Titre de récitation enfantine
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gumafa
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Josh Randall Messages postés 26680 Date d'inscription Statut Modérateur Dernière intervention -
Josh Randall Messages postés 26680 Date d'inscription Statut Modérateur Dernière intervention -
KIKONé....?......KISSESOUVIEN.....?
Je cherche le titre d'une vieille récitation dont je me souviens que de quelques mots.......................
''Cousine l'abeille ...prés des oreilles.
Cousin Frelon ou ( bourdon ) prés des talons "
-------------------------------------
Merci d'avance
Je cherche le titre d'une vieille récitation dont je me souviens que de quelques mots.......................
''Cousine l'abeille ...prés des oreilles.
Cousin Frelon ou ( bourdon ) prés des talons "
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Merci d'avance
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5 réponses
Bonjour (c'et tellement plus sympa de commencer par ça !)
J'ai trouvé ceci
La vengeance de Grel le grillon
Le loup posa par mégarde sa grosse patte velue ,
Sur la petite chaumière d'un grillon, qui chantait sur sa porte,
La cheminée de la maison fut ainsi démolie,
Et le chanteur mécontent se fâcha :
Tu ne pouvais pas faire attention, vilain maladroit ?
Et Grel le grillon s'étant mis à pleurer, Jean le loup se moqua.
Tu n'es qu'un lâche ! dit la petite bête exaspérée,
Reviens demain si tu l'oses, j'aurai mes amis, prends les tiens,
Nous nous battrons à mort.
Le loup accepta en riant ...
Et le lendemain, tandis que Jean le loup mandait le renard,
Le putois, la fouine, la belette,
Le petit grillon appelait à son aide sa nièce l'abeille,
Sa tante la guêpe, son cousin le frelon et sa cousine la cigale.
Es-tu prêt ? demanda le loup, en riant.
Je t'attends, dit Grel le grillon.
Et Tzitzi, la cigale, du haut de sa branche de chêne,
Se mit à commander les troupes de son parent ainsi qu'un général.
Nièce l'abeille, près de l'oreille !
Tante la guêpe, près de la tête !
Cousin frelon , près des talons !
Aussitôt commandés, aussitôt abeille, guêpe et frelon d'obéir,
Qui piquant à l'oreille, qui piquant à la tête, qui piquant aux talons.
L'armée de Jean le loup, effrayée par les dards,
Fut bien vite en déroute....Petit grillon était vengé.
Jean NESMY
En espérant que cela te convienne
A+
J'ai trouvé ceci
La vengeance de Grel le grillon
Le loup posa par mégarde sa grosse patte velue ,
Sur la petite chaumière d'un grillon, qui chantait sur sa porte,
La cheminée de la maison fut ainsi démolie,
Et le chanteur mécontent se fâcha :
Tu ne pouvais pas faire attention, vilain maladroit ?
Et Grel le grillon s'étant mis à pleurer, Jean le loup se moqua.
Tu n'es qu'un lâche ! dit la petite bête exaspérée,
Reviens demain si tu l'oses, j'aurai mes amis, prends les tiens,
Nous nous battrons à mort.
Le loup accepta en riant ...
Et le lendemain, tandis que Jean le loup mandait le renard,
Le putois, la fouine, la belette,
Le petit grillon appelait à son aide sa nièce l'abeille,
Sa tante la guêpe, son cousin le frelon et sa cousine la cigale.
Es-tu prêt ? demanda le loup, en riant.
Je t'attends, dit Grel le grillon.
Et Tzitzi, la cigale, du haut de sa branche de chêne,
Se mit à commander les troupes de son parent ainsi qu'un général.
Nièce l'abeille, près de l'oreille !
Tante la guêpe, près de la tête !
Cousin frelon , près des talons !
Aussitôt commandés, aussitôt abeille, guêpe et frelon d'obéir,
Qui piquant à l'oreille, qui piquant à la tête, qui piquant aux talons.
L'armée de Jean le loup, effrayée par les dards,
Fut bien vite en déroute....Petit grillon était vengé.
