Recherche d'une chanson
gujavil
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Je me souviens de quelques paroles d'une chanson quand j'étais petit enfant. Je souhaiterais la retrouver en totalité. Voici ce dont je me souviens :
Papa, la nuit tombe bientôt,
Bientôt va passer le marchand de sable,
Papa, la nuit tombe bientôt,
Racontes une histoire et j'irai dodo.
Dans tes bras, la place est chaude et tendre,
Dans tes bras, il fait si bon d'entendre...
Je me rappelle aussi que cette chanson avait trait à la violation de la Belgique en 1914 par l'armée allemande, une des phrases suivantes étant de la bouche d'Albert 1er :
...et lui dit Cousin....
Je vous remercie infiniment si vous pouviez m'aider.
Papa, la nuit tombe bientôt,
Bientôt va passer le marchand de sable,
Papa, la nuit tombe bientôt,
Racontes une histoire et j'irai dodo.
Dans tes bras, la place est chaude et tendre,
Dans tes bras, il fait si bon d'entendre...
Je me rappelle aussi que cette chanson avait trait à la violation de la Belgique en 1914 par l'armée allemande, une des phrases suivantes étant de la bouche d'Albert 1er :
...et lui dit Cousin....
Je vous remercie infiniment si vous pouviez m'aider.
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3 réponses
Bonjour,
Papa, la nuit tombe bientôt
Tantôt va passer le marchand de sable
Papa, la nuit tombe bientôt
Raconte une histoire et j'irai «dodo».
Dans tes bras, la place est chaude et tendre
Dans tes bras, il fait si bon t'entendre;
D'ailleurs, pour te récompenser
Je te donnerai deux bons gros baisers. (bis)
Mon fils, il y a bien longtemps,
Un petit pays vivait sans alarme;
Mon fils, il y a bien longtemps,
Un petit pays vivait en chantant.
Et le Roi de ces riches provinces
Etait pour elles un père plus qu'un Prince,
Comme vertu, ayant du coeur,
Et comme devise, un seul mot : l'Honneur ! (bis)
Un jour, un empereur voisin,
Qui d'un autre peuple, enviait la terre,
Un jour, un empereur voisin
Vint trouver ce Roi,
et lui dit : Cousin,
Il faut que mon rêve s'accomplisse :
«Laisse-moi passer, sois mon complice».
Mais le Roi répondit alors :
«Il faut avant me passer sur le corps ! (bis)
Le Peuple, en entendant ces mots,
Oublia ses chants et saisit les armes;
Le Peuple, en entendant ces mots,
Entoura son Roi, lui criant : «Bravo !»
Et courant à la horde mauvaise,
Il entra, sans peur, dans la fournaise,
Jurant de vaincre ou de mourir,
Plutôt que de voir son honneur périr. (bis)
Longtemps, ils luttèrent longtemps,
Reculant, hélas ! malgré leur vaillance;
Longtemps, ils luttèrent longtemps,
Vaincus quelquefois, souvent triomphants.
«Rends-toi donc et cède-nous la place !»
Leur criait leur ennemi rapace.
«Rends-toi, nous t'accordons la Paix.»
Mais Princes et soldats répondaient :
« Jamais !» (bis)
«Jamais, tant que tu n'auras pas
Quitté notre sol libre et sans entrave;
Jamais, tant que tu n'auras pas,
Au-delà du Rhin, reporté tes pas.
Nous mourrons, soit, mais nous mourrons libres !...»
- Oh ! papa, Dieu, comme ta voix vibre...
«Dis-moi, quel transport te saisit;
Quel est donc ce Roi qui parlait ainsi ?»
- Mon fils, sois-en fier comme moi :
«Le Peuple, c'est nous; le Roi notre Roi !»
EDIT : Voici le texte de cette chanson patriotique, évocation émouvante du sacrifice de 1914, fréquemment interprétée dans les tranchées par «l'oeuvre du chansonnier du soldat belge». Extrait de la «Chanson des Jasses». Paroles d'Ernest Genval, musique de Jean de Smetsky (De Smet).
Moi je fais deux régimes en même temps parce qu'avec un seul, je n'avais pas assez à manger.
Papa, la nuit tombe bientôt
Tantôt va passer le marchand de sable
Papa, la nuit tombe bientôt
Raconte une histoire et j'irai «dodo».
Dans tes bras, la place est chaude et tendre
Dans tes bras, il fait si bon t'entendre;
D'ailleurs, pour te récompenser
Je te donnerai deux bons gros baisers. (bis)
Mon fils, il y a bien longtemps,
Un petit pays vivait sans alarme;
Mon fils, il y a bien longtemps,
Un petit pays vivait en chantant.
