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9 réponses
Les faits : M. Jean Paul Ney a été condamné le10 mars 2004 par le TGI de Nanterre pour "menaces de mort réitérées". Le jugement est disponible en pdf scanné ici : http://www.kitetoa.com/...
Affirmez-vous que ce document est un faux ?
Les documents présentés sur le site http://jpney.free.fr/JUSTICE/JEAN-PAUL_NEY-NON-LIEU.htm concernent manifestement une autre affaire (il s'agit d'un jugement de première instance, donc pas un appel de la condamnation du 10 mars 2004).
Je ne vois pas en quoi obtenir un non-lieu dans une affaire X blanchit un condamné pour une affaire Y.
Affirmez-vous que ce document est un faux ?
Les documents présentés sur le site http://jpney.free.fr/JUSTICE/JEAN-PAUL_NEY-NON-LIEU.htm concernent manifestement une autre affaire (il s'agit d'un jugement de première instance, donc pas un appel de la condamnation du 10 mars 2004).
Je ne vois pas en quoi obtenir un non-lieu dans une affaire X blanchit un condamné pour une affaire Y.
bof, c'est pas grave il a d'autre soucis en ce moment
https://www.lemonde.fr/
Le journaliste français Jean-Paul Ney détenu à la brigade criminelle d'Abidjan
afp 05.01.08 | 20h12
Le journaliste-photographe indépendant français Jean-Paul Ney, interpellé le 27 décembre à Abidjan, est "en garde à vue au siège de la police criminelle" dans la capitale ivoirienne, a affirmé Reporters sans frontières (RSF), samedi dans un communiqué.
RSF et l'agence Gamma avaient exprimé vendredi leur inquiétude sur le sort de Jean-Paul Ney, détenu selon l'organisation de défense des journalistes et l'agence, "dans le cadre d'une instruction sur un +complot+ présumé visant à saboter le processus de paix".
Le photographe "a été arrêté à proximité du siège de la Radiotélévision ivoirienne (RTI) à Abidjan, le 27 décembre, en compagnie d'un groupe d'individus non identifiés. Il a été détenu à la gendarmerie d'Abidjan, puis au siège de la Direction de la surveillance du territoire (DST). Il se trouve désormais en garde à vue au siège de la police criminelle à Abidjan", a précisé le communiqué.
RSF et Gamma "demandent aux autorités ivoiriennes de fournir des explications sur la détention de ce journaliste qui a collaboré avec plusieurs médias sur des affaires touchant le milieu militaire et le renseignement".
https://www.lemonde.fr/
Le journaliste français Jean-Paul Ney détenu à la brigade criminelle d'Abidjan
afp 05.01.08 | 20h12
Le journaliste-photographe indépendant français Jean-Paul Ney, interpellé le 27 décembre à Abidjan, est "en garde à vue au siège de la police criminelle" dans la capitale ivoirienne, a affirmé Reporters sans frontières (RSF), samedi dans un communiqué.
RSF et l'agence Gamma avaient exprimé vendredi leur inquiétude sur le sort de Jean-Paul Ney, détenu selon l'organisation de défense des journalistes et l'agence, "dans le cadre d'une instruction sur un +complot+ présumé visant à saboter le processus de paix".
Le photographe "a été arrêté à proximité du siège de la Radiotélévision ivoirienne (RTI) à Abidjan, le 27 décembre, en compagnie d'un groupe d'individus non identifiés. Il a été détenu à la gendarmerie d'Abidjan, puis au siège de la Direction de la surveillance du territoire (DST). Il se trouve désormais en garde à vue au siège de la police criminelle à Abidjan", a précisé le communiqué.
