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JvDo
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12 janv. 2014 à 15:50
12 janv. 2014 à 15:50
Bonjour,
Il faudrait que tu sois capable d'apprécier la consommation de combustible qui aurait correspondu, en décembre 2012, à une température moyenne de 1,7° ou, autre façon de faire, d'estimer cette consommation en décembre 2013 pour une température moyenne de 2,3°.
Tu auras ainsi une base de comparaison à température constante qui te permettra de calculer un gain de consommation plus "réaliste".
Exemple : supposons que 1° de baisse de température équivalait à 10% de combustible en plus en 2012 et 5% en 2013 (au cas où tu aurais fait des travaux d'isolation).
En base 1,7° 2012, tu aurais consommé 730(1+10%*o,6) litres soit 773,80 litres. Ton gain de conso, est donc de 173,80l en absolu et de un peu plus de 22% en relatif.
En base 2,3° 2013, la conso aurait diminué de 600*5%*o,6 litres pour arriver à 582l en absolu et un peu plus de 20% en relatif.
Naturellement, cet exemple est simplifié vu que la relation entre consommation et température ne doit certainement pas être linéaire ou affine et qu'il faut sans doute intégrer des données météorologiques plus complètes (pluviométrie entre autre)
Pour conclure, avec le modèle que tu présentes, multiplications et divisions suffisent.
Cordialement
Il faudrait que tu sois capable d'apprécier la consommation de combustible qui aurait correspondu, en décembre 2012, à une température moyenne de 1,7° ou, autre façon de faire, d'estimer cette consommation en décembre 2013 pour une température moyenne de 2,3°.
Tu auras ainsi une base de comparaison à température constante qui te permettra de calculer un gain de consommation plus "réaliste".
Exemple : supposons que 1° de baisse de température équivalait à 10% de combustible en plus en 2012 et 5% en 2013 (au cas où tu aurais fait des travaux d'isolation).
En base 1,7° 2012, tu aurais consommé 730(1+10%*o,6) litres soit 773,80 litres. Ton gain de conso, est donc de 173,80l en absolu et de un peu plus de 22% en relatif.
En base 2,3° 2013, la conso aurait diminué de 600*5%*o,6 litres pour arriver à 582l en absolu et un peu plus de 20% en relatif.
Naturellement, cet exemple est simplifié vu que la relation entre consommation et température ne doit certainement pas être linéaire ou affine et qu'il faut sans doute intégrer des données météorologiques plus complètes (pluviométrie entre autre)
Pour conclure, avec le modèle que tu présentes, multiplications et divisions suffisent.
Cordialement
Froulik
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15 avril 2014
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Modifié par Froulik le 12/01/2014 à 15:54
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et bin moi je dis que "une température moyenne de 1,7°" c'est pas beaucoup !
et même 2.3°... ça pèle encore, non ? :o))
Ceux qui ne savent rien en savent toujours autant que ceux qui n'en savent pas plus qu'eux. (Pierre Dac)
et même 2.3°... ça pèle encore, non ? :o))
Ceux qui ne savent rien en savent toujours autant que ceux qui n'en savent pas plus qu'eux. (Pierre Dac)
Raymond PENTIER
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12 janv. 2014 à 22:45
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Froulik, on n'est pas dans le forum Café noir, mais dans le forum Bureautique: Excel ...
Raymond PENTIER
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12 janv. 2014 à 23:08
12 janv. 2014 à 23:08
Bonjour silve39.
Je me permets de compléter l'excellente explication de JvDo en te signalant que tu as oublié une donnée essentielle : la température moyenne dans les appartements !
En effet si la température extérieure a baissé de 0,6° mais que le propriétaire a réglé sa chaufferie pour fournir aux résidents une température de chauffage inférieure de 0,8° à celle de 2012, ce n'est plus un gain technique de consommation mais une économie au détriment du bien-être des habitants.
Si par contre le chauffage a été augmenté de 0,2° alors qu'il a fait plus froid dehors, c'est que des mesures efficaces ont été mises en oeuvre pour lutter contre les pertes de chaleur et les gaspillages (double vitrage installé, joints de bas de porte, fermeture des radiateurs dans les pièces inoccupées ...).
Il convient donc de bien définir ce que tu appelles un "gain de consommation" et de cerner tous les critères de mesure et d'appréciation.
Je me permets de compléter l'excellente explication de JvDo en te signalant que tu as oublié une donnée essentielle : la température moyenne dans les appartements !
En effet si la température extérieure a baissé de 0,6° mais que le propriétaire a réglé sa chaufferie pour fournir aux résidents une température de chauffage inférieure de 0,8° à celle de 2012, ce n'est plus un gain technique de consommation mais une économie au détriment du bien-être des habitants.
