PRESSE et CCM

Bonjour,

Je suis toute nouvelle sur CCM.

J'ai parcouru un certain nombre de pages de ce site, et j'ai constaté qu'il y est dit qu'il est interdit d'y aborder des sujets: politiques, commerciaux ou religieux et que ces sujets sont censurés.

Je m'interroge sur la réalité de cette "charte".

Je m'explique.

J'ai lu plusieurs pages de ce site, où des personnes proposent ouvertement des offres commerciales, sans proposition de prix, mais des offres de consultations dans Droits/Finances par exemple.

J'ai lu plusieurs pages de ce site, où des gens abordent sans aucun complexe des questions religieuses visiblement islamiques et catholiques.

Je me pemet une comparaison:

Il ne se passe pas une journée ou la télévision se fait le porte-parole des religions en suscitant des débats entre autre l'annulation d'un mariage pour cause religieuse, port du foulard, et bien d'autres thèmes.

Nous vivons dans un pays dit "laïc". De ce fait, chacun pense avoir le droit de croire et de pratiquer ce que bon lui semble, sans avoir à rendre de compte à quiconque. Or, en france, la religion ne fait pas problème, mais les politiques ou les médias veulent en faire un problème et nous les impose alors que personne ne les demande.

Pour contourner cette contradiction, on invoque le droit à l'information, à la liberté de presse, au droit d'expression.

Malheureusement, ce média n'est pas neutre, et il est manifestement au service d'une certaine idélogie résoluement orientée. Il n'accorde aucun droit de parole à ceux qui ne partagent pas son avis. Et encore moins à Monsieur tout le monde.

Vous allez me dire que CCM n'est pas un média. Il est cependant dans le domaine public, et chacun y voit ce qu'il veut sans considération pour ce qui est de la liberté de presse ou de parole. D'ou une responsabilité de la part de CCM pour ce qu'il véhicule.

Dans ces conditions, pourquoi y trouve t-on des débats religieux (dogmatiques) ou commerciaux. Que font les modérateurs ?

Il faut choisir: Liberté de parole ou d'expression ou abstention réelle.