Dilemme que dois je faire
RésoluGoobaNinho Messages postés 7 Date d'inscription dimanche 20 août 2023 Statut Membre Dernière intervention 21 août 2023 - 21 août 2023 à 13:29
3 réponses
Modifié le 21 août 2023 à 06:45
Bonjour,
Être client de prostitués est depuis quelques années passible de poursuites, mais, effectivement le simple fait de "leur parler" ne saurait constituer le délit...
Par contre, quand les recherches des services sont plus "dans le détail"... c'est notamment quand il s'agit de prostituées mineures !... (le terme """d'escort""" étant là souvent pour atténuer la notion de traite d'humain...)
20 août 2023 à 21:01
Bjr
Va boire une bonne bière et oublie tout ça, tu ne risque rien.
20 août 2023 à 21:05
Bonjour Flo,
Tu es sur qu’il y’a peu de chance qu’il me retrouve ?
20 août 2023 à 21:10
Ils ont autre chose à faire, crois moi.
20 août 2023 à 21:18
Je veux bien te croire mais le fait que certaine personne ce soit fait remonter plusieurs mois après me terrifie sincèrement
21 août 2023 à 00:07
Ce qui est interdit, je schématise, c'est le recours à la prostitution, son incitation, le fait d'en tirer profit.
La contravention (en première instance) ou le délit (en cas de récidive) n'existe qu'en cas de consommation, pas si on parle à ces charmantes dames, sans quoi d'ailleurs et si tant est qu'on en ait envie on n'aurait plus le droit d'adresser la parole à nombre de personnes dans la rue.
Rien n'exclut une enquête judiciaire qui viserait à démanteler un réseau de proxénétisme (paradoxalement, les prostitué(e)s ne sont pas sanctionnables) mais dans laquelle on serait alors seulement amené à témoigner.
Quand on est étudiant, il y a des filles dans la vraie vie, je sais bien que l'inflation galopante augmente l'investissement en "travaux d'approches", mais on est malvenu de s'inquiéter avec ses faibles moyens d'étudiant d'une amende éventuelle mais pas des honoraires de ces dames.
On peut aussi mettre à profit le temps que l'on a perdu en recherches pour parfaire (ou faire tout court?) ses connaissances de la langue sans lesquelles les études ne vont de toute façon pas aller bien loin, la forme de ce qui nous est présenté est terrifiante pour quelqu'un se disant étudiant.
21 août 2023 à 00:44
Bonsoir monsieur, je vous remercie pour votre message et concernant ce que vous dites un peut plus bas vous avez entièrement raison. Je sais que j’ai fais une erreur, j’ai été stupide je le sais et je le regrette aujourd’hui c’est pourquoi comme je l’ai dis j’hésite à aller me dénoncer moi même. C’est pour cela que je veux avoir votre avis vous me conseillez quoi ?
21 août 2023 à 07:20
Bonjour,
Merci pour votre réponse, elles étaient toutes majeur celle avec qui j’ai échangé par sms. Du coup seulement avec des messages je ne risque rien ou je peux risqué quelque chose.
21 août 2023 à 08:46
Et le Christ tomba pour la troisième fois...
Tout a été dit et redit, non, pourquoi reposer encore et encore la même question malgré les évidences qui t'ont été apportées?
Ce qui n'en est pas une, c'est la majorité supposée de tes "interlocutrices", "elles" te l'ont démontrée?
Je suppose que dans le marché juteux des brouteurs africains comme à un autre égard dans celui des stupéfiants, nombre (et ce sont des "ils") doivent être mineurs.
Dans le deuxième cas, c'est même souvent fait exprès: ils sont moins accessibles à la sanction pénale.
Modifié le 21 août 2023 à 11:45
Bonjour,
Rien ne dit dans le cas présent qu'il s'agisse spécifiquement de contacts avec les brouteurs... (se faisant donc passer pour ces """accortes""" escortes !) ... Il peut s'agir aussi de prostituées "réelles" ici... et au niveau des mineur(e)s c'est un fléau qu'il ne faut pas négliger
https://www.vie-publique.fr/en-bref/280867-prostitution-des-mineurs-en-france-comment-la-combattre
Dans le premier cas, bien entendu le "client" ne risque pas grand chose, voir rien, si ce n'est de se faire (bien nommément...) "couillonner" en envoyant quelques recharges PCS intraçables pour obtenir un RDV bien entendu inexistant... tout étant bidon...
Par contre dans le deuxième cas, les filles sont vraies et sous la coupe de souteneur...
De fait, si l'on veut pousser le raisonnement au maximum (tout en sachant que la réalité judiciaire n'est pas aussi "simple"..) et bien, le "client" à défaut de pouvoir être poursuivi pour la "consommation"... pourrait aussi être inquiété (à-minima entendu) au fait qu'il détient possiblement des éléments pouvant intéresser la justice....
21 août 2023 à 11:55
J'ajoute bien entendu à-propos de "l'aveu de minorité" que dans quasiment aucun cas les filles ne l'admettront... (vu que cela pourrait faire fuir le client qui pourrait-être sous le coup de circonstances aggravantes) sauf, mais là sans doute dans un "cadre plus confidentiel" aux fins de "facturer différemment" la prestation pour une "clientèle" cherchant spécifiquement cette caractéristique...
Cela aussi glauque, inique et trivial soit-il... participe du marché !
21 août 2023 à 12:32
à te murer dans ta paranoïa, tu ne lis rien de ce que tout le monde écrit ne faisant qu'envers et contre tout à te focaliser sur une amende éventuelle (les réels clients méritent eux sûrement d'être punis, la prostitution "Free Lance" n'existe quasiment pas, derrière, il y a le banditisme et la contrainte, mais c'est une autre question).
Au risque de me répéter (encore), c'est la prostitution elle-même qui est répréhensible, pas le fait de l'avoir évoquée même sur un site idoine: ce serait un délit d'intention.
Il existe des dispositions particulières liées à la pédopornographie ou cette fois-ci y compris à la recherche délibérée de relations avec des mineures, mais encore faut-il que cette recherche soit délibérée...et que quelque chose montre que les personnes en question sont mineures: on ne peut pas accuser quelqu'un d'un délit qu'il n'a aucune raison de connaître.
Reste, comme je l'ai dit et comme Xileh l'a répété que, si la police judiciaire venait à enquêter sur un réseau de prostitution lié au site que tu as consulté, tu pourrais en effet être entendu dans le cadre de l'enquête.
Pas sanctionné puisque, à plus ample informé, il n'y a pas de délit.