RSF et Gamma "demandent aux autorités ivoiriennes de fournir des explications sur la détention de ce journaliste qui a collaboré avec plusieurs médias sur des affaires touchant le milieu militaire et le renseignement".
http://news.abidjan.net/article/index.asp?n=277062
"Ainsi donc, pendant deux semaines, le mercenaire français a été suivi dans tous ses déplacements, même jusque dans ses rendez-vous galants. C'est d'ailleurs, dit-on, l'une de ses compagnes d'un soir, coincée par les limiers ivoiriens qui a fini par ''balancer'' le Français"
Ha ha ha ha ha ha ha Jean-Paul Ney va aux putes et il se fait gauler
ptdr !!!
"Ainsi donc, pendant deux semaines, le mercenaire français a été suivi dans tous ses déplacements, même jusque dans ses rendez-vous galants. C'est d'ailleurs, dit-on, l'une de ses compagnes d'un soir, coincée par les limiers ivoiriens qui a fini par ''balancer'' le Français"
Ha ha ha ha ha ha ha Jean-Paul Ney va aux putes et il se fait gauler
ptdr !!!
Excellent l'article de Zataz
https://www.zataz.com/securite-informatique-protection-anonymat-numeriques-cyber-crime/news/
La aussi Jean-Paul Niais en prend un bon coup dans les commentaires
http://www.rue89.com/2008/01/08/mysterieuse-detention-dun-photographe-francais-a-abidjan
https://www.zataz.com/securite-informatique-protection-anonymat-numeriques-cyber-crime/news/
La aussi Jean-Paul Niais en prend un bon coup dans les commentaires
http://www.rue89.com/2008/01/08/mysterieuse-detention-dun-photographe-francais-a-abidjan
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Ca s'arrange pas pour lui le pauvre :)
http://www.20minutes.fr/article/207165/France-Dix-personnes-dont-deux-Francais-inculpees-de-complot-a-Abidjan.php
Dix personnes, dont deux Français, inculpées de «complot» à Abidjan
COTE D'IVOIRE - Le journaliste Jean-Paul Ney figurerait parmi eux, tandis que le second Français est un chef d'entreprise franco-ivoirien...
Un barbu c'est un barbu, trois barbus, c'est des barbouzes
http://www.20minutes.fr/article/207165/France-Dix-personnes-dont-deux-Francais-inculpees-de-complot-a-Abidjan.php
Dix personnes, dont deux Français, inculpées de «complot» à Abidjan
COTE D'IVOIRE - Le journaliste Jean-Paul Ney figurerait parmi eux, tandis que le second Français est un chef d'entreprise franco-ivoirien...
Un barbu c'est un barbu, trois barbus, c'est des barbouzes
Ivoire8
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27 nov. 2008 à 15:05
27 nov. 2008 à 15:05
La police ivoirienne dispose de preuves accablantes contre le journaliste-photographe français arrêté et détenu depuis fin décembre à Abidjan.
C’est le 10 décembre dernier, que Jean-Paul Ney, journaliste-photographe français foule le sol ivoirien. Officiellement pour un reportage sur le processus de désarmement des ex-combattants qui devait être lancé le 22 décembre. En réalité, “pour des repérages dans la perspective d’un coup d’Etat qui devrait se tenir avant le 31 décembre et dont évidemment il devrait fixer en exclusivité les images”, aurait confié Jean-Paul Ney aux services du contre-espionnage ivoiriens lors de son interrogatoire après son arrestation le jeudi 27 décembre 2007 par la gendarmerie nationale aux abords des locaux de la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI) à Abidjan-Cocody.
