Utilisez-vous ou pas les métadonnées pour gérer/archiver vos photos et pourquoi

Fermé
anonyme - 29 sept. 2010 à 11:45
 anonyme - 20 oct. 2010 à 12:51
Les métadonnées sont des fichiers descriptifs qui sont liés au fichier image, toutefois ils sont peu utilisés par le grand public alors qu'ils apportent un intérêt véritable à qui sait s'en servir. Je développe a une application sur l'utilisation de la photo numérique en milieu nomade et cherche à me servir des métadonnées pour qualifier le contexte de la prise de vue et donner du sens à la photo pour optimiser son référencement sémantique sur le Web social. La photo fait office de preuve dans son usage actuel et est devenue le support au commentaire, c'est pourquoi elle est à mes yeux devenue l'élément à indexer en premier. J'attends vos réponses avec impatience et suis prêt à collaborer à tout projet sur ce thème précis. Cordialement. Michel.
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12 réponses

Bonjour, La question est complexe ce qui explique peut-être le peu de réponses. Pour ma part, les métadonnées sont intégrées dans mon archivage et je m'en sers uniquement comme critère de recherche pour trier mes images sur données exif. Cordialement, Gérard
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Pourquoi se limiter aux données EXIF quand les métadonnées offrent bien d'autres possibilités, est-ce le manque de temps ou la complexité qui rendent l'utilisation des métadonnées si peu usitées??
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Une page à visiter au sujet des métadonnées sur Culutre Visuelle Quelques remarques sur les images, par Patrick Peccatte http://culturevisuelle.org/dejavu/273
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Je pense que les professionnels et les amateurs sont inégaux devant les métadonnées..! L'amateur n'a que faire de remplir la multitude des champs des IPTC et la plupart du temps il ignore ce que c'est et même les données EXIF, alors..... Au pire, le classement des mages est fait sans possibilité de recherche ou de tri. Tant que les métadonnées ne se génereront pas automatiquement (comme les EXIF), je ne vois un grand avenir pour l'amateur. Déja la récupératuon des données de localisation GPS exige un effort de mise à jour pour les boîtier non équipés, quand au reste, bien des champ ne sont destinés qu'à des données commerciales complètement étrangères à l'amateur. C'est mon ressenti de formateur quand je parle des métadonnées.....! Cordialement
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Justement l’objet de mon application est de répondre à cette problématique (Tant que les métadonnées ne se génèreront pas automatiquement) en utilisant les environnements logiciels et réalité augmenté des Smartphone de dernière génération pour implémenter les métadonnées en fonction du contexte de la prise de vue ou séquence. La synchronisation des informations entre le Smartphone mon appareil photo numérique se faisant au chargement des photos vers mon ordinateur. C’est pour cela que je conseil de doubler la première et la dernière photo de toutes séquences de prises de vue entre le Smartphone et l’appareil photo numérique. Enfin sur la notion commerciale ou non des données n’oublions pas la modification des usages dans la photo suite à la venue du numérique, à la baisse des prix, à la facilité d’utilisation, au faible encombrement et poids des appareils et surtout, l’adoption de ce média en tant que preuve dans l’usage courant sur les médias sociaux. L’usage créant la fonction, l’idée en l’occurrence est d’en rendre l’usage plus cognitif, intuitif, pratique et rapide pour en autoriser une multitude d’applications par la suite. PS : pouvez-vous m’en dire plus sur votre action de formateur. Cordialement. Michel.
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Bonjour MIchel, Je fais de la formation au sein d'un club photo mais aussi en dehors particulièrement chez des particuliers, donc à la carte en fonction ds besoins et du niveau. Je couvre l'essentiel de la photo numérique en ce qui concerne le boîtier et la prise de vue avec des modules plus classiques tels que le flash, ma macro... mais aussi les techniques récentes tel que le HDR, tout ceci par module. Côté post-traitement j'ai quasiment abandonné Photoshop au profit de Lightroom. Voila... Cordialement, Gérard
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Merci de toutes ces explications, toutefois j’aimerai avoir votre avis sur l’opportunité d’usage que pourrait bavoir SPS « SmartphoneShoot » l’application sur laquelle je travaille. Il s’agit d'un outil de contextualisation de tout contenue visuelle en milieu nomade sur Smartphone implémentant automatiquement les métadonnées en fonction de vos paramètres d’utilisation, de vos choix de séquences de prise de vue, de votre environnement logiciel, des données de réalité augmentée produites par votre appareille et de l’utilisation cognitive de vos photos. J’ai besoin de vos commentaires.
