Droit à l'image photo nu
misterjak
-
misterjak -
misterjak -
Bonjour,
j'aimerai diffuser des photos de nus sur mon site. Je n'ai plus de contact avec les modèles et je n'ai pas d'autorisation. Sur toutes les photos on ne voit pas les visages car ils sont "coupés" par mon cadrage.
Puis je les mettre sur mon site sans soucis?
En cherchant sur le net j'ai lu que si les visages étaient floutés on ne courait pas de risque de droit à l'image, mais si quelqu'un connait bien le sujet peut me le confirmer...
Merci!
j'aimerai diffuser des photos de nus sur mon site. Je n'ai plus de contact avec les modèles et je n'ai pas d'autorisation. Sur toutes les photos on ne voit pas les visages car ils sont "coupés" par mon cadrage.
Puis je les mettre sur mon site sans soucis?
En cherchant sur le net j'ai lu que si les visages étaient floutés on ne courait pas de risque de droit à l'image, mais si quelqu'un connait bien le sujet peut me le confirmer...
Merci!
A voir également:
- Droit à l'image photo nu
- Google photo - Télécharger - Albums photo
- Image libre de droit gratuite google - Guide
- Photo filtre 7 gratuit - Télécharger - Retouche d'image
- Google maps photo maison - Guide
- Image iso - Guide
2 réponses
Bonjour,
Sans etre trés connaisseur, il me semble que, si dans le contrat, la clause de propriété n'a pas été abordée, les droits à l'image sont ceux du photographe.
Autrement dit, si la diffussion ne hurte pas la raison et l'éthique, rien ne s'oppose à la diffusion de clichers servant de matière à l'artiste.
Toutefois, il serait prudent de refuser la sauvegarde de ces clichers dans la conception de la page internet. Ainsi, les travaux de l'artiste reste la propriété de ce dernier.
A noter que la vitrine publicitaire ou book d'un artiste ne doit pas être trop etoffé. On se lasse vite. Noté aussi que l'hebergement devient difficile audela de 100Mo.
Bref, votre problème èthique est dans la difusion de nu partiel. Dans ce cas, une mention de copyrigth serait évidement le moyen de clarifier le problème. Dans le cas de la réalisation d'un book, vous cherchez à être reconnu et non à fournir un carnet d'adresse. Il faut être logique aussi. Biensur vous pouvez inclure des liens vers les books de vos modèles. Le feront-elles pour vous ?
Bref, le droit à l'image dépend de celui qui a payé pour la scéance de shooting.
Voilà, ce que mes souvenirs de diffusions multiples m'ont appris.
Un magazine peut être ammené à revendre ces photos sans l'accords du sujet. De plus les photos prises depuis un espace publique ne sont pas assujetis au copyright. Madonna shooté traversant la rue Rivolli, ne peut revendiquer de droit, sauf si la dignité de la personne et le respect de la vie privée ne sont mis en cause: Compagnie, condition de prise de vue ...
Notons que lors de publication multiple, la faute est souvent imputé aux photographes et non aux magazines. Cela n'est pas sans risque...
On peut toujours mettre en avant la reconnaissance partielle du travail artistique. Seul un contract peut contraindre une magazine à nommer l'artiste ou l'agence. En est-il la véritable cause ?
La prudence est souvent de bon conseil.
Sans etre trés connaisseur, il me semble que, si dans le contrat, la clause de propriété n'a pas été abordée, les droits à l'image sont ceux du photographe.
Autrement dit, si la diffussion ne hurte pas la raison et l'éthique, rien ne s'oppose à la diffusion de clichers servant de matière à l'artiste.
Toutefois, il serait prudent de refuser la sauvegarde de ces clichers dans la conception de la page internet. Ainsi, les travaux de l'artiste reste la propriété de ce dernier.
A noter que la vitrine publicitaire ou book d'un artiste ne doit pas être trop etoffé. On se lasse vite. Noté aussi que l'hebergement devient difficile audela de 100Mo.
Bref, votre problème èthique est dans la difusion de nu partiel. Dans ce cas, une mention de copyrigth serait évidement le moyen de clarifier le problème. Dans le cas de la réalisation d'un book, vous cherchez à être reconnu et non à fournir un carnet d'adresse. Il faut être logique aussi. Biensur vous pouvez inclure des liens vers les books de vos modèles. Le feront-elles pour vous ?
Bref, le droit à l'image dépend de celui qui a payé pour la scéance de shooting.
Voilà, ce que mes souvenirs de diffusions multiples m'ont appris.
Un magazine peut être ammené à revendre ces photos sans l'accords du sujet. De plus les photos prises depuis un espace publique ne sont pas assujetis au copyright. Madonna shooté traversant la rue Rivolli, ne peut revendiquer de droit, sauf si la dignité de la personne et le respect de la vie privée ne sont mis en cause: Compagnie, condition de prise de vue ...
Notons que lors de publication multiple, la faute est souvent imputé aux photographes et non aux magazines. Cela n'est pas sans risque...
On peut toujours mettre en avant la reconnaissance partielle du travail artistique. Seul un contract peut contraindre une magazine à nommer l'artiste ou l'agence. En est-il la véritable cause ?
La prudence est souvent de bon conseil.
@+