Jean NESMY
En espérant que cela te convienne
A+
De rien, non je ne la connais pas c'est en cherchant dans Google, c'est un extrait de Jocelyn qui a 8000 vers répartis en 9 époques
http://fr.wikisource.org/wiki/Jocelyn_-_Troisi%C3%A8me_%C3%A9poque
http://romantis.free.fr/Lamartine/html/jocelyn.html
https://fr.wikisource.org/wiki/Jocelyn
Apparemment quelqu'un qui a eu la récitation en 1976 a dit qu'elle terminait à vitraux, çà devait être
Je me souviens
D’avoir eu pour ami, dans mon enfance, un chien,
Une levrette blanche, an museau de gazelle,
Au poil ondé de soie, an cou de tourterelle,
À l’oeil profond et doux comme un regard humain ;
Elle n’avait jamais mangé que dans ma main,
Répondu qu’à ma voix, couru que sur ma trace,
Dormi que sur mes pieds, ni flairé que ma place.
Quand je sortais tout seul et qu’elle demeurait,
Tout le temps que j’étais dehors, elle pleurait ;
Pour me voir de plus loin aller ou reparaître,
Elle sautait d’un bond au bord de ma fenêtre,
Et, les deux pieds collés contre les froids carreaux,
Regardait tout le jour à travers les vitraux
Tout le passage
Que cet enfant s’attache à mon ombre ! et combien
Son cœur à son insu se mêle avec le mien !
Oh ! qui pourra jamais démêler ces deux âmes
Que la terre et le ciel joignent par tant de trames ?
L’un de l’autre il serait plus aisé d’arracher
Ces deux hêtres jumeaux qu’un nœud semble attacher,
Et qui, de jour en jour, s’enlaçant avec force,
Croissent du même tronc et sous la même écorce.
Mais les comparaisons manquent. Je me souviens
D’avoir eu pour ami, dans mon enfance, un chien,
Une levrette blanche, an museau de gazelle,
Au poil ondé de soie, an cou de tourterelle,
À l’oeil profond et doux comme un regard humain ;
Elle n’avait jamais mangé que dans ma main,
Répondu qu’à ma voix, couru que sur ma trace,
Dormi que sur mes pieds, ni flairé que ma place.
Quand je sortais tout seul et qu’elle demeurait,
Tout le temps que j’étais dehors, elle pleurait ;
Pour me voir de plus loin aller ou reparaître,
Elle sautait d’un bond au bord de ma fenêtre,
Et, les deux pieds collés contre les froids carreaux,
Regardait tout le jour à travers les vitraux ;
Ou, parcourant ma chambre, elle y cherchait encore
La trace, l’ombre au moins du maître qu’elle adore,
Le dernier vêtement dont je m’étais couvert,
Ma plume, mon manteau, mon livre encore ouvert,
Et, l’oreille dressée au vent pour mieux m’entendre,
Se couchant à côté, passait l’heure à m’attendre.
Dès que sur l’escalier mon pas retentissait,
Le fidèle animal à mon bruit s’élançait,
Se jetait sur mes pieds comme sur une proie,
M’enfermait en courant dans des cercles de joie,
Me suivait dans la chambre au pied de mon fauteuil,
Paraissant endormi me surveillait de l’oeil.
Là, le son de ma voix, la plainte inachevée,
Ma respiration plus ou moins élevée,
Le moindre mouvement du pied sur le tapis,
Le clignement des yeux sur le livre assoupis,
Le froissement léger du doigt entre la page,
Une ombre, un vague éclair passant sur mon visage,
Semblaient dans son sommeil passer et rejaillir,
D’un contre-coup soudain la faisaient tressaillir :
Ma joie ou ma tristesse, en son oeil retracée,
N’était qu’un seul rayon d’une double pensée.
Elle mourut, encor son bel oeil sur le mien.