Et le Roi de ces riches provinces
Etait pour elles un père plus qu'un Prince,
Comme vertu, ayant du coeur,
Et comme devise, un seul mot : l'Honneur ! (bis)
Un jour, un empereur voisin,
Qui d'un autre peuple, enviait la terre,
Un jour, un empereur voisin
Vint trouver ce Roi,
et lui dit : Cousin,
Il faut que mon rêve s'accomplisse :
«Laisse-moi passer, sois mon complice».
Mais le Roi répondit alors :
«Il faut avant me passer sur le corps ! (bis)
Le Peuple, en entendant ces mots,
Oublia ses chants et saisit les armes;
Le Peuple, en entendant ces mots,
Entoura son Roi, lui criant : «Bravo !»
Et courant à la horde mauvaise,
Il entra, sans peur, dans la fournaise,
Jurant de vaincre ou de mourir,
Plutôt que de voir son honneur périr. (bis)
Longtemps, ils luttèrent longtemps,
Reculant, hélas ! malgré leur vaillance;
Longtemps, ils luttèrent longtemps,
Vaincus quelquefois, souvent triomphants.
«Rends-toi donc et cède-nous la place !»
Leur criait leur ennemi rapace.
«Rends-toi, nous t'accordons la Paix.»
Mais Princes et soldats répondaient :
« Jamais !» (bis)
«Jamais, tant que tu n'auras pas
Quitté notre sol libre et sans entrave;
Jamais, tant que tu n'auras pas,
Au-delà du Rhin, reporté tes pas.
Nous mourrons, soit, mais nous mourrons libres !...»
- Oh ! papa, Dieu, comme ta voix vibre...
«Dis-moi, quel transport te saisit;
Quel est donc ce Roi qui parlait ainsi ?»
- Mon fils, sois-en fier comme moi :
«Le Peuple, c'est nous; le Roi notre Roi !»
EDIT : Voici le texte de cette chanson patriotique, évocation émouvante du sacrifice de 1914, fréquemment interprétée dans les tranchées par «l'oeuvre du chansonnier du soldat belge». Extrait de la «Chanson des Jasses». Paroles d'Ernest Genval, musique de Jean de Smetsky (De Smet).
Moi je fais deux régimes en même temps parce qu'avec un seul, je n'avais pas assez à manger.
plus vraisemblablement, il s'agit de la chanson intitulée « La Légende d'un peuple et d'un roi »
Les paroles sont de Ernest Genval. La musique est une vieille ronde arrangée par Jean de Smetsky. La chanson fut créée pendant la Première Guerre mondiale, et interprétée dans les tranchées par «L'OEuvre du chansonnier du soldat belge». Elle fut également chantée par Théo Doric, chansonnier à l'armée belge
Texte complet :
Papa, la nuit tombe bientôt,
Tantôt va passer le marchand de sable.
Papa, la nuit tombe, la nuit tombe bientôt,
Raconte une histoire et j'irai dodo.
Dans tes bras, la place est chaude et tendre,
Dans tes bras, il fait si bon t'entendre;
D'ailleurs, pour te récompenser,
Je te donnerai deux bons gros baisers.
D'ailleurs, pour te récompenser,
Je te donnerai deux bons gros baisers.
Mon fils, il y a bien longtemps,
Un petit pays vivait sans alarme;
Mon fils, il y a bien longtemps,
Un petit pays vivait en chantant.
Et le Roi de ces riches provinces
Était pour elles un Père plus qu'un Prince,
Comme vertu, ayant du coeur,
Et comme devise, un seul mot: l'Honneur.
Comme vertu, ayant du coeur,
Et comme devise, un seul mot: l'Honneur.
Un jour, un empereur voisin,
Qui d'un autre peuple enviait la terre,
Un jour, un empereur voisin,
Vint trouver ce Roi et lui dit: «Cousin;
Il faut que mon rêve s'accomplisse,
Laissez-moi passer, sois mon complice.
Mais le Roi répondit alors
«Il faut avant me passer sur le corps.»
Le peuple, en entendant ces mots
Oublia ses chants et saisit les armes:
Le Peuple, en entendant ces mots,
Entoura son Roi, lui criant: «Bravo».
Et courant à la horde mauvaise,
Il entra, sans peur, dans la fournaise,
Jurant de vaincre ou de mourir,
Plutôt que de voir son honneur périr.
Longtemps, ils luttèrent longtemps,
Reculant, hélas, malgré leur vaillance;
Longtemps, ils luttèrent longtemps,
Vaincus quelquefois, souvent triomphants.
«Rends-toi donc et cède, nous la place!»
Leur criait leur ennemi rapace.
«Rends-toi, nous t'accordons la Paix.»
Mais Prince et soldats répondaient: jamais
«Rends-toi, nous t'accordons la Paix.»
Mais Prince et soldats répondaient: jamais
Jamais, tant que tu n'auras pas
Quitté notre sol libre et sans entrave;
Jamais, tant que tu n'auras pas
Au delà du Rhin, reporté tes pas.
Nous mourrons, soit mais nous mourrons libres!...
Oh! Papa, Dieu comme ta voix vibre...
