Besoin d'avis... [histoire]

Bonjour, bonsoir,

je souhaiterais avoir vos avis sur le début de mon histoire. J'ai 14 et mes amis pensent que c'est "super-hyper-mega-trop-cool", mais bon sans être méchant, c'est le genre de personne à aimer tout et n'importe quoi, pour un français moins que potable. J'aimerais donc avoir des avis neutres, de personnes qui ne me connaisse pas : )

Je m'excuse d'avance pour les fautes de frappe et d'orthographe...


Chapitre premier.

- « Fais tes bagages, on déménage »

Cette phrase a était la phrase la plus dure à avaler de toute la jeune vie de Kasen. Ca faisait déjà une semaine qu'elle avait déménagée. Du plein centre de Paris, à un coin paumé en pleine montagne. La seule chose qu'elle avait appréciée ici, était son libre accès à la forêt, qui était juste derrière la barrière, au fond du jardin. Ca aussi c'était nouveau pour elle. Avant elle habitait au 7eme étage d'un immeuble. Maintenant, Kasen habitait une maison immense, avec un jardin immense, et tous sa dans un petit village... Ces amis lui manquaient déjà. Tous sa s'était passé si vite... Du jour au lendemain, ses parents lui avaient annoncé le déménagement, et une semaine après, tout était déjà dans son nouveau chez elle... Ici, Kasen avait toutes les belles choses. Sa chambre était spacieuse mais surtout, pas encore aménager. Elle avait une salle de bain pour elle, mais à quoi bon ? Elle n'aimait rien. Trop déprimer par ce départ précipité.
Kasen se daigna finalement de se regarder dans le miroir. Elle avait de magnifiques yeux bleus Majorelle. Elle avait des cheveux longs et ondulés couleur chocolat qui lui encadrait parfaitement son visage ovale et sans bouton. Mais elle avait aussi des cernes marqués et les yeux vitreux à force d'avoir pleurer... La jeune Kasen avait eut ses seize ans il y a encore moins d'un mois.
Avachit sur son lit de fortune (un simple matelas parterre), Kasen regardait le temps s'écoulait, espérant qu'elle se réveille à tout moment. Que ce ne serait qu'un cauchemar. Mais c'était sure pour de bon. C'était bien réel. Elle finit par se lever doucement, pour aller passer un peu d'eau sur son visage. Quand elle sortit enfin de sa chambre, sa mère s'arrêta devant un elle avec un grand sourire.
- Tu tombe bien, j'allais te chercher pour manger. Lui dit-elle.
- Mouais... Rétorqua froidement Kasen. Elle en voulait toujours à ses parents pour ce coup.
Les parents avaient déjà tout fait au salon : mettre le papier peint, installer les meubles... Pour manger, ils avaient une grande table en verre transparent, avec des formes bizarres en dessous, des ronds et des carrés qui ne signifiaient rien. Kasen trouvait sa hideux. Elle trouvait le salon moderne de ces parents moche. Le repas ce fit dans le silence, comme depuis que les parents de Kasen lui avaient annoncé le déménagement... Mais ce fut le père qui brisa la glace en premier :
- On t'a inscrit au lycée de secteur, tu reprends les cours demain lycée en général.
Kasen se crispa aussitôt. Elle serra sa fourchette qui venait de se planter dans un petit pois.
- Pas de chance, j'ai jeté tout mes cahiers. Lança-t-elle simplement, sans relever la tête de son assiette. Bien sure, pour ces parents c'est une occasion de la faire passer en général, alors que Kasen avait put difficilement faire une seconde professionnel en bois. Elle aimait le bois, les sculptures de bois... Mais contrairement à elle, ses aïeux voulaient absolument qu'elle fasse des études supérieures, pour qu'elle devienne médecin ou encore, avocat...
- T'as mère t'as racheté des affaires. Trouva-t-il à répondre. Kasen s'arrêta de mâcher, et posa calmement sa fourchette. Elle leva les yeux vers son père.
- Vous avez demandé mon avis ? Ô mais bien sûr que non ! On n'a pas besoin de l'avis de la petite Kasen, elle n'a que seize ans ! Fulmina l'adolescente avant de continuer à manger.
- Kasen... On s'est dit qu...
- Vous vous êtes dit quoi ?! S'emporta cette dernière, en bondissant presque de sa chaise. Ses parents la fixait avec de grand yeux surprit. C'est vrai qu'avant, Kasen ne s'était jamais énervé contre ses parents...
- Je vous rappelle que vous m'avez retiré à mes amis du jour au lendemain et que vous me mettez en lycée général alors que je haie les cours. Continua-t-elle avant de faire volte face en prenant son assiette.
- Où vas-tu ? Demanda sa mère. Kasen ne se daigna même pas à se retourner.
- Je vais ranger mon assiette comme une grande et aller dans mon jardin. Enfin vous me le dîtes si vous me le retirait aussi ? Grommela-t-elle. Ses parents soupiraient, la laissant sortir dehors. Kasen s'installa contre la barrière qui séparait le jardin de la forêt dense. C'était la seule chose qu'elle aimait ici, la nature... Il faisait déjà entièrement nuit. Il faisait froid. On était novembre aussi... Kasen resta de longues minutes à observer la forêt, enfin la silhouette de la forêt. Lorsqu'elle entendit un craquement de branche qui provenait de celle-ci. Kasen sursauta et se leva, se penchant sur la barrière pour essayer de voir. Elle était persuadé qu'il y avait quelqu'un, lorsqu'elle sentit une main glacée se poser sur son épaule. Aussitôt elle poussa un petit cri qu'elle étouffa avec sa main. C'était un jeune homme qui se tenait là, de l'autre côté de la barrière. Kasen le traiter intérieurement d'idiot de lui avoir fait peur comme sa. Mais elle ne put être autrement qu'hypnotiser fasse à son regard dorée, qui étrangement était presque lumineux. Et pourtant elle n'arrivait pas à voir clairement son visage. Kasen secoua légèrement la tête pour sortir de ces rêveries et fronça les sourcils.
- Tu m'as fais peur ... Dit-elle simplement. Même si elle lui en voulait. Le jeune homme sembla gêné.
- Excuse moi alors... Mais ce n'est pas vraiment une bonne idée de sortir la nuit, surtout près de la forêt... Affirma-t-il. Kasen serra le poing. C'était son jardin, et cet inconnu venait l'embêter ici...
- Je te signal que je suis chez moi et je fais ce que je veux. S'exclama-t-elle, vexé qu'un inconnu lui dise ce qu'elle doit faire ou ne pas faire. Le garçon approcha sa main vers le vers le visage de la jeune fille et essuya une larme qui avait discrètement perlé de ses yeux.
- Pourquoi pleures-tu ? Je t'ai fais du mal ? Demanda-t-il. Kasen fut surprise par la délicatesse de son interlocuteur. Elle passa rapidement un coup de rêver sur son visage pour essuyer les larmes qui lui restait.
-J...C'est personnel et je ne te conn...
- Kasen ! Il se fait tard, rentre à la maison et va dormir ! Cria sa mère. Cette dernière ce retourna vers sa maison avant de faire face à nouveau au jeune inconnu, qui en fait, avait totalement disparut. Il était vraiment... Etrange. Kasen soupira bruyamment avant de rentrer.
Après avoir préparé ses affaires à contrecoeur, Kasen s'installa sous son épaisse couette, repensant à ce garçon et ses yeux or. Elle finie tout de même par s'endormir, malgré les étranges bruits de la forêt...
Kasen se réveilla finalement en sursaut. Il n'était que cinq heure dix du matin. N'arrivant pas à se rendormir à cause d'une vague impression d'être observé, elle se leva énergiquement pour allumer la lumière. Elle regarda sa chambre gigantesque et silencieuse. Blanche surtout... Lorsqu'elle remarqua une porte. Une vieille porte en bois qu'elle n'avait pas remarquer avant. Kasen s'approcha, curieuse et essaya de l'ouvrir, sans résultat. Elle était verrouillée. Kasen savait où ses parents laissaient toutes les clefs de la maison. Elle descendit alors les escaliers et dévala les couloirs sans se gêner d'allumer toutes les lumières au passage. L'adolescente arriva finalement dans l'entrer, puis elle sortit la boîte à clef. Elle fouille dedans et chercha de préférence des vieilles clefs. Elle en trouva trois. Kasen remonta ensuite dans sa chambre, après avoir faite une escale à la cuisine pour prendre une bouteille de jus de fruit rouges et une boîte de cookies. Kasen lança habilement ses courses sur son lit et se dirigea aussitôt vers la porte. Après avoir essayé les deux premières clefs, les plus affreuse, elle saisit la dernière, celle qui semblait être la plus ancienne. Elle était pourtant très belle, orné de pierre rouge, verte et bleue. Kasen inséra la clef dans la serrure et déverrouilla la porte. La jeune fille ouvrit cette dernière lentement, laissant entendre un long grincement aigue. Cette porte donna sur une petite pièce très poussiéreuse. Kasen était stupéfaite. Dedans, il y avait un mobilier visiblement très ancien, en bois. Et puis la tonne de poussière était témoins que sa faisait très longtemps qu'on n'avait pas rendu visite à la pièce... Kasen toussa soudainement, après s'être étranglé avec un grain de poussière tenace. Elle manqua alors de faire tomber une boîte. Toujours aussi curieuse, elle l'ouvrit et découvrit une magnifique bague. Dont la forme était une rose en cristal de couleur rouge sang. Elle était magnifique, Kasen n'en n'avait jamais vu de même. Elle fourra alors le bijou dans sa poche. Elle visita ensuite la petite bibliothèque. Les livres étaient en parfait état, mais inconnu aux yeux de Kasen. Ces livres devaient être uniques. Elle saisit doucement un livre épais, dont la couverture était faite en cuire rouge. Le livre s'intitulait Unother. D'après les premières pages du livre, sa parlait de l'histoire d'un autre monde appeler Unother. Qui était peupler par des créatures qui posséder des pouvoirs spéciaux... Se qui avait étonné Kasen, s'était le manque de description des choses qui peuplait Unother. Elle ne savait pas s'ils étaient bleus, s'ils étaient petit... Rien. Rien sauf leurs pouvoirs extraordinaire... Kasen fut sortit de ses penser par sa mère qui l'appelait. Kasen ne voulait pas qu'elle découvre cet endroit. Aussitôt elle sortit en refermant la porte à clef et à ce moment là, sa mère entra dans la chambre.
- Tu es déjà debout ? ... Qu'est-ce que c'est que cette porte... ? Lui demanda-t-elle en s'approchant de la porte. Elle non plus ne semblait pas être au courant pour la porte. Kasen, après avoir discrètement rangé la clef dans poche, haussa les épaules.
- S'est une porte décorative, il n'y a qu'un mur. Lança-t-elle. La mère ne semblait pas étonner.
- Dans les vieilles maisons comme sa, il y avait de nombreuses portes qui ne servaient pas... Bref, prépare-toi, on part dans vingt minutes. Précisa-t-elle avant de partir en refermant la porte de la chambre. Kasen soupira, soulager qu'elle croie au premier mensonge qu'elle avait trouvé... Ce sera sa cachette à elle... A contrecoeur elle se prépara : elle mit un jeans avec des converses. Comme haut un pull épais et large et elle fit une queue de cheval haute avec sa frange rabattu sur le côté avec des barrettes. Kasen regarda l'heure, sept heures et quart. Elle était restée largement plus d'une heure dans cette pièce étrange, sans se rendre compte de rien... Elle soupira et prit son sac où elle fourra sa boîte de cookies et sa bouteille de jus qu'elle avait pris deux heures avant. La jeune fille descendit les escaliers avec lassitude, et sans envie. Mais bon. Sa mère l'attendait devant la porte, les bras croisés.
- On y va ? Demanda-t-elle. Kasen hocha légèrement la tête. Elles entrèrent toutes les deux dans la petite voiture bleu nuit et le voyage se fit dans un froid glacial. Dès que la mère essayait d'engager la conversation, Kasen faisait tout pour parler le moins possible. Par la suite, elles arrivèrent à destination, le petit Lycée du village... Kasen sortit tranquillement de la voiture.
- Viens je t'accompagne ma chérie...
Kasen s'arrêta de marcher.
- Non je n'ai pas besoin de toi. Lança-t-elle avant de continuer à avancer. Elle n'était pas prête à parlementer avec sa mère. Elle entra d'un pas pressé dans le bâtiment, se retournant par moment. Et à l'instant où elle regarda devant elle, Kasen percuta quelqu'un et tomba lamentablement...