Besoin d'avis pour une nouvelles fantastiques

riper200 Messages postés 3 Date d'inscription samedi 14 avril 2012 Statut Membre Dernière intervention 30 mai 2012 - 30 mai 2012 à 15:40
riper200 Messages postés 3 Date d'inscription samedi 14 avril 2012 Statut Membre Dernière intervention 30 mai 2012 - 30 mai 2012 à 16:04
Bonjour a tous,


Je doit produire une nouvelle fantastique pour le cour de français et j'aimerais avoir votre avis.Desolé car il y a beaucoup de faute mais je suis très pressé et je n'ai pas eu le temps de relire.
Soyez indulgente je n'ai que 15 ans :)

J'ai 30 ans,Etant jeune j'ai fait quelque délitsqui mon valu un passage en prison et qui m'oblige chaque semaine a pointer au commissariat chaque semaine. Depuis que je suis entré dans la vie active j'ai réussi a garder un travaille de menuisier je ne suis pas bien payé mais cela me permet de vivre...Depuis 2 ans je n'ai pas réussi a garder un chantier plus de deux ans. Des qu'il faut réparer quelque chose mon patron me telephone je part et je change de chantiers 2 mois après ,ela fait 4 ans que cela dure et je ne me suis pas encore habituée a ce rythme infernal.

