C'est la température idéale de votre chauffe-eau pour faire des économies sans risque sanitaire
Pierr10 Messages postés 13212 Date d'inscription Statut Modérateur Dernière intervention -

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8 réponses
Bonjour,
Sur la pollution, par la légionellose ou autre chose et pour rester dans les objets de la maison, on ne voit en effet pas très bien pourquoi le forum devrait servir de poubelle indifférenciée aux réactions à tous les articles de la rédaction sur des sujets divers dont un certain nombre à l'évidence hors sujet.
Pour en rajouter une couche, le Feedback de l'article original est daté à la date du commentaire alors que dans un certain nombre de domaines cet article peut être ancien et devenu obsolète.
Pour finir avec le Off, je ne suis pas sûr d'une incidence autre que théorique de la légionellose dans les chauffe-eau domestiques, elle est surtout documentée dans les systèmes industriels ou assimilés (hôtels...), tours réfrigérantes...
Bien que la question de fond (de baignoire) me soit tout à fait indifférente, la seule chose qui m'amène est que je ne suis pas sûr de l'arithmétique développée par
Pierr 10; n'y-a-t-il pas un sophisme à considérer que dans tous les cas l'eau chaude réchauffe un volume d'eau froide constant?
Je fais couler en réglant le débit de l'eau froide (et corrélativement de l'eau chaude) que ce soit à l'antique par deux robinets séparés ou via un mitigeur d'autant moins d'eau froide que l'autre source est chaude et vice-versa.
Bjr
Pour en rajouter une couche , concernant la légionnelle, dont j'ai croisé les contraintes professionnellement avec la DREAL, comme dit, je ne vois la place de l'article ici mais surtout la teneur est discutable, même s'il n'est pas impossible de trouver de la legionnelle dans un circuit d'eau chaude individuel, dans une installation chez un particulier c'est impossible (ou infime) , le réseau doit être important, présenter des bras mort, et avoir des zones de brumisation, de fait les installations les plus risqués sont les grand hôtel, les immeubles partageant un réseau commun, tous les systèmes d'eau chaude industrielle, particulièrement les tours aerorefrigérés qui présentent le risque majeur, ces dernières sont soumises à une réglementation stricte.
Chez les particuliers, c'est du pipo.....
Bonjour à tous,
@brupala StatutMembre
Le commentaire initial a été placé sur CCM parce que la fonctionnalité n'est pas implantée sur les autres forums (à ma connaissance). Donc la section "Discussions générales" était sans doute la mieux choisie.
Je n'ai pas l'intention de supprimer cette discussion, qui ne fait de mal à personne, sous prétexte qu'elle est hors sujet global.
Si tu y tiens vraiment, tu peux toujours faire un signalement. Il se trouvera peut-être un modérateur plus pointilleux que moi. Ça ne me dérangera pas, car la modération n'est pas une science exacte.
@brucine StatutMembre
Je n'ai pas voulu faire des calculs d'énergie pénibles (même si c'est un niveau élémentaire de thermodynamique).
Il vaut mieux que chacun comprenne la globalité du problème : à savoir que j'ai une arrivée d'eau froide à 15 °C (en étant optimiste) et que je veux avoir une baignoire remplie de 100 L d'eau à 30 °C par exemple. Quelque soit le moyen utilisé, (addition d'eau plus ou moins chaude, thermo-plongeurs électriques), la dépense d'énergie sera la même. Donc pas d'économies en utilisant de l'eau chaude à 60 °C plutôt que de l'eau à 80 °C.
Quant aux pertes par conduction, rayonnement etc, liées à l'écart entre la température de l'eau et la température ambiante, elles existent.
Ensuite c'est une histoire de confort. Mais si on veut faire des économies sur l'eau chaude, il vaudra mieux restreindre ses besoins et faire comprendre aux ados que prendre une douche, ce n'est pas rêvasser pendant 1/4 h sous une pluie tiède.
@flo88 StatutContributeur
Merci pour cette contribution sur la légionellose. Le risque est certainement infime et n'est pas un bon argument pour utiliser de l'eau très chaude.
Bonjour,
J'ajouterai que la consommation est plus importante pour maintenir de l'eau à 50°C
Qu'à 65°C.
Because: La calleur massique de l'eau varie avec la Th°
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre questionVotre article est bien mais il faut préciser que cela concerne les chauffe eau à accumulation. Une chaudière à gaz sans accumulation peut être réglée plus bas puisque l'eau ne stagne pas et est directement utilisée et le peu d'eau qui restait sera rejetée lorsqu'on attend l'eau chaude. Pour être tranquille, on peut alors de temps en temps dans l'année chauffer à 70° et faire couler un peu l'eau pour "nettoyer"
Bonjour,
Je ne suis pas du tout convaincu par cet article.
