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12 réponses
Bonjour,
En tant que professionnel votre question me paraît assez vague et m'interpelle.
Il n'y a pas de "meilleur ERP" rapport qualité/prix.
Il y a des logiciels adaptés à chaque type de métier et selon les besoins d'entreprise...et il faut souvent y investir un certain budget.
En effet, si vous n'avez pas de besoin particulier car votre métier ne comprend aucune particularité, un simple logiciel bureautique comme Ciel peut suffire. L'investissement est donc minime.
Au contraire, si votre métier comprend pas mal de spécificités qui demandent des réponses adéquates et donc des développements informatiques spécifiques alors tournez vous vers des ERP professionnels comme Divalto.
Cela dépend également du type d'ERP que vous recherchez : compta? Affaires? Web? etc...
Voilà quelques conseils ci-dessous qui j'espère pourront vous aider à choisir LE bon ERP et le bon prestataire...(car c'est un détail à ne pas négliger!!!)
I°) Définir les attentes et les objectifs de l’entreprise : cela compte pour les besoins à court terme mais aussi et surtout pour ceux à moyen et long terme. La mise en place d’une solution informatique est un coût qui peut être rationalisé s’il prend en compte les futurs projets de société. Adopter une solution de gestion informatique est un investissement à long terme.
II°) Définir un planning et des délais : pour répondre à des besoins stratégiques de l’entreprise un planning doit être étudié avec toute l équipe.
III°) Nommer l’équipe projet : identifier clairement des interlocuteurs et leurs rôles est un gain de temps et d’efficacité pour mettre en place une solution de gestion en partenariat avec le(s) prestataire(s) choisis. Il est également intéressant de tenir compte du profil des clients utilisateurs et des décideurs qui auront à utiliser la solution finale et cela afin de répondre parfaitement à leurs attentes.
IV°) Définir les spécifications techniques et contraintes de sécurité : chaque métier à ses spécificités qu’il est fondamental d’exposer clairement au(x) prestataire(s).
V°) Étudier les pratiques actuelles et existantes au sein de l’entreprise : pour intégrer en douceur la nouvelle solution.
VI°) Prendre en compte l’ergonomie et l’utilisabilité de l’interface et de l’outil.
VII°) Exiger une démonstration “réelle” de la solution.
VIII°) Se renseigner sur les formations proposées par l’intégrateur/ éditeur : combien de temps durent-elles ? Qui peut en bénéficier ? Prenez garde aux formules forfaitaires « clés en main » qui sont souvent attractives mais non exhaustives.
IX°) Opter pour un contrat de maintenance en partenariat avec le prestataire choisis.
C’est une garantie à moyen terme vous protégeant et un gage de qualité de la part de l’intégrateur/ éditeur.
Le coût investi dans le contrat de maintenance est souvent largement rentabilisé au fil des mois.
X°) Demander quelles solutions offre l’intégrateur / l’éditeur en cas de besoin une fois la solution installée ? (Hot Line, Assistance Web etc ?).
A noter que, des spécialistes de l’édition et/ou de l’intégration qualifiés ne négligeront jamais aucune des étapes citées ci-dessus… vous savez maintenant reconnaître les pros ;-)
Je reste à votre disposition si vous souhaitez aller plus loin dans votre projet: www.octa.fr
En tant que professionnel votre question me paraît assez vague et m'interpelle.
Il n'y a pas de "meilleur ERP" rapport qualité/prix.
Il y a des logiciels adaptés à chaque type de métier et selon les besoins d'entreprise...et il faut souvent y investir un certain budget.
En effet, si vous n'avez pas de besoin particulier car votre métier ne comprend aucune particularité, un simple logiciel bureautique comme Ciel peut suffire. L'investissement est donc minime.
Au contraire, si votre métier comprend pas mal de spécificités qui demandent des réponses adéquates et donc des développements informatiques spécifiques alors tournez vous vers des ERP professionnels comme Divalto.
Cela dépend également du type d'ERP que vous recherchez : compta? Affaires? Web? etc...
Voilà quelques conseils ci-dessous qui j'espère pourront vous aider à choisir LE bon ERP et le bon prestataire...(car c'est un détail à ne pas négliger!!!)
I°) Définir les attentes et les objectifs de l’entreprise : cela compte pour les besoins à court terme mais aussi et surtout pour ceux à moyen et long terme. La mise en place d’une solution informatique est un coût qui peut être rationalisé s’il prend en compte les futurs projets de société. Adopter une solution de gestion informatique est un investissement à long terme.
II°) Définir un planning et des délais : pour répondre à des besoins stratégiques de l’entreprise un planning doit être étudié avec toute l équipe.
III°) Nommer l’équipe projet : identifier clairement des interlocuteurs et leurs rôles est un gain de temps et d’efficacité pour mettre en place une solution de gestion en partenariat avec le(s) prestataire(s) choisis. Il est également intéressant de tenir compte du profil des clients utilisateurs et des décideurs qui auront à utiliser la solution finale et cela afin de répondre parfaitement à leurs attentes.
IV°) Définir les spécifications techniques et contraintes de sécurité : chaque métier à ses spécificités qu’il est fondamental d’exposer clairement au(x) prestataire(s).
V°) Étudier les pratiques actuelles et existantes au sein de l’entreprise : pour intégrer en douceur la nouvelle solution.
VI°) Prendre en compte l’ergonomie et l’utilisabilité de l’interface et de l’outil.
VII°) Exiger une démonstration “réelle” de la solution.
VIII°) Se renseigner sur les formations proposées par l’intégrateur/ éditeur : combien de temps durent-elles ? Qui peut en bénéficier ? Prenez garde aux formules forfaitaires « clés en main » qui sont souvent attractives mais non exhaustives.
IX°) Opter pour un contrat de maintenance en partenariat avec le prestataire choisis.
C’est une garantie à moyen terme vous protégeant et un gage de qualité de la part de l’intégrateur/ éditeur.
Le coût investi dans le contrat de maintenance est souvent largement rentabilisé au fil des mois.
X°) Demander quelles solutions offre l’intégrateur / l’éditeur en cas de besoin une fois la solution installée ? (Hot Line, Assistance Web etc ?).
A noter que, des spécialistes de l’édition et/ou de l’intégration qualifