Jean-paul Ney gagne en justice deux proces

kracokimoticivich - 18 juil. 2007 à 03:33
 Keltec - 10 mai 2014 à 09:30
Bonjour, pour les victimes de diffamations et menaces sur Internet, voici une page qui en dit beaucoup:

Jean-Paul NEY est reporter, il a été menacé, diffamé et calomnié par une SECTE.

Il s'est battu pendant quatre ans face a une justice AVEUGLE et PROFONDEMENT IGNORANTE des principes d'Internet et de ses détournements.

Aujourd'hui, il a été reconnu en tant que VICTIME, son identité a été usurpée sur Internet, ces mêmes gens malintentionés ont utilisé son nom partout !!! créant la panique sur des forums.

Mais ils ont commis une erreur, et cette fois-ci la JUSTICE EST EN MARCHE.

voici son témoignage :

LA JUSTICE DONNE UN NON-LIEU A JEAN-PAUL NEY & ANNULE UNE AUTRE PROCÉDURE

Un certain nombre de fausses rumeurs circulent à propos de condamnations me concernant sur Internet.
Afin de stopper là toute polémique, je dépose en ligne ces rendus de justice qui sont : Un non-lieu et une annulation de procédure.

Voir : http://jpney.free.fr/JUSTICE/JEAN-PAUL_NEY-NON-LIEU.htm

ou lire :

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Jean-Paul Ney, victime de menaces et calomnies sur Internet

LA JUSTICE DONNE UN NON-LIEU A JEAN-PAUL NEY & ANNULE UNE AUTRE PROCÉDURE



La diffamation, l'intimidation et les menaces de mort sont les armes qui ont été utilisées contre moi depuis plus de 4 ans par une secte et plusieurs personnes au service de celle-ci. Les auteurs (identifiés) ont été entendus par la justice notamment sur les faits d'usurpation d'identité et faux témoignage. Cependant, le mal est fait, et la médisance circule sur Internet.

Sans la perspicacité de cette juge, je serais aujourd'hui condamné pour des faits que je n'ais JAMAIS commis, et la justice aurait été dupée par deux personnages peu recommandables. Dans cette affaire je ne suis pas la seule victime, comme je l'explique plus bas.

Aujourd'hui, fin juin 2007, une plainte est constituée pour : Faux et usage de faux, faux témoignage et usurpation d'identité, le tout dans le but de faire sciemment condamner un INNOCENT. La justice va se retourner contre ces individus.

Depuis 2003, plusieurs personnes ont utilisé Internet pour me diffamer. Les procédures s'enchaînent, certains parlent de menaces, alors que c'est moi qui suis CLAIREMENT menacé, d'abord une fois, puis deux et enfin une troisième toute récente.

Ces mêmes personnages, dont celui qui m'a menacé directement - et l'a reconnu face à un OPJ - a continué ses calomnies, menaces et diffamations au point de monter un dossier de toutes pièces afin de déposer plainte contre moi. Une juge du TGI de Versailles n'a pas été dupe: le témoin de la pseudo-victime était lui-même l'initiateur des menaces ! Les réquisitions faites en ce sens prouvent qu'il a utilisé son ordinateur et sa propre connexion tentant de se cacher via des "proxys" (ordinateurs relais anonymes) se faisant passer pour moi, insultant, menaçant, les internautes sur plusieurs forums... ce dernier n'avait pas alors oublié d'être aussi maladroit...

Pendant près de cinq ans, j'ai été jeté en pâture, mon patronyme a été calomnié, mes travaux truqués et faussement diffusés sur Internet, puis est venu le temps des menaces et de très graves accusations. J'y ai laissé des plumes, beaucoup d'énergie, d'argent et surtout j'y ai perdu mon travail à Canal Plus, puis mon magazine papier "Le Confidentiel" (j'étais fondateur et rédacteur en chef).

C'en est finit. La roue tourne, les véritables coupables vont devoir payer cher, très cher l'utilisation de l'arme judiciaire et la tromperie pour pousser quelqu'un à bout.


D'AUTRES VICTIMES

Olivier Aichelbaum, éditeur, journaliste d'investigation connu et apprécié du milieu informatique, fondateur de plusieurs magazines, a été lui aussi la victime des mêmes groupuscules où se joignent parfois d'autres personnes. Il y a perdu son job et ses magazines, la désinformation faisant formidablement bien l'affaire...

Christophe Casalegno, directeur technique du Groupe Digital Network et spécialiste de la sécurité informatique a été violement pris a partie par ces mêmes meutiers, modérateur apprécié et connu de tous, professionnel sans faille, il s'explique sur Internet.

D'autres personnes en procédure actuellement n'ont pas souhaité apparaître. Mais tous ont en commun d'être présent dans les médias, sur Internet, d'être des gestionnaires de sociétés, des petits chefs d'entreprises.


POURQUOI UN TEL ACHARNEMENT ?

Il est clair que ces personnes font tout pour attenter à l'image de leurs victimes, ils ont en commun de déverser régulièrement des calomnies sur Internet (forums privés et professionnels, sites, blogs...), bénéficiant d'un certain anonymat sur Internet. D'autres inventent de toutes pièces des agressions, plaintes et ou procédures, certains hébergent leurs sites web à l'étranger... Si le doute s'installe ils ont clairement gagné, médisez, médisez, il en restera toujours quelque chose !

Ils utilisent tous la technique du Google Bombing, technique qui consiste au référencement sauvage d'un site web sur un mot clé péjoratif, ou en créant des pages web, des sites et des réponses dans les forums/blogs afin de faire remonter une fausse information.

Internet est devenu un véritable far-west où ni la justice, ni la police ont pied si un réseau humain est véritablement bien organisé. D'autres sont victimes de vengeances d'employés, d'ex-amis ou de parfait inconnus, c'est édifiant, lisez cet article du journal Le Parisien/Aujourd'hui en France.


LES AUTRES PIECES DE JUSTICE

Les plaintes :

Première plainte pour DIFFAMATION au SARIJ de Paris 20e, en date du 29 juin 2001.

Première plainte pour MENACE DE MORT au SARIJ de Paris 20e, en date du 22 juin 2003

Deuxième plainte pour MENACE DE MORT au SARIJ de Paris 20e, en date du 26 août 2004.

Troisième plainte pour MENACE DE MORT au Tribunal de Paris, en date du 27 août 2004.

Main courante concernant la menace de mort, en date du 27 août 2004.

D'autres plaintes sont en cours, pour des raisons liées à l'instruction, elles ne seront pas présentées ici.

Les constats par huissier de justice :

Procès verbal de constats et annexes 1ere page & 2e page
réalisé par Maître Francis Sadone, en date du 9 avril 2004. Constats de plusieurs sites Internet diffamatoires, injures et harcèlements divers.

Procès verbal de constats et annexes 1ere page & 2e page réalisé par Maître Franck Cherki, en date du 28 août 2004 et en date du 15 octobre 2004.
Constats de graves menaces de mort que l'auteur (identifié par les services de police) a proféré sur un forum USENET ainsi que sur un autre forum,
appartenant cette fois-ci à un internaute qui me provoque depuis des années déjà.

www.jpney.com >> son site professionnel !

9 réponses

Les faits : M. Jean Paul Ney a été condamné le10 mars 2004 par le TGI de Nanterre pour "menaces de mort réitérées". Le jugement est disponible en pdf scanné ici : http://www.kitetoa.com/...

Affirmez-vous que ce document est un faux ?

Les documents présentés sur le site http://jpney.free.fr/JUSTICE/JEAN-PAUL_NEY-NON-LIEU.htm concernent manifestement une autre affaire (il s'agit d'un jugement de première instance, donc pas un appel de la condamnation du 10 mars 2004).

Je ne vois pas en quoi obtenir un non-lieu dans une affaire X blanchit un condamné pour une affaire Y.
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bof, c'est pas grave il a d'autre soucis en ce moment

https://www.lemonde.fr/


Le journaliste français Jean-Paul Ney détenu à la brigade criminelle d'Abidjan
afp 05.01.08 | 20h12



Le journaliste-photographe indépendant français Jean-Paul Ney, interpellé le 27 décembre à Abidjan, est "en garde à vue au siège de la police criminelle" dans la capitale ivoirienne, a affirmé Reporters sans frontières (RSF), samedi dans un communiqué.

RSF et l'agence Gamma avaient exprimé vendredi leur inquiétude sur le sort de Jean-Paul Ney, détenu selon l'organisation de défense des journalistes et l'agence, "dans le cadre d'une instruction sur un +complot+ présumé visant à saboter le processus de paix".