Les économies d'énergie réalisées en baissant la température du ballon d'eau chaude sont sans doute très faibles. C'est assez facile à comprendre.
Supposons que l'eau froide soit à 15 °C.
Si je veux remplir ma baignoire d'eau à 30 °C, j'utiliserai un certain volume d'eau chaude provenant du ballon, par exemple à 65 °C.
Si l'eau du ballon est à 45 °C, je pense que tout le monde comprendra qu'il me faut davantage d'eau chaude (et moins d'eau froide) pour obtenir la même température de 30 °C dans ma baignoire.
Mais en fait, la quantité d'énergie consommée est la même : c'est l'énergie que vous dépensez pour faire passer la température de toute l'eau de la baignoire de 15 °C (eau froide) à 30 °C, quelque soit la température de l'eau chaude que vous utilisez. (Pour une même quantité d'eau dans la baignoire, bien sûr).
Alors y a-t-il quand même une surconsommation d'énergie en produisant de l'eau très chaude ?
Oui, parce que les pertes au niveau du ballon sont proportionnelles à l'écart entre la température du ballon et la température ambiante.
Mais en pratique, les ballons sont super isolés ; quand on les touche, ils sont à peine tièdes. Ces pertes sont donc très faibles.
En conclusion, je pense qu'il vaut mieux produire de l'eau vraiment chaude : peu de pertes, aucun problème sanitaire et on assure des douches chaudes à toute la famille.
Du point de vue de la sécurité, les constructeurs prévoient souvent un by-pass en sortie du ballon, pour mélanger un peu d'eau froide et limiter les risques de brûlures.
Et comme la température reste encore trop chaude pour les douches, le mieux est de s'équiper de mitigeurs thermostatiques, qui permettront d'assurer la sécurité pour les enfants.
Salut
Les commentaires des articles de CCM sont dirigés automatiquement vers le forum qui est considéré comme le mieux adapté.
Ceci est fait à la suite du premier commentaire (celui de Chris).
Je n'ai donc pas la main pour déplacer le sujet, même si je suis d'accord avec toi pour estimer qu'il n'est pas vraiment à sa place dans un forum consacré aux nouvelles technologies.
S'il n'y avait pas eu ce commentaire, je n'aurais pas lu l'article, ni ajouté mon grain de sel à cette discussion.
Je n'ai fait que continuer dans le droit fil de l'article (du pinaillage).
Je t'accorde qu'évidemment la dépense énergétique est schématiquement la même.
Mais ton exposé laisse entendre qu'on remplirait la baignoire contenant déjà un certain volume d'eau à 15 °C alors que, dans la pratique et une fois l'eau chaude arrivée du ballon au mitigeur, il coule directement du robinet une eau à la température "mélangée".
Bonjour,
On remplirait la baignoire contenant déjà un certain volume d'eau à 15 °C
Je n'ai jamais écrit ça. J'ai dit que j'avais besoin de 100 L d'eau à 30 ° et qu'initialement je n'ai que de l'eau à 15 °C (pas forcément dans la baignoire). Une partie de cette eau froide peut se trouver dans la baignoire et l'autre dans le chauffe bain. Le problème se résume à faire passer 100 L d'eau de 15 à 30°.
Pas 100 litres puisque sur ce total une partie provient du chauffe-eau et est déjà chaude.
Le peu de notions de thermodynamique que j'avais est très ancien.
Quand on installe le chauffe-eau neuf, il faut bien sûr plus d'énergie pour en chauffer disons les 220 l à 65 °C qu'à 55 °C.
L'eau qui y est utilisée est remplacée par de l'eau froide et le tout réchauffé en général dans le cycle heures creuses, et il n'importe alors en effet pas vraiment que l'on réchauffe disons respectivement 45 l à 65 °C ou 65 à 55 °C.
La question pertinente, et qui rendrait l'article d'autant spécieux, est de savoir, à température d'eau du réseau constante, dans quelle mesure le chauffe-eau n'est pas utilisé (il gaspillerait alors à re-chauffer à 65 °C s'il y a une déperdition calorique) et s'il est équipé d'un dispositif stoppant le cycle de chauffage si la température réglée est atteinte ou bien si le mécanisme de chauffage à la puissance choisie continue.