Jean-Paul Ney a été arrêté alors que, muni d’appareils photos sophistiqués, il prenait des images du siège de la télévision nationale à une heure très avancée de la nuit. Il était accompagné d’un inconnu qu’il a présenté aux gendarmes puis à la DST comme un spécialiste en armement. Jean-Paul Ney avait en sa possession des éléments compromettants qui attestaient qu’il n’était pas en Côte d’Ivoire dans le cadre d’un reportage ordinaire de journaliste-photographe. Il s’agit, entre autres, des films de la résidence du Président de la République, Laurent Gbagbo, des croquis commentés des différents itinéraires du cortège du Chef de l’Etat ivoirien lorsqu’il quitte son domicile pour le palais présidentiel au Plateau et d’une copie d’un discours écrit du Sergent-chef putschiste Ibrahim Coulibaly dit IB annonçant “un ordre nouveau en Côte d’Ivoire”. Ce discours était destiné à être prononcé par IB sur les antennes de la télévision nationale pour formaliser le coup d’Etat. Transféré à la direction de la surveillance du territoire (DST) par la gendarmerie, le journaliste-photographe français se serait mis à table au cours de son interrogatoire. Au regard des éléments saisis et des déclarations de Jean-Paul Ney, la DST a conclu à “une atteinte à la sûreté de l’Etat ivoirien”. Contrairement aux informations fournies par RSF, Jean-Paul Ney n’est pas actuellement détenu au siège de la police criminelle.
Selon une source proche du dossier, les informations recueillies sur ce journaliste-photographe permettent d’affirmer sans hésiter “qu’il est un agent des services secrets français, très proche de la DST française”. Aussi, depuis le 28 décembre 2007, les autorités françaises négocient sa libération, sans tambours ni trompettes. Parallèlement, les services secrets français suscitent une campagne de presse visant à présenter Jean-Paul Ney comme une victime d’un régime anti-démocratique hostile à la liberté de presse. Reporters Sans frontières (RSF) et toutes les organisations mondiales de défense des journalistes ruent déjà dans les brancards. Tous exigent des explications aux autorités ivoiriennes. Et quand ils auront les explications, ils les disqualifieront immédiatement et exerceront toutes sortes de pressions sur le gouvernement ivoirien pour obtenir la libération de Jean-Paul Ney. Les autorités françaises savent pourtant que la police ivoirienne détient des preuves accablantes contre le journaliste-photographe. Et c’est certainement la raison pour laquelle elles adoptent, depuis le début de cette affaire un profil bas. Préférant des négociations de coulisses à déclarations qui n’arrangeront pas forcément leur compatriote.
Né le 4 mai 1976 à Prades, dans les Pyrénées orientales (France), Jean-Paul Ney est un personnage controversé, bien connu en France par les services de police. Reporter-photographe free-lance, il entretient des relations que l’on dit profondes et obscures avec le monde du contre-espionnage français. Auteur de plusieurs ouvrages sur les “grandes oreilles” de son pays et la lutte contre le terrorisme, ce journaliste-photographe a fondé avec un ancien directeur de la DST française, Yves Bonnet, le centre international de recherche et d’études sur le terrorisme et l’aide aux victimes du terrorisme (CIRET-AVT).
C’est le 10 décembre dernier, que Jean-Paul Ney, journaliste-photographe français foule le sol ivoirien. Officiellement pour un reportage sur le processus de désarmement des ex-combattants qui devait être lancé le 22 décembre. En réalité, “pour des repérages dans la perspective d’un coup d’Etat qui devrait se tenir avant le 31 décembre et dont évidemment il devrait fixer en exclusivité les images”, aurait confié Jean-Paul Ney aux services du contre-espionnage ivoiriens lors de son interrogatoire après son arrestation le jeudi 27 décembre 2007 par la gendarmerie nationale aux abords des locaux de la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI) à Abidjan-Cocody.
