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8 réponses
En fait le problème vient des éditeurs et non des auteurs. Les éditeurs ont des contrats pour des produits dérivés style fonds d'écran, graphisme T-shirt, logo etc, leurs clients souffrent donc de la concurrence gratuite :-)
Le streaming est préférable via des plateformes style Youtube, car se sont elles qui sont dans ce cas l'éditeur.
Scantrad, vois pas trop ce que c'est, toutefois un site ici signale l'attaque de 36 éditeurs...vaut mieux y réfléchir à 2 fois:
http://www.scantrad.fr/plus.php?id=4784
Le streaming est préférable via des plateformes style Youtube, car se sont elles qui sont dans ce cas l'éditeur.
Scantrad, vois pas trop ce que c'est, toutefois un site ici signale l'attaque de 36 éditeurs...vaut mieux y réfléchir à 2 fois:
http://www.scantrad.fr/plus.php?id=4784
Le problème d'internet, c'est l'éditeur responsable. Si tu envois un brol sur Youtube ou autre, tu ne le publies pas, c'est Youtube qui bloque ou accepte l'envoi.
Si ils acceptent l'envoi et le publient, ils en prennent la responsabilité et techniquement parlant, ce n'est plus ton problème.
Tirer un lien vers le contenu d'un site, légal ou non, n'est pas ton problème car tu n'est pas responsable de ce que contient ce site. Tu ne peux pas changer la politique du site en question, encore moins supprimer ou deviner si il y a des accords légaux ou non. De plus le contenu peut changer entre l'époque où tu tires ce lien et le moment où quelqu'un utilise ce lien. Dans le cas contraire, faudra m'expliquer :-)
Le droit à l'image appartient aux auteurs, c'est eux qui décident ce qu'il en font. Ici ce sont les éditeurs qui attaquent (donc pas les ayants droits) pour un simple principe mercantile.
Pour le message 1(si c'est de ça que tu causes), c'est une publication que j'avais remise sur mon site en 2005:
Première condamnation pour piratage de BD sur Internet
Moins touchée que la musique et le cinéma, l'édition fait connaissance avec la contrefaçon numérique. Un premier jugement a été prononcé.
Hélène Puel , 01net., le 22/08/2005 à 18h40
A son tour, l'industrie du livre découvre les affres de la contrefaçon sur Internet. Un internaute a été condamné au printemps par le tribunal de grande instance de Paris pour avoir mis à disposition quelque 2 288 bandes dessinées sur Internet. Il a été condamné à verser au Syndicat national de l'édition un euro symbolique au titre de réparation du préjudice subi par l'ensemble de la profession. Le jugement est aujourd'hui définitif, l'homme ayant renoncé à faire appel de cette décision.
Dans cette affaire, la justice s'est montrée clémente. L'article L335-2 du code de la propriété intellectuelle punit les infractions de contrefaçon jusqu'à 300 000 euros d'amende et trois ans de prison. « Lorsque le site a été porté à notre connaissance par la cellule de veille de la gendarmerie de Rosny-sous-Bois, [service technique de recherches judiciaires et de documentation, NDLR], nous nous sommes portés partie civile. Nous n'avons réclamé qu'un euro de dommages et intérêts car ce n'est pas notre vocation. Nous nous voulons pédagogiques. En revanche, les éditeurs mènent eux-mêmes des actions pour faire valoir leur droit », explique Laure Vaille-Touraille, juriste au Syndicat national de l'édition.
Dans le monde de l'édition, la bande dessinée fait figure de cible de premier choix pour la contrefaçon. Avec les maisons de disques ou les producteurs de films, elle partage une même cible, jeune et férue de technologies. Toutefois, les éditeurs en sont encore à essayer de quantifier le phénomène.
« A la différence de la musique ou du cinéma, la bande dessinée est un produit matériel. L'amateur veut avoir entre les mains l'ouvrage pour lire la planche dans des conditions optimales. Le développement de la contrefaçon numérique de bande dessinée devrait être limité », analyse François Pasquier, juriste pour Glenat.
Logos et produits dérivés sous haute surveillance
La maison d'édition, qui publie entre autres Titeuf et les mangas Evangelion et Dragon Ball, est en revanche plus inquiète pour la contrefaçon d'images, de logos ou de produits dérivés proposés sur Internet. « Nous nous devons d'entamer des procédures juridiques tant vis-à-vis des nos auteurs que de nos licenciés qui paient pour utiliser les images sur des produits dérivés », poursuit François Pasquier. Glenat a porté plainte contre un site qui diffusait des fonds d'écran issus de 35 albums et de 18 mangas publiés par l'éditeur. L'affaire est en cours d'instruction.
Même écho chez Dargaud. L'éditeur de XIII et Blueberry prévient sur son site Internet que toute personne diffusant en ligne sans autorisation les images ou les fonds d'écran de ses personnages s'expose à des poursuites. Toutefois, Dargaud mène une politique différente vis-à-vis des sites amateurs. Il a mis en place une « charte de bonne conduite » par laquelle les webmestres s'engagent entre autres à ne diffuser que quelques images, indiquer leurs copyrights et leurs auteurs.
Si l'éditeur peut se permettre une telle politique, c'est sans nul doute parce que le marché de la bande dessinée est florissant, contrairement à celui du disque ou du cinéma. En 2004, 2 010 nouveaux albums arrivaient sur le marché, contre seulement 1730 l'année précédente.
Article 01net
Si ils acceptent l'envoi et le publient, ils en prennent la responsabilité et techniquement parlant, ce n'est plus ton problème.
Tirer un lien vers le contenu d'un site, légal ou non, n'est pas ton problème car tu n'est pas responsable de ce que contient ce site. Tu ne peux pas changer la politique du site en question, encore moins supprimer ou deviner si il y a des accords légaux ou non. De plus le contenu peut changer entre l'époque où tu tires ce lien et le moment où quelqu'un utilise ce lien. Dans le cas contraire, faudra m'expliquer :-)
Le droit à l'image appartient aux auteurs, c'est eux qui décident ce qu'il en font. Ici ce sont les éditeurs qui attaquent (donc pas les ayants droits) pour un simple principe mercantile.
Pour le message 1(si c'est de ça que tu causes), c'est une publication que j'avais remise sur mon site en 2005:
Première condamnation pour piratage de BD sur Internet
Moins touchée que la musique et le cinéma, l'édition fait connaissance avec la contrefaçon numérique. Un premier jugement a été prononcé.
Hélène Puel , 01net., le 22/08/2005 à 18h40
A son tour, l'industrie du livre découvre les affres de la contrefaçon sur Internet. Un internaute a été condamné au printemps par le tribunal de grande instance de Paris pour avoir mis à disposition quelque 2 288 bandes dessinées sur Internet. Il a été condamné à verser au Syndicat national de l'édition un euro symbolique au titre de réparation du préjudice subi par l'ensemble de la profession. Le jugement est aujourd'hui définitif, l'homme ayant renoncé à faire appel de cette décision.
Dans cette affaire, la justice s'est montrée clémente. L'article L335-2 du code de la propriété intellectuelle punit les infractions de contrefaçon jusqu'à 300 000 euros d'amende et trois ans de prison. « Lorsque le site a été porté à notre connaissance par la cellule de veille de la gendarmerie de Rosny-sous-Bois, [service technique de recherches judiciaires et de documentation, NDLR], nous nous sommes portés partie civile. Nous n'avons réclamé qu'un euro de dommages et intérêts car ce n'est pas notre vocation. Nous nous voulons pédagogiques. En revanche, les éditeurs mènent eux-mêmes des actions pour faire valoir leur droit », explique Laure Vaille-Touraille, juriste au Syndicat national de l'édition.
Dans le monde de l'édition, la bande dessinée fait figure de cible de premier choix pour la contrefaçon. Avec les maisons de disques ou les producteurs de films, elle partage une même cible, jeune et férue de technologies. Toutefois, les éditeurs en sont encore à essayer de quantifier le phénomène.
« A la différence de la musique ou du cinéma, la bande dessinée est un produit matériel. L'amateur veut avoir entre les mains l'ouvrage pour lire la planche dans des conditions optimales. Le développement de la contrefaçon numérique de bande dessinée devrait être limité », analyse François Pasquier, juriste pour Glenat.
Logos et produits dérivés sous haute surveillance
La maison d'édition, qui publie entre autres Titeuf et les mangas Evangelion et Dragon Ball, est en revanche plus inquiète pour la contrefaçon d'images, de logos ou de produits dérivés proposés sur Internet. « Nous nous devons d'entamer des procédures juridiques tant vis-à-vis des nos auteurs que de nos licenciés qui paient pour utiliser les images sur des produits dérivés », poursuit François Pasquier. Glenat a porté plainte contre un site qui diffusait des fonds d'écran issus de 35 albums et de 18 mangas publiés par l'éditeur. L'affaire est en cours d'instruction.
Même écho chez Dargaud. L'éditeur de XIII et Blueberry prévient sur son site Internet que toute personne diffusant en ligne sans autorisation les images ou les fonds d'écran de ses personnages s'expose à des poursuites. Toutefois, Dargaud mène une politique différente vis-à-vis des sites amateurs. Il a mis en place une « charte de bonne conduite » par laquelle les webmestres s'engagent entre autres à ne diffuser que quelques images, indiquer leurs copyrights et leurs auteurs.
Si l'éditeur peut se permettre une telle politique, c'est sans nul doute parce que le marché de la bande dessinée est florissant, contrairement à celui du disque ou du cinéma. En 2004, 2 010 nouveaux albums arrivaient sur le marché, contre seulement 1730 l'année précédente.
Article 01net
A l'exception de 1 ou 2 mangas, les créateurs de mangas n'attaquent pas les sites de fans, il y a un accord de bonne conduite où les fans s'engagent à ne pas publier trop de dessins et dans ce cas, pas de poursuite.
Mangas à gros risques: Evangelion et Dragon Ball (grosse méfiance) :-)
Mangas à gros risques: Evangelion et Dragon Ball (grosse méfiance) :-)
LOL ok merci beaucoup pour ces informations precieuse mais alors je peux prendre des images sur google sans avoir de problème :) Dans ce cas pour dragon ball et evangelion mieu vaut prendre des images fait par d'autres personne que l'auteur .
et sinon au niveau du streaming de manga et du scantrad pouvez-vous me renseigner svp ??
Merci encore
et sinon au niveau du streaming de manga et du scantrad pouvez-vous me renseigner svp ??
Merci encore
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Merci ton info sur le scantrad ma été précieuse et même j'abandonne l'idée du scantrad :(
scantrad = les manga au Japon traduit par des fan en français et ils les publient sur Internet .
Maintenant pour le streaming sa veux dire que si j'integre une vidéo de YouTube sur mon site je risque rien ??
Et pour les droit d'image ou as-tu eu ton information stp ??
scantrad = les manga au Japon traduit par des fan en français et ils les publient sur Internet .
Maintenant pour le streaming sa veux dire que si j'integre une vidéo de YouTube sur mon site je risque rien ??
Et pour les droit d'image ou as-tu eu ton information stp ??
Re !!
Alors au niveau streaming et scantrad j'ai tout compris mais au niveau des droits images il faut demander au maison d'editions du style glenat de nous autoriser a plublier des images de manga ??
Si non dis-moi LOL stp
Alors au niveau streaming et scantrad j'ai tout compris mais au niveau des droits images il faut demander au maison d'editions du style glenat de nous autoriser a plublier des images de manga ??
Si non dis-moi LOL stp
En théorie oui ou aux auteurs, mais causer avec des Japonais, ça parait assez coton, déjà que ceux qui causent français ne répondent pas :-)
Disons qu'on peut user mais pas abuser et si il y a un souci, ils vont envoyer un mail pour demander de retirer. Cela dit, ce sont les gros sites qui abusent qui les gênent, pas les autres.
Je ne pense pas que tu aies beaucoup de soucis à te faire si tu ne scannes pas de BD entières. Pour le reste j'utiliserais plutôt les plateformes pour les vidéos.
J'ai déjà fait des bans pour plusieurs qui ont ce genre de sites et aucun n'a été attaqué à ce jour. Donc tu peux mettre le design en chantier :-)
Disons qu'on peut user mais pas abuser et si il y a un souci, ils vont envoyer un mail pour demander de retirer. Cela dit, ce sont les gros sites qui abusent qui les gênent, pas les autres.
Je ne pense pas que tu aies beaucoup de soucis à te faire si tu ne scannes pas de BD entières. Pour le reste j'utiliserais plutôt les plateformes pour les vidéos.
J'ai déjà fait des bans pour plusieurs qui ont ce genre de sites et aucun n'a été attaqué à ce jour. Donc tu peux mettre le design en chantier :-)
Bonjours !!
Je vais envoyé un messag au editeur et si ils ne répondent pas je posterais des images merci encore mais quand vous dite qu'il ne faut pas abuser si je mais 1000 courverture sa va ou pas ??
Je vais envoyé un messag au editeur et si ils ne répondent pas je posterais des images merci encore mais quand vous dite qu'il ne faut pas abuser si je mais 1000 courverture sa va ou pas ??
