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13 réponses
Utilisateur anonyme
4 juin 2009 à 19:50
4 juin 2009 à 19:50
Bonjour,
Bizarre comme démarche. Il n'existe pas de "vraies" couleurs.
Un objet est d'une couleur qui dépend directement de l'éclairage auquel il est soumis.
Dans le noir, un objet est incolore.
Sous un rayonnement lumineux, l'objet absorbe une partie de rayonnement lumineux et en renvoie un partie. Le rayonnement réfléchi est "sa couleur" , en fait ce que nous en percevons. Ce que l'objet réfléchi comme rayonnement dépend bien entendu de la source lumineuse à laquelle il est exposé.
Autrement dit, un même morceau de chocolat aura des couleurs différentes sur des photos prises sous un autre éclairage. Non seulement la qualité/type de l'éclairage va influer sur la couleur, mais ensuite le traitement fait par l'appareil photo va lui aussi modifier le résultat.
Il faudrait déjà prendre des photos des différents morceaux de chocolat sous un éclairage strictement identique et constant, avec toujours le même appareil, réglé de la même façon, prendre les photos en format raw de préférence, avec un appareil dont la balance des blancs aura été strictement calibrée, et ensuite appliquer un traitement à ces fichiers raw strictement identique à chaque photo.
Si dans une usine qui fabrique du chocolat, un tel prend une photo dans son labo, avec tel type d'appareil, sous des tubes fluo, et que le même morceau de chocolat est photographié ailleurs, avec un autre appareil, ou un appareil identique mais autrement réglé, dans une pièces aux murs de couleurs différentes, sous un autre éclairage etc.. et bien cet unique morceau de chocolat aura une couleur différente sur chaque photo.
Donc bon courage :)
Bizarre comme démarche. Il n'existe pas de "vraies" couleurs.
Un objet est d'une couleur qui dépend directement de l'éclairage auquel il est soumis.
Dans le noir, un objet est incolore.
Sous un rayonnement lumineux, l'objet absorbe une partie de rayonnement lumineux et en renvoie un partie. Le rayonnement réfléchi est "sa couleur" , en fait ce que nous en percevons. Ce que l'objet réfléchi comme rayonnement dépend bien entendu de la source lumineuse à laquelle il est exposé.
Autrement dit, un même morceau de chocolat aura des couleurs différentes sur des photos prises sous un autre éclairage. Non seulement la qualité/type de l'éclairage va influer sur la couleur, mais ensuite le traitement fait par l'appareil photo va lui aussi modifier le résultat.
Il faudrait déjà prendre des photos des différents morceaux de chocolat sous un éclairage strictement identique et constant, avec toujours le même appareil, réglé de la même façon, prendre les photos en format raw de préférence, avec un appareil dont la balance des blancs aura été strictement calibrée, et ensuite appliquer un traitement à ces fichiers raw strictement identique à chaque photo.
Si dans une usine qui fabrique du chocolat, un tel prend une photo dans son labo, avec tel type d'appareil, sous des tubes fluo, et que le même morceau de chocolat est photographié ailleurs, avec un autre appareil, ou un appareil identique mais autrement réglé, dans une pièces aux murs de couleurs différentes, sous un autre éclairage etc.. et bien cet unique morceau de chocolat aura une couleur différente sur chaque photo.
Donc bon courage :)
Merci de ta réponse.
Je sais bien que la couleur dépend de l'éclairage. Le but est d'ajuster l'eclairage des différentes photo pour pouvoir les comparer. On cherche à faire les retouches permettant de se retrouver dans les mêmes conditions que celle dans lesquelles on a fait la premiere. Manuellement c'est très faisable le problème est de créer un programme pour tout automatiser. Peut être est-ce plus clair maintenant.
Je sais bien que la couleur dépend de l'éclairage. Le but est d'ajuster l'eclairage des différentes photo pour pouvoir les comparer. On cherche à faire les retouches permettant de se retrouver dans les mêmes conditions que celle dans lesquelles on a fait la premiere. Manuellement c'est très faisable le problème est de créer un programme pour tout automatiser. Peut être est-ce plus clair maintenant.
Utilisateur anonyme
4 juin 2009 à 20:23
4 juin 2009 à 20:23
Manuellement c'est très faisable .. humm ..
Je comprends alors peut-être mal le but.
Dans une fabrique de chocolat, les photos prises en labo peuvent permettre d'aider à analyser la qualité du chocolat. Mais si on retouche pour obtenir une couleur identique partout, et donc supprimer une dominante existante et réelle. je ne vois plus l'intérêt.. à moins que ce ne soit pour des plaquettes de pub..
Exemple auquel je pense, mais comme dit, j'ai peut être mal compris le but... :
Lorsque le chocolat passe la phase de tempérage, et qu'ensuite son refroidissement se déroule mal, il peut se produire ce que l'on appelle "des fonds gris" . Cela se produit parfois aussi lors d'un vieillissement dans de mauvaises conditions. Ce genre de défaut ne doit pas être "camouflé" par un traitement automatique.
Je vois mal une automatisation de retouches qui permette d'obtenir un résultat satifaisant, vu que les retouches seront obligatoirement fonction de la photo..
Photoshop , comme d'autres logiciels permettent des traitements par lot, mais je ne pense pas que c'est à cela que vous pensez, car je ne vois pas comment ça pourrait être satisfaisant.
A mon humble avis, c'est avant tout la prise de vue qui doit être "normalisée" ..
Ça me donne faim tout ça :-)
PS: si ce n'est déjà fait, il faudrait déjà au moins calibrer les couleurs des moniteurs , imprimantes etc..
https://spyderx.datacolor.com/
Une vidéo intéressante
https://www.datacolor.com/photography-design/
ou ici
https://www.datacolor.com/photography-design/
Je comprends alors peut-être mal le but.
Dans une fabrique de chocolat, les photos prises en labo peuvent permettre d'aider à analyser la qualité du chocolat. Mais si on retouche pour obtenir une couleur identique partout, et donc supprimer une dominante existante et réelle. je ne vois plus l'intérêt.. à moins que ce ne soit pour des plaquettes de pub..
Exemple auquel je pense, mais comme dit, j'ai peut être mal compris le but... :
Lorsque le chocolat passe la phase de tempérage, et qu'ensuite son refroidissement se déroule mal, il peut se produire ce que l'on appelle "des fonds gris" . Cela se produit parfois aussi lors d'un vieillissement dans de mauvaises conditions. Ce genre de défaut ne doit pas être "camouflé" par un traitement automatique.
Je vois mal une automatisation de retouches qui permette d'obtenir un résultat satifaisant, vu que les retouches seront obligatoirement fonction de la photo..
Photoshop , comme d'autres logiciels permettent des traitements par lot, mais je ne pense pas que c'est à cela que vous pensez, car je ne vois pas comment ça pourrait être satisfaisant.
A mon humble avis, c'est avant tout la prise de vue qui doit être "normalisée" ..
Ça me donne faim tout ça :-)
PS: si ce n'est déjà fait, il faudrait déjà au moins calibrer les couleurs des moniteurs , imprimantes etc..
https://spyderx.datacolor.com/
Une vidéo intéressante
https://www.datacolor.com/photography-design/
ou ici
https://www.datacolor.com/photography-design/
En effet on veut evaluer le blanchiement du chocolat mais le but est de rendre la comparaison entre les photos faisable dans le très long terme. Dans 20 ans il sera sans doute difficile d'utiliser exactement le même appareil photo, de reproduire exactement les conditions d'expérience. Il n'est pas posible de standardiser les conditions d'experience par ordinateur? On veut pouvoir faire des comparaison, pas vraiment comme je l'ai dit avant avoir une couleur "vrai" (je sais que je suis pas très claire).
Si on prend en exterieur une photo d'un colorchecker (palette de couleur dont Lab sont defini) et qu'on la retouche jusqu'à obtenir les mêmes couleurs qu'une photo du même colorchecker prise en interieur puis qu'on applique ces mêmes retouches à une photo de chocolat prise dans les même conditions en exterieures, on se retrouve avec des conditions comparable une photo de chocolat prise en intérieur?
La est le vrai probleme!
Si on prend en exterieur une photo d'un colorchecker (palette de couleur dont Lab sont defini) et qu'on la retouche jusqu'à obtenir les mêmes couleurs qu'une photo du même colorchecker prise en interieur puis qu'on applique ces mêmes retouches à une photo de chocolat prise dans les même conditions en exterieures, on se retrouve avec des conditions comparable une photo de chocolat prise en intérieur?
La est le vrai probleme!
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Utilisateur anonyme
4 juin 2009 à 21:08
4 juin 2009 à 21:08
Donc, comme je le disais, il faut prendre les photos en mode raw, et ensuite travailler sur le calibrage de la couleur, (balance des blancs), pour rendre la photo neutre par rapport à la température de la couleur, en faisant une correction sur la balance des blancs. Ça sera déjà un point de fait. Ça ne réglera pas les différences en terme de luminosité et des hautes et basses lumières, mais au moins la couleur sera correcte. Ça, c'est déjà un bon point. Faire ça en manuel, je vois très bien, mais en automatique .. ?
Il faut visionner la vidéo que j'ai indiqué, je crois que l'essentiel y est dit.
On voit bien qu'avec ce fameux cube, qui est en fait une charte normalisée placée dans la photo, (notamment une charte de gris 18% normalisée), le processus est relativement aisé, pour obtenir des photos valides pour la comparaison.
Mais on se rend compte également que le traitement automatique ne semble pas possible.. à moins que je ne sois pas suffisamment au fait des dernières techniques...
Vous imaginez bien que sur chaque photo, le fait de prélever le gris moyen sur une charte incluse, par exemple, va corriger la balance des blancs, mais ensuite la valeur relevée ne pourra pas s'appliquer à toutes les photos, puisque par définition cette charte de gris sera différente sur chaque photo.. c'est là où je vois mal une automatisation, même sans parler de la luminosité et des hautes et basses lumières, qui sont des critères bien moins importants , certes.
Regardez la vidéo, ça vous inspirera certainement ..
Vous parlez d'examiner ces photos ou d'en faire dans 20 ans, sans aller jusque là, il faut savoir que votre chaîne de travail, écrans et imprimantes principalement, devraient être calibrées régulièrement avec un outil tel que Spyder. Un écran, ça vieilli et ça se dérègle ..
Il faut visionner la vidéo que j'ai indiqué, je crois que l'essentiel y est dit.
On voit bien qu'avec ce fameux cube, qui est en fait une charte normalisée placée dans la photo, (notamment une charte de gris 18% normalisée), le processus est relativement aisé, pour obtenir des photos valides pour la comparaison.
Mais on se rend compte également que le traitement automatique ne semble pas possible.. à moins que je ne sois pas suffisamment au fait des dernières techniques...
Vous imaginez bien que sur chaque photo, le fait de prélever le gris moyen sur une charte incluse, par exemple, va corriger la balance des blancs, mais ensuite la valeur relevée ne pourra pas s'appliquer à toutes les photos, puisque par définition cette charte de gris sera différente sur chaque photo.. c'est là où je vois mal une automatisation, même sans parler de la luminosité et des hautes et basses lumières, qui sont des critères bien moins importants , certes.
Regardez la vidéo, ça vous inspirera certainement ..
Vous parlez d'examiner ces photos ou d'en faire dans 20 ans, sans aller jusque là, il faut savoir que votre chaîne de travail, écrans et imprimantes principalement, devraient être calibrées régulièrement avec un outil tel que Spyder. Un écran, ça vieilli et ça se dérègle ..
Merci, ca ne donne pas de solutions a mon pb lol mais j'espère finir par trouver sans passer par un traitement mathématique sur matlab.
Utilisateur anonyme
4 juin 2009 à 21:34
4 juin 2009 à 21:34
Je vais avancer sur la pointe des pieds... mais
J'imagine , mais que n'imagine-t-on pas ? , que si un programme Matlab peut résoudre ce problème, le logiciel tout fait doit déjà exister, et même probablement se retrouver dans bon nombre de labos ou photographes ± scientifiques.. donc il n'y aurait plus qu'à chercher ...
Très cordialement.
PS : Si par contre , vous créez un tel programme, (et qu'il n'existe pas encore), surtout faites le breveter... votre avenir sera assuré.. :-))
J'imagine , mais que n'imagine-t-on pas ? , que si un programme Matlab peut résoudre ce problème, le logiciel tout fait doit déjà exister, et même probablement se retrouver dans bon nombre de labos ou photographes ± scientifiques.. donc il n'y aurait plus qu'à chercher ...
Très cordialement.
PS : Si par contre , vous créez un tel programme, (et qu'il n'existe pas encore), surtout faites le breveter... votre avenir sera assuré.. :-))
C'est bien parce que je pense que ca existe que je ne veux pas essayer de creer le programme (d'autant plus qu'il y a tres peu de chance que j'arrive a l'écrire correctement).
Dans l'idée il faudrai calculer la (les) fonction pemettant d'ajuster les couleurs d'un colorchecker sur une photo prise en condition B à celles de ce même colorchecker pris en photo dans des conditions A (reconnu comme étant des conditions "standard"). Il faut ensuite appliquer cette fonction à une photo de chocolat prise en condition B afin de se retrouver dans les conditions A. Les photos pouvant ensuite être toutes comparées.
Voila la facon dont mon esprit plus que novice en la matière voit les choses (à la base je suis dans l'ingienerie agroalimentaire pas du tout dans l'informatique ni le traitement d'image).
Vous êtes bien plus calé dans le domaine que moi donc tous vos conseils sont bons à prendre.
Dans l'idée il faudrai calculer la (les) fonction pemettant d'ajuster les couleurs d'un colorchecker sur une photo prise en condition B à celles de ce même colorchecker pris en photo dans des conditions A (reconnu comme étant des conditions "standard"). Il faut ensuite appliquer cette fonction à une photo de chocolat prise en condition B afin de se retrouver dans les conditions A. Les photos pouvant ensuite être toutes comparées.
Voila la facon dont mon esprit plus que novice en la matière voit les choses (à la base je suis dans l'ingienerie agroalimentaire pas du tout dans l'informatique ni le traitement d'image).
Vous êtes bien plus calé dans le domaine que moi donc tous vos conseils sont bons à prendre.
Utilisateur anonyme
4 juin 2009 à 21:56
4 juin 2009 à 21:56
Perso, j'aime le chocolat quand il n'a pas de fonds gris , quand la cristallisation a été bien faite, que le tempérage a été au top, que le beurre de cacao est bien dosé, pas de matières grasses végétales , un chocolat bien noir, entre 75 et 95 % de cacao ..
Des fèves de bonnes qualité ... etc..
Eh oui, c'est à cause ce clients exigeants comme moi, que vous vous embêtez dans votre labo :-))
Bonne continuation dans le chocolat .. et faites passer le message à vos dirigeants : pas de matières grasses végétales , (encore moins animales bien entendu..)... :-) Sinon, ce n'est pas du chocolat .. qu'on se le dise !
Bien cordialement
Des fèves de bonnes qualité ... etc..
Eh oui, c'est à cause ce clients exigeants comme moi, que vous vous embêtez dans votre labo :-))
Bonne continuation dans le chocolat .. et faites passer le message à vos dirigeants : pas de matières grasses végétales , (encore moins animales bien entendu..)... :-) Sinon, ce n'est pas du chocolat .. qu'on se le dise !
Bien cordialement
Utilisateur anonyme
4 juin 2009 à 22:34
4 juin 2009 à 22:34
Une idée quand même,
Achetez ce Cube de Spyder, établissez une "norme" de prise du vue , réglages diaphragme, focale, éclairage .. etc.. mais surtout, dans cette prise de vue, le cube devra être placée strictement au même endroit dans la photo. Et de taille quasi identique. D'ou l'importance de la focale et de la distance de prise de vue. Bref, une prise de vue normalisée, surtout dans le but de trouver le cube toujours au même endroit et de taille correcte. Photo toujours au format raw.
Pour la position du Cube dans la photo, quand je dis strictement, ça veut dire .. strictement.
Ensuite, vous navez pas besoin de connaître Photoshop vous mêmes, contactez une personne dans la boîte qui manipule bien Photoshop.. (service Packaging ou autres designers), et dans Camera Raw sous Photoshop, créez un processus d'automatisation, ou le fait de prélever le point gris, pour la balance des blancs, (donc correction des niveaux de couleurs), sera toujours fait au même endroit de la photo.
Puis un réglages dans " tons moyens - tons foncés " sera défini à une valeur donnée.
Ce processus enregistré, vous pourrez ensuite traiter toutes les photos de la même manière. La luminosité sera prise en compte par la fonction "tons foncé - tons clairs" , même si ce n'est pas le top, mais surtout la balance des blancs (donc l'équilibre chromatique), sera corrigé par le point gris pris sur le Cube. C'est le plus important.
Voyez directement avec une la personne de la boîte qui connaît le mieux Photoshop, pour affiner la norme de la prise de vue. Ça doit pouvoir se faire , de cette façon.
Cordialement
Achetez ce Cube de Spyder, établissez une "norme" de prise du vue , réglages diaphragme, focale, éclairage .. etc.. mais surtout, dans cette prise de vue, le cube devra être placée strictement au même endroit dans la photo. Et de taille quasi identique. D'ou l'importance de la focale et de la distance de prise de vue. Bref, une prise de vue normalisée, surtout dans le but de trouver le cube toujours au même endroit et de taille correcte. Photo toujours au format raw.
Pour la position du Cube dans la photo, quand je dis strictement, ça veut dire .. strictement.
Ensuite, vous navez pas besoin de connaître Photoshop vous mêmes, contactez une personne dans la boîte qui manipule bien Photoshop.. (service Packaging ou autres designers), et dans Camera Raw sous Photoshop, créez un processus d'automatisation, ou le fait de prélever le point gris, pour la balance des blancs, (donc correction des niveaux de couleurs), sera toujours fait au même endroit de la photo.
Puis un réglages dans " tons moyens - tons foncés " sera défini à une valeur donnée.
Ce processus enregistré, vous pourrez ensuite traiter toutes les photos de la même manière. La luminosité sera prise en compte par la fonction "tons foncé - tons clairs" , même si ce n'est pas le top, mais surtout la balance des blancs (donc l'équilibre chromatique), sera corrigé par le point gris pris sur le Cube. C'est le plus important.
Voyez directement avec une la personne de la boîte qui connaît le mieux Photoshop, pour affiner la norme de la prise de vue. Ça doit pouvoir se faire , de cette façon.
Cordialement
emaurice
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7 juil. 2010 à 13:06
7 juil. 2010 à 13:06
Bonjour,
Vous dites être "en stage dans un labo de recherche"..."MathLab". Je suppose que vous êtes élève ingénieur en stage conventionnel de 3 ou 6 mois. Et bien qu'il y ait déjà 1 mois d'écoulé, il vous reste du temps, n'est-ce pas ?
Je vous inviterai bien à utiliser différentes méthodes d'approches, que vous avez peut-être déjà utilisée, parmi les outils d'analyse de la qualité. Définir les objectifs, les causalités, les différents facteurs. Il devrait apparaître des possibilités d'interventions à différentes étapes, à faire apparaître dans un algorithme (avec Microsoft Visio). Et autre atout pour votre maîtrise de stage, gérer le projet (avec Microsoft Project), des livres d'apprentissage existe, mieux, des cours aussi, apprendre la gestion de projet, le diagramme de Gantt, le réseau PERT.
+ Je pense notamment lors de la prise de vue. Méthode ancienne en chromatique, une boîte de lumière (blanche étalonnée). Un luxmètre, un colorimètre. Ce matériel était systématiquement utiliser dans des laboratoires d'entreprises (en 1995). Cela répond à cet impératif `supprimer les effets de l'environnement sur les couleurs d'une photo (influence de la luminosité par exemple)'.
- Vous dites `achat d'un Color Checker pour avoir une carte de couleurs qui vont être nos standards'. Je trouve la définition, `a Pattern, a Color Chart, a Color Checker' c'est à dire une charte de couleur, et donc par exemple, une planche de 24 carrés de couleur, telle que The Macbeth ColorChecker == X-Rite Color Checker Exposure Aid, 8-1/2" x 11". Problème GRAVE ! C'est déjà très difficile d'obtenir une bonne répétabilité des résultats avec une boîte à lumière, et d'accorder différents fournisseurs ainsi équipés ! Ce sera presque impossible d'exploiter une Charte de Couleur ! Trop aléatoire ! A proscrire ! Vérifiez si vous le pouvez avec des Services (Développement, industrialisation, Qualité) ayant cette expérience de la couleur ! J'ai eu cette confrontation sur le terrain ! Je vous déconseille d'expérimenter l'emploi du Color Checker ! Faites le vous confirmer !
- Sanspseudo invite à l'emploi du Cube de Spider (oui, effet bénéfique, mieux ou tout comme une planche grise Kodak à 18% ?), votre Charte de couleur serait-elle bcp plus performante et complète ? Sans doute pas, ce sont deux actions nécessaires et complémentaires. J'ai un tutorial sur l'emploi du gris (cube ou autre), qui est éloquent !
+ Je pense aussi lors des échanges d'images photo. Choisir le support. Le RAW conservera les supports distincts par couleur, et permettra l'exploitation, par exemple en HDR. Chose que supprime le JPEG.
+ Je suis comme vous, encore néophyte dans le domaine de l'étalonnage de la couleur, (terme impropre : la calibration couleur, provenant d'une mauvaise traduction du terme anglais `calibration' signifiant justement étalonnage).
+ Je viens de consommer énormément de temps à compulser différents sites, dont des `tutoriaux'. Je découvre ce que j'avais déjà lu par le passé sans comprendre : l'impérieuse nécessité de transmettre entre utilisateurs le couple (image + profil ICC)... Et la nécessité de savoir maîtriser le profil ICC et la `calibration couleur'.
+ Les clients de votre prestation sont des scientifiques dites vous. J'en conclu qu'il devrait être possible de leur imposer de la rigueur et cette nécessité d'utiliser et de transmettre le profil ICC.
+ Pour bien résumer et comprendre d'un seul coup la transmission du couple (image + profil ICC), rien de mieux que de lire deux documents :
-
-
Les logiciels de traitement d'image à partir de profil ICC = les logiciels de calibration de la couleur. Le traitement est de type `vectoriel' sans intervention subjective. Cela devrait répondre à votre impératif `un logiciel ... supprimer les effets de l'environnement sur les couleurs d'une photo (influence du support matériel)' + `réussir à automatiser les corrections', sous-entendu sans subjectivité. Parce qu'il faudra tout de même que les utilisateurs finaux apprennent à utiliser les profils ICC !
+ Présenter le projet rapidement. La mise en oeuvre, aller pourquoi pas dans une médiathèque, trouver un livre `parler en public'. Organiser dans l'entreprise une réunion (invitation avec ordre du jour). Une astuce pour éviter de trop parler et faire obstacle au dialogue, et bien imposer sa méthode : exposer sa méthode via une projection d'un diaporama (powerpoint par ex). Poser qq questions pour réveiller l'auditoire et le rendre actif.
- Là où j'ai quelques difficultés d'interprétations, les mêmes interrogations que `Sanspseudo', je le cite `Je comprends alors peut-être mal le but ... Mais si on retouche pour obtenir une couleur identique partout, et donc supprimer une dominante existante et réelle. je ne vois plus l'intérêt' ! Heureusement, vous démentez uniformiser, puisque vous reprenez et répondez : `évaluer le blanchiment du chocolat'
- Vous interrogez `un logiciel de retouche' ?
+ Il faut donc corriger et s'orienter vers un logiciel de calibration des couleurs' qui effectuera un transfert (vectoriel, matriciel ou que sais-je) à partir du profil ICC.
- Le souhait de l'entreprise `tout automatiser, aucune retouche ne doit être manuelle'.