«Dis-moi quel transport te saisit;
Quel est donc ce Roi qui parlait ainsi?»
«Mon fils, sois-en fier comme moi:
Le Peuple c'est nous; le Roi notre Roi!»
«Mon fils, sois-en fier comme moi:
Le Peuple c'est nous; le Roi notre [Roi!»
source : https://www.lesoir.be/art/il-peut-le-dire_t-19940924-Z08K8J.html
Les paroles sont de Ernest Genval. La musique est une vieille ronde arrangée par Jean de Smetsky. La chanson fut créée pendant la Première Guerre mondiale, et interprétée dans les tranchées par «L'OEuvre du chansonnier du soldat belge». Elle fut également chantée par Théo Doric, chansonnier à l'armée belge
Texte complet :
Papa, la nuit tombe bientôt,
Tantôt va passer le marchand de sable.
Papa, la nuit tombe, la nuit tombe bientôt,
Raconte une histoire et j'irai dodo.
Dans tes bras, la place est chaude et tendre,
Dans tes bras, il fait si bon t'entendre;
D'ailleurs, pour te récompenser,
Je te donnerai deux bons gros baisers.
D'ailleurs, pour te récompenser,
Je te donnerai deux bons gros baisers.
Mon fils, il y a bien longtemps,
Un petit pays vivait sans alarme;
Mon fils, il y a bien longtemps,
Un petit pays vivait en chantant.
Et le Roi de ces riches provinces
Était pour elles un Père plus qu'un Prince,
Comme vertu, ayant du coeur,
Et comme devise, un seul mot: l'Honneur.
Comme vertu, ayant du coeur,
Et comme devise, un seul mot: l'Honneur.
Un jour, un empereur voisin,
Qui d'un autre peuple enviait la terre,
Un jour, un empereur voisin,
Vint trouver ce Roi et lui dit: «Cousin;
Il faut que mon rêve s'accomplisse,
Laissez-moi passer, sois mon complice.
Mais le Roi répondit alors
«Il faut avant me passer sur le corps.»
Le peuple, en entendant ces mots
Oublia ses chants et saisit les armes:
Le Peuple, en entendant ces mots,
Entoura son Roi, lui criant: «Bravo».
Et courant à la horde mauvaise,
Il entra, sans peur, dans la fournaise,
Jurant de vaincre ou de mourir,
Plutôt que de voir son honneur périr.
Longtemps, ils luttèrent longtemps,
Reculant, hélas, malgré leur vaillance;
Longtemps, ils luttèrent longtemps,
Vaincus quelquefois, souvent triomphants.
«Rends-toi donc et cède, nous la place!»
Leur criait leur ennemi rapace.
«Rends-toi, nous t'accordons la Paix.»
Mais Prince et soldats répondaient: jamais
«Rends-toi, nous t'accordons la Paix.»
Mais Prince et soldats répondaient: jamais
Jamais, tant que tu n'auras pas
Quitté notre sol libre et sans entrave;
Jamais, tant que tu n'auras pas
Au delà du Rhin, reporté tes pas.
Nous mourrons, soit mais nous mourrons libres!...
Oh! Papa, Dieu comme ta voix vibre...
«Dis-moi quel transport te saisit;
Quel est donc ce Roi qui parlait ainsi?»
«Mon fils, sois-en fier comme moi:
Le Peuple c'est nous; le Roi notre Roi!»
«Mon fils, sois-en fier comme moi:
Le Peuple c'est nous; le Roi notre [Roi!»
source : https://www.lesoir.be/art/il-peut-le-dire_t-19940924-Z08K8J.html
Salut,
Peut être la chanson de Guy Berry intitulée Petit Homme, c'est l'heure de faire dodo
Les bénévoles apprécient les mots suivants: bonjour, bonsoir, merci, s'il vous plaît ! ne l'oubliez pas ! Pour les urgences appelez le 112 ou apprenez la patience
Peut être la chanson de Guy Berry intitulée Petit Homme, c'est l'heure de faire dodo
Les bénévoles apprécient les mots suivants: bonjour, bonsoir, merci, s'il vous plaît ! ne l'oubliez pas ! Pour les urgences appelez le 112 ou apprenez la patience
Non, après recherches, il ne s'agit pas de cette chanson.
Pour plus d'info, c'est une histoire "patriotique" qu'on nous avait apprise à l'école primaire (vers 1954) dans laquelle l'auteur donnait la parole au Roi Albert 1er qui répondait à l'empereur d'Allemagne en l'appelant "cousin".
Merci d'avance pour vos infos.
Gujavil.
Pour plus d'info, c'est une histoire "patriotique" qu'on nous avait apprise à l'école primaire (vers 1954) dans laquelle l'auteur donnait la parole au Roi Albert 1er qui répondait à l'empereur d'Allemagne en l'appelant "cousin".
Merci d'avance pour vos infos.
Gujavil.