Je tente d'ecrire un livre

bonjour,
j'ai quatorze ans et je suis en train d'ecrire un livre. je suis passione par les romans depuis tout petit. j'aime beaucoup de style mais le classique et le fantastique prennent le dessus.
il y a peu, je me suis dit "pourquoi pas commencer un livre" et aussitot dit, j'ai commence mon histoire. j'ecris depuis un mois mais je suis encore loin de la fin car je n'ai que cinquante pages. je ne sais vraiment pas la qualite de cet ouvrage et de mon ecriture et c'est pourquoi j'ecris sur ce forum pour peut etre enfin la connaitre . merci de votre comprehension. n'hesitez pas a critiquer, cela ne pourra que me faire progresser
donc, voici un extrait de mon livre:


Le soleil pointait à l'horizon. Nous annonçant de nouveau, une belle et chaude journée. Ses rayons doux et chauds me caressaient les joues encore fraiches de la nuit que je venais de passer. Quand je me réveillais, mes membres étaient engourdis et mes yeux me piquaient.
Je me frottai les yeux avec les poings et bailla fortement. Cependant, il était plutôt tôt et malgré le mince faisceau de lumière qui traversait ma fenêtre, l'air qui emplissait ma chambre était glacé.
A ma gauche sur ma table de chevet, se tenait un parchemin. Je l'avais acheté hier au marché noir pour une bouchée de pain.
Aussitôt rentré, je m'étais mis en tête de le lire. Seule la fatigue me le fit renoncer et je partis dans un grand monde de rêves, là où tout est possible...
Le vendeur ou plutôt le truand, m'avait dit qu'il parlait de l'origine de notre malédiction et plus particulièrement de l'ancienne vie de l'égorgeur ; un certain monsieur Dawson.
Oui ! Je parle bien d'un fait maudit quand je dis malédiction. Un fait qui à sa simple pensée te fais frémir d'avance et te fais rentrer quatre pieds sous terre. Un fait dit-on dans la région qui a été maudit par le diable en personne.
Ce jurement affecte beaucoup notre ville. Un corps est retrouvé presque tous les jours à l'aube, inerte, portant dans le cou la marque de Satan imprimée au fer rouge et la gorge déchiqueté.
Car tous les soirs à partir de la tombée de la nuit, l'égorgeur tué il y a une centaine d'années par un homme qu'il tentait d'abattre réapparait pour essayer de se venger.
Toute personne se tenant devant lui n'a pas le temps de prendre ses jambes à son cou, qu'il meurt dans d'atroces souffrances...
Je me redressai et pris ce parchemin. Je le lu attentivement.
Mes yeux défilaient sur ce vieil palimpseste...

Suppression de l'âge dans le titre. La modération