Si par contre le chauffage a été augmenté de 0,2° alors qu'il a fait plus froid dehors, c'est que des mesures efficaces ont été mises en oeuvre pour lutter contre les pertes de chaleur et les gaspillages (double vitrage installé, joints de bas de porte, fermeture des radiateurs dans les pièces inoccupées ...).
Il convient donc de bien définir ce que tu appelles un "gain de consommation" et de cerner tous les critères de mesure et d'appréciation.
Bonjour Raymond PENTIER,
Je te remercie pour ton complément d'information.
Ma comparaison est motivée par le remplacement d'un vitrage simple par un double.
Je n'ai pas modifier les données de réglage, mais j'ai constaté une amélioration du climat dans
mon appartement. (presque plus de variation de température importante dans les heures ou le chauffage est en arrêt momentané "env. 2h l'après-midi".)
Concernant l'explication de JvDo j'essaye de comprendre mais pas facile pour ma formation en matématique.
Avec mes salutations.
Je te remercie pour ton complément d'information.
Ma comparaison est motivée par le remplacement d'un vitrage simple par un double.
Je n'ai pas modifier les données de réglage, mais j'ai constaté une amélioration du climat dans
mon appartement. (presque plus de variation de température importante dans les heures ou le chauffage est en arrêt momentané "env. 2h l'après-midi".)
Concernant l'explication de JvDo j'essaye de comprendre mais pas facile pour ma formation en matématique.
Avec mes salutations.
Raymond PENTIER
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14 janv. 2014 à 04:31
14 janv. 2014 à 04:31
Ben, tu sais, JvDo a supposé, comme moi-même, que tu avais des connaissances en thermodynamique, et que les calculs de thermique/climatisation t'étaient familiers ...
JvDo a même pris la précaution de préciser qu'il a fait une analyse simplifiée !
Tu dois comprendre que tu poses un problème complexe, avec des données qui t'ont semblé suffisantes, mais qui sont loin de permettre d'appréhender les conditions environnementales et techniques grâce auxquelles ont pourrait, sinon modéliser l'évolution de la situation, du moins effectuer des calculs pas trop éloignés de la réalité.
Telle que ta question est posée, en quelle unité t'attendais-tu à obtenir une réponse ?
En calories, en litres de fuel, en litres par degré, en degrés par litre ... ?
Cordialement.
JvDo a même pris la précaution de préciser qu'il a fait une analyse simplifiée !
Tu dois comprendre que tu poses un problème complexe, avec des données qui t'ont semblé suffisantes, mais qui sont loin de permettre d'appréhender les conditions environnementales et techniques grâce auxquelles ont pourrait, sinon modéliser l'évolution de la situation, du moins effectuer des calculs pas trop éloignés de la réalité.
Telle que ta question est posée, en quelle unité t'attendais-tu à obtenir une réponse ?
En calories, en litres de fuel, en litres par degré, en degrés par litre ... ?
Cordialement.
Je suis vraiment désolé mais comme je l'ai indiqué dans ma demande mon niveau est restreint.
Je n'ai pas imaginé que ce domaine était si complexe.
Mon idée était de voir, si, étant donné les différences de températures et de la consommation plus faible avec une température moyenne plus basse de combien l'économie réelle de combustible était.
Par exemple : si en déc. 2013 la température moyenne avait été de 2,3 au lieu de 1.7 combien aurait-ont consommé de combustible puisque en déc. 2012 nous avons consommé plus qu'en 2013 avec une température moyenne plus élevée.
Si cela n'est possible que par des calculs scientifiques compliqués je vous prie de laisser tomber.
En tout état de cause je vous remercie infiniment pour votre disponibilité.
Je n'ai pas imaginé que ce domaine était si complexe.
Mon idée était de voir, si, étant donné les différences de températures et de la consommation plus faible avec une température moyenne plus basse de combien l'économie réelle de combustible était.
Par exemple : si en déc. 2013 la température moyenne avait été de 2,3 au lieu de 1.7 combien aurait-ont consommé de combustible puisque en déc. 2012 nous avons consommé plus qu'en 2013 avec une température moyenne plus élevée.
Si cela n'est possible que par des calculs scientifiques compliqués je vous prie de laisser tomber.
En tout état de cause je vous remercie infiniment pour votre disponibilité.
12 janv. 2014 à 16:30
Je vais essayer de mettre en pratique.
Si je n'y parvient pas je me permettrais de revenir vers toi.
Amicales salutations.
12 janv. 2014 à 16:49