Quel iso utiliser en mode manuel ?

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anonyme - 25 mars 2011 à 02:49
 anonyme - 3 avril 2011 à 14:32
bonjours, j'ai un nikon d60 et je voudrait essayer le mode manuel " m ,s, a" de jours ; quel iso utiliser ?
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21 réponses

Principe simple: Si la luminosité est bonne et que le sujet est immobile, utilisez une valeur la plus faible possible (de l'ordre de 100 ISO), vous aurez des images plus nettes et plus "piquées Si cela entraine des vitesses d'obturation trop lentes pour le sujet à photographier ou parce que la luminosité faiblit, augmentez cette valeur mais cela a des inconvénients . Plus on augmente la sensibilité, plus on risque d'avoir des éléments parasites sur la photo appelé "bruit numérique" Pour des raisons de taille des pixels, ce "bruit" apparait d'autant plus vite que le capteur est petit, donc un reflex comme le Nikon D60 supporte assez bien des sensibilités élevées jusqu'à 800 ISO. Faites des essais en prenant la même photo à des sensibilités différentes et regardez les ensuite sur votre ordinateur à l'agrandissement maximum Tout ceci est très comparable à l'argentique, les pellicules sensibles donnaient des images avec du "grain" mais là, c'était du à la taille des cristaux de sel d'argent utilisés pour augmenter la sensibilité à la lumière. Cordialement.
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Salut J-P D'abord un petit rappel des modes de l'appareil : ¤ Mode P, programmé : l'appareil choisit seul la vitesse et le diaphragme. ¤ Mode S, (Shutter = Obturateur) priorité à la vitesse : on choisit manuellement une vitesse et l'appareil détermine le diaphragme correspondant. ¤ Mode A, (Aperture = Ouverture diaphragme) priorité à l'ouverture du diaphragme : on choisit manuellement une ouverture et l'appareil détermine la vitesse correspondante. ¤ Mode M, manuel : on choisit manuellement la vitesse et l'ouverture du diaphragme. Le nombre ISO indique une SENSIBILITÉ. Par exemple, en Mode A, ouverture du diaphragme = 22 : ¤ ciel sans nuages => sélectionner IS0 100. ¤ ciel nuageux gris clair => sélectionner IS0 200. ¤ ciel nuageux gris sombre => sélectionner IS0 400. Cela permettra de conserver un temps de pose = 1/125 s pour la même ouverture du diaph. En argentique, le temps d'exposition est inversement proportionnel au nombre ISO. Concrètement ISO 200 est 2 fois PLUS sensible que ISO 100. ISO 200 requiert donc un temps d'exposition 2 fois moins grand que ISO 100. Par exemple, en lumière naturelle par beau temps, pour une ouverture diaph = 22 : ¤ ISO 100 => exposition = 1/125 s. = 0,008 secondes ¤ ISO 200 => exposition = 1/250 s. = 0,004 secondes Méthode mnémotechnique simple : multiplier ou diviser par 2 les valeurs selon le choix (ouverture, sensibilité ou exposition). Les durées d'exposition plus longues (> 0,01 s) favorisent le flou de bouger. En général, on choisira une vitesse d'obturation du diaphragme de 1/125 s ou plus rapide. Sinon utiliser un trépied + un déclencheur souple ou retardé pour faire des poses longues. Enfin, on se débrouille pour conserver la meilleure profondeur de champ possible sauf cas particuliers. On fait souvent un compromis entre profondeur de champ (ouverture du diaph), temps de pose (vitesse d'obturation) et sensibilité (ISO), faute de pouvoir corriger les conditions de prise de vue. Ton choix ne dépendra pas seulement des conditions d'éclairage ! Il dépendra aussi et surtout du rendu désiré, en fonction des performances de ton appareil photo. Enfin, dans certains cas, il faudra aussi prendre utiliser les fonctions de post-traitement de l'image, telles que le D-Lighting. Voir quelques exemples visuels exposés chez "Focus Numérique" -> http://www.focus-numerique.com/test-48/reflex-nikon-d60-exposition-raw-13.html -> http://www.focus-numerique.com/test-48/reflex-nikon-d60-exemples-photos-15.html Voilà quelques infos pour aborder les techniques de prise de vue, proposées par l'Atelier Photographique du Vieux Pressoir -> http://atelierphotoduvieuxpressoir.weebly.com/technique.html La table ci-jointe provient de ce site
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Vous pouvez observer les choix de votre appareil en auto, au niveau ISO, ouverture et vitesse, pour les adapter en manuel selon ce que vous voulez obtenir . cette méthode vous permet d'avoir une bonne exposition . Bonne lumière .
