Commentaire littéraire Mémoire d'outre Tombe

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zdidididex 3457 Messages postés 1 Date d'inscription mercredi 1 février 2012 Statut Membre Dernière intervention 1 février 2012 - 1 févr. 2012 à 18:45
Chris 94 Messages postés 50978 Date d'inscription mardi 8 janvier 2008 Statut Modérateur Dernière intervention 17 février 2023 - 2 févr. 2012 à 02:17
Bonjour, j'aimerai avoir de l'aide pour la rédaction d'un commentaire littéraire sur Mémoire d'outre tombe . Voici l'extrait du texte :

A part de toutes les autres cités, fille ainée de la civilisation antique sans avoir été déshonorée par la conquête, Venise ne renferme ni décombres romains, ni monuments des barbares . On n'y voit point non plus ce que l'on voit dans le nord et l'occident de l'Europe, au milieu des progrès de l'industrie; je veux parler de ces constructions neuves, de ces rues entières élevées à la hâte, et dont les maisons demeurent ou non achevées, ou vides . Que pourrait-on bâtir ici? de misérables bouges qui montreraient la pauvreté de conception des fils auprès de la magnificence du génie des pères ; des cahutes blanchies qui n'iraient pas au talon des gigantesques demeures des foscari et des pescaro . Quand on avise la truelle de mortier et la poignée d'un plâtre qu'une réparation urgente a forcé d'appliquer contre un chapiteau de marbre , on est choqué . Mieux valent les planches vermoulues barrant les fenêtre grecques ou moresques , les guenilles mises à sécher sur d'élégants balcons , que l'empreinte de la chétive main de notre siècle . Que ne puis-je m'enfermer dans cette ville en harmonie avec ma déstinée, dans cette ville des poètes, ou dante pétraque, biron, passèrent ! Que ne puis-je achever d'écrire mes mémoires à la lueur du soleil qui tombe sur ces page ! L'astre brûle encore dans ce moment mes savanes floridiennes et ce couche ici à l'extrémité du grand canal . je ne le vois plus ; mais à travers une clairière de cette solitude de palais, ses rayons frape le globe de la douane, les antennes des barques , les vergues des navires, et le portail du couvant de st george mageur . La tour du monastaire , changé en colonne de rose, se réfléchit dans les vagues ; la facade blanche de l'église et si fortement éclairé, que je distingue les plus petits détails du ciseau . Les enclôtures des magasins de la giudecca sont peinte d'une lumière titienne, les gondoles du canal et du port nageant dans la même lumière . Venise et la, assise sur le rivage de la mer, comme une belle femme qui va s'éteindre avec le jour : le vent du soir soulève ses cheveux embaumé ; elle meurt salué par toutes les grâces et tous les sourires de la nature .

Merci pour votre aide d'avance .


1 réponse

Chris 94 Messages postés 50978 Date d'inscription mardi 8 janvier 2008 Statut Modérateur Dernière intervention 17 février 2023 7 337
2 févr. 2012 à 02:17
Bonsoir,

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Merci pour ta compréhension.
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