+ Bien leur expliquer `D'accord, aucune retouche ne sera manuelle', néanmoins il faudra impérativement appliquer les transferts de couple (image, profil ICC).
+ Votre inquiétude `Dans 20 ans il sera sans doute difficile d'utiliser exactement le même appareil photo, de reproduire exactement les conditions d'expérience.' Une réponse :
Je lisais récemment, (savoir faire, culture d'entreprise), l'impérieuse nécessité de conserver les moyens 5M obsolètes en doublons lors de l'instauration d'un nouveau moyen. Ceci afin d'observer la transition. Je reconnais ma faute dans le passé (1987), lors de mon apprentissage justement en laboratoire, avec la tâche des étalonnages. Il se produit des transitions brusques préjudiciables au suivi. Et visiblement toutes les Ets sont affectées par cette erreur : négliger les moyens obsolètes ! Il faut apprendre à composer ! Vous concernant, le matériel en cause : [ APN, l'écran ], (pire encore, les imprimantes, c'est bcp trop difficile, ne pas compter sur de la doc papier). Il existe des écrans (de PAO) facilitant l'étalonnage couleur ; exemple, (ex: iiyama). La boîte de lumière elle ne se dégrade pas. Il faut juste étalonner le colorimètre et le luxmètre (LCIE probablement, autre société MESLUM ; alternatives ? se renseigner auprès des fabricants, ou pour vous auprès du LABRI : Laboratoire Bordelais de Recherche en Informatique, Synthèse d'images, Master 2).
+ Vous mentionnez `Le MatLab'
+ Suggestion : inscription pour le séminaire MatLab gratuit,
il y en avait un hier le 6 juillet (désolé, j'arrive trop tard), le prochain aura lieu le 23 septembre.
www.mathworks.fr/company/events/seminars
+ autre suggestion, suivre aussi ceux de National Instruments, Formations LabVIEW gratuites pour ingénieurs (sans emploi = aussi étudiants et stagiaires ?)
www.ni.com/training/f/
http://digital.ni.com/worldwide/france.nsf/sb/Customer+Education?OpenDocument&Start=1&Count=500&expandview
Une bonne nouvelle : demandez donc une autorisation de sortie, ou mieux un ordre de mission par l'Ets + visé par votre responsable de stage de votre école.
J'ai beaucoup lu hier et aujourd'hui au sujet de l'étalonnage couleur. J'ai compulsé mes notes. Elles sont truffées de marques. C'est contraire à la déontologie des forums, je m'excuse pour vous avoir invité à l'emploi de Microsoft (Visio, Project, trouver des alternatives ? Powerpoint, ce serait facile chez Adobe, le problème ce sont les investissements des Ets, les outils disponibles).
Pour en revenir à mes notes, je préfère vous les communiquer sur votre hotmail. Transmettre la demande via www.commentcamarche.net/contact/ ?
Dans mes notes, j'aborde exclusivement le domaine de l'étalonnage colorimétrique. C'est comme cela que j'ai découvert votre sujet, sur ce forum.
L'essentiel pour convaincre d'employer les profils de couleurs, et pour comprendre qu'il faut transférer le couple (image RAW de préférence, profil ICC), lire cette page
www.profil-couleur.com/tp/203-avec-gestion-couleur.php
Mais je vous assure que lire tout le site de ce professionnel m'a beaucoup intéressé.
Reprenez donc au début, www.profil-couleur.com/
L'auteur : Daniel Metz, ancien professionnel de la photogravure numérique a été un pionnier dans l'utilisation des profils ICC dès 1998. Je le remercie pour son site agréable à lire et convainquant.
Et à vous bonne chance et bonne continuation.
Vous dites être "en stage dans un labo de recherche"..."MathLab". Je suppose que vous êtes élève ingénieur en stage conventionnel de 3 ou 6 mois. Et bien qu'il y ait déjà 1 mois d'écoulé, il vous reste du temps, n'est-ce pas ?
Je vous inviterai bien à utiliser différentes méthodes d'approches, que vous avez peut-être déjà utilisée, parmi les outils d'analyse de la qualité. Définir les objectifs, les causalités, les différents facteurs. Il devrait apparaître des possibilités d'interventions à différentes étapes, à faire apparaître dans un algorithme (avec Microsoft Visio). Et autre atout pour votre maîtrise de stage, gérer le projet (avec Microsoft Project), des livres d'apprentissage existe, mieux, des cours aussi, apprendre la gestion de projet, le diagramme de Gantt, le réseau PERT.
+ Je pense notamment lors de la prise de vue. Méthode ancienne en chromatique, une boîte de lumière (blanche étalonnée). Un luxmètre, un colorimètre. Ce matériel était systématiquement utiliser dans des laboratoires d'entreprises (en 1995). Cela répond à cet impératif `supprimer les effets de l'environnement sur les couleurs d'une photo (influence de la luminosité par exemple)'.
- Vous dites `achat d'un Color Checker pour avoir une carte de couleurs qui vont être nos standards'. Je trouve la définition, `a Pattern, a Color Chart, a Color Checker' c'est à dire une charte de couleur, et donc par exemple, une planche de 24 carrés de couleur, telle que The Macbeth ColorChecker == X-Rite Color Checker Exposure Aid, 8-1/2" x 11". Problème GRAVE ! C'est déjà très difficile d'obtenir une bonne répétabilité des résultats avec une boîte à lumière, et d'accorder différents fournisseurs ainsi équipés ! Ce sera presque impossible d'exploiter une Charte de Couleur ! Trop aléatoire ! A proscrire ! Vérifiez si vous le pouvez avec des Services (Développement, industrialisation, Qualité) ayant cette expérience de la couleur ! J'ai eu cette confrontation sur le terrain ! Je vous déconseille d'expérimenter l'emploi du Color Checker ! Faites le vous confirmer !
- Sanspseudo invite à l'emploi du Cube de Spider (oui, effet bénéfique, mieux ou tout comme une planche grise Kodak à 18% ?), votre Charte de couleur serait-elle bcp plus performante et complète ? Sans doute pas, ce sont deux actions nécessaires et complémentaires. J'ai un tutorial sur l'emploi du gris (cube ou autre), qui est éloquent !