Un jour,qui commençais comme un jour normal,une belle journée de samedi,j'étais assis dans mon fauteuil a changer les chaînesde la télévision de façons machinal et qu'une douce torpeur m'envahissait j'entendis ma sonnerie de téléphone,cette sonnerie me fit l'effet d'une décharge électrique,je bondi de mon fauteuil,aggripantle telephone pour le porter a mon visage.
C'etais une Sophie, une collègue et une amie qui m'appelais :
-Hallo dis-je d'une voix basse
-Hallo John c'est Sophie,tu sait pourquoi je t'appelle nais-pas ?
Oui je le savais,je savais qu'après cette appelle je ferrait mes valise,je quitterai mon appartement,je prendrais un taxi et j'irrai a l'autre bout de l'amerique pour reparer un malheureux toit ecrouler ou une chaise bancale. J'ai même parfois l'impression que les objets contrôle ma vie et decide de mes fait et gestes
-Oui évidemment que je le sais,alors c'est ou maintenant ?
-Je suis a la porte ouvre moi et je t'expliquer ai.
-Ok.
Sur ces mots je me pressipitai vers la porte en enjambant une boite de pizza et un bot de glace,mon appartement ressemblait un peu a une porcherie car avec mes déplacement incessant je n'avais pas vraiment le temps de faire le ménage et le peu de moment ou j'y était je ne les passait pas un balet et une serpillière a la main.
Arriver a la porte j'eus a peine le temps de l'ouvrir que sophie prenetra dans mon appartement a toute vitesse,elle s'assit sur le fauteuil et me donna un dossier vert d'une dizaine de pages puis sortit.
Ma destination était un petit village dans l'Arizona du nom de Helling. Curieux je pris mon ordinateur et chercha le nom de Helling sur Google mais rien pas un site ne parlais de ce village.
Et bien!pensait-je encore un village isolé et coupé de tout.
Je fi mes valise tres vite en emportant le stricte minimum : 2 pantalon,3 T-shirt et une lampe de poche pour les chantier de nuits qui a mon grand desaroit etait de plus en plus nombreux,a l'inverse de beaucoup de personne travaillé dans le noir ne me genait pas a outre mesure et ma nyctalopie me permettait de travaillai sans être accablé é par un soleil de plomb
.Au fil des mutation mes valise diminuait de volume c'est passé de 19 kilos pour mon premier chantier a 2 malheureux kilos pour ma dernière valise.
Une voiture m'attendais dehors je ne connaissait pas la longueur du voyage et tres franchement je ne voulais pas la connaître.
Arrivé au village je fut frappé par l'état des maisons qui datait du 17eme siècle et qui n'avait sansdoute jamais été rénove depuis. J'eu du mal a trouvé une fenêtre encore intactes déchets dont il était impossible de déterminé l'origine tellement qu'il etait vieu jonchait le sol.Un vélo etait attaché a un poteau qui pouvais donné l'illusion d'un village vivant et active,mais la rouille attaquant le metal rouge pale me remit les pieds sur terre.A peine j'eus le temps d'admirer les maisons qu'une dame assez agé m'acceuillit.Ce qui me frappa c'est l'expression des yeux de celle-ci on aurait dit qu'elle portait toute la misere du monde,des yeux vide,sans eclats et que meme la couleurs de cette pupile parraisait pale.sans poser de questions je pris ma clef je la sallua et je partit.
Etonnament mon chalet etait d'une modernité deconcertante,tout en bois et en brique, il etait ma fois assez jolie par apport au autre bâtisse du village. Mon chalet se trouvais a l'orée
de la foret,une foret de sapins dans laquelle la lumiere y parraisait comme etrangéres
et a une 40ene de mètres du village
Je deplais me affaire et je me couchais pour me preparer a la dormir car il etait deja 23h34.
JE M'installais dans mon lit avec une certaine inquiétude non fondi qui fu disippé par ma rassionalité inebranlable.
Pendant la nuit je fut reveillé par un bruit de branche cassé venant de la foret,j'ai d'abord pensé a un sanglier ce rapprochant du village pour chercher de la nourriture mais pas curiosité m'a pousé a sortir du chalet pour m'aventurer dans la foret tenebreuse.
A chaque pas la lumiere se faissant de plus en plus rare et l'adrenaline montait dans mes veines jusqu'à ce que j'arrive dans une clairiére au milieu de la quelle se draissait un arbres gigantesques qui regnait en maitre sur la foret.Dans cette endroits il reignait une atmosphere ou plutot il ne regnait aucune atomosphere,rien,que du vide et une etrange sensation de froid qui me glaca le sang
J'vais le sentiment de n'etre pas seul,qu'on epiant mes moidre fait et gestes.Etaise l'alcool qui avait inibé mes sens,mais dans cette endroit il y avait quelque chose d'indubitablement mal sain.J'avais cru apercevoir des formes humaine mais ce n'etais que des buissons,je cru entendre des chucotement mais ce n'etais que les murmures de la foret ,mais dans ma tete un mot resonnait : « adiuvare",un qui j'en etait certain je ne connaissait pas.Je ne savais pas comment il c'etais imiser dans mon esprit mais il etait bien la dans mon esprit.Soudain,j'entendis un craquement qui en temps normal serait passé inapercu mais avec cette atmosphere qui regnait sur cette endroit le moidre brut m'aurai terrifier.Ce bruit de craquement me fit devaler la colline pour retourner au chalet.
L'exprerience que j'avais vecu,j'y ai pensé longtemps toute la nuit et une bonne parti du matin.Mes idées etaient plus clair car plus troublé par l'alcool que j'avais consommé la veille,mais malgré cela je ne pu trouvé une explication plossible.Tout d'abord car je n'avais rien vu tres distinctement et aussi car j'etais fatiguer cette nuit la.
Vers la fin de l'apres-midi,et apres une journée de travaille acharné,j'avais decider de m'offrir une minute de repis au Bistro du coin et par la meme occasion faire connaissance avec les otoctone.L'interieur du bar coisidait parfaitement avec le village:Sale,poussieureux,insalubre et desert mis a part un groupe qui prennait leurs pause qui s'y trouvait.leurs eclat de rire emplissait a eux seul toute l'ambiance sonore de la piece.
Je ne sais pas ce qui m'a pris cette fois la,je m'avenssai pour commandé a boire mais tout ce qui sorti c'est adiuvare le mot que j'avais entendu dans les bois la veille,je ne sais pas pourquoi j'ai dit sa c'etais sans doute la fatigue qui m'avais gagné car il etait deja tard.
La reaction des habitant fut immediate,les bucherons qui tant tot riaient au eclat,me fixait d'un air grave et accusateur.Un des bucherons se leva et me dit de quitté le bar immediatement.N'ayant pas l'envie ni la carrure de me battre je m'executai sans un mot.

