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UltimatesGamers62 Messages postés 4 Date d'inscription mercredi 23 avril 2014 Statut Membre Dernière intervention 24 mai 2014 - 23 avril 2014 à 10:42
UltimatesGamers62 Messages postés 4 Date d'inscription mercredi 23 avril 2014 Statut Membre Dernière intervention 24 mai 2014 - 24 mai 2014 à 17:54
Bonjour à tous, je me présente, Antoine, 13 ans, je cherche à faire publier mon roman qui en est à 135/218 pages. J'aimerais votre avis sur le prologue et le chapitre 1. Bien sur, il est interdit de piquer cette idée !




Aelina Prendergastr


Tome 1 : Renaissance


Prologue
Une ombre court dans la nuit, suivie par un tas d'autres ombres qui poussent des cris de guerre. Ils vont dans la forêt. Un flash. Plus personne dans la forêt. Non loin de là, dans une plaine, il y a une grande maison en feu.
A l'intérieur, deux cadavres adultes, un cadavre de fillette, et son frère encore en vie. Un autre flash. Plus de fillette morte, mais une fillette en vie. Quelque part dans le monde...





Chapitre 1 : La rencontre


Et bien... je ne sais pas trop par où commencer, tant de choses se sont passées en peut de temps. Peut-être par ce que je fais actuellement ? Je sirote un cocktail de sang, assise dans mon fauteuil pur cuir, face à la cheminée, regardant mon loup blanc endormi à mes pieds.
Pourquoi du sang ? Pourquoi un loup blanc ? J'y reviendrai, et vous comprendrez. Peut-être que j'écris ces lignes parce que j'en ai trop à l'intérieur de moi, et qu'il faut extérioriser... je repense à cette horrible vision du cadavre de mon meilleur ai et de mon frère jumeau, tous les deux morts par ma faute.
Des tas de gens sont morts à cause moi, et je n'ose même plus y penser. La première fut ma cousine. Ce soir où tout à basculé pour moi. J'ai été marquée. Mon frère à dut être exécuté par le gouvernement, à cause de ses actes qui ont permis de sauver le monde mais de façons illégales, et sa haine la fait revenir d'entre les morts.
J'ai du le tuer cinq fois, et la cinquième fut la dernière. Mais mon meilleur ami y est passé. Et j'y suis aussi passée ( on est dans le monde des morts là ! ). Pourquoi tant de morts...
J'ai sauvé mon monde, et pourtant, on me traître comme la peste noire. Mon monde qui n'est autre que Rackangharm ! C'est une dimension parallèle à la votre, terriens, et elle fait deux fois la taille de l'Asie. Chez nous, elfes, humains, fées, batraciens hybrides etc. Vivent en paix.
Chaque race à son propre royaume, et mon histoire commence alors que je n'avais que seize ans, en l'an 689, le dix juin, non loin de la capitale des humains Tartalïs, dans un petit village nommé Madreva.
Là bas, il y a des centaines d'habitations, tavernes et boutiques, et, une fois à l'extérieur, les forêt, les plaines et les sentiers de terre sont les seuls paysages.
Notre village était connu pour son pain nommé « Le p'tit Madrevien », fait à base de graines naturelles, et de farine tirée du meilleur blé au monde.
Notre terre était fertile grâce aux pluies célestes, des gouttes de pluies étant passées à travers un arc en ciel.
Je travaillais dans une taverne nommée « Seconde chance », on ne sait pas pourquoi, et le rôle de serveuse me convenait bien. La taverne avait deux étages.
Le premier était un ensemble de chambre mises à disposition pour les voyageurs. Le second, c'était mon chez moi. Assez pittoresque, il n'y avait qu'un lit, un bureau, un miroir, une armoire, une salle de bain, et une lampe électrique.
Et oui, nous avons l'électricité. En fait, des terriens morts sont arrivés par hasard chez nous, au lieu d'aller dans le monde des morts, et en continu depuis le treize septembre 667, et, bloqués ici, ils nous ont apportés leur technologie.
En retour, on leur à offert une place définitive dans notre royaume humain, du nom d'Humanalys. Je sais, c'est assez basique, mais bon, c'est un nom de pays comme un autre.
Nous avons établis une échelle il y a un an selon laquelle à peut prêt un humain mort arrive tous les mois chez nous. Ces derniers disent que nous sommes médiévaux à cause de nos châteaux, chevaliers, méthodes et notre « anti-technologie ».
Il est vrai que vu sous cet angle ! Ce soir là, un voyageur à fait halte. Il avait un masque blanc, de longs cheveux rouges sangs, une cape blanche, une armure de cuir blanc, et un sabre pendait dans son dos. J'ai flippé, certainement à cause de son arme, et, étant la seule serveuse de libre, je me suis approchée de lui.
Hum, excusez moi monsieur, déclarais-je, un immense frisson d'angoisse me prenant pour cible, vous désirez ?
Vous... ne... connaîtriez pas... Aelina... Aelina Prendergastr par has... hasard ?
Si, c'est moi, répondis-je, plus curieuse que jamais. Heu, on se connaît ? Et dites, vous vous sentez bien ? Non mais là, vous faite une crise d'asthme !
Non... c'est que... j'étouffe sous ce... masque... donc... Attends... c'est toi... Aelina ?, déclara-t-il, toujours avec sa voix de psychopathe.
Euh..., balbutiais-je, oui... oui c'est... c'est moi... et vous êtes ?
Peu importe... qui nous sommes... puis-je... avoir une chambre ?
J'ai tout de suite sus que cela ne servait à rien de le questionner, qu'il était fatigué, et qu'il délirait. Mais comment pouvait-il connaître mon nom ?
Je le vis alors détailler la taverne. Cela ne servait à rien, c'était du classique : un comptoir en bois, une étagère remplie d'alcool, des tables, des fauteuils, des chaises, un escalier menant l'étage, des tableaux sur les murs, et une porte pour accéder a la réserve.
L'ambiance était chaleureuse, malgré quelques habitués assez... bruyants... ou certains qui se battaient en bras de fer, jeu venu des terriens. Oui bon, d'accord, c'était bruyant, et alors ?!
