 à 22:13
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je cherche ce film , je sais qu'il y a un mur a casser ,(vieux souvenir)
lixette
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11 mai 2017 à 07:25
11 mai 2017 à 07:25
xplom, peut être qu’ici, Paupaul a eu besoin d’une trame pour asseoir son suspense. Mais surtout, méfions-nous, je me souviens qu’à l’époque où j’avais à peu près son âge – j’avais aussi commencé un roman dont je n’étais pas peu fière ; Je l’ai fait lire à une copine que je prenais pour une amie : celle-ci m’a affirmé, devant plusieurs de la classe, qu’elle l’avait déjà lu et que j’étais une tricheuse (Alors que, je peux te l’assurer, il sortait tout droit de mon imagination) Cette expérience m’a ravagé, je l’ai vécue comme une flétrissure, humiliée sans raison, je n’ai plus jamais tenté d’écrire ! Je n’aimerai pas que ce jeune homme vive cela !
Paupaul340
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11 mai 2017 à 18:15
11 mai 2017 à 18:15
Ne t'inquiète pas lixette! Il faut savoir accepter les critiques et c'est tout a fait probable qu'il y ai eu une histoire dans le même genre il y a quelques années. Quand à ta copine, celle qui t'a humiliée: n'y pense plus. Si tu as aimé l'écrire, si tu es tombée amoureuse de tes personnages, pourquoi ne pas réécrire? C'est un passe-temps fantastique, et se serait dommage de passer à côté! Alors, si tu as une idée, un jour, n'hésite pas à la mettre sur papier, je serai ton premier lecteur! :-)
lixette
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Paupaul340
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10 août 2017
12 mai 2017 à 07:58
12 mai 2017 à 07:58
Ô, tu sais, il y a bien longtemps – heureusement - que je me suis complètement remise de cette douloureuse expérience de mon adolescence et il a fallu ce post pour me la remémorer. A l'époque, j'ai tout laissé en plan ! En tant que fille j'ai sans doute fait preuve d'une sensibilité exacerbée.
Je me suis épanouie dans une profession que j’ai passionnément aimée et qui n’a rien à voir avec l’écriture (j’étais infirmière) Mais l'amour de l'écriture n'a pas pour autant disparu, je le fais fréquemment : nombreux courriers, comptes rendus, réflexions diverses, et même parfois poèmes, mais écrire pour le public ne m’intéresse pas ou plus. D'ailleurs malgré la retraite, je ne trouverai pas suffisamment de temps pour le faire : les journées sont trop courtes. Cependant, ton petit mot m’a vraiment touché et je t’en remercie sincèrement.
Je me suis épanouie dans une profession que j’ai passionnément aimée et qui n’a rien à voir avec l’écriture (j’étais infirmière) Mais l'amour de l'écriture n'a pas pour autant disparu, je le fais fréquemment : nombreux courriers, comptes rendus, réflexions diverses, et même parfois poèmes, mais écrire pour le public ne m’intéresse pas ou plus. D'ailleurs malgré la retraite, je ne trouverai pas suffisamment de temps pour le faire : les journées sont trop courtes. Cependant, ton petit mot m’a vraiment touché et je t’en remercie sincèrement.
lilyswaggy
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14 mai 2017 à 19:23
14 mai 2017 à 19:23
salut ton livre est cool et je suis contente de ne pas etre la seule a beaucoup lire vers 12 ou 13 ans !
Bisous !
Bisous !
Paupaul340
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15 mai 2017 à 17:37
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Merci !
xplom
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14 mai 2017 à 19:49
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bonjour
aujourd'hui j'ai vu mon cousin avec qui j'avais vu le film
les briques c'était pour pas que les extraterrestres voient dans leur cerveau
donc il pensaient a un mur de pierre pour pas qu'ils devinent leur projet de destruction, l'alien enlevait les briques une a une de la lecture du cerveau avant de découvrir la bombe
au moins si j'ai pas bonne mémoire, j'y arrive petit a petit :o)
eux aussi les adultes avaient disparus
j'attends le prochain chapitre
aujourd'hui j'ai vu mon cousin avec qui j'avais vu le film
les briques c'était pour pas que les extraterrestres voient dans leur cerveau
donc il pensaient a un mur de pierre pour pas qu'ils devinent leur projet de destruction, l'alien enlevait les briques une a une de la lecture du cerveau avant de découvrir la bombe
au moins si j'ai pas bonne mémoire, j'y arrive petit a petit :o)
eux aussi les adultes avaient disparus
j'attends le prochain chapitre
mylomurphy
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17 mai 2017 à 22:07
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Bonsoir :)
J'aime beaucoup vivement que je puisse l'acheter!!!!