Pourquoi les gens de ce bar on reagi comme ca ? Peut etre aise un bizutage ais-je pensé ou bien peut etre qu'il n'aime tout simplement pas les visiteur.Je ne s'avais pas ce qu'etait le mot qui etait sortit de ma bouche mais ca les avaient offusquer.J'aurais voulu verifier sur internet mais dans ce village on aurai dit qu'il venai tout juste de decouvir l'electricité.

La deuxieme nuit,j'avais decidé de retourné a la clairiere,je ne sais pas trop pourquoi,c'etais peut-etre ma curiosité qui me poussait a eclaircire ce que j'avais resentit la nuit passé ou bien aise jsute pour rassionalisé et me rassurer quand a la nature des evenements qui venait de ce passé.Mais je sentait que c'etais autre chose,quelque chose de plus fort...

Arrivé a la clairiere ce qui me frappa c'est l'atmosphere qui avait changé,elle n'etais plus vide mais plutot electrique,opressante.Je vis des forme bougé,je cru d'abord a du gibier mais les fomes que je pu distinguer etait plutot humaine mais elles se deplacaient a une telle vitesse que je penchis sur le gibier sans doute appeuré par mes mouvements.
Toujours tapis dans l'ombre a la recherche d'evenements qui pourrais m'eclairé sur cette endroit je ressentit une intense brulure au poignet,c'etais chaud et tres douloureux.mais j'etais trop occupé a scrupté la clairiere pour m'occupé de mo, etat physique.
C'etais surement une plante urticante sur laquelle je m'etais frotter qui me donnait ces douleurs.
Apres 5 minute la douleur s'intensifia et je decidé de regarder.
A la seconde ou mes yeux se posserent sur mon poignet la doulour disparu.
Apres 2 heurs passé a scrupté les moindre faits et gestes de la foret je decidé de retourné au chalet.
Mais a peine eus-je le temps de me levé que quelque chose m'agrippa ,quelque chose de taille humaine et de fort.il me pris par derriere me tira en arriere pour me desiquilibré.
Quand je fut a terre je pu voir son visage,il etait gris,completement gris,on pouvais distingué un visage humain mais cette chose n'etait pas humaine j'en etait certain.
Ses gestes n'etaient etrangement pas violent a aucun moment il ne me frappa mais au fur et a mesure qu'il m'aggrapait une colere noir montain en moi.
En l'espace d'un instant je fu pris d'une colere monstres,je poussé des cris de rages qui firent fuir mon agresseur.L'envie me vint de le pousuivre mais en tombant je m'etais tordu la cheville se qui m'en empecha.

De retour au chalet je me couchi dans mon lit pour essayé de me calmé apres 4 heures de reflexion je reussi a trouvé le sommeil...
Le matin,j'avais presque oublié les evenements d'hier soir et je devais me preparer a une longue journée : le matin je devais terminé de faire le toit de l'eglise pour revenir dans les temps et ne pas faire engeullé par mon employeurs qui m'a deja dans le collimateur a cause de mes nombreux retards au travaille et l'apres midi, je devais aller faire acte de presente au commisariat du conté qui manque de bole se trouvais a 100 km du village.

C'est avec une certaine parresse que je me dirigé vers l'abri bus,ma matinée de travail dans les jambes et surtout dans les mains qui a ce stades de devraient pas avoir le statue de menbres tellement elles etait abimé par le bois et le metal qu'elles ont touché toute la journée.

Apres 5 heures de trajet 16 chamgement de bus et 13 places donée a des personne agées j'etais enfin arrivé a destination:le commisariat du conté,un batiment qui une fois a l'interieur faissait plus pensé a un squatt pour toxico qu'a un commisariat.Je me presentit a la secretaire,qui tapa mon nom sur son ordinateur et qui me tendit un cachait empli d'encre.je trempit mon pouce dans l'encre pour le posé sur la feuille,un ceremonial qui normalement aurait du ce passé sans encombre...
Quand je retirai mon pouce,ce fut incroyable,il n'y avait rien.Pas d'empreite digital juste une tache bleu au centre de la feuille.Un policer qui avait assisté a la scene interpella la secretaire:
-on a un probleme dit le policier d'un ton grave
-en effet tu a raison
Peut-etre aise parceque je travaille sur un chantier,mes empreinte on eté sans doute effacé avec le frotement.
-le bois n'efface pas les empreinte voyons !
-tu a une autre explication peut etre ? Non ? Alors on va se contenté d'une signature.
Je pris le stylo d'une main tremblante pour apposé ma signature sur le papier encore etonné de ce qui vennais de ce passé.