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bonjour Jean pierre Michel ET michel vous ont tout dis, juste un petit commentaire: Quel bonheur de lire une question technique. bonne journée Gilles
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je vous remerçies pour vos reponse; cela confirme ce que je pensai. @ michel m : c'est mon tout premier reflex. en effet je me souvient qu'a l'epoque de l'argentique mon photographe me vendait toujours du 400 iso ,bien pratique de jour comme de nuit.
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Pour enfoncer le clou un peu plus . Je viens de regarder les menus d'un compact et un bridge . Le compact permet le réglage de la sensibilité par" ISO", c'est tout ! Le bridge, lui, propose un choix par "sensibilité", mais permet aussi l'automatisme par "ISO auto" ou de réduire la plage auto par "limite ISO" . Par ce biais, les fabricants nous poussent à changer nos expressions, notre vocabulaire à bon escient ou non . Je ne peux m'empêcher d'établir un parallèle avec "Macro", qui, un temps, désignait une prise à distance inférieure à la minimale ordinaire de l'objectif, ce qui occasionne un emploi erratique du terme . Bonne lumière à tous et vive la technique ! J-C
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Bonjour voici ce que j'ai trouvé : En photographie, la sensibilité ISO est l'échelle de mesure de la sensibilité des surfaces sensibles (pellicule en photographie argentique, capteur en photographie numérique). Elle est définie par la norme ISO 5800:1987[1]. Cette norme a remplacé les anciennes normes ASA (American Standards Association, américaine, linéaire) et DIN (allemande, logarithmique) en les combinant. Par exemple, un film qui « valait » ASA 200 (24° sur l'échelle DIN) vaut : ISO 200/24°. Dans l'usage courant, on ne retient souvent que la première valeur, l'usage de l'échelle ASA étant fortement implanté. On retiendra facilement que 1 ASA = 1 ISO. Un film de haute sensibilité est dit rapide, alors qu'un film de basse sensibilité est dit lent (cette analogie est aussi souvent utilisée avec les objectifs, en fonction de leur ouverture maximale). Plus la valeur de la sensibilité est élevée, plus la pellicule (ou le capteur) est sensible à la lumière, et donc plus la quantité de lumière nécessaire à une exposition correcte est faible. Si l'on peut être tenté de prendre systématiquement une pellicule de forte sensibilité (de type ISO 400/27° par exemple), il faut savoir que cela a une influence sur l'image finale - par exemple, un film rapide montre un grain plus prononcé et une définition plus faible qu'un film lent. Ceci n'est pas forcément un problème et peut plaire à de nombreux photographes, mais cette altération visuelle est à prendre en compte selon le type d'image que l'on veut obtenir. Bonne journée
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Bonjour le choix iso (sensibilité pellicule ou réglage appareil numérique) est aussi le choix du caractère picturale de vos photographies,en particulier pour le Noir et Blanc ou le grain de la pellicule participe au rendu artistique de votre photographie. Dans mon cas je en laisse pas le choix a mon appareil compact de choisir la sensibilité pour avoir le moins de grain possible (appelé parfois bruit numérique). Par contre il est nécessaire de vérifier systématiquement que la vitesse d'obturation est compatible avec la prise de vue sans trépied (- de 1/60 eme de sec.). A plus
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Dans sorties-photo.fr : "L'exposition d'une photographie est définie pour un couple ouverture/vitesse, le tout à une sensibilité donnée. En argentique, la sensibilité, exprimée en ISO (autrefois aussi appelée ASA), est déterminée par la composition chimique de la pellicule que l'on charge dans son boitier. La progression de cette sensibilité est linéaire : une pellicule de 800 ISO est 2 fois plus sensible qu'une de 400 ISO elle même 2 fois plus sensible qu'une autre de 200, etc... En argentique, plus la valeur d'ISO est faible, plus les grains d'argent qui vont fixer l'image sur la pellicule sont fins ce qui donnera une image très fine, très détaillée. En revanche, plus la valeur ISO augmente, plus les grains d'argent vont être gros, ce qui va donner une image finale plus granuleuse, moins détaillée. En numérique, la sensibilité est déterminée de manière électronique en amplifiant plus ou moins les signaux electriques sortant du capteur. Les valeurs ISO répondent au même principe de linéarité qu'en argentique. Les principes qualitatifs restent également les mêmes. En effet, plus le signal est amplifié (=plus la valeur ISO est élevée), plus cela produit des défauts dans ce même signal, ce qui va engendrer l'apparaition de ce que l'on appelle le "bruit". Cette dégradation se manifeste par l'apparition de points plus ou moins colorés dans l'image. Un traitement logiciel, soit interne au boitier (options "réduction du bruit") soit applicable en post-traitement permettra d'en limiter les effets, au prix toutefois d'une perte de détails dans l'image. Notez que plus un capteur est petit et possède une résolution élevée, plus il est sensible au phénomène de bruit numérique. C'est ce qui explique qu'un reflex dont les capteur est plus grand est plus performant en hauts ISO qu'un compact. C'est pour cela également que les reflex à capteur plein format (24x36, FX chez Nikon) sont plus performants en haute sensibilité que les capteurs APS-C (DX chez Nikon) ou même APS-H."