Que de pleurs je versai ! Je l’aimais tant ! Eh bien,
Quoique ma plume tremble, en glissant sur la page,
De ternir dans mon cœur l’amitié par l’image,
Que de l’âme à l’instinct toute comparaison
Profane la nature et mente à la raison,
Ce charmant souvenir de mon heureuse enfance
Me revient dans le cœur quand je songe à Laurence.
Cet ami de ma race à présent m’aime autant ;
Il ne peut plus de moi se passer un instant ;
Il s’attriste, il languit pour une heure d’absence ;
Il marche quand je marche, il pense quand je pense ;
Son regard suit le mien, comme si de nos cœurs
Le rayon ne pouvait se diriger ailleurs ;
Comme mon pauvre chien ou comme l’hirondelle
Qui ne s’alarme plus de nous voir autour d’elle,
Il s’est apprivoisé pas à pas, jour à jour ;
Il boude à mon départ, il saute à mon retour ;
Mais pour toute autre voix, pour tout autre visage,
Cet enfant du désert redeviendrait sauvage.
Oh ! qui n’aimerait pas ce qui nous aime ainsi ?
Qui pourrait égaler ce que je trouve ici ?
Que manque-t-il au cœur nourri de ces tendresses ?
Mon Dieu ! vos dons toujours dépassent vos promesses !
Et, dans mon plus beau rêve autrefois d’amitié,
Mon cœur n’en avait pas deviné la moitié !...
[Le manuscrit était déchiré à cette place, et il manquait un certain nombre de feuilles. On peut présumer par ce qui suit que Jocelyn avait continué à noter les mêmes sentiments et les mêmes circonstances de sa vie heureuse pendant ces mois de solitude.]
http://fr.wikisource.org/wiki/Jocelyn_-_Troisi%C3%A8me_%C3%A9poque
http://romantis.free.fr/Lamartine/html/jocelyn.html
https://fr.wikisource.org/wiki/Jocelyn
Apparemment quelqu'un qui a eu la récitation en 1976 a dit qu'elle terminait à vitraux, çà devait être
Je me souviens
D’avoir eu pour ami, dans mon enfance, un chien,
Une levrette blanche, an museau de gazelle,
Au poil ondé de soie, an cou de tourterelle,
À l’oeil profond et doux comme un regard humain ;
Elle n’avait jamais mangé que dans ma main,
Répondu qu’à ma voix, couru que sur ma trace,
Dormi que sur mes pieds, ni flairé que ma place.
Quand je sortais tout seul et qu’elle demeurait,
Tout le temps que j’étais dehors, elle pleurait ;
Pour me voir de plus loin aller ou reparaître,
Elle sautait d’un bond au bord de ma fenêtre,
Et, les deux pieds collés contre les froids carreaux,
Regardait tout le jour à travers les vitraux
Tout le passage
Que cet enfant s’attache à mon ombre ! et combien
Son cœur à son insu se mêle avec le mien !
Oh ! qui pourra jamais démêler ces deux âmes
Que la terre et le ciel joignent par tant de trames ?
L’un de l’autre il serait plus aisé d’arracher
Ces deux hêtres jumeaux qu’un nœud semble attacher,
Et qui, de jour en jour, s’enlaçant avec force,
Croissent du même tronc et sous la même écorce.
Mais les comparaisons manquent. Je me souviens
D’avoir eu pour ami, dans mon enfance, un chien,
Une levrette blanche, an museau de gazelle,
Au poil ondé de soie, an cou de tourterelle,
À l’oeil profond et doux comme un regard humain ;
Elle n’avait jamais mangé que dans ma main,
Répondu qu’à ma voix, couru que sur ma trace,
Dormi que sur mes pieds, ni flairé que ma place.
Quand je sortais tout seul et qu’elle demeurait,
Tout le temps que j’étais dehors, elle pleurait ;
Pour me voir de plus loin aller ou reparaître,
Elle sautait d’un bond au bord de ma fenêtre,
Et, les deux pieds collés contre les froids carreaux,
Regardait tout le jour à travers les vitraux ;
Ou, parcourant ma chambre, elle y cherchait encore
La trace, l’ombre au moins du maître qu’elle adore,
Le dernier vêtement dont je m’étais couvert,
Ma plume, mon manteau, mon livre encore ouvert,
Et, l’oreille dressée au vent pour mieux m’entendre,
Se couchant à côté, passait l’heure à m’attendre.