Quand je fut arrivé au chalet j'eu une envie de m'allongé sur le canapé,a lire a bon livre devant la cheminée quand soudain quelqu'un frappa a la porte.Je trouvai sa bizzar car de mes 3 jours passé ici je n'avais recus pour aisi dire aucune visite.Quand je touchai la poignet de la porte mon poignet me fit mal mais je n'y preti pas attention.C'etais le bucheron du bar a la porte celui qui m'avais chassé du Bistro sans aucune raison.
-Quitté le village dit le bucheron
-J'ai un travail ici et des responsabilité!
En ayant assez de cette conversation je fermit la porte violement mais le bucheron interposat sa main pour m'empecher de la fermé.

Et la une sensation que j'avais deja resentit parcouru mon corp mais je ne put dire quand je l'avais ressentit pour la premiere fois.Je bondit dehord attrapa l'homme qui semblait etonné par ma reaction et je commca a le frappa de toute mes forces,d'une puissances dont je ne me croyait pas capable.Je ne controllait mes mouvement enfin si je les controllait et c'est justement ce qui me fit peur.Ma tete etait remplit de haine,de rage,de colere qui montait au fur a mesure des coup que je portait au visage de l'homme terrifié et qui malgré sa carrure imposante ne parvint pas a se degagé de ma folie violente.J'aurais pu continué comme ca longtemps si quelqu'un qui passait par la n'avais pas assister a la scene et n'avais pas appellé la police.Je ne resistit pas quand les policiers m'interpellaires et je quittai l'endroit en laissant le pauvre homme agonisé avec un medecin se penchant sur le corp en faisant non de la tete.
Quand les policers me mirent dans la fourgonette je ne dit pas un mot rien,peut etree etai-se la fatigue car il etait des 0:30 ou bien c'etais peut etre encore l'adrenaline qui coulait dans mes veines je ne savais pas.Durant le voyage dans la fourgonette je ne pensait a rien,a rien du tout,j'etais comme deconnecté du monde.Quand soudain,mon esprit ce remplit d'une seul idée,retourné a la clairiére,je ne savais pas pourquoi et je n'etais pas en mesure de reflechir.Je savais que je ne devais pas y retourné mais a ce moment la ce n'etais pas ma concience qui me guidait c'etais quelque chose d'autre,quelque chose de plus puissant.Je reussi sans trop de mal a quitté la fourgonette et les policiers semblait plus interresé par leurs emession de radio qu'a l'homme qui se trouvait a l'arriere.
Quands je fut sortit je me mit a courir dans une direction de tout mes forces,convaicu que c'etais la bonne direction,je corru je ne sais pas 2heures avait d'arrivé au villages,je bondit sur la colline avec une agilité deconcertaine.arrivé a la clairiere je fut prit d'une sorte d'ivresse divine.
Je sentit que tout mon corp chauffait,je regardai mes mains qui changeait de couleurs,je ne comprenais pas,pourquoi etai-je retourné ici?j'etais tetanissé de peur,je porta mes mains a mon visage et je ne sentit rien comme si mon visage avait disparu.La terreur avait envahit tout mon corp mais la rage aussi,une rage dont je remprennait pas la provenance.
Et la a ce moment je les vit,les creatures de cette clairiéres,ceux qui mont changé,corrompu.ils etait une centaines tous indentiques,de taille humaine,leurs peau etait d'un gris Anthracite parfaitement homogene,ils restaient tous en groupe,ils ne bougeait que tres peu.le peut de clairvoyance qui me restait fut anehanti par des pensé qui j'en etaient sure n'etais pas a moi,et je compris que ces pensées etaient celles des homme gris.Ces pensée contenant beaucoup de dragedi,de meutres enfaite,des souvenirs rongé par la coleres et la rage mais contenant un soupcons d'humanité et de remort.Des remort qui a mon tour m'envahissaient,les hommes gris qui maintenant etait des ancien meutriers voulant se faire pardonnée avant de penetré dans les enfers.Et c'est en voulant entrer en contact avec moi et en essayant d'implorer mon aide en repetant le mot "adiuvare" qui maintenant je le savais signifiait aide en latin,c'est en essayant de rentrer en contact avec moi qu'ils m'ont corrompu et m'ont fait devenir comme eux.Quand j'eus fini ce ressonement,ma lucidité me quitta pour de bon.
Et je vit quelq'un entrer dans la clairiére,j'essayit d'implorer son aide en lui prennant le poignet dans un ellant d'espoir...

