A voir également:
- Sticky bit s
- Ubuntu sticky bit - Meilleures réponses
- Bit sticky - Meilleures réponses
- Winrar 64 bit - Télécharger - Compression & Décompression
- Power iso 32 bit - Télécharger - Gravure
- Cle windows 10 professional 64 bit gratuit - Guide
- 32 bit - Guide
- Format factory 64 bit - Télécharger - Conversion & Codecs
8 réponses
Le sticky bit sur un exe :
Un exécutable peut être "sticky" (on dit aussi "avoir le sticky bit positionné"): cela signifie qu'il reste en mémoire même après la fin de son exécution, pour pouvoir être relancé plus rapidement. Alors qu'un exécutable peut être déclaré setuid et setgid par son propriétaire, seul l'administrateur système peut positionner le sticky bit.
Voyons maintenant l'utilisation du sticky bit. Comme je l'ai écrit plus haut, un utilisateur qui a le droit d'écrire dans un répertoire peut effacer n'importe quel fichier de ce répertoire. Ca peut être très gênant par exemple pour le répertoire /tmp, dans lequel tout le monde a généralement le droit d'écrire. Pour y remédier, on positionne le sticky bit; ainsi, un utilisateur ne peut effacer que les fichier qui lui appartiennent.
Quand on écrit les permissions en octal, setuid, setgid et sticky bit sont représentés par une nouvelle série de 3 bits, qui se place avant les 3 autres séries: setuid=4, setgid=2, sticky=1. Ainsi, sur ma machine, le serveur de mail /usr/sbin/sendmail a les droits rwsr-sr-x (rwxr-xr-x, setuid, setgid); en octal, ça donne 6775.
source : http://www.linux-france.org/article/sys/fichiers/fichiers-3.html
Voili voilou.
Un exécutable peut être "sticky" (on dit aussi "avoir le sticky bit positionné"): cela signifie qu'il reste en mémoire même après la fin de son exécution, pour pouvoir être relancé plus rapidement. Alors qu'un exécutable peut être déclaré setuid et setgid par son propriétaire, seul l'administrateur système peut positionner le sticky bit.
Voyons maintenant l'utilisation du sticky bit. Comme je l'ai écrit plus haut, un utilisateur qui a le droit d'écrire dans un répertoire peut effacer n'importe quel fichier de ce répertoire. Ca peut être très gênant par exemple pour le répertoire /tmp, dans lequel tout le monde a généralement le droit d'écrire. Pour y remédier, on positionne le sticky bit; ainsi, un utilisateur ne peut effacer que les fichier qui lui appartiennent.
Quand on écrit les permissions en octal, setuid, setgid et sticky bit sont représentés par une nouvelle série de 3 bits, qui se place avant les 3 autres séries: setuid=4, setgid=2, sticky=1. Ainsi, sur ma machine, le serveur de mail /usr/sbin/sendmail a les droits rwsr-sr-x (rwxr-xr-x, setuid, setgid); en octal, ça donne 6775.
source : http://www.linux-france.org/article/sys/fichiers/fichiers-3.html
Voili voilou.