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Dans sorties-photo.fr : "L'exposition d'une photographie est définie pour un couple ouverture/vitesse, le tout à une sensibilité donnée. En argentique, la sensibilité, exprimée en ISO (autrefois aussi appelée ASA), est déterminée par la composition chimique de la pellicule que l'on charge dans son boitier. La progression de cette sensibilité est linéaire : une pellicule de 800 ISO est 2 fois plus sensible qu'une de 400 ISO elle même 2 fois plus sensible qu'une autre de 200, etc... En argentique, plus la valeur d'ISO est faible, plus les grains d'argent qui vont fixer l'image sur la pellicule sont fins ce qui donnera une image très fine, très détaillée. En revanche, plus la valeur ISO augmente, plus les grains d'argent vont être gros, ce qui va donner une image finale plus granuleuse, moins détaillée. En numérique, la sensibilité est déterminée de manière électronique en amplifiant plus ou moins les signaux electriques sortant du capteur. Les valeurs ISO répondent au même principe de linéarité qu'en argentique. Les principes qualitatifs restent également les mêmes. En effet, plus le signal est amplifié (=plus la valeur ISO est élevée), plus cela produit des défauts dans ce même signal, ce qui va engendrer l'apparaition de ce que l'on appelle le "bruit". Cette dégradation se manifeste par l'apparition de points plus ou moins colorés dans l'image. Un traitement logiciel, soit interne au boitier (options "réduction du bruit") soit applicable en post-traitement permettra d'en limiter les effets, au prix toutefois d'une perte de détails dans l'image. Notez que plus un capteur est petit et possède une résolution élevée, plus il est sensible au phénomène de bruit numérique. C'est ce qui explique qu'un reflex dont les capteur est plus grand est plus performant en hauts ISO qu'un compact. C'est pour cela également que les reflex à capteur plein format (24x36, FX chez Nikon) sont plus performants en haute sensibilité que les capteurs APS-C (DX chez Nikon) ou même APS-H."
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Bonjour. En accord avec Michel Magnier, j'ai aussi l'impression que nous dire "je voudrais essayer le mode manuel" traduit un manque d'expérience de la photo ou, que l'appareil est une acquisition relativement récente (tout n'est pas encore découvert). Dans ce cas il ne faut pas hésiter à manipuler son matériel, s'imprégner de son ergonomie avec la notice devant les yeux. Prendre un sujet de référence et le travailler en diversifiant les réglages permet de comparer les effets obtenus en prenant des notes. On peut ainsi retrouver l'origine des succée et des erreurs. Un bon moyen de réussir ses photos est de connaître par coeur les commandes de son appareil, tant dans leur utilité que leur emplacement. Pour travailler en mode manuel essayez la photo panoramique.
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Un cas particulier, l'astrophotographie. L'argentique y est encore largement utilisé. Une partique consiste à "hypersensibiliser" les émulsions dans du FORMING GAS à température relevée ceci en enceinte close. Cependant ce traitement n'augmente pas la valeur ISO(ou ASA). Il allonge la courbe d'acutance donc le temps d'exposition. Dans chaque boîte de film achetée il y a une notice que jamais personne ne consulte et qui pourtant est édifiannte. Correctement interprétée, elle apporte un plus dans de nombreux cas de figure.
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Un vrai plaisir de consulter les réponses à (enfin) une question technique. Bon dimanche, fp
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@Yvon En réalité, on utilise jamais un mode "manue"l, mais plutôt un mode "semi-automatique", puisqu'il y a dans le viseur (ou sur l'écran LCD) un indicateur de la bonne exposition (que l'on peut corriger en fonction de la connaissance de son matériel et des situations rencontrées) Un réglage, c'est toujours la combinaison entre - sensibilité du capteur mesuré en ISO - ouverture du diaphragme - vitesse d'obturation. Le mode dit "manuel" permet de choisir "manuellement" chacune de ces trois valeurs (par les bagues, molettes ou boutons adéquats) Mais l'appareil continue de mesurer la luminosité et indique si cette combinaison est correcte ou pas... et on devra modifier au moins une des trois valeurs si on ne veut pas rater la photo... Ce mode ne se justifie donc que dans des conditions d'utilisation particulières, par exemple avec des flashe additionnels (dans ce cas, on a fait des essais pour trouver le meilleur réglage, ou on utilise un flash-mètre) Si on veut privilégier la sensibilité (faible pour plus de piqué, ou grande si la lumière est très faible), on fixe cette valeur, et le mode "P" permet de faire défiler dans le viseur les "couples vitesse-diaphragme" correspondant à un bon réglage (en tournant juste une petite molette), et en veillant à ne pas utiliser une vitesse trop faible qui entrainerait un "bougé" (en fonction de la focale et de la présence ou pas d'un stabilisateur optique) C'est ce mode "P" que j'utilise le plus couramment, sauf quand je fais de la photo animalière avec un gros téléobjectif.. je règle la vitesse sur 1/500°s, le diaphragme sur 5.6 si le temps est nuageux ou sur 8 s'il fait grand soleil, et je laisse à l'appareil le soin d'adapter la sensibilité (mais ce réglage "Auto" de sensibilité n'existe hélas pas sur tous les appareils) Mais trêve de discours.. lancez vous.. faites des essais... En numérique, les échecs ne sont pas très onéreux, et permettent de progresser si on réfléchit sur la cause, et donc de mieux connaitre son matériel.
