Argent bloqué sur Price Minister

Bonjour à tous,

voici pour information une petite mésaventure avec Price Minister. Si vous avez des conseils à me donner...

J'ai réalisé deux petites ventes via le site de Price Minister.

En janvier 2008, j'envoie un jeu pour PC à l'acheteur qui l'avait commandé. Celui-ci me répond par mail après réception du colis que ce n'est pas ce qu'il voulait, il me retourne le jeu et est remboursé de son achat.

En juillet 2008, j'envoie un CD de musique à un acheteur, qui déclare qu'il ne l'a jamais reçu, il est alors remboursé de son achat. Je ne suis quant à moi pas indemnisé pour cette perte. Si minime qu'elle soit, le principe demeure le même.

C'est alors que Price Minister m'annonce par mail automatique qu'en raison de ces deux réclamations, les objets que j'ai mis en vente sur Price Minister sont désormais bloquées, l'argent de la vente également.

Je proteste, toujours par mail, en expliquant que je ne suis responsable ni des pertes occasionnées par les services postaux, ni des humeurs des acheteurs, mais je reçois pour toute réponse, systématiquement, un mail automatique, le même "réponse standardisée" m'invitant à "améliorer mes ventes" !

Je m'insurge alors contre ce type de "communication" stérile et inhumaine, et envoie fin août un mail dans ce sens à Price Minister. Je décide d'envoyer un petit mot par voie postale au siège, boulevard de la Villette à Paris, à M. Kosciusko-Morizet, co-fondateur du groupe et directeur de Price Minister -copie jointe en bas de ce post.

Je n'ai toujours pas eu de réponse à cette lettre et je vis à 800 Km de Paris.

Peut-être avez-vous un conseil à me donner ?

PS : Voici la copie de la lettre (sans réponse à ce jour) adressée à M. Kosciusko-Morizet:

Monsieur,

Permettez-moi de me révolter un peu contre votre système de « communication » par réponses automatiques et répétées à destinations de votre clientèle. Ces messages sont inappropriés et sources d’incompréhensions, comme en témoignent les récents courriels échangés avec votre service clientèle, qui stoppe le paiement d’une vente sans chercher à entendre mes explications pourtant claires, mais qui ne correspondent pas aux « réponses attendues ».

Ce refus de communiquer me semble archaïque car kafkaïen, dégradant, davantage digne de la bureaucratie soviétique que de la communication humaine, qui ne consiste pas à cocher des cases et/ou répondre par les phrases N° 1, 2 ou 3.



Veuillez agréer, Monsieur, etc...