Dès que sur l’escalier mon pas retentissait,
Le fidèle animal à mon bruit s’élançait,
Se jetait sur mes pieds comme sur une proie,
M’enfermait en courant dans des cercles de joie,
Me suivait dans la chambre au pied de mon fauteuil,
Paraissant endormi me surveillait de l’oeil.
Là, le son de ma voix, la plainte inachevée,
Ma respiration plus ou moins élevée,
Le moindre mouvement du pied sur le tapis,
Le clignement des yeux sur le livre assoupis,
Le froissement léger du doigt entre la page,
Une ombre, un vague éclair passant sur mon visage,
Semblaient dans son sommeil passer et rejaillir,
D’un contre-coup soudain la faisaient tressaillir :
Ma joie ou ma tristesse, en son oeil retracée,
N’était qu’un seul rayon d’une double pensée.
Elle mourut, encor son bel oeil sur le mien.
Que de pleurs je versai ! Je l’aimais tant ! Eh bien,
Quoique ma plume tremble, en glissant sur la page,
De ternir dans mon cœur l’amitié par l’image,
Que de l’âme à l’instinct toute comparaison
Profane la nature et mente à la raison,
Ce charmant souvenir de mon heureuse enfance
Me revient dans le cœur quand je songe à Laurence.
Cet ami de ma race à présent m’aime autant ;
Il ne peut plus de moi se passer un instant ;
Il s’attriste, il languit pour une heure d’absence ;
Il marche quand je marche, il pense quand je pense ;
Son regard suit le mien, comme si de nos cœurs
Le rayon ne pouvait se diriger ailleurs ;
Comme mon pauvre chien ou comme l’hirondelle
Qui ne s’alarme plus de nous voir autour d’elle,
Il s’est apprivoisé pas à pas, jour à jour ;
Il boude à mon départ, il saute à mon retour ;
Mais pour toute autre voix, pour tout autre visage,
Cet enfant du désert redeviendrait sauvage.
Oh ! qui n’aimerait pas ce qui nous aime ainsi ?
Qui pourrait égaler ce que je trouve ici ?
Que manque-t-il au cœur nourri de ces tendresses ?
Mon Dieu ! vos dons toujours dépassent vos promesses !
Et, dans mon plus beau rêve autrefois d’amitié,
Mon cœur n’en avait pas deviné la moitié !...
[Le manuscrit était déchiré à cette place, et il manquait un certain nombre de feuilles. On peut présumer par ce qui suit que Jocelyn avait continué à noter les mêmes sentiments et les mêmes circonstances de sa vie heureuse pendant ces mois de solitude.]
depuis des annees je cherche,qui a ecrit cette recitation je crois que sais JOSE MARIA DE HEREDIA !!!! voici le debut je me souviens d avoir eu dans mon enfance un chien, une levrette blanche au poils onder de soie au cou de tourterelle ,a l oeil profond et doux comme un regard humain,quand je sorte tout seul et qu elle demeurait????????????????il m en reste des bribes, !!!merci
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A , JOSH RANDALL
BONJOUR
Je vous prie de bien vouloir m'excuser de ne pas avoir commencé par '' bonjour'' pour la question......
Merci pour la réponse.......
Merci d'avoir retranscrit le texte
Merci
Est ce que c'est sympa d'avoir présenté mes excuses......?
----------------------------------------------
L'humilité, la modestie sont des qualités sur lesquelles on devrait méditer
----------------------------------------------
BONJOUR
Je vous prie de bien vouloir m'excuser de ne pas avoir commencé par '' bonjour'' pour la question......
Merci pour la réponse.......
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Merci
Est ce que c'est sympa d'avoir présenté mes excuses......?
----------------------------------------------
L'humilité, la modestie sont des qualités sur lesquelles on devrait méditer
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