+ Je pense aussi lors des échanges d'images photo. Choisir le support. Le RAW conservera les supports distincts par couleur, et permettra l'exploitation, par exemple en HDR. Chose que supprime le JPEG.
+ Je suis comme vous, encore néophyte dans le domaine de l'étalonnage de la couleur, (terme impropre : la calibration couleur, provenant d'une mauvaise traduction du terme anglais `calibration' signifiant justement étalonnage).
+ Je viens de consommer énormément de temps à compulser différents sites, dont des `tutoriaux'. Je découvre ce que j'avais déjà lu par le passé sans comprendre : l'impérieuse nécessité de transmettre entre utilisateurs le couple (image + profil ICC)... Et la nécessité de savoir maîtriser le profil ICC et la `calibration couleur'.
+ Les clients de votre prestation sont des scientifiques dites vous. J'en conclu qu'il devrait être possible de leur imposer de la rigueur et cette nécessité d'utiliser et de transmettre le profil ICC.
+ Pour bien résumer et comprendre d'un seul coup la transmission du couple (image + profil ICC), rien de mieux que de lire deux documents :
-
-
Les logiciels de traitement d'image à partir de profil ICC = les logiciels de calibration de la couleur. Le traitement est de type `vectoriel' sans intervention subjective. Cela devrait répondre à votre impératif `un logiciel ... supprimer les effets de l'environnement sur les couleurs d'une photo (influence du support matériel)' + `réussir à automatiser les corrections', sous-entendu sans subjectivité. Parce qu'il faudra tout de même que les utilisateurs finaux apprennent à utiliser les profils ICC !
+ Présenter le projet rapidement. La mise en oeuvre, aller pourquoi pas dans une médiathèque, trouver un livre `parler en public'. Organiser dans l'entreprise une réunion (invitation avec ordre du jour). Une astuce pour éviter de trop parler et faire obstacle au dialogue, et bien imposer sa méthode : exposer sa méthode via une projection d'un diaporama (powerpoint par ex). Poser qq questions pour réveiller l'auditoire et le rendre actif.
- Là où j'ai quelques difficultés d'interprétations, les mêmes interrogations que `Sanspseudo', je le cite `Je comprends alors peut-être mal le but ... Mais si on retouche pour obtenir une couleur identique partout, et donc supprimer une dominante existante et réelle. je ne vois plus l'intérêt' ! Heureusement, vous démentez uniformiser, puisque vous reprenez et répondez : `évaluer le blanchiment du chocolat'
- Vous interrogez `un logiciel de retouche' ?
+ Il faut donc corriger et s'orienter vers un logiciel de calibration des couleurs' qui effectuera un transfert (vectoriel, matriciel ou que sais-je) à partir du profil ICC.
- Le souhait de l'entreprise `tout automatiser, aucune retouche ne doit être manuelle'.
+ Bien leur expliquer `D'accord, aucune retouche ne sera manuelle', néanmoins il faudra impérativement appliquer les transferts de couple (image, profil ICC).
+ Votre inquiétude `Dans 20 ans il sera sans doute difficile d'utiliser exactement le même appareil photo, de reproduire exactement les conditions d'expérience.' Une réponse :
Je lisais récemment, (savoir faire, culture d'entreprise), l'impérieuse nécessité de conserver les moyens 5M obsolètes en doublons lors de l'instauration d'un nouveau moyen. Ceci afin d'observer la transition. Je reconnais ma faute dans le passé (1987), lors de mon apprentissage justement en laboratoire, avec la tâche des étalonnages. Il se produit des transitions brusques préjudiciables au suivi. Et visiblement toutes les Ets sont affectées par cette erreur : négliger les moyens obsolètes ! Il faut apprendre à composer ! Vous concernant, le matériel en cause : [ APN, l'écran ], (pire encore, les imprimantes, c'est bcp trop difficile, ne pas compter sur de la doc papier). Il existe des écrans (de PAO) facilitant l'étalonnage couleur ; exemple, (ex: iiyama). La boîte de lumière elle ne se dégrade pas. Il faut juste étalonner le colorimètre et le luxmètre (LCIE probablement, autre société MESLUM ; alternatives ? se renseigner auprès des fabricants, ou pour vous auprès du LABRI : Laboratoire Bordelais de Recherche en Informatique, Synthèse d'images, Master 2).
+ Vous mentionnez `Le MatLab'
+ Suggestion : inscription pour le séminaire MatLab gratuit,
il y en avait un hier le 6 juillet (désolé, j'arrive trop tard), le prochain aura lieu le 23 septembre.
www.mathworks.fr/company/events/seminars
+ autre suggestion, suivre aussi ceux de National Instruments, Formations LabVIEW gratuites pour ingénieurs (sans emploi = aussi étudiants et stagiaires ?)
www.ni.com/training/f/
http://digital.ni.com/worldwide/france.nsf/sb/Customer+Education?OpenDocument&Start=1&Count=500&expandview
Une bonne nouvelle : demandez donc une autorisation de sortie, ou mieux un ordre de mission par l'Ets + visé par votre responsable de stage de votre école.
J'ai beaucoup lu hier et aujourd'hui au sujet de l'étalonnage couleur. J'ai compulsé mes notes. Elles sont truffées de marques. C'est contraire à la déontologie des forums, je m'excuse pour vous avoir invité à l'emploi de Microsoft (Visio, Project, trouver des alternatives ? Powerpoint, ce serait facile chez Adobe, le problème ce sont les investissements des Ets, les outils disponibles).
Pour en revenir à mes notes, je préfère vous les communiquer sur votre hotmail. Transmettre la demande via www.commentcamarche.net/contact/ ?
Dans mes notes, j'aborde exclusivement le domaine de l'étalonnage colorimétrique. C'est comme cela que j'ai découvert votre sujet, sur ce forum.
L'essentiel pour convaincre d'employer les profils de couleurs, et pour comprendre qu'il faut transférer le couple (image RAW de préférence, profil ICC), lire cette page
www.profil-couleur.com/tp/203-avec-gestion-couleur.php
Mais je vous assure que lire tout le site de ce professionnel m'a beaucoup intéressé.
