Meta met fin au fact-checking sur Facebook et Instagram, risquant la désinformation

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brucine Messages postés 21683 Date d'inscription   Statut Membre Dernière intervention   -
Meta (anciennement Facebook) a annoncé la suppression de son programme de fact-checking aux États-Unis, causant de l'inquiétude quant à la propagation de la désinformation. Meta affirme que le programme a produit trop d'erreurs, mais beaucoup ne sont pas convaincus par cet argument. En remplacement, l'entreprise envisage de mettre en place un système similaire aux notes de la communauté sur d'autres plateformes, bien que ce système soit controversé. Cette décision, considérée comme politique, vient après une réunion entre Mark Zuckerberg et Donald Trump. Pour l'instant, le fact-checking subsistera en Europe. Que pensez-vous de l'impact de cette décision sur la propagation de l'information ?
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1 réponse

Réponse 1 / 1
BadBunny
 

Rien de bien étonnant venant des Etats-Unis, surtout avec la réélection de Trump et l'entrée de Musk dans son gouvernement. Mais mark Zuckerberg a beau donné toutes les excuses du monde, personne n'est dupe : Trump et Musk lui ont gentiment dit d'arrêter le fast checking et de laisser les gens raconter tout et n'importe quoi. Et il s'est écrasé. 

Un discours bien démago quand on sait que Zuckerberg a interdit l'accès aux réseaux sociaux à ses enfants... Il sait tout le fiel, la désinformation et les dangers qu'ils engendrent.
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brucine Messages postés 21683 Date d'inscription   Statut Membre Dernière intervention   3 426
 

Bonjour,

Marc Zuckerberg n'est pas aussi directement lié à Trump que Elon Musk, mais toute l'administration a en commun la vénération du portefeuille: plus de clics, plus de revenus.

Pourquoi titrer à propos d'ouvrir la porte à la désinformation, n'est-elle pas déjà consubstantielle de tous les réseaux sociaux?

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brucine Messages postés 21683 Date d'inscription   Statut Membre Dernière intervention   3 426 > brucine Messages postés 21683 Date d'inscription   Statut Membre Dernière intervention  
 

C'est aussi en dehors des histoires de gros sous un fonctionnement typiquement américain.

En France la garantie de liberté de la presse n'autorise malgré tout pas à écrire ou dire n'importe quoi.

Aux États-Unis le premier amendement auxquels tous les américains sont attachés si à condition que notamment les propos ne soient pas diffamatoires ni une incitation à l'émeute.

Nous vivons malgré tout des deux côtés de l'atlantique une désinhibition de tous les codes, à commencer puisqu'on en parle par Trump qui est tenu pour avoir provoqué les émeutes du Capitole en janvier 2021 et de notre côté tel parti qui veut abolir le délit d'apologie du terrorisme.

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