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Difficile de vous répondre avec précision... Ce qui est évident aujourd'hui c'est que l'effort de compréhension, d'apprentissage, d'effort tout court doit être le plus réduit possible. Il en est de même de l'instantanéité des résultats attendus à l'issue d'une quelconque requête. Il est certain que l'identification d'une photo est aujourd'hui une opération complexe (qui demande un effort) car elle se fait la plupart du temps manuellement (affectation de mot-clefs, notes, classement par thème, par date, attributs, données de localisation, copyright, coordonnées de l'auteur......) En retour d'expérience sur la partie"classement/archivage" de mes cours, c'est une des difficultés réelles de décider quel type de classement (stratégie) adopter. De fait, chacun "range" ses photos un peu n'importe comment et adopter des règles strictes de référencement et d'organisation sur critère est une étape difficile à franchir pour beaucoup. La possibilité d'implémenter automatiquement les métadonnées est évidemment très séduisante et à mon avis (tout au moins pour l'amateur), ce ne peut être que la seule voie pour les utiliser. D'ailleurs cette utilisation doit devenir "transparente", instinctive et "native. Je n'ai que partiellement répondu à votre question, je le crains, mais je ne saurai vous en dire davantage en ce domaine... Cordialement, Gérard
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Cela fait maintenant plusieurs années que je fais des photos numériques (et maintenant, je me suis attelé à la tâche de numérisation de mes documents argentiques.) Utilisateur de Macintosh, j'ai eu dès le début accès aux métadonnées exif de mes photos, auquelles j'ai très vite ajouté des tags pour les tris. Ce fonctionnement, au prix de très peu de contraintes à chaque vidage de mes appareils photo et autres systèmes de prise de vue, porte chaque jour un peu plus ses fruits. Je me sers de mes données images comme d'autant de références sur des travaux, voyages, lieux, personnes, événements, etc. Et à chaque image trouvée (on en a très vite des dizaines de milliers), j'ai toujours plaisir, voire une utilité pratique à savoir comment je l'ai obtenue. Par exemple, telle photo de spectacle, grâce à la focale et à l'ouverture utilisée, me rappellera le niveau d'éclairement de la scène et la distance du sujet. Quant à la géolocalisation, je regrette qu'elle n'ait pas été technologiquement possible bien plus tôt. Chacun peut y trouver une utilité. Grand amateur de photos dans les sous-bois, si je pouvais retrouver tous les lieux de prises de vue de champignon que j'ai faites, ça m'aiderait bien en ce début d'automne... Cordialement
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Bonjour j'ai bien lu les réponses des internautes photographes,et je suis assez d'accord que les informations (métadonnées)des mes photographies se résument au copyright et au remplissage de la fiche identitaire (auteur,adresse et téléphonne),et ce automatiquement a l'ouverture de mes photographies sur photoshop. Le reste ne me concerne pas que ce soit la géolocalisation ou autre . Je ne suis qu'un amateur,et avant de prendre des photographies a tout va je fait un tour,pour voir les lieux favorables en fonction de la position du soleil,de l'accessibilité et.... Si possible je fait des repérages pour les prochaines fois,quand c'est possible. Je gère mes photographies en fonction de la date et des annotations (étoiles couleur) et je jette les images inutilisables dans l'état. A plus
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Bonjour, à vous quatre (@Gérard; @Michel M; @Jean-Louis; @Patrick;) Si j’ai pris le temps de la réponse c’était pour nourrir la réflexion de vos avis et je remercie d’avoir pris le temps de vous exprimer. En ce moment en France à la télévision, il y a deux publicités qui mettent l’image en milieu nomade en situation, l’une traite de l’image, image de soi ou image que l’on renvois, quand à la seconde elle est utilisée en tant que preuve et ce fait de fait l’écho de l’usage de la photo à l’occasion des manifestations pour alimenter des blogs, des pages FB ou encore être vendue en vue d’être publiée et c’est bien de l’usage de la photo en milieu nomade dont ’il s’agit. Le pourquoi de la photo, induit donc sur sa durée de vie, son support et son stockage. Le cout d’une photo, depuis l’achat d’un appareil photo à sa visualisation et sa publication a tellement baissée que la multiplication des prises de vue est devenue la référence, alors que l’argentique impliqué des choix, des assurances, voir des compromis pour économiser la pellicule, de plus la mise au point, la stabilité et la correction automatique fond qu’à ce jour, il n’y a plus de contrainte à la multiplication et ce de manière exponentielle du fait du pouvoir de l’image dans nos sociétés modernes. Cela pose donc la question de