Il faut continuer.
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Paupaul340
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Merci!
Paupaul340
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21 mai 2017 à 14:13
21 mai 2017 à 14:13
Bonjour bonjour! Après mûre réflexion, j'ai décidé de vous publier le troisième chapitre. J'espère qu'il vous plaira et n'hésitez pas à me donner un avis objectif sur le récit.
CHAPITRE TROIS
Quelques jours après la découverte du corps, Paul était toujours sous le choc. Comment des enfants auraient pu tuer un autre enfant ! Il rit jaune. Si c’était un enfant... Il ne bougeait pas de chez lui, se gavant d’antidépresseurs. Un matin, Paul prit la décision d’aller voir Cole, qui était désormais dans une pièce à la mairie. Le garçon réprima une envie de vomir en imaginant le cadavre juste à côté du bureau du maire. Dean-beau-gosse avait d’ailleurs tenté de comprendre, mais ne brillant pas par son intelligence, laissa tomber les recherches. L’affaire ne fut pas rendue publique afin de ne pas alerter les enfants, qui commençaient à vouloir savoir où étaient les adultes disparus. Les enfants avaient de plus en plus peur et ce sentiment s’accroit de jour en jour. Mais Dean-beau-gosse se fichait royalement de ce que pense les gamins de la ville. Paul arriva à la mairie et aperçut la « secrétaire » du maire, Katy qui semble assez occupée par un jeu sur son Smartphone. Sans même lever les yeux, elle demanda d’une voix lasse:
-Oui, c’est pour quoi ?
-Je voudrai voir Cole Chance.
-Pas de chance, il est mort, t’es un peu tard mon p’tit gars, répondit Katy, qui à l’air assez fière de sa blague pas drôle.
-Je veux voir ou il est, continua Paul, tout en essayant de garder son calme.
-Je ne peux pas te le dire. Dommage, s’excusa t’elle d’un ton pas si désolé que ça.
L’adolescente leva enfin les yeux de son téléphone. Paul fut frappé par la beauté de son visage sous cet angle-ci. Elle a un nez droit et fin, des yeux couleur d’orage et une bouche pulpeuse, tout cela encadré dans un visage d’une finesse incomparable.
-Je connais, enfin... je connaissais bien Cole, rectifia Paul tout en essayant d’effacer le visage de la jeune fille imprimée dans sa tête.
-Je vais en parler à Dean, reviens me voir en fin d’après-midi.
-Je veux le voir tout de suite.
-Excuse-moi, mais je ne suis pas la pour exaucer les désirs d’un gamin de treize ans capricieux, alors rentre chez toi.
Paul, vaincu, acquiesça, contenant toute la colère en soi. Il aurai tellement voulu voir Cole !
En rentrant chez lui, il aperçut Lee, qui se presse de rentrer chez lui. Paul l’interpella :
-Qu’est ce qu’il se passe, t’as l’air inquiet...
-Il va pleuvoir.
Paul sourit légèrement :
-Tu as peur de la pluie ?
Il hocha négativement la tête :
-Non, mais de celle-là, oui, dit-il en pointant du doigt le ciel.
En effet, de gros nuages menaçants s’approchent de la ville à une vitesse accélérée.
-Je te conseille de rentrer chez toi, c’est sûrement une tempête ou un truc du genre.
-Ouais t’as raison, répondit Paul.
Il le salua d’un bref hochement de tête et rentra chez lui en courant, et entra dans le corridor exigu qui mène au salon. Anna lit un livre, confortablement installée dans le sofa tout en dévorant des marshmallow. Elle leva les yeux quad Paul entra dans la pièce :
-T’étais où ?
