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1 réponse
Bonjour,
J'ai du mal à comprendre la question.
Outre, comme dans n'importe quelle activité, un visa de séjour, les universités n'ont vocation à recruter des docteurs que dans l'enseignement et la recherche.
Concernant les ATER, la réponse est non sauf si le poste est destiné à former la personne à un autre doctorat en France.
Ne reste plus donc que les postes d'enseignant directement au grade de maître de conférences ou les chargés de recherche.
Ces postes sont largement convoités et donc avec de faibles débouchés; rien n'interdit à un candidat étranger d'y postuler mais les postes seront "filtrés" seront des critères de compétence ou d'expérience dans le pays de départ.
Il existe des exceptions dans un certain nombre de disciplines; par exemple pour ce que ma concierge appelle un "docteur" (en médecine), puisque le titre n'est pas reconnu en équivalence dans un certain nombre de pays étrangers sauf autorisation d'exercice au bout d'un certain nombre d'années d'exercice et de critères administratifs, que la procédure normale veut que le candidat soit d'un état partie à l'accord sur l'espace économique européen, à défaut que son titre étranger vaille accord d'équivalence ou de dispense par le conseil national des universités.
J'ai du mal à comprendre la question.
Outre, comme dans n'importe quelle activité, un visa de séjour, les universités n'ont vocation à recruter des docteurs que dans l'enseignement et la recherche.
Concernant les ATER, la réponse est non sauf si le poste est destiné à former la personne à un autre doctorat en France.
Ne reste plus donc que les postes d'enseignant directement au grade de maître de conférences ou les chargés de recherche.
Ces postes sont largement convoités et donc avec de faibles débouchés; rien n'interdit à un candidat étranger d'y postuler mais les postes seront "filtrés" seront des critères de compétence ou d'expérience dans le pays de départ.
Il existe des exceptions dans un certain nombre de disciplines; par exemple pour ce que ma concierge appelle un "docteur" (en médecine), puisque le titre n'est pas reconnu en équivalence dans un certain nombre de pays étrangers sauf autorisation d'exercice au bout d'un certain nombre d'années d'exercice et de critères administratifs, que la procédure normale veut que le candidat soit d'un état partie à l'accord sur l'espace économique européen, à défaut que son titre étranger vaille accord d'équivalence ou de dispense par le conseil national des universités.