Reprenez donc au début, www.profil-couleur.com/
L'auteur : Daniel Metz, ancien professionnel de la photogravure numérique a été un pionnier dans l'utilisation des profils ICC dès 1998. Je le remercie pour son site agréable à lire et convainquant.
Et à vous bonne chance et bonne continuation.
emaurice
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7 juil. 2010 à 18:36
7 juil. 2010 à 18:36
Bonjour !
Oups ! J'ai effectivement raté ce détail élémentaire, 2009 ! Désolé. Je participe très rarement aux forums. En revanche, je les lis très souvent, lors de mes recherches. Et lorsque je les ouvre, c'est en effet toujours pour lire et apprendre auprès d'intervenants sur d'anciennes discussions.
__§§__
Tout au moins, même si mon approche est presque hors sujet, vous pouvez l'évaluer, me dire si elle aurait pu vous servir de trame. Et me dire ce qui ne vous plaît pas. J'insiste sur le fait, que j'essayais surtout de vous permettre si ce n'était déjà en cours en juillet 2009, de remettre votre travail sur le droit chemin (sujet de stage, et son approche) et vers l'aboutissement.
Quant à la colorimétrie proprement dite, peut-être voulez-vous soit en conserver secrète les brevets, soit nous faire partager les grandes lignes ? Et me démentir mon interprétation, ou bien m'expliquer si cela était envisageable ? Je n'ai pas encore d'expérience personnelle avec les outils colorimétriques, hormis avoir vu des collègues et des fournisseurs opérer. Existe-t-il plusieurs solutions ?
Pour ma synthèse, je préconisais au final (boîte blanche à lumière + luxmètre + posemètre dont je n'ai pas parlé, + colorimètre + une charte de gris 18% avec le posemètre (planche ou Cube) + charte de couleur que vous aviez déjà (je ne l'aurai pas proposée, mais c'est mieux) + méthode, au moins 3 prises de vue en RAW (charte de gris, charte de couleur, chocolat à analyser) + voir ce qu'exige le profil ICC, un logiciel, j'ai lu un tableau comparatif, je ne cite pas de marque ici (le faudrait-il ? / Charte de forum !) + des écrans d'ordinateur permettant aisément l'étalonnage, (qualité PAO) + la formation des `clients internes de la prestation', les collègues scientifiques de l'Ets + la méthodologie de transfert, le couple (image + profil ICC), connue et pratiquée, par exemple auprès des imprimeries.
En aparté, si je reviens à mon expérience sur le terrain en 1995, la photo numérique n'existait pas. La prise de vue argentique nécessitait uniquement (boîte blanche à lumière + luxmètre + nuancier + colorimètre). Il manquait entre leurs mains (une charte de gris 18% + posemètre). Les résultats reposaient à l'époque sur les mesures immédiates avec le colorimètre sous la boîte à lumière blanche. La garantie argentique aurait pu être assurée par le savoir-faire des laboratoires de développement et de tirage. Mais il existait une faille ! De mémoire, les collègues et fournisseurs n'étaient pas formés en ce qui concerne la prise de vue, et n'utilisaient ni charte de gris 18% ni posemètre. Un photographe professionnel l'aurait fait spontanément comme pour toute prise de vue en studio. Donc faute à l'époque, pouvant conduite aux échecs de comparaison des tirages papier. Ce qui fonctionnait tant bien que mal, c'était la mesure colorimétrique, une répétitivité correcte (mêmes moyens), mais avec un défaut récurrent pour les comparaisons entre sociétés équipées (moyens non étalonnés).
Je reprends donc l'approche initiale complétée par ce qu'il faut mettre en oeuvre pour le numérique jusqu'à l'écran d'ordinateur. Je déconseille vivement d'aborder l'épreuve supplémentaire d'imprimer soi-même sur papier (l'étalonnage colorimétrique est presque vain). Pour du support papier, il faut revenir à l'argentique, ou bien confier les travaux à une imprimerie, surtout pas une borne photo en présentant sa clef usb ou ses cartes mémoires (ni même un magasin photo, en ce qui concerne le numérique).
Pour revenir au sujet (charte de gris + posemètre) : j'ai observé lors de séances pratiques dans l'association club de photo (77ASA), que certains APN [A] n'en avaient pas besoin, d'autres au contraire, impérieuse nécessité [B] ; je ne peux pas citer les marques et les modèles, je n'ai de toute façon rien noté, lors de l'expérience. Le test est simple, en condition studio sombre, éclairage par source lumineuse stable (pas un flash), une immense feuille noire à photographier, une immense feuille blanche à photographier. Dans les deux cas soit deux images, une noire et une blanche =[A], soit deux grises =[B]. Pour éviter l'échec [B] que du gris, nécessité de procéder comme les professionnels en studio (charte de gris + posemètre). Bon, je ne m'étends pas sur les conditions de prises de vues, l'autofocus ne fonctionnera pas, il faut régler la focale manuellement. Conclusion, (la charte de gris + posemètre) n'est pas une épreuve nécessaire pour la catégorie [A].
Voilà pour ce forum, en discussion : Infographie/Photo > Calibrage des couleurs.
__§§__
Et vous ? Votre stage ? Comme vous souligniez en 2009, que ce n'était pas du tout de votre domaine ! Une satisfaction finale, ou une franche inadéquation entre le sujet de stage et vos compétences de l'époque ? Pour l'heure, vous poursuivez vos études, Nième année ? Si oui, parmi ce que je préconisais comme supports de communication, (Ms Project :(Gantt, PERT), Visio,...) Est-ce que certaines écoles permettent l'apprentissage de la gestion des projets et le savoir faire pour communiquer ? A mon ancienne époque, nous avions au mieux 2 heures pour entendre des généralités sur la communication et la culture d'entreprise ! Si les écoles non pas encore franchie ce pas, faut-il l'éviter ? Peut-être ! Les écoles (universités y compris), se disperseraient trop en dispensant des savoirs trop liés à l'apprentissage en Ets. Se cantonner et revenir aux fondamentaux ne ferait pas de mal !