-A la mairie, je voulais voir Cole.
Anna se leva lentement, presque solennellement à l’entente du dernier mot. Paul a toujours su que Anna avait un faible pour Cole.
-Et alors ?
-Eh bien, ils ne m‘ont pas laissé rentré.
-Oh, répondit-elle, déçue, Matt t’attendait pour faire une partie de Black Ops 3 en haut.
Paul monta les escaliers et entra dans la chambre de Matt. Matt était assis en indien sur le lit, une manette de jeux vidéos dans ses mains.
-Ah, t’es la, on se fait une petite part de Black Ops ? demanda-t’il.
-Allez, pour le fun, mais je vais te battre.
Matt rigola et la partie commença. Rires et cris résonnèrent dans la maison, se qui réchauffa petit à petit le cœur attristé de Paul.
Mais l’ambiance bon enfant fut de courte durée. Anna appela les deux garçons, paniquée. Matt et Paul descendirent, perplexes et regardèrent la fenêtre que Anna pointe du doigt. Matt lâcha un petit cri et Paul se pétrifia.
Il pleut du sang.
CHAPITRE TROIS
Quelques jours après la découverte du corps, Paul était toujours sous le choc. Comment des enfants auraient pu tuer un autre enfant ! Il rit jaune. Si c’était un enfant... Il ne bougeait pas de chez lui, se gavant d’antidépresseurs. Un matin, Paul prit la décision d’aller voir Cole, qui était désormais dans une pièce à la mairie. Le garçon réprima une envie de vomir en imaginant le cadavre juste à côté du bureau du maire. Dean-beau-gosse avait d’ailleurs tenté de comprendre, mais ne brillant pas par son intelligence, laissa tomber les recherches. L’affaire ne fut pas rendue publique afin de ne pas alerter les enfants, qui commençaient à vouloir savoir où étaient les adultes disparus. Les enfants avaient de plus en plus peur et ce sentiment s’accroit de jour en jour. Mais Dean-beau-gosse se fichait royalement de ce que pense les gamins de la ville. Paul arriva à la mairie et aperçut la « secrétaire » du maire, Katy qui semble assez occupée par un jeu sur son Smartphone. Sans même lever les yeux, elle demanda d’une voix lasse:
-Oui, c’est pour quoi ?
-Je voudrai voir Cole Chance.
-Pas de chance, il est mort, t’es un peu tard mon p’tit gars, répondit Katy, qui à l’air assez fière de sa blague pas drôle.
-Je veux voir ou il est, continua Paul, tout en essayant de garder son calme.
-Je ne peux pas te le dire. Dommage, s’excusa t’elle d’un ton pas si désolé que ça.
L’adolescente leva enfin les yeux de son téléphone. Paul fut frappé par la beauté de son visage sous cet angle-ci. Elle a un nez droit et fin, des yeux couleur d’orage et une bouche pulpeuse, tout cela encadré dans un visage d’une finesse incomparable.
-Je connais, enfin... je connaissais bien Cole, rectifia Paul tout en essayant d’effacer le visage de la jeune fille imprimée dans sa tête.
-Je vais en parler à Dean, reviens me voir en fin d’après-midi.
-Je veux le voir tout de suite.
-Excuse-moi, mais je ne suis pas la pour exaucer les désirs d’un gamin de treize ans capricieux, alors rentre chez toi.
Paul, vaincu, acquiesça, contenant toute la colère en soi. Il aurai tellement voulu voir Cole !
En rentrant chez lui, il aperçut Lee, qui se presse de rentrer chez lui. Paul l’interpella :
-Qu’est ce qu’il se passe, t’as l’air inquiet...
-Il va pleuvoir.
Paul sourit légèrement :
-Tu as peur de la pluie ?
Il hocha négativement la tête :
-Non, mais de celle-là, oui, dit-il en pointant du doigt le ciel.
En effet, de gros nuages menaçants s’approchent de la ville à une vitesse accélérée.
-Je te conseille de rentrer chez toi, c’est sûrement une tempête ou un truc du genre.