Le photographe "a été arrêté à proximité du siège de la Radiotélévision ivoirienne (RTI) à Abidjan, le 27 décembre, en compagnie d'un groupe d'individus non identifiés. Il a été détenu à la gendarmerie d'Abidjan, puis au siège de la Direction de la surveillance du territoire (DST). Il se trouve désormais en garde à vue au siège de la police criminelle à Abidjan", a précisé le communiqué.

RSF et Gamma "demandent aux autorités ivoiriennes de fournir des explications sur la détention de ce journaliste qui a collaboré avec plusieurs médias sur des affaires touchant le milieu militaire et le renseignement".
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http://news.abidjan.net/article/index.asp?n=277062

"Ainsi donc, pendant deux semaines, le mercenaire français a été suivi dans tous ses déplacements, même jusque dans ses rendez-vous galants. C'est d'ailleurs, dit-on, l'une de ses compagnes d'un soir, coincée par les limiers ivoiriens qui a fini par ''balancer'' le Français"

Ha ha ha ha ha ha ha Jean-Paul Ney va aux putes et il se fait gauler
ptdr !!!
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Excellent l'article de Zataz
https://www.zataz.com/securite-informatique-protection-anonymat-numeriques-cyber-crime/news/

La aussi Jean-Paul Niais en prend un bon coup dans les commentaires
http://www.rue89.com/2008/01/08/mysterieuse-detention-dun-photographe-francais-a-abidjan
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Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?

Posez votre question
Ca s'arrange pas pour lui le pauvre :)

http://www.20minutes.fr/article/207165/France-Dix-personnes-dont-deux-Francais-inculpees-de-complot-a-Abidjan.php

Dix personnes, dont deux Français, inculpées de «complot» à Abidjan
COTE D'IVOIRE - Le journaliste Jean-Paul Ney figurerait parmi eux, tandis que le second Français est un chef d'entreprise franco-ivoirien...


Un barbu c'est un barbu, trois barbus, c'est des barbouzes
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Ivoire8 Messages postés 5 Date d'inscription vendredi 4 avril 2008 Statut Membre Dernière intervention 27 novembre 2008 1
27 nov. 2008 à 15:05
La police ivoirienne dispose de preuves accablantes contre le journaliste-photographe français arrêté et détenu depuis fin décembre à Abidjan.

C’est le 10 décembre dernier, que Jean-Paul Ney, journaliste-photographe français foule le sol ivoirien. Officiellement pour un reportage sur le processus de désarmement des ex-combattants qui devait être lancé le 22 décembre. En réalité, “pour des repérages dans la perspective d’un coup d’Etat qui devrait se tenir avant le 31 décembre et dont évidemment il devrait fixer en exclusivité les images”, aurait confié Jean-Paul Ney aux services du contre-espionnage ivoiriens lors de son interrogatoire après son arrestation le jeudi 27 décembre 2007 par la gendarmerie nationale aux abords des locaux de la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI) à Abidjan-Cocody.
Jean-Paul Ney a été arrêté alors que, muni d’appareils photos sophistiqués, il prenait des images du siège de la télévision nationale à une heure très avancée de la nuit. Il était accompagné d’un inconnu qu’il a présenté aux gendarmes puis à la DST comme un spécialiste en armement. Jean-Paul Ney avait en sa possession des éléments compromettants qui attestaient qu’il n’était pas en Côte d’Ivoire dans le cadre d’un reportage ordinaire de journaliste-photographe. Il s’agit, entre autres, des films de la résidence du Président de la République, Laurent Gbagbo, des croquis commentés des différents itinéraires du cortège du Chef de l’Etat ivoirien lorsqu’il quitte son domicile pour le palais présidentiel au Plateau et d’une copie d’un discours écrit du Sergent-chef putschiste Ibrahim Coulibaly dit IB annonçant “un ordre nouveau en Côte d’Ivoire”. Ce discours était destiné à être prononcé par IB sur les antennes de la télévision nationale pour formaliser le coup d’Etat. Transféré à la direction de la surveillance du territoire (DST) par la gendarmerie, le journaliste-photographe français se serait mis à table au cours de son interrogatoire. Au regard des éléments saisis et des déclarations de Jean-Paul Ney, la DST a conclu à “une atteinte à la sûreté de l’Etat ivoirien”. Contrairement aux informations fournies par RSF, Jean-Paul Ney n’est pas actuellement détenu au siège de la police criminelle.
Selon une source proche du dossier, les informations recueillies sur ce journaliste-photographe permettent d’affirmer sans hésiter “qu’il est un agent des services secrets français, très proche de la DST française”. Aussi, depuis le 28 décembre 2007, les autorités françaises négocient sa libération, sans tambours ni trompettes. Parallèlement, les services secrets français suscitent une campagne de presse visant à présenter Jean-Paul Ney comme une victime d’un régime anti-démocratique hostile à la liberté de presse. Reporters Sans frontières (RSF) et toutes les organisations mondiales de défense des journalistes ruent déjà dans les brancards. Tous exigent des explications aux autorités ivoiriennes. Et quand ils auront les explications, ils les disqualifieront immédiatement et exerceront toutes sortes de pressions sur le gouvernement ivoirien pour obtenir la libération de Jean-Paul Ney. Les autorités françaises savent pourtant que la police ivoirienne détient des preuves accablantes contre le journaliste-photographe. Et c’est certainement la raison pour laquelle elles adoptent, depuis le début de cette affaire un profil bas. Préférant des négociations de coulisses à déclarations qui n’arrangeront pas forcément leur compatriote.
Né le 4 mai 1976 à Prades, dans les Pyrénées orientales (France), Jean-Paul Ney est un personnage controversé, bien connu en France par les services de police. Reporter-photographe free-lance, il entretient des relations que l’on dit profondes et obscures avec le monde du contre-espionnage français. Auteur de plusieurs ouvrages sur les “grandes oreilles” de son pays et la lutte contre le terrorisme, ce journaliste-photographe a fondé avec un ancien directeur de la DST française, Yves Bonnet, le centre international de recherche et d’études sur le terrorisme et l’aide aux victimes du terrorisme (CIRET-AVT).
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Diffamation: 18.000 euros pour un internaute Français

