A voir également:
- A quoi servent les cellules photographiques et leurs modeles de fabrication?
- Formule excel pour additionner plusieurs cellules - Guide
- Verrouiller cellules excel - Guide
- Aller à la ligne dans une cellule excel - Guide
- Concatener deux cellules excel - Guide
- Excel compter les cellules de couleur - Guide
4 réponses
bonjour
pour ce qui est du MODE de fabrication je suis incapable de vous repondre .
Pour les cellules photgraphiques il faut faire la difference entre
Le flashmetre
Le posemetre
Le spotmetre
Le flasmetre mesure la lumiere incidente ,celle que reçoile sujet a photographier
Le posemetre mesure la lumiere reflechie celle que renvoi le sujet il meusure la lumiere sous un angle de 30 a 40 degré
le spotmetre EST un posemetre qui meusure la lumiere sous un angle de 1 a 3 degré
Certains appareils ont une fonction flasmetre et posmetre.pour utiliser un tel appareil je vous conseil de vous refferer au mode d'emploi car les reglages varient d'un appareil a l'autre bien que le principe de fonctionnement soit le même. j'espere avoir repondu a votre question bonnes photos
Pour faire simple... et s'intéresser à la photo qui est proposée avec la question et qui ressemble au posemètre de mes débuts.. celui de mon papa.... (pour moi dans les années 50.. mais il l'utilisait déjà bien avant....)
C'est un appareil qui sert à mesurer la quantité de lumière qui va renter dans l'appareil photo pour permettre de choisir la bonne vitesse d'obturation et la bonne ouverture du diaphragme afin que la photo soit "normale"
Et il y avait à l'époque tout un système de petits curseurs à déplacer en face de l'aiguille, pour lire ensuite dans une petite fenêtre les bonnes valeurs à reporter pour régler l'appareil photo (en fonction de la sensibilité de la pellicule)
Ils ont vite évolué (surtout avec l'apparition des reflex) par une petite aiguille dans le viseur qui bougeait lorsqu'on faisait varier la vitesse ou le diaphragme... et quand l'aiguille était sur le repère central... l'exposition était "en principe" correcte.. cela devenait un jeu d'enfant...
Désormais, ils sont intégrés au capteur des numériques et renvoient l'information au calculateur de l'appareil qui se charge de faire les réglages.
On n'utilise plus guère que les flashmètres en studio, qui permettent de régler manuellement les appareils car si un appareil photo peut gérer un seul flash (la fameuse mesure TTL) il faut l'aider quand on en déclenche plusieurs à la fois et orientés dans des directions différentes... mais ça, c'est réservé aux pros de l'éclairage... avec un peu d'expérience on peut aussi utiliser le "pifomètre".. après 2 ou 3 essais, on trouve vite la bonne combinaison...(le numérique permettant de voir le résultat de suite et de recommencer si nécessaire.... ce n'était pas possible avec la pellicule)
je suppose que vous ne parlez que des posemètres et non des flashmètres....
avec un posemètre, on travaille soit en lumière réfléchie , soit en lumière incidente (avec un flashmètre aussi d'ailleurs), c'est à dire que soit on dirige la cellule vers la source de lumière, en se mettant à la place de l'objet photographié, en mettant la petite sphère blanche dépolie en place, (lumière incidente), soit on retire la sphère, et on dirige la cellule vers l'objet photographié, mais en plaçant sur l'ogjet un carton gris neutre à 18%, et on fait la mesure sur ce carton... ensuite, on a soit un affichage digital soit analogique, donc avec aiguille.... l'affichage digital indique alors directement le résultat, qu'on peut varier en imposant soit une vitesse de travail, et il indique alors le bon diaphragme, soit l'inverse. avec l'aiguille, on amène généralement l'aiguille en face d'un repère en tournant le cadran extérieur, et on voit alors tous les "couples" vitesse/diaphragme sur les graduations (ex, si vous avez 1/60è à 5,6, vous aurez également le 1/30è à 8 , le 1:125è à 4 etc....
le plus simple est de faire les mesures en lumière incidente de toutes façons, vous n'avez pas besoin de ce fameux carton gris et vous évitez de faire de l'ombre sur le carton avec votre mail lors de la mesure.... mais les cellules des appareils photos actuels sont très performantes, et à part de rares exceptions (contre jour surtout), les posemètres sont devenus assez obsolètes, sauf en milieu pro où on continue à s'en servir régulièrement, mais c'est pour mesurer les écarts de lumière sur une même prise de vue et compenser ces écarts en flashant les zones d'ombres, mais là, il faut un flashmètre... et c'est une autre histoire! bien à vous
Bonjour . Aspect technique .
Au début, elles étaient photo-voltaïques ( mais oui, comme on met sur les
toits aujourd'hui ! ), au sélénium et faisaient dévier un "ampèremètre" proportionnellement à l'intensité de lumière .
L'aiguille se déplaçant sur des abaques donnaient, selon la sensibilité du
film, le couple ouverture-vitesse à appliquer, ce que montre bien votre photo .
Elles sont devenues photo-résistives, plus précises, au CdS (sulfure de cadmium, sous réserve ) ; elles nécessitaient une pile, zinc-carbone, à cette
époque .
Entre la fragilité de l'ampèremètre et la fiabilité de la pile, il fallait se
demander, avant d'appliquer les réglages, s'ils étaient cohérents . Par
exemple, pour avoir fait tomber la mienne, il me fallait "ouvrir" ou augmenter le temps de pose de 2 graduations de plus .
Au niveau amateur, on procédait à la mesure de l'endroit où on voulait prendre le cliché, les focales variables "balbutiaient" .
Les progrès en électronique ont remplacé l'ampèremètre par des comparateurs qui allumaient des petites lampes ( les LED n'existaient pas ), les piles
sont devenues alcalines, mais c'est à cette période qu'elles ont intégré les
appareils, avec une fiabilité et une souplesse inégalées .
En résumé, vive le numérique ! Bonne photo . J-C .