-Ouais t’as raison, répondit Paul.
Il le salua d’un bref hochement de tête et rentra chez lui en courant, et entra dans le corridor exigu qui mène au salon. Anna lit un livre, confortablement installée dans le sofa tout en dévorant des marshmallow. Elle leva les yeux quad Paul entra dans la pièce :
-T’étais où ?
-A la mairie, je voulais voir Cole.
Anna se leva lentement, presque solennellement à l’entente du dernier mot. Paul a toujours su que Anna avait un faible pour Cole.
-Et alors ?
-Eh bien, ils ne m‘ont pas laissé rentré.
-Oh, répondit-elle, déçue, Matt t’attendait pour faire une partie de Black Ops 3 en haut.
Paul monta les escaliers et entra dans la chambre de Matt. Matt était assis en indien sur le lit, une manette de jeux vidéos dans ses mains.
-Ah, t’es la, on se fait une petite part de Black Ops ? demanda-t’il.
-Allez, pour le fun, mais je vais te battre.
Matt rigola et la partie commença. Rires et cris résonnèrent dans la maison, se qui réchauffa petit à petit le cœur attristé de Paul.
Mais l’ambiance bon enfant fut de courte durée. Anna appela les deux garçons, paniquée. Matt et Paul descendirent, perplexes et regardèrent la fenêtre que Anna pointe du doigt. Matt lâcha un petit cri et Paul se pétrifia.
Il pleut du sang.
xplom
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Modifié le 26 mai 2017 à 22:04
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slut
je t’avoue que je lis 3 fois chaque ligne pour déchiffrer le contexte
mais ça avance, pense surtout aux lecteurs quand tu écris
au N° 4 :o)
je t’avoue que je lis 3 fois chaque ligne pour déchiffrer le contexte
mais ça avance, pense surtout aux lecteurs quand tu écris
au N° 4 :o)
Paupaul340
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10 août 2017
11 juin 2017 à 12:06
11 juin 2017 à 12:06
CHAPITRE QUATRE
Dehors, le sang coule à flot. Les visages apeurés des enfants apparaissent à derrière les fenêtres. Les passants, dehors, regardent le ciel, à moitié fasciné, à moitié horrifié. Mais tout à coup, une lueur inconnue de tous passent dans leurs yeux. Le garçon le plus proche, un enfant de dix ans tout au plus, tomba, inerte sur le sol. Les autres passants l’imitèrent et bientôt, tous les enfants se trouvant dehors se trouvèrent par terre. Paul sentit la panique monter. Ils ne sont pas endormis. La pluie rouge commence déjà à dissoudre les vêtements, qui bientôt atteint la chair. Il faut les sortir de là. Mais rien à faire. Si quelqu’un va les aider, il subira le même sort que ses pauvres gosses. Alors la seule chose à faire est de regarder leurs corps se consumer, jusqu’à se que ne soit plus que des tas d’os. Anna, à la droite de Paul, plaqua une main devant sa bouche, et vomit sur le parquet. Elle monta s’enfermer dans sa chambre, pleurant toute les larmes de son corps, tandis que la pluie, ignorante aux pleurs des enfants, continue de tomber. Les autres, restent chez eux, les joues remplies de larmes et les yeux voilés par la peur et l’angoisse, regardent les corps sans vie sur la chaussée, incapables de ne pas regarder.
Après cet événement, personne ne sortit tant que la pluie tombait toujours. Elle détruit tout sur son passage. Même la route est complètement déformée par l’acide qui la traverse. Matthew, muet d’horreur, s’affaissa dans le canapé du salon et Paul monta à l’étage pour essayer de réconforter Anna. Il sait déjà que ça ne servira à rien, mais le plus important, c’est qu’elle ait de la compagnie. Paul frappa à la porte de la chambre. Elle s’ouvrit sur une jeune fille qui n’a plus rien d’Anna. Ses yeux, habituellement bleus électrique et fascinants, tremblent dans leurs orbites. Anna se jeta dans les bras de Paul et sanglota silencieusement. Cette scène dura une dizaine de secondes, ou une dizaine de minutes, ou une heure. Le temps défile et la Pluie de Sang, imperturbable et cruelle, fouette furieusement les fenêtres de la chambre. Paul caresse doucement les cheveux de la jeune fille. Une pensée lui traversa l’esprit : ce n’est que le début de l’enfer.