Le Tribunal de Grande Instance de Nanterre vient de condamner un internaute français à 18.000 euros d'amende pour diffamation sur Internet.

L'affaire ne date pas d'hier, elle date même du mois d'août 2005. Jean-Paul Ney (JPN), un internaute Français, en prison en Côte d'Ivoire depuis plus d'un an et qui était connu pour ses "dires" sur Internet vient d'être condamné, une nouvelle fois, pour diffamation sur Internet.

Il y a plus de trois ans, cet internaute racontait, sous la signature de plusieurs personnages fictifs, dont Marie Karine, qu' « une meute » de personnes lui en voulait, le menaçait, ... Parmi les personnes citées dans cette fausse interview, le webmasteur du site Kitetoa. L'administrateur de Kitetoa étant un journaliste qui avait déjà gagné un autre jugement à l'encontre de JP Ney à la suite de menaces de mort.

Dans cette nouvelle affaire, la fausse Interview avait été diffusée via plusieurs sites web et blogs mis en place par JPN. Le tribunal a décidé, le 5 février, que sur l'action publique, Jean-Paul Louis Ney était coupable de : "Diffamation envers particulier(s) par parole écrite, image ou moyen de communication au public par voie électronique". Une amende délictuelle de 5 000 euros a été requise à l'encontre de JPN.

Sur l'action civile, le TGI indique que : "Jean-Paul Louis Ney est entièrement responsable des conséquences dommageables de l'infraction subies par la partie civile". Le Tribunal condamne [Lire - PDF] JP Ney à 8 000 euros à titre de dommages-intérêts et 5 000 euros au titre de l'article 475-1 du Code de procédure pénale.

Le tribunal a demandé aussi, sous peine d'une astreinte de 500 euros par jour pour JP Ney et/ou l'hébergeur de retirer les propos diffamatoires des différents sites ciblés.

Le tribunal a aussi ordonné que soit diffusé sur les dits sites la publication du jugement pendant un délai "qui ne saurait être inférieur à six mois". Le tribunal impose aussi que ce jugement soit diffusé dans trois journaux. A noter que JP Ney n'était pas présent lors de l'audience, il est emprisonné en Côte d'Ivoire.

Source: http://www.zataz.com/news/18523/diffamation--internet--site-web--amende--jugement.html
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jp la prison pour bientot , tes mensonges sont interdit par la justice
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A lire absolument, l'expertise psychiatrique de JEAN-PAUL NEY :

http://www.kitetoa.com/Pages/Textes/Textes/Ney/Apres-proces/20050901-Dossier-d_instruction/Dossier-instruction-jean-paul-ney-l_expertise-psychiatrique-de-jean-paul-ney-2.shtml

C'est bien lui :-)
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Et boum ! Encore un taquet dans sa face :

http://www.forum-unite-communiste.org/forum_posts.asp?TID=3371
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