Très étonné d'avoir eu de vos nouvelles alors qu'il s'agissait d'une discussion de l'année dernière ! (erreur de ma part d'avoir contribué en retard ?).
Bien cordialement !
Oups ! J'ai effectivement raté ce détail élémentaire, 2009 ! Désolé. Je participe très rarement aux forums. En revanche, je les lis très souvent, lors de mes recherches. Et lorsque je les ouvre, c'est en effet toujours pour lire et apprendre auprès d'intervenants sur d'anciennes discussions.
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Tout au moins, même si mon approche est presque hors sujet, vous pouvez l'évaluer, me dire si elle aurait pu vous servir de trame. Et me dire ce qui ne vous plaît pas. J'insiste sur le fait, que j'essayais surtout de vous permettre si ce n'était déjà en cours en juillet 2009, de remettre votre travail sur le droit chemin (sujet de stage, et son approche) et vers l'aboutissement.
Quant à la colorimétrie proprement dite, peut-être voulez-vous soit en conserver secrète les brevets, soit nous faire partager les grandes lignes ? Et me démentir mon interprétation, ou bien m'expliquer si cela était envisageable ? Je n'ai pas encore d'expérience personnelle avec les outils colorimétriques, hormis avoir vu des collègues et des fournisseurs opérer. Existe-t-il plusieurs solutions ?
Pour ma synthèse, je préconisais au final (boîte blanche à lumière + luxmètre + posemètre dont je n'ai pas parlé, + colorimètre + une charte de gris 18% avec le posemètre (planche ou Cube) + charte de couleur que vous aviez déjà (je ne l'aurai pas proposée, mais c'est mieux) + méthode, au moins 3 prises de vue en RAW (charte de gris, charte de couleur, chocolat à analyser) + voir ce qu'exige le profil ICC, un logiciel, j'ai lu un tableau comparatif, je ne cite pas de marque ici (le faudrait-il ? / Charte de forum !) + des écrans d'ordinateur permettant aisément l'étalonnage, (qualité PAO) + la formation des `clients internes de la prestation', les collègues scientifiques de l'Ets + la méthodologie de transfert, le couple (image + profil ICC), connue et pratiquée, par exemple auprès des imprimeries.
En aparté, si je reviens à mon expérience sur le terrain en 1995, la photo numérique n'existait pas. La prise de vue argentique nécessitait uniquement (boîte blanche à lumière + luxmètre + nuancier + colorimètre). Il manquait entre leurs mains (une charte de gris 18% + posemètre). Les résultats reposaient à l'époque sur les mesures immédiates avec le colorimètre sous la boîte à lumière blanche. La garantie argentique aurait pu être assurée par le savoir-faire des laboratoires de développement et de tirage. Mais il existait une faille ! De mémoire, les collègues et fournisseurs n'étaient pas formés en ce qui concerne la prise de vue, et n'utilisaient ni charte de gris 18% ni posemètre. Un photographe professionnel l'aurait fait spontanément comme pour toute prise de vue en studio. Donc faute à l'époque, pouvant conduite aux échecs de comparaison des tirages papier. Ce qui fonctionnait tant bien que mal, c'était la mesure colorimétrique, une répétitivité correcte (mêmes moyens), mais avec un défaut récurrent pour les comparaisons entre sociétés équipées (moyens non étalonnés).
Je reprends donc l'approche initiale complétée par ce qu'il faut mettre en oeuvre pour le numérique jusqu'à l'écran d'ordinateur. Je déconseille vivement d'aborder l'épreuve supplémentaire d'imprimer soi-même sur papier (l'étalonnage colorimétrique est presque vain). Pour du support papier, il faut revenir à l'argentique, ou bien confier les travaux à une imprimerie, surtout pas une borne photo en présentant sa clef usb ou ses cartes mémoires (ni même un magasin photo, en ce qui concerne le numérique).
Pour revenir au sujet (charte de gris + posemètre) : j'ai observé lors de séances pratiques dans l'association club de photo (77ASA), que certains APN [A] n'en avaient pas besoin, d'autres au contraire, impérieuse nécessité [B] ; je ne peux pas citer les marques et les modèles, je n'ai de toute façon rien noté, lors de l'expérience. Le test est simple, en condition studio sombre, éclairage par source lumineuse stable (pas un flash), une immense feuille noire à photographier, une immense feuille blanche à photographier. Dans les deux cas soit deux images, une noire et une blanche =[A], soit deux grises =[B]. Pour éviter l'échec [B] que du gris, nécessité de procéder comme les professionnels en studio (charte de gris + posemètre). Bon, je ne m'étends pas sur les conditions de prises de vues, l'autofocus ne fonctionnera pas, il faut régler la focale manuellement. Conclusion, (la charte de gris + posemètre) n'est pas une épreuve nécessaire pour la catégorie [A].
Voilà pour ce forum, en discussion : Infographie/Photo > Calibrage des couleurs.
__§§__
Et vous ? Votre stage ? Comme vous souligniez en 2009, que ce n'était pas du tout de votre domaine ! Une satisfaction finale, ou une franche inadéquation entre le sujet de stage et vos compétences de l'époque ? Pour l'heure, vous poursuivez vos études, Nième année ? Si oui, parmi ce que je préconisais comme supports de communication, (Ms Project :(Gantt, PERT), Visio,...) Est-ce que certaines écoles permettent l'apprentissage de la gestion des projets et le savoir faire pour communiquer ? A mon ancienne époque, nous avions au mieux 2 heures pour entendre des généralités sur la communication et la culture d'entreprise ! Si les écoles non pas encore franchie ce pas, faut-il l'éviter ? Peut-être ! Les écoles (universités y compris), se disperseraient trop en dispensant des savoirs trop liés à l'apprentissage en Ets. Se cantonner et revenir aux fondamentaux ne ferait pas de mal !
Très étonné d'avoir eu de vos nouvelles alors qu'il s'agissait d'une discussion de l'année dernière ! (erreur de ma part d'avoir contribué en retard ?).
Bien cordialement !