Deux jours. La pluie continua à tomber pendant deux jours. Quand elle s’arrêta, les enfants ne sortirent pas tout de suite de chez eux, paranoïaques à l’idée que la pluie rougeâtre recommence à tuer. Mais il faut bien sortir. Paul ouvrit la porte d’entrée et regarda la rue. On dirait un paysage de guerre. L’acide a même rongé la plupart des façades des maisons. Si un étranger s’arrête ici, il pourrait croire que la ville a été bombardée. Les squelettes sur la route sont toujours à la même place que quelques jours plus tôt. Comme pour montrer que les autres n’ont pas été assez courageux pour les sauver.
Les réactions des habitants ne se firent pas attendre. Ils se dirigèrent tous d’un même pas vers la maison de Dean. Les enfants ne forment plus qu’un. Ce sont des minuscules cellules apeurées regroupées en un seul corps qui cherche une explication, qui cherche à être rassuré.
Quelques temps plus tard, la quasi-totalité de la ville est regroupée devant la villa du « maire ». Et ils attendent. Ils attendent qu’il arrive. Tout le monde sait au fond de soi que Dean n’y est pour rien, mais comme dans toutes les sociétés, il faut un bouc émissaire, une personne sur qui on rejette la faute. Bien sûr qu’il n’a pas fait tomber la pluie acide, mais il aurait pu prévoir. Il aurait pu protéger les habitants, les aider, mettre en place quelque chose ! Une demi-heure plus tard, la porte du balcon du premier étage s’ouvrit, et en sortit Dean, blanc comme un linge. Son assurance légendaire l’a quitté. Comme son sourire charmant. Il a des cernes très voyants et son visage est d’une blancheur inquiétante. Il tremble. Dans sa main droite, il tient une feuille de papier. Il se racle la gorge et commence à lire sa note :
-Bonjour,
Les récents événements sont extrêmement choquants, voir horrifiques.
Malgré mes recherches, je suis dans l’incapacité de vous expliquer ce qu’il c’est passé.
Nous avons eu de nombreux morts...
Une fille d’une quinzaine d’années un peu enveloppée cria :
-Combien, combien de morts ?
Dean déglutit.
-Quarante-sept.
Des « Oh ! » horrifiés parcoururent l’assemblée. Une fille éclata en sanglots. Dean essaya de continuer son discours :
-Je ne vous ai pas protégé.
Je n’aurais pas su...
C’est pour cela que je démissionne.
Des élections seront organisées d’ici une semaine tout au plus.
Pendant un moment, Paul cru que Dean allait tourner de l’œil, mais il sembla vite reprendre ses esprits :
-Merci de m’avoir écouter.
Et protégez vous les un les autres.
Sur ses mots, le garçon tourna le dos à l’assemblée, ouvrit la porte et entra à l’intérieur de la pièce.
Dehors, le sang coule à flot. Les visages apeurés des enfants apparaissent à derrière les fenêtres. Les passants, dehors, regardent le ciel, à moitié fasciné, à moitié horrifié. Mais tout à coup, une lueur inconnue de tous passent dans leurs yeux. Le garçon le plus proche, un enfant de dix ans tout au plus, tomba, inerte sur le sol. Les autres passants l’imitèrent et bientôt, tous les enfants se trouvant dehors se trouvèrent par terre. Paul sentit la panique monter. Ils ne sont pas endormis. La pluie rouge commence déjà à dissoudre les vêtements, qui bientôt atteint la chair. Il faut les sortir de là. Mais rien à faire. Si quelqu’un va les aider, il subira le même sort que ses pauvres gosses. Alors la seule chose à faire est de regarder leurs corps se consumer, jusqu’à se que ne soit plus que des tas d’os. Anna, à la droite de Paul, plaqua une main devant sa bouche, et vomit sur le parquet. Elle monta s’enfermer dans sa chambre, pleurant toute les larmes de son corps, tandis que la pluie, ignorante aux pleurs des enfants, continue de tomber. Les autres, restent chez eux, les joues remplies de larmes et les yeux voilés par la peur et l’angoisse, regardent les corps sans vie sur la chaussée, incapables de ne pas regarder.