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Bonjour Michel Maillard . Dans le cas de photos panoramiques on est bien obligé de passer en mode manuel aprés avoir fait les réglages sur la vue centrale et, tout en conservant ces réglages afin de préserver une certaine harmonie générale. En effet, prendre cinq ou six clichés en mode auto amène au moment du montage, des différences de densité et de luminosité entre clichés, préjudiciables à l'équilibre général de l'image finale. C'est la méthode que j'adopte et qui me donne satisfaction. Certes est il possible de faire mieux! Je suis preneur de tous conseils avisés en ce domaine et à feuilleter vos albums, vous avez aussi un rôle à jouer aux côtés de bien d'autres, tel M Magner dont j"apprécie la pertinence .
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Bonjour Réponse à Yvon Peyrouzet: pour les photographies panoramiques,nous vous invitons sur photomimagnier.fr et aussi je vous invite sur le site du spécialiste en la matière qui est arnaudfrichphoto.com. A plus
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Merci Patrick Le site de M Magnier corrobore mes dires dans la page "panoramique par assemblage, 3) Le mode de prise de vue, 6) conserver le mode manuel, concernant la prise en mode manuel. Un site qui vaut d'être consulté. Mais qu'en est il de la focale idéale? Il est parfois conseillé de ne pas dépasser 35 mm .Etonnant mais bon ! Excellentes ballades photos à toutes et tous.
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Bonjour en ce qui concerne la focale de votre appareil photographique ,il est conseillé de la réglée par rapport a la moindre des déformations soit en barillet ou autre ,ainsi que par l'effet vignettage. Un objectif "zoom" de gamme moyenne présente des défauts et des qualités différentes suivant son réglage,il est donc nécessaire de se rapprocher du constructeur afin de connaitre le meilleur réglage ou de faire des essais de prises de vues a des distances différentes pour ne retenir que les meilleures photographies (vignettage,effet barillet,aberrations chromatiques...),le vignettage peut disparaitre avec la juxtaposition de 30% entre deux photographies conjointes.) a plus
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Bonjour . On s'écarte un peu du sujet initial mais le panoramique a été abordé ici . La tâche du logiciel d'assemblage sera simple si l'APN est rigoureusement à l'horizontale, lors de la Prise De Vue, les droites s'enchaîneront aux droites sans aucun problème, dans la surface d'une fraction de cylindre . Le cas idéal, pas de souci . Elle va se compliquer sérieusement, si la PDV est faite en plongée ou en contre plongée, captant non plus une portion de cylindre mais de tronc de cône . Le logiciel va devoir incurver les droites pour ne pas les assembler à angle quelque fois droit : création de distorsion . En grand angle, ( 27 mm ) mon bridge provoque une distorsion en barillet non négligeable ; pour éviter cet "empilement" de déformations, grand angle et logicielle, j'adopte un grossissement par 2, à défaut d'avoir, à l'affichage, une expression douteuse de la focale, ce qui me mène, en équivalent 35 mm, à 54 mm , pas exactement la vision de l'oeil, mais relativement proche, exempte de "barillet" . La PDV en plongée tend à tasser le relief, les longues focales tassent la profondeur, ce qui devrait limiter leurs utilisations . Bonne lumière . J-C .
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Bonjour à toutes et tous. Je ne suis pas certain que l'on s'écarte du sujet. Les échanges de point de vue techniques permettent à chacun de progesser. Pour ma part, je fais mes photos en mode RAW, que je développe avec " DxO Optics Pro ". Si le logiciel reconnaît le couple boîtier/objectif, il est en mesure de remédier aux aberrations telles: déformations en coussinet ou en barillet,(que l'oeil ne discerne pas, même à l'aide de la grille), vignettage, etc... J'utilise un objectif 16-35 f2,8L USM II, couplé à un boîtier EOS 30D. Je n'ai pas encore essayé la "visite virtuelle à360°" . Cordialement.
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