Chanson le saltimbanque
Résolu
katia skaf
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Therese -
Therese -
Bonjour,
moi je cherche une chanson chantée dans les années 60 dont je sais un peu de ces paroles," aujourd hui nos vie se separene, a la croisée des grands chemins,.......moi le saltimbanque, je n ai rien de rubin, pas de compte en banque, je ne peux plaire aux tiens.tres loin j irais chercher fortune....
si vous connaissez le nom du chanteur , les paroles, n importe quoi et merci d avance
moi je cherche une chanson chantée dans les années 60 dont je sais un peu de ces paroles," aujourd hui nos vie se separene, a la croisée des grands chemins,.......moi le saltimbanque, je n ai rien de rubin, pas de compte en banque, je ne peux plaire aux tiens.tres loin j irais chercher fortune....
si vous connaissez le nom du chanteur , les paroles, n importe quoi et merci d avance
4 réponses
Salut Katia ca va?
tu as trouve la chanson ou pas encore? parceke moi aussi ca fait des annees ke je cherche la chanson et g pa encore trouve..merci
tu as trouve la chanson ou pas encore? parceke moi aussi ca fait des annees ke je cherche la chanson et g pa encore trouve..merci
loulou
le chanteur s'appelle Jean Paul Cara (disque philips je crois) Et j'en suis sûr : disque philips 437001 B. Quatre titres : trop tard trop tard ; siliencieux est l'amour ; le saltimbanque ; l'amandier d'amour. En 1965 Voilà. Une autre belle chanson de lui : où tu porteras mon deuil... Sur le toréador El Cordobes. Y qu'à demander...Salut !
katia skaf
>
loulou
merci beaucoups, j ai recu la bonne reponse apres plus que 1 ans, merci
Le Gitan
>
katia skaf
Je cherche cette chanson depuis plusieurs annees. Maintenant je vois la bonne reponse. Mais malgre cela je n'ai toujours pas reussi a retrouver les paroles completes ou la chanson complete sur le web. Any help?
katia
j ai trouvé et si tu veux je te l envoyerai mp3
Tu peux les trouver à cet endroit :
https://www.musikiwi.com/paroles/maxime-forestier-saltimbanque,34881.html
ou alors je te les copie :
Saltimbanque interprétées par Maxime Le Forestier :
Enfant de clown et d'écuyère,
Il était né sous chapiteau.
Entre la lionne et la panthère,
On mettait son berceau.
Il a grandi parmi les nôtres.
Dès que son âge lui permit
De poser un pied devant l'autre,
Une voix lui a dit :
"Petit, tu es né Saltimbanque.
De ville en ville, tu iras.
Jongle avec tout ce que tu as
Et si tu manques,
Cent fois, tu recommenceras."
Quand il voulait lancer des balles,
Elles ne tombaient pas dans ses mains.
Quand il sautait sur un cheval,
C'était toujours trop loin.
En équilibre sur la table,
Il était pris par le tournis.
Chacun le disait incapable
De gagner sa vie.
"Petit, tu es né Saltimbanque.
Il faut qu'ils rient, il faut qu'ils pleurent,
Qu'ils applaudissent, qu'ils aient peur
Mais si tu manques,
Pour nous, tu seras un voleur."
Alors, en désespoir de cause,
Il a jonglé avec des mots
Et la musique et d'autres choses.
On a crié : Bravo !
On le réclamait à tue-tête
Sur les pistes du monde entier.
Dans son numéro de poète,
Il était adoré.
"Petit, tu es né Saltimbanque.
Méfie-toi de ces pistes-là.
Quand ton numéro passera,
Si tu le manques,
On ne te ramassera pas.
Car tous les mots, quand on les jette,
Ils rebondissent n'importe où
De cœur en cœur, de tête en tête.
Ils en deviennent fous.
Ils te reviennent de la salle,
Emplis d'espoirs ou de rancœurs.
Tu étais enfant de la balle
Et te voila penseur."
Laissez-moi rester Saltimbanque.
J'aime la lumière et le feu,
Les tours et les mots dangereux
Toujours je manque.
Mon numéro n'est pas fameux.
Je jongle avec ce que je peux.
https://www.musikiwi.com/paroles/maxime-forestier-saltimbanque,34881.html
ou alors je te les copie :
Saltimbanque interprétées par Maxime Le Forestier :
Enfant de clown et d'écuyère,
Il était né sous chapiteau.
Entre la lionne et la panthère,
On mettait son berceau.
Il a grandi parmi les nôtres.
Dès que son âge lui permit
De poser un pied devant l'autre,
Une voix lui a dit :
"Petit, tu es né Saltimbanque.
De ville en ville, tu iras.
Jongle avec tout ce que tu as
Et si tu manques,
Cent fois, tu recommenceras."
Quand il voulait lancer des balles,
Elles ne tombaient pas dans ses mains.
Quand il sautait sur un cheval,
C'était toujours trop loin.
En équilibre sur la table,
Il était pris par le tournis.
Chacun le disait incapable
De gagner sa vie.
"Petit, tu es né Saltimbanque.
Il faut qu'ils rient, il faut qu'ils pleurent,
Qu'ils applaudissent, qu'ils aient peur
Mais si tu manques,
Pour nous, tu seras un voleur."
Alors, en désespoir de cause,
Il a jonglé avec des mots
Et la musique et d'autres choses.
On a crié : Bravo !
On le réclamait à tue-tête
Sur les pistes du monde entier.
Dans son numéro de poète,
Il était adoré.
"Petit, tu es né Saltimbanque.
Méfie-toi de ces pistes-là.
Quand ton numéro passera,
Si tu le manques,
On ne te ramassera pas.
Car tous les mots, quand on les jette,
Ils rebondissent n'importe où
De cœur en cœur, de tête en tête.
Ils en deviennent fous.
Ils te reviennent de la salle,
Emplis d'espoirs ou de rancœurs.
Tu étais enfant de la balle
Et te voila penseur."
Laissez-moi rester Saltimbanque.
J'aime la lumière et le feu,
Les tours et les mots dangereux
Toujours je manque.
Mon numéro n'est pas fameux.
Je jongle avec ce que je peux.