J'étais intriguée par ce personnage, terrifiant et fascinant à la fois. Son masque, lui, était épouvantable : il y avait aucun trou pour les yeux, on voyait juste un creux pour les orifices, et la forme du nez. La bouche n'était autre que trois point minuscules.
Je me demandais alors ce que ce personnage me voulait. Je lui tendit la clé de la chambre numéro trois, et, sans un mots, il monta sans demander repas ou conseils.
« Encore un crétin qui se croit roi parce-qu'il a un masque ! », pensais-je en me dirigeant vers le bar. Je me suis tournée vers le patron, et remarquait qu'il était crispé, figé sur place.
Je me suis approchée, et,me surprenant, il tourna la tête vers moi. Il se frotta machinalement le front du revers de la main, et, d'un ton assez reposé vu son état, déclara :
La soiré musique est ce soir. Profites.
Ah, oui, je me souviens : la soirée musique était une soirée annuelle tous les troisièmes mardis du mois, où des terriens venaient chanter des chansons humaines, avec une guitare.
Le musicien/chanteur était déjà là, et il avait commencé. Il jouait de la guitare à la perfection, et son ami terrien, inhabituel, chantait avec l'autre.
La chanson se nommait « You Turn », et tous les clients se balançaient, yeux fermés, bercés par une chanson différente, étrangère, qui apportait une vague de chaleur dans la nuit. Je me suis assise, et me suis servie une coupe d'eau pétillante avec des feuilles de menthe dedans.
L'eau pétillante venait du chanteur terrien, et j'avais un faible pour cette boisson. La chanson finie, il en prirent une autre, plus morose, mais je ne comprenais rien aux paroles.
La langue pratiquée m'était inconnue, mais cela n'empêchait d'apprécier le son de la guitare additionnée de la voix des chanteurs. Je me suis alors levée, mon verre à moitié vide, et suis montée à l'étage, fatiguée d'une dure journée.
Une voix me déclara alors « Entre ! ». Cela me surprit, et je vis l'inconnu au masque... sans son masque. Mon sang se figea dans mes veines.
Mes jambes tremblèrent, des frissons me parcouraient, mes dents s'entrechoquèrent, et un cri intérieur ne voulait pas sortir de ma gorge, mon corps entièrement pétrifié.
Longs cheveux rouges sang, peau presque aussi blanche que ses habits, des yeux rouges sang, des canines énormes, et une aura à couper le souffle. Un vampire, venu de Yuris, certainement pour me bouffer. Ben quoi ? Il me cherchait non ?
Animé par des forces que je ne contrôlais pas mais qui me contrôlaient moi, je suis entrée dans la chambre, et la porte s'est fermée et s'est verrouillée.
N'est pas peur, déclara le vampire, et surtout ne crie pas. Je suis à ta recherche depuis prêt de six ans. Tu ne te souviens probablement pas de moi, mais moi, je ne t'ai pas oubliée.
On se connait ?, questionnais-je, ma curiosité plus forte que mon intense peur. Que me voulez-vous ? Qui êtes-vous ?
Pour faire bref : je suis Hojikaa Prendergastr, vampire renégat, cherchant à détruire Solicis. Oui, je suis ton frère. Ton frère jumeau pour être plus précis. Il y à six ans, Solicis s'est introduit chez nous, à tué père et mère, et t'a transformée en humaine. Toi et toi seule peut détruire ce monstre qui est notre ancêtre. Je suis venu te voir pour te re-transformer en vampire, et éradiquer Solicis. Alors ? Partante ?
Euh..., balbutias-je, vous avez bu quoi avant de venir ? Je n'ai pas de frère, je suis natale de ce pays, mon père et ma mère sont morts d'un accident en escalade de montagne, et je suis humaine. Au revoir monsieur... Hojikaa si c'est bien votre nom !
Rassieds toi !, tonna-t-il. Si je te prouves qu'on est frère et soeur, pourras-tu au moins écouter ce que j'ai à dire ?
Seulement si vous le prouvez, déclarais-je, victorieuse, convainque que c'était un mensonge, mais ça n'arrivera pas !
Le vampire se leva, remonta sa manche et tendit son poignet. Une trace y était, et elle formait une croix. J'avais la même. Sur mon poignet droit.
J'ai faite un bon en arrière et me suis raidie, adossée au mur, plus terrifiée que jamais. Je me suis peut à peut calmée, et me suis rassise. J'étais plus déboussolée que jamais.
Je me suis finalement résignée à écouter ce que ce vampire avait à me dire. Voilà le plus important : deux gentils, moi et lui. Un gentil vaincu par effacement de mémoire et modification génétique, moi. Un ancêtre méchant, Solicis. Une guerre terrible, partisans de Solicis et Vampires renégats.
Une solution : me transformer en Vampire, me faire maîtriser mes pouvoirs, m'envoyer me faire massacrer, et danser sur ma tombe. Enfin, ça c'était mon point de vue. La réalité était différente, quoique plus sordide par moments.
Dit moi, questionnais-je, refusant de croire à cette réalité qui s'imposait sans prévenir ou demander mon avis, en quoi cette marque prouve-t-elle notre lien de parenté ? Ce n'est peut-être qu'une coïncidence et...
Tu est née le soir où le solstice d'été et la pleine lune étaient en même temps, à minuit pile. Il neigeait ce soir là. Ton souvenir est une lumière aveuglante, et une jeune femme brune qui sourit.
Attends, répliquais-je, comment tu sais ça d'abord ? C'est dingue, c'est un souvenir personnel !
C'est mon premier souvenir. Moi aussi c'est ça mon premier souvenir. Peut-être que tous les autres n'ont aucun rapport avec mon histoire, mais Solicis les a modifiés pour te rendre vulnérable. Il faut que tu m'aide à vaincre ce monstre !
Tu proposes quoi ?, répondis-je, acceptant tout ça, repensant au fait que je rêvais d'aventure. Je n'admets pas mon lien de parenté, mais je veux bien t'aider si tu me promets une chose.
Laquelle ?, répondit le vampire, heureux de ma réaction.
Promets moi que je reviendrais en vie.
Un long et interminable silence s'abattit, et je soupirais. Il est vrai que je rêvais d'aventure, mais mourir n'étais pas dans mes intentions. Je me suis levée, et au moment où je quittais la pièce... le vampire m'assomma, et je tombais dans le comma le plus profond de toute ma vie.