Jean-Paul Ney a été arrêté alors que, muni d’appareils photos sophistiqués, il prenait des images du siège de la télévision nationale à une heure très avancée de la nuit. Il était accompagné d’un inconnu qu’il a présenté aux gendarmes puis à la DST comme un spécialiste en armement. Jean-Paul Ney avait en sa possession des éléments compromettants qui attestaient qu’il n’était pas en Côte d’Ivoire dans le cadre d’un reportage ordinaire de journaliste-photographe. Il s’agit, entre autres, des films de la résidence du Président de la République, Laurent Gbagbo, des croquis commentés des différents itinéraires du cortège du Chef de l’Etat ivoirien lorsqu’il quitte son domicile pour le palais présidentiel au Plateau et d’une copie d’un discours écrit du Sergent-chef putschiste Ibrahim Coulibaly dit IB annonçant “un ordre nouveau en Côte d’Ivoire”. Ce discours était destiné à être prononcé par IB sur les antennes de la télévision nationale pour formaliser le coup d’Etat. Transféré à la direction de la surveillance du territoire (DST) par la gendarmerie, le journaliste-photographe français se serait mis à table au cours de son interrogatoire. Au regard des éléments saisis et des déclarations de Jean-Paul Ney, la DST a conclu à “une atteinte à la sûreté de l’Etat ivoirien”. Contrairement aux informations fournies par RSF, Jean-Paul Ney n’est pas actuellement détenu au siège de la police criminelle.
Selon une source proche du dossier, les informations recueillies sur ce journaliste-photographe permettent d’affirmer sans hésiter “qu’il est un agent des services secrets français, très proche de la DST française”. Aussi, depuis le 28 décembre 2007, les autorités françaises négocient sa libération, sans tambours ni trompettes. Parallèlement, les services secrets français suscitent une campagne de presse visant à présenter Jean-Paul Ney comme une victime d’un régime anti-démocratique hostile à la liberté de presse. Reporters Sans frontières (RSF) et toutes les organisations mondiales de défense des journalistes ruent déjà dans les brancards. Tous exigent des explications aux autorités ivoiriennes. Et quand ils auront les explications, ils les disqualifieront immédiatement et exerceront toutes sortes de pressions sur le gouvernement ivoirien pour obtenir la libération de Jean-Paul Ney. Les autorités françaises savent pourtant que la police ivoirienne détient des preuves accablantes contre le journaliste-photographe. Et c’est certainement la raison pour laquelle elles adoptent, depuis le début de cette affaire un profil bas. Préférant des négociations de coulisses à déclarations qui n’arrangeront pas forcément leur compatriote.
Né le 4 mai 1976 à Prades, dans les Pyrénées orientales (France), Jean-Paul Ney est un personnage controversé, bien connu en France par les services de police. Reporter-photographe free-lance, il entretient des relations que l’on dit profondes et obscures avec le monde du contre-espionnage français. Auteur de plusieurs ouvrages sur les “grandes oreilles” de son pays et la lutte contre le terrorisme, ce journaliste-photographe a fondé avec un ancien directeur de la DST française, Yves Bonnet, le centre international de recherche et d’études sur le terrorisme et l’aide aux victimes du terrorisme (CIRET-AVT).
Diffamation: 18.000 euros pour un internaute Français
Le Tribunal de Grande Instance de Nanterre vient de condamner un internaute français à 18.000 euros d'amende pour diffamation sur Internet.
L'affaire ne date pas d'hier, elle date même du mois d'août 2005. Jean-Paul Ney (JPN), un internaute Français, en prison en Côte d'Ivoire depuis plus d'un an et qui était connu pour ses "dires" sur Internet vient d'être condamné, une nouvelle fois, pour diffamation sur Internet.
Il y a plus de trois ans, cet internaute racontait, sous la signature de plusieurs personnages fictifs, dont Marie Karine, qu' « une meute » de personnes lui en voulait, le menaçait, ... Parmi les personnes citées dans cette fausse interview, le webmasteur du site Kitetoa. L'administrateur de Kitetoa étant un journaliste qui avait déjà gagné un autre jugement à l'encontre de JP Ney à la suite de menaces de mort.
Dans cette nouvelle affaire, la fausse Interview avait été diffusée via plusieurs sites web et blogs mis en place par JPN. Le tribunal a décidé, le 5 février, que sur l'action publique, Jean-Paul Louis Ney était coupable de : "Diffamation envers particulier(s) par parole écrite, image ou moyen de communication au public par voie électronique". Une amende délictuelle de 5 000 euros a été requise à l'encontre de JPN.
