Critiques sur ce début d'histoire

Utilisateur anonyme - 29 nov. 2012 à 20:41
jacklecrack Messages postés 5 Date d'inscription mardi 6 novembre 2012 Statut Membre Dernière intervention 24 décembre 2012 - 30 nov. 2012 à 07:32
Bonjour,
Alors voila, j'écris lorsque j'ai le temps et je voulais savoir si ce début d'histoire vous parle etc... Vos critique m'intéressent=) Il se peut qu'il y ai des fautes d'orthographe, j'ai essayé d'en enlever le plus possible ^^

Cela faisait longtemps qu'il n'attendait plus. Qu'il avait perdu l'espoir que quelqu'un emménage dans cette immense maison en bois poussiéreuse et rongée par l'humidité de la forêt. Le plancher donnait l'impression qu'il allait s'effondrer à tout moment, la peinture grise-noir qui, un temps avait été un beau pourpre et un blanc éclatant s'effritait. Les meubles, la vaisselle abandonnée dans les tiroirs de la cuisine, les bijoux oubliés dans une belle boîte ornée de pierre autrefois mauve, tout était recouvert de poussière, noirci par le temps et sans vie. Tout sauf un grand miroir qui reflétait la spacieuse chambre qui appartenait autrefois à une femme. Une femme maléfique.
Malheureusement, le moment de vous racontez son histoire n'est pas encore venu.
Alors que la puissante envie de mourir était sur le point de le tuer, de lentement l'éteindre, il entendit la porte d'entrée s'ouvrir avec un grincement sourd. Un agent immobilier suivi d'un couple se tenant par la main, franchirent le pan de la porte. Derrière eux, une belle fille avec de longs cheveux roux foncés ondulés, au visage rond parsemé de taches de rousseurs et aux grands yeux verts étonnés trainait les pieds en soupirant.
-Papa, maman, on ne va comme même pas venir habiter dans cette vieille maison préhistorique? demanda-t-elle exaspérée.
-Emeline, arrête un peu de te plaindre, soupira sa mère en lâchant la main de son mari pour inspecter l'entrée.
Emeline regardait l'épaisse couche de poussière étalée sur la petite commode qui se trouvait à coté d'elle, les toiles d'araignées qui pendaient au ridicule lustre de couleur rosé accroché au plafond, au milieu du couloir, sans comprendre qu'est-ce que Melle et Mike, ses parents, trouvaient à cette maison. La jeune fille avait la gorge sèche. Tout cette poussière et l'odeur de renfermé la fit tousser. C'est alors qu'elle sentit quelque chose sur sa nuque. Elle y mit rapidement sa main droite et poussa un hurlement. Elle jeta par terre la chose qui l'avait chatouillé. Une veuve noire immonde se réfugia dans la fissure d'un mur. Un violent frisson parcouru son échine et elle se gratta nerveusement le cou, dégoutée. L'agent immobilier boudiné dans son costume noir à cravate, sa mère qui mettait un mèche de ses cheveux noir derrière son oreille percer de haut en bas et son père qui haussai les sourcils la regardaient d'un air étonné.
-Quoi ? Je suis sûre que vous auriez réagis de la même manière si vous aviez eu cette araignée dans le cou ! lança-t-elle.
Son père regarda de ses yeux bleus clairs le trou où la veuve noire s'était cachée et haussa les épaules.
-Bon tu veux allez voir ta futur chambre ? demanda Melle.
-Je ne sais p...s'interrompit-elle.
-Elle est au deuxième étage au fond du couloir, la coupa l'agent.
Emeline le regarda perplexe puis monta les marches grinçante en réalisant qu'elle n'appréciait pas cet homme. Arrivée en haut, elle se retrouva dans la pénombre et l'angoisse qu'une araignée tombe dans ses cheveux lui donna la chair de poule. Elle se dirigea au fond du long couloir et arriva devant une porte effritée et déteinte. Sa main se posa sur la poignée rouillée et la descendit lentement en poussant la porte grinçante. Il faisait presque noir dans cette pièce. Elle mit un pied dans la chambre et tata les murs sur les cotés, tentant de trouver un interrupteur. Elle remonta un bouton et une faible lumière sortit d'une petite lampe ronde. Il faisait toujours aussi sombre mais Emeline voyait maintenant qu'il n'y avait aucun meuble. Elle vu tout de même une forme contre le mur du fond. Une forme ovale. Elle s'approcha assez près pour se rendre compte qu'il s'agissait d'un miroir. Un grand miroir avec un cadre en or blanc ovale où des feuilles mortes aux couleurs de l'automne reliées une par une par un fin filet d'or étaient soigneusement gravées. Il paraissait briller dans l'obscurité. Son reflet était net, propre. Emeline se regarda, observa la fine cicatrice qui longeait son cou un long moment. Elle détacha son regard du miroir pour contempler le tableau à sa gauche.


Voila voila, j'attend vos avis ^^ merci à l'avance

1 réponse

jacklecrack Messages postés 5 Date d'inscription mardi 6 novembre 2012 Statut Membre Dernière intervention 24 décembre 2012
30 nov. 2012 à 07:32
C'est Bien !!!
On a envie de savoir la suite !!!
Aller, au boulot ! ;)
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