Le chapitre n'est pas finit, mais c'est déjà assez long ^^. Voili Voilou, alors svp, dites moi votre avis !

1 réponse

Aprilette Messages postés 138 Date d'inscription mercredi 9 janvier 2013 Statut Membre Dernière intervention 31 août 2018 103
4 mai 2014 à 14:24
Salut,

Je ne comptais pas lire, mais j'ai été prise dans l'histoire, je voulais connaître la suite.
Par contre il y a pleins de choses que je n'ai pas compris. Au début elle boit du sang, mais en fait elle est humaine après ? Elle dit qu'elle a dû tuer son frère 5 fois et après elle ne se souvient pas avoir un frère ? Ensuite le solstice d'été c'est à midi, donc ça ne peut pas être en même temps qu'une pleine lune. Et je vois mal de la neige en été...

Bref, j'ai relu, peut-être que les quelques lignes du début sont un flash-forward, mais on ne peut pas en être sûr. Le fait que tu ne parles plus du loup me conforte dans cette idée, mais c'est étrangement mené, car si c'est vraiment le cas, on sait déjà que son frère va mourir et qu'elle-même va mourir (ce qui est précisé assez maladroitement en aparté). Quel intérêt de lire ton histoire si on en apprend la fin dès les premières lignes ?
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UltimatesGamers62 Messages postés 4 Date d'inscription mercredi 23 avril 2014 Statut Membre Dernière intervention 24 mai 2014
24 mai 2014 à 17:26
Je suis désolé de te décevoir, mais je laisse tomber : ce livre est fini : 75 pages. Un vrai écrivain fairait de ces 75 pages une trilogie. trouver des idées, c'est fastoche. S'y accrocher, ça l'est moins...
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UltimatesGamers62 Messages postés 4 Date d'inscription mercredi 23 avril 2014 Statut Membre Dernière intervention 24 mai 2014 > UltimatesGamers62 Messages postés 4 Date d'inscription mercredi 23 avril 2014 Statut Membre Dernière intervention 24 mai 2014
24 mai 2014 à 17:54
laisses tomber, je veins de fretrouver l'inspiration, et me suis lancé dans une réécriture totalement différente. L'histoire change beaucoup, sauf les évenements clés, genre la rencontre avec Hojikaa !