Sur l'action civile, le TGI indique que : "Jean-Paul Louis Ney est entièrement responsable des conséquences dommageables de l'infraction subies par la partie civile". Le Tribunal condamne [Lire - PDF] JP Ney à 8 000 euros à titre de dommages-intérêts et 5 000 euros au titre de l'article 475-1 du Code de procédure pénale.
Le tribunal a demandé aussi, sous peine d'une astreinte de 500 euros par jour pour JP Ney et/ou l'hébergeur de retirer les propos diffamatoires des différents sites ciblés.
Le tribunal a aussi ordonné que soit diffusé sur les dits sites la publication du jugement pendant un délai "qui ne saurait être inférieur à six mois". Le tribunal impose aussi que ce jugement soit diffusé dans trois journaux. A noter que JP Ney n'était pas présent lors de l'audience, il est emprisonné en Côte d'Ivoire.
Source: http://www.zataz.com/news/18523/diffamation--internet--site-web--amende--jugement.html
Le Tribunal de Grande Instance de Nanterre vient de condamner un internaute français à 18.000 euros d'amende pour diffamation sur Internet.
L'affaire ne date pas d'hier, elle date même du mois d'août 2005. Jean-Paul Ney (JPN), un internaute Français, en prison en Côte d'Ivoire depuis plus d'un an et qui était connu pour ses "dires" sur Internet vient d'être condamné, une nouvelle fois, pour diffamation sur Internet.
Il y a plus de trois ans, cet internaute racontait, sous la signature de plusieurs personnages fictifs, dont Marie Karine, qu' « une meute » de personnes lui en voulait, le menaçait, ... Parmi les personnes citées dans cette fausse interview, le webmasteur du site Kitetoa. L'administrateur de Kitetoa étant un journaliste qui avait déjà gagné un autre jugement à l'encontre de JP Ney à la suite de menaces de mort.
Dans cette nouvelle affaire, la fausse Interview avait été diffusée via plusieurs sites web et blogs mis en place par JPN. Le tribunal a décidé, le 5 février, que sur l'action publique, Jean-Paul Louis Ney était coupable de : "Diffamation envers particulier(s) par parole écrite, image ou moyen de communication au public par voie électronique". Une amende délictuelle de 5 000 euros a été requise à l'encontre de JPN.
Sur l'action civile, le TGI indique que : "Jean-Paul Louis Ney est entièrement responsable des conséquences dommageables de l'infraction subies par la partie civile". Le Tribunal condamne [Lire - PDF] JP Ney à 8 000 euros à titre de dommages-intérêts et 5 000 euros au titre de l'article 475-1 du Code de procédure pénale.
Le tribunal a demandé aussi, sous peine d'une astreinte de 500 euros par jour pour JP Ney et/ou l'hébergeur de retirer les propos diffamatoires des différents sites ciblés.
Le tribunal a aussi ordonné que soit diffusé sur les dits sites la publication du jugement pendant un délai "qui ne saurait être inférieur à six mois". Le tribunal impose aussi que ce jugement soit diffusé dans trois journaux. A noter que JP Ney n'était pas présent lors de l'audience, il est emprisonné en Côte d'Ivoire.
Source: http://www.zataz.com/news/18523/diffamation--internet--site-web--amende--jugement.html
A lire absolument, l'expertise psychiatrique de JEAN-PAUL NEY :
http://www.kitetoa.com/Pages/Textes/Textes/Ney/Apres-proces/20050901-Dossier-d_instruction/Dossier-instruction-jean-paul-ney-l_expertise-psychiatrique-de-jean-paul-ney-2.shtml
C'est bien lui :-)
http://www.kitetoa.com/Pages/Textes/Textes/Ney/Apres-proces/20050901-Dossier-d_instruction/Dossier-instruction-jean-paul-ney-l_expertise-psychiatrique-de-jean-paul-ney-2.shtml
C'est bien lui :-)