l’utilisation des métadonnées en milieu nomade pour répondre à cet afflux et donner une chronologie à toutes ces séquences de prises de vues. Le contexte venant clarifier, ordonner, expliquer le contenue, voilà pourquoi, je travaille à cette outil. Si seul @Jean-Louis semble trouver un intérêt à cela, peut-être trouve t’on la réponse dans le fait qu’il utilise le numérique depuis des années, qu’il prenne le temps de passer à la numérisation des argentiques, qu’il utilise un environnement Apple, qu’il ait vite compris l’avantage à utiliser les tags et qu’enfin il ait conscience que l’archivage d’un grand nombre de photo nécessite un grand nombre de critères de sélection. C’est aussi à ce prix de ne nouvelles applications peuvent naitre, comme un outil d’identification de lieux de récoltes en pleine forêt. Je vous joins un lien sur une expo particulière de par le type de support des œuvres, le média utilisé et les formats. http://www.fondation-pb-ysl.net/fr/Accueil-Fondation-Pierre-Berge-Yves-Saint-Laurent-471.html Une très belle occasion de rebondir sur les usages de la photo en milieu nomade. Créateur du groupe -Web Art Usage Community-, je m’intéresse aussi bien à la dématérialisation du support, qu’à la promotion d’un travail artistique sur le web et plus particulièrement sur le web-social. Enfin, c’est la protection des œuvres numériques et la mise en œuvre des métadonnées qui retiennent toutes mon attention. Le monde est en perpétuelle évolution et la photo a subi les plus grandes mutations de l’Art, nous sommes dans une société de l’image et je ne vois ici qu’une nouvelle utilisation de celle-ci. Présent sur Paris à l’occasion de la FIAC, je vais aller voir cette expo, pour m’en faire l’écho. Cordialement. Michel.
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Bonjour, à vous quatre (@Gérard; @Michel M; @Jean-Louis; @Patrick;) Si j’ai pris le temps de la réponse c’était pour nourrir la réflexion de vos avis et je remercie d’avoir pris le temps de vous exprimer. En ce moment en France à la télévision, il y a deux publicités qui mettent l’image en milieu nomade en situation, l’une traite de l’image, image de soi ou image que l’on renvois, quand à la seconde elle est utilisée en tant que preuve et ce fait de fait l’écho de l’usage de la photo à l’occasion des manifestations pour alimenter des blogs, des pages FB ou encore être vendue en vue d’être publiée et c’est bien de l’usage de la photo en milieu nomade dont ’il s’agit. Le pourquoi de la photo, induit donc sur sa durée de vie, son support et son stockage. Le cout d’une photo, depuis l’achat d’un appareil photo à sa visualisation et sa publication a tellement baissée que la multiplication des prises de vue est devenue la référence, alors que l’argentique impliqué des choix, des assurances, voir des compromis pour économiser la pellicule, de plus la mise au point, la stabilité et la correction automatique fond qu’à ce jour, il n’y a plus de contrainte à la multiplication et ce de manière exponentielle du fait du pouvoir de l’image dans nos sociétés modernes. Cela pose donc la question de l’utilisation des métadonnées en milieu nomade pour répondre à cet afflux et donner une chronologie à toutes ces séquences de prises de vues. Le contexte venant clarifier, ordonner, expliquer le contenue, voilà pourquoi, je travaille à cette outil. Si seul @Jean-Louis semble trouver un intérêt à cela, peut-être trouve t’on la réponse dans le fait qu’il utilise le numérique depuis des années, qu’il prenne le temps de passer à la numérisation des argentiques, qu’il utilise un environnement Apple, qu’il ait vite compris l’avantage à utiliser les tags et qu’enfin il ait conscience que l’archivage d’un grand nombre de photo nécessite un grand nombre de critères de sélection. C’est aussi à ce prix de ne nouvelles applications peuvent naitre, comme un outil d’identification de lieux de récoltes en pleine forêt. Je vous joins un lien sur une expo particulière de par le type de support des œuvres, le média utilisé et les formats. http://www.fondation-pb-ysl.net/fr/Accueil-Fondation-Pierre-Berge-Yves-Saint-Laurent-471.html Une très belle occasion de rebondir sur les usages de la photo en milieu nomade. Créateur du groupe -Web Art Usage Community-, je m’intéresse aussi bien à la dématérialisation du support, qu’à la promotion d’un travail artistique sur le web et plus particulièrement sur le web-social. Enfin, c’est la protection des œuvres numériques et la mise en œuvre des métadonnées qui retiennent toutes mon attention. Le monde est en perpétuelle évolution et la photo a subi les plus grandes mutations de l’Art, nous sommes dans une société de l’image et je ne vois ici qu’une nouvelle utilisation de celle-ci. Présent sur Paris à l’occasion de la FIAC, je vais aller voir cette expo, pour m’en faire l’écho. Cordialement. Michel.
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