J'ai grandie dans un monde inconnu de l'homme. Un monde de magie, de chevalier, de créatures magiques. Un monde qui a sombre depuis peut dans l'ombre. Où suis-je... je suis dans des ruines, assise à une table, écrivant mon histoire.
Qui suis-je... je ne suis ni pus ni moins que la déclencheur de cette guerre. Cette guerre pour annihiler la race humaine, détruire la magie, et assouvir les peuples mythiques.
Tout cela n'a aucun sens; Tout cela ne sert à rien. Mais c'est la nature humaine. Elle crie vengeance. Mon frère crie vengeance. Les Oubliés crient vengeance. Au final, moi, je ne suis que le souffre douleur de tout ce beau monde.
Tout cela n'a commencé qu'il y à cinq ans, dans le royaume des humains, Humanalys, près de la capitale Tartalïs, dans un petit village du nom de Madreva. Un petit village... il n'en reste plus rien. En réalité, Madreva était la plus grande ville marchande d'Humanalys.
Mais au fond, ça reste un petit village de voleurs, d'arnaqueurs, de salopards... moi, j'avais seize ans ce jour même. Je vivais avec mes potes, si on peut dire. J'avais ma petite bande. Chacun de nous, on s'était rencontrés alors qu'on erraient dans les rues abandonnées de Tartalïs.
On étaient méprisés, craints et rejetés par tout le monde à cause de nos pouvoirs. On maîtrisaient les éléments. Chacun de nous avait le sien. Selon Garry, e broquantiez, on était des démons, avec une âme noire enfouie dans nos coeurs.
Depuis qu'on à neuf ans, on vit ensembles, à Madreva, en travaillant dans une taverne nous payant en nourriture et en chambres. C'était un établissement réputé, et tous les cinq on étaient fiers d'y travailler.
Il y avait moi, Aelina Prendergastr, aux longs cheveux blonds, aux yeux bleus, à la peau pâle et au sourire radieux selon Mathéo.
Mathéo, c'était comme notre père, c'était le plus vieux, âgé de dix huit ans, aux longs cheveux blancs, aux yeux cristal, à la peau pâle et sans aucune imperfection, et aux longues oreilles pointues.
Mathéo était un elfe. Il y avait ensuite Gwilldow, le petit frère de Mathéo. Ils n'avaient que trois mois d'écart, car ils étaient censés êtres jumeaux, mais l'accouchement s'était mal déroulé.
Gwilldow avait de longs cheveux noirs, des yeux noirs, une peau pâle, et de longues oreilles elfiques. Les deux frères étaient inséparables.
Ensuite, il y avait Sarah, aux longs cheveux noirs frisés, aux yeux verts et à la peau légèrement bronzée. C'était ma meilleure amie.
Puis, en dernier, il y avait Oktaruh. Oktaruh, même si on était ami, restait isolé. Il n'aimait pas beaucoup parler.
Il portait depuis son enfance un masque de samouraïs démoniaque rouge, et une armure de fer, avec son collier des âmes et son imposant katana plus long qu'une épée normale.
Il descendait d'une lignée de samouraïs ( oui, dans notre monde, les samouraïs existaient, e vivaient en haut des monts brumeux ).
nos pouvoirs ? Oktaruh maîtrisait le feu, et n'hésitait pas à le combiner avec son savoir des arts martiaux et avec ses capacités à l'épée.
Sarah maîtrisait la terre, et était une soigneuse plus qu'une battante. Elle était cependant pratique niveau soutien !
Gwilldow maîtrisait la foudre, et Mathéo le vent. Ils aimaient combiner leurs attaques, ce qui était dévastateur !
Et moi, je maîtrisait l'eau. Je pouvais noyer une armée entière... nous avions découverts nos pouvoirs assez jeunes, et nous ne savions toujours pas les contrôler : une fois je voulais remplir la carafe d'eau avec mes pouvoirs, j'ai inondée la taverne.
Nous nous battions souvent, défendant la taverne, les clients, mais aussi, nous donnions une bonne leçon à ceux qui nous provoquaient.
Mais nous ne tuons personne !
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