2 réponses

riper200 Messages postés 3 Date d'inscription samedi 14 avril 2012 Statut Membre Dernière intervention 30 mai 2012 1
30 mai 2012 à 16:04
Merci beaucoup pour tes quelques conseils.

j'en tiendrai compte.

merci
1
L01C Messages postés 322 Date d'inscription lundi 30 avril 2012 Statut Membre Dernière intervention 17 mai 2016 44
30 mai 2012 à 15:58
Que tu aies 15 ans, 8 ans ou 30 ans, je m'en fout et je traiterai la nouvelle objectivement. Je n'ai lu que le début pour l'instant.

- Il y a des fautes, beaucoup trop de fautes. Certaines petites mais d'autres grossières. Pense aux accords en genre et nombre, à la conjugaisons. Chercher à quel nom se réfère les adjectifs que tu mets pour bien les accorder.
- Tu confonds à et a. Tu as utilisé souvent le "a" avant des verbes à l'infitinif au début (et sans doute tout le long) alors qu'il s'agit de "à". Exemples:
"j'ai réussi a garder " et "je ne me suis pas encore habituée a ce rythme infernal".
Une astuce, c'est de mettre le avoir en remplacement du "a" comme ceci:
J'ai réussi avoir garder et je ne suis pas encore habituée avoir ce rythme. Tu vois bien qu'il y a un truc qui cloche donc c'est "à". Le contraire: Il ne l'a pas fait => ne l'avoir pas fait. C'est donc déjà mieux.
- Des phrases trop lourdes et qui se répètent:
"Un jour,qui commençais comme un jour normal,une belle journée de samedi,j"
ça c'est très lourd, maladroit et répété. Allège en supprimant la belle journée de samedi. Au passage: commençaiT. Aide-toi de site de conjugaison pour bien conjuguer tes verbes. Et parfois quand tu hésites, il se peut que tu trouves des réponses sur des forums où des gens se demandaient la même chose que toi. Exemple: au début du topic, j'ai hésité entre "tu aies" et "tu ais". Je suis allé consulter google et un mec s'est posé la même question que moi et j'ai pu avoir ma réponse.
- Tu gères mal les ponctuations, ce qui donne parfois des phrases qui trainent en longueur et on finit en apnée:


Un jour,qui commençais comme un jour normal,une belle journée de samedi,j'étais assis dans mon fauteuil a changer les chaînesde la télévision de façons machinal et qu'une douce torpeur m'envahissait j'entendis ma sonnerie de téléphone,cette sonnerie me fit l'effet d'une décharge électrique,je bondi de mon fauteuil,aggripantle telephone pour le porter a mon visage.

Une recorrection: Un jour, qui commençait comme un jour normal, j'étais assis dans mon fauteuil à changer les chaînes machinalement ( tu peux garder de façon machinale). Une torpeur m'envahissait lorsque j'entendis ma sonnerie de téléphone. Cette sonnerie me fit l'effet d'une décharge électrique, je bondis de mon fauteuil, aggripant le téléphone pour le porter à mon visage.

J'ai juste rajouté 2 points et ça donne tout de suite plus d'ergonomie.
Cependant, il n'y a pas que du négatif, tu as du potentiel pour faire une bonne nouvelle. Je finirai de lire ça dans la soirée.
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