Comment déchiffrer le code César sans connaitre le décalage
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Utilisateur anonyme
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22 mai 2022 à 16:28
brucine Messages postés 17847 Date d'inscription lundi 22 février 2021 Statut Membre Dernière intervention 23 novembre 2024 - 22 mai 2022 à 17:21
brucine Messages postés 17847 Date d'inscription lundi 22 février 2021 Statut Membre Dernière intervention 23 novembre 2024 - 22 mai 2022 à 17:21
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2 réponses
NHenry
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22 mai 2022 à 16:51
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Nous ne feront pas votre exercice à votre place.
Merci de décrire précisément votre problème et en postant le code déjà réalisé.
Cliquez ici pour des conseils d'écriture des messages et ici concernant les devoirs scolaires ou PFE.
Pour poster votre code, merci de penser à la coloration syntaxique.
Merci de décrire précisément votre problème et en postant le code déjà réalisé.
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mariam-j
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22 mai 2022 à 16:58
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En étudiant la fréquence des nombres --> lettres les plus utilisées (voir Wikipedia)
brucine
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22 mai 2022 à 17:21
22 mai 2022 à 17:21
Bonjour,
Il me semble de toute façon y avoir une coquille ou un raccourci dans l'énoncé.
Le code de César utilise à l'origine une simple translation linéaire, qui a été sophistiquée par la suite en translations affines.
Dans la substitution aléatoire mono-alphabétique, il n'y a pas de translation.
Si on connaît cette clé, ce que l'énoncé ne dit pas non plus de manière claire, la résolution informatique en est simple; sinon, le décryptage passe en effet par un message suffisamment long dont on pourra analyser la fréquence des lettres puis retrouver les bigrammes les plus probables.
La question précédente ne serait pas entièrement drôle si on ne s'intéressait pas à la langue dans laquelle le message est écrit (cette fréquence est langue-dépendante).
La fréquence calculée est comparée à celle de textes en clair en différentes langues, fournissant la langue à décrypter à partir de ces calculs ou de tables idoines les rapportant.
Elle s'obtient par simple sommation manuelle ou par le calcul de l'indice de coïncidence dont la valeur, elle aussi comparée à des tables standard, permet de déterminer la langue utilisée (et aussi dans une certaine mesure le type de méthode de chiffrement, cette question n'étant ici pas pertinente).
Il me semble de toute façon y avoir une coquille ou un raccourci dans l'énoncé.
Le code de César utilise à l'origine une simple translation linéaire, qui a été sophistiquée par la suite en translations affines.
Dans la substitution aléatoire mono-alphabétique, il n'y a pas de translation.
Si on connaît cette clé, ce que l'énoncé ne dit pas non plus de manière claire, la résolution informatique en est simple; sinon, le décryptage passe en effet par un message suffisamment long dont on pourra analyser la fréquence des lettres puis retrouver les bigrammes les plus probables.
La question précédente ne serait pas entièrement drôle si on ne s'intéressait pas à la langue dans laquelle le message est écrit (cette fréquence est langue-dépendante).
La fréquence calculée est comparée à celle de textes en clair en différentes langues, fournissant la langue à décrypter à partir de ces calculs ou de tables idoines les rapportant.
Elle s'obtient par simple sommation manuelle ou par le calcul de l'indice de coïncidence dont la valeur, elle aussi comparée à des tables standard, permet de déterminer la langue utilisée (et aussi dans une certaine mesure le type de méthode de chiffrement, cette question n'étant ici pas pertinente).
