5 réponses
Bah tapitète un virus... Ou l'Elysée t'a mise sous écoute, ou alors... alors... Les extraterrestres arrivent pour t'enlever de CCM !!!
fégaff ;)
fégaff ;)
L’Elysée surveille le web
19 mars 2008
L’Elysée a mis sur pied une cellule de surveillance des informations concernant le chef de l’état qui circulent sur le web. Contre Info a gardé la trace de l’un de ces visiteurs du soir.
Contre Info, 19 mars 2008
Le Figaro brosse aujourd’hui le portrait de Nicolas Princen, le responsable des « oreilles » élyséennes sur le web.
Selon Le Post, sa mission consiste à « être une sorte de veille sur Internet, en surveillant tout ce qui fait buzz au sujet du président de la République » pour alerter au plus vite les conseillers du président et préparer la réponse.
M. Princen était responsable de rubrique sur le site NSTV, créé par pour le candidat Nicolas Sarkozy...
(JPG)
...et dont l’architecture a été depuis reprise à l’identique par le site officiel de la présidence.
Contre Info a reçu fin février une visite de la cellule élyséenne, qui est venue consulter un article relatant la réaction de Nicolas Sarkozy à une décision récente du Conseil Constitutionnel.
(JPG)
La photo ci-dessus, reproduisant un extrait de l’archive des visites du site, indique que la page précédant immédiatement la consultation de Contre Info était celle du communiqué élyséen cité par l’article :
http://www.elysee.fr/documents/index.php ?lang=fr&mode=view&cat_id=5&press_id=1082
Ce qui signifie que la page de l’Elysée contenait un lien pointant sur Contre Info.
Bien évidemment, cette information n’apparait pas en temps normal sur cette page.
C’est donc que les membres de l’administration du site élyséen « voient » des contenus différents de ceux qui sont présentés aux visiteurs.
La page originale leur apparait complétée et enrichie par la liste des pages web qui y font référence.
L’un des outils dont dispose la cellule élyséenne est donc directement intégré aux fonctions de la plate-forme web de la présidence de la Rébublique.
Lorsque l’on compare la structure actuelle du site de l’Elysée avec celle de la présidence Chirac :
(JPG)
ou celle de la Maison Blanche,
(JPG)
on ne peut qu’être frappé par la disparition de la frontière délimitant l’institution, la fonction, et son dépositaire. Chirac et Bush sont tous deux présents sous le fronton de la République, symbolisée par le bandeau qui les surplombe et dans lequel leur nom n’est pas mentionné.
Dans la structure actuelle du site de l’Elysée, cette distinction a disparu. Les couleurs de la France ont été remplacées par la bleu horizon qu’affectionnaient le candidat et son parti. Le palais de l’Elysée, emblématique de la charge, est incliné à en perdre l’équilibre, et semble relégué au rôle de décor.
Ce n’est plus la République, abstraitement représentée, qui occupe la place d’honneur, mais le portrait de l’élu.
(JPG)
L’existence d’un dispositif de surveillance intégré aux pages mêmes du site montre que cette confusion entre l’homme et la fonction, loin de ne concerner que l’apparence, s’étend également aux fonctionnalités de l’informatique élyséenne.
Faut-il y voir un symbole ?
Référence
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1841
tien doubie , c'est le copier/coller de la page
tu retires, les sous-rubriques, et le reste , mais tu pourras lire
19 mars 2008
L’Elysée a mis sur pied une cellule de surveillance des informations concernant le chef de l’état qui circulent sur le web. Contre Info a gardé la trace de l’un de ces visiteurs du soir.
Contre Info, 19 mars 2008
Le Figaro brosse aujourd’hui le portrait de Nicolas Princen, le responsable des « oreilles » élyséennes sur le web.
Selon Le Post, sa mission consiste à « être une sorte de veille sur Internet, en surveillant tout ce qui fait buzz au sujet du président de la République » pour alerter au plus vite les conseillers du président et préparer la réponse.
M. Princen était responsable de rubrique sur le site NSTV, créé par pour le candidat Nicolas Sarkozy...
(JPG)
...et dont l’architecture a été depuis reprise à l’identique par le site officiel de la présidence.
Contre Info a reçu fin février une visite de la cellule élyséenne, qui est venue consulter un article relatant la réaction de Nicolas Sarkozy à une décision récente du Conseil Constitutionnel.
(JPG)
La photo ci-dessus, reproduisant un extrait de l’archive des visites du site, indique que la page précédant immédiatement la consultation de Contre Info était celle du communiqué élyséen cité par l’article :
http://www.elysee.fr/documents/index.php ?lang=fr&mode=view&cat_id=5&press_id=1082
Ce qui signifie que la page de l’Elysée contenait un lien pointant sur Contre Info.
Bien évidemment, cette information n’apparait pas en temps normal sur cette page.
C’est donc que les membres de l’administration du site élyséen « voient » des contenus différents de ceux qui sont présentés aux visiteurs.
La page originale leur apparait complétée et enrichie par la liste des pages web qui y font référence.
L’un des outils dont dispose la cellule élyséenne est donc directement intégré aux fonctions de la plate-forme web de la présidence de la Rébublique.
Lorsque l’on compare la structure actuelle du site de l’Elysée avec celle de la présidence Chirac :
(JPG)
ou celle de la Maison Blanche,
(JPG)
on ne peut qu’être frappé par la disparition de la frontière délimitant l’institution, la fonction, et son dépositaire. Chirac et Bush sont tous deux présents sous le fronton de la République, symbolisée par le bandeau qui les surplombe et dans lequel leur nom n’est pas mentionné.
Dans la structure actuelle du site de l’Elysée, cette distinction a disparu. Les couleurs de la France ont été remplacées par la bleu horizon qu’affectionnaient le candidat et son parti. Le palais de l’Elysée, emblématique de la charge, est incliné à en perdre l’équilibre, et semble relégué au rôle de décor.
Ce n’est plus la République, abstraitement représentée, qui occupe la place d’honneur, mais le portrait de l’élu.
(JPG)
L’existence d’un dispositif de surveillance intégré aux pages mêmes du site montre que cette confusion entre l’homme et la fonction, loin de ne concerner que l’apparence, s’étend également aux fonctionnalités de l’informatique élyséenne.
Faut-il y voir un symbole ?
Référence
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1841
tien doubie , c'est le copier/coller de la page
tu retires, les sous-rubriques, et le reste , mais tu pourras lire
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