Après cet événement, personne ne sortit tant que la pluie tombait toujours. Elle détruit tout sur son passage. Même la route est complètement déformée par l’acide qui la traverse. Matthew, muet d’horreur, s’affaissa dans le canapé du salon et Paul monta à l’étage pour essayer de réconforter Anna. Il sait déjà que ça ne servira à rien, mais le plus important, c’est qu’elle ait de la compagnie. Paul frappa à la porte de la chambre. Elle s’ouvrit sur une jeune fille qui n’a plus rien d’Anna. Ses yeux, habituellement bleus électrique et fascinants, tremblent dans leurs orbites. Anna se jeta dans les bras de Paul et sanglota silencieusement. Cette scène dura une dizaine de secondes, ou une dizaine de minutes, ou une heure. Le temps défile et la Pluie de Sang, imperturbable et cruelle, fouette furieusement les fenêtres de la chambre. Paul caresse doucement les cheveux de la jeune fille. Une pensée lui traversa l’esprit : ce n’est que le début de l’enfer.
Deux jours. La pluie continua à tomber pendant deux jours. Quand elle s’arrêta, les enfants ne sortirent pas tout de suite de chez eux, paranoïaques à l’idée que la pluie rougeâtre recommence à tuer. Mais il faut bien sortir. Paul ouvrit la porte d’entrée et regarda la rue. On dirait un paysage de guerre. L’acide a même rongé la plupart des façades des maisons. Si un étranger s’arrête ici, il pourrait croire que la ville a été bombardée. Les squelettes sur la route sont toujours à la même place que quelques jours plus tôt. Comme pour montrer que les autres n’ont pas été assez courageux pour les sauver.
Les réactions des habitants ne se firent pas attendre. Ils se dirigèrent tous d’un même pas vers la maison de Dean. Les enfants ne forment plus qu’un. Ce sont des minuscules cellules apeurées regroupées en un seul corps qui cherche une explication, qui cherche à être rassuré.
Quelques temps plus tard, la quasi-totalité de la ville est regroupée devant la villa du « maire ». Et ils attendent. Ils attendent qu’il arrive. Tout le monde sait au fond de soi que Dean n’y est pour rien, mais comme dans toutes les sociétés, il faut un bouc émissaire, une personne sur qui on rejette la faute. Bien sûr qu’il n’a pas fait tomber la pluie acide, mais il aurait pu prévoir. Il aurait pu protéger les habitants, les aider, mettre en place quelque chose ! Une demi-heure plus tard, la porte du balcon du premier étage s’ouvrit, et en sortit Dean, blanc comme un linge. Son assurance légendaire l’a quitté. Comme son sourire charmant. Il a des cernes très voyants et son visage est d’une blancheur inquiétante. Il tremble. Dans sa main droite, il tient une feuille de papier. Il se racle la gorge et commence à lire sa note :
-Bonjour,
Les récents événements sont extrêmement choquants, voir horrifiques.
Malgré mes recherches, je suis dans l’incapacité de vous expliquer ce qu’il c’est passé.
Nous avons eu de nombreux morts...
Une fille d’une quinzaine d’années un peu enveloppée cria :
-Combien, combien de morts ?
Dean déglutit.
-Quarante-sept.
Des « Oh ! » horrifiés parcoururent l’assemblée. Une fille éclata en sanglots. Dean essaya de continuer son discours :
-Je ne vous ai pas protégé.
Je n’aurais pas su...
C’est pour cela que je démissionne.
Des élections seront organisées d’ici une semaine tout au plus.
Pendant un moment, Paul cru que Dean allait tourner de l’œil, mais il sembla vite reprendre ses esprits :
-Merci de m’avoir écouter.
Et protégez vous les un les autres.
Sur ses mots, le garçon tourna le dos à l’assemblée, ouvrit la porte et entra à l’intérieur de la pièce.
j'aime pas trop la fin, on sait pas pourquoi il y a pas d'adulte en fait.
ByBest
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dimanche 10 juillet 2016
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31 août 2022
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25 avril 2017 à 20:15
25 avril 2017 à 20:15
C'est parce que c'est un chapitre, pas le livre entier
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Paupaul, je crains de te décevoir, mais les films d’horreur ne sont pas du tout "ma tasse de thé" ! Si j’apprécie suspenses et thriller en tous genres, autant là, je me sens embarquée dans une fiction qui ne m’inspire pas vraiment et j’appréhende ce qui va suivre après la pluie de sang !...
Le début de ton premier paragraphe me pose question : je trouve curieux que ce jeune se gave d’antidépresseurs à 13 ans !
Juste en aparté : il me semble qu’il vaudrait mieux employer une autre phrase que celle citée dans ton paragraphe « rires et cris résonnèrent dans la maison, ce qui réchauffa petit à petit le cœur attristé de Paul » (compte-tenu de l’angoisse et du chagrin dus à la mort violente de leur ami Cole) les rires sont peut-être de trop, même si l’ambiance est à détente – mais bon, ce n’est peut-être que ma sensibilité féminine qui s’en émeut !
Attention, il me semble qu’il y a un petit relâchement dans ton style sur ce 3ème chapitre et n’oublie pas de surveiller ton orthographe !
Je ne voudrais surtout pas te blesser en soulignant ce qui m’apparaît comme de petites imperfections, c’est avant tout pour être en vérité avec ce que je pense et mes critiques se voudraient constructives en ton encontre, et non pas pour te déprécier, sois en sûr ! Amicalement
Lixette
Le début de ton premier paragraphe me pose question : je trouve curieux que ce jeune se gave d’antidépresseurs à 13 ans !
Juste en aparté : il me semble qu’il vaudrait mieux employer une autre phrase que celle citée dans ton paragraphe « rires et cris résonnèrent dans la maison, ce qui réchauffa petit à petit le cœur attristé de Paul » (compte-tenu de l’angoisse et du chagrin dus à la mort violente de leur ami Cole) les rires sont peut-être de trop, même si l’ambiance est à détente – mais bon, ce n’est peut-être que ma sensibilité féminine qui s’en émeut !
Attention, il me semble qu’il y a un petit relâchement dans ton style sur ce 3ème chapitre et n’oublie pas de surveiller ton orthographe !
Je ne voudrais surtout pas te blesser en soulignant ce qui m’apparaît comme de petites imperfections, c’est avant tout pour être en vérité avec ce que je pense et mes critiques se voudraient constructives en ton encontre, et non pas pour te déprécier, sois en sûr ! Amicalement
Lixette
Paupaul340
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10 août 2017
5 juin 2017 à 12:34
5 juin 2017 à 12:34
Merci pour ton commentaire lixette, c'est avec des critiques constructives comme cela qui m'aident à avancer. Je vais retravailler mon style! :-)
lixette
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Paupaul340
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10 août 2017
9 juin 2017 à 10:50
9 juin 2017 à 10:50
Coucou Paupaul ; As-tu progressé dans l'élaboration de ton 4ème chapitre ? j'aimerai tout de même bien voir la tournure que prend l'histoire, avant de décider de m'en désintéresser complètement si elle rentre dans la catégorie "épouvante" ; Toutefois, quelque soit ma décision, surtout qu'elle ne t'empêche pas de continuer à écrire, car il en faut pour tous les goûts - je respecte ! - Sache en tout cas que j'admire ton imagination, ton style (même si je crois qu'il mérite d'être amélioré) et tes qualités pour entretenir le suspense - N'hésite pourtant pas, si tu le peux, à te perfectionner en français, afin de ne pas détourner de tes écrits des lecteurs trop "à cheval" sur l'écriture. Merci d'accepter en toute simplicité les critiques - ça aussi c'est une grande qualité à mon avis.
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Bien cordialement
Lixette
A +
Bien cordialement
Lixette
30 avril 2017 à 19:05