Montres connectées : danger des bracelets contenant des PFAS toxiques
brucine Messages postés 21652 Date d'inscription Statut Membre Dernière intervention -

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4 réponses
Encore un truc qui nous met en danger... Apprendre que ces composants peuvent être dangereux et n'ont pourtant jamais été testé sur les humains, ca me dépasse !! Franchement, la santé est vraiment le cadet des soucis des grandes entreprises. C'est rageant !
Ils attendent sans doute que de premiers facteurs aggravants se présentent pour enfin modifier leur manière de faire. C'est pitoyable.
Salut,
le premier truc toxique, c'est la montre connectée, pas trop dans la chimie, mais dans la déformation comportementale induite.
Bonjour,
On a surtout un article largement biaisé pour faire le Buzz, on a toujours connu dans le public un épouvantail excluant les autres, quand j'étais jeune on allait mourir les bras en croix des nitrates, puis des édulcorants, des polyphénols, des organochlorés, maintenant des PFAS.
Il est acquis que, comme les organochlorés, les PFAS ont une biodégrabilité à peu près nulle, le risque majeur est environnemental.
Je veux bien qu'au nom du bénéfice-risque on s'attaque aux montres connectées puisqu'elles ne servent pas à grand-chose, mais la même chose prévaut pour celles qui ne le sont pas, montres de sport antichoc et/ou étanches, et des bracelets en cuir, bien que moins sur ce critère et probablement plus sur d'autres (colorants du cuir) sont aussi susceptibles de relarguer des PFAS.
Pendant que ce sujet est à la mode, on ne parle pas d'autres toxiques potentiellement largement plus dangereux et, un peu comme dans la polémique sur les édulcorants, si des effets délétères ont été constatés, ils l'ont été in vitro sur un modèle animal et le plus souvent sur des doses administrées n'ayant aucun rapport avec celles que l'on pourrait peut-être observer dans la réalité, ce dont on ne peut tirer aucune conclusion.
Il est évident que dès lors qu'on peut se passer de ce type de substances dans le cycle industriel (pas seulement montres mais aussi par exemple textiles ou emballages) c'est souhaitable mais personne n'a démontré à ce jour qu'il y avait, en dehors de la question environnementale, une urgence à écarter un éventuel risque toxique dans les conditions normales d'utilisation.
Le risque majeur est donc non pas une montre connectée ou pas mais à terme alimentaire.
Outre les perturbations des espèces aquatiques, comme ces substances ne sont pas dégradables elles s'y accumulent avec l'être humain au bout de cette chaîne alimentaire.
Sans aller jusqu'à l'intoxication dramatique par des organo-métalliques dans le même schéma, on ne peut alors exclure que les seuils de tels produits atteignent des doses alimentaires toxiques par leur répétition, favorisée dans le célèbre cas organo-métallique que j'évoque par le fait que les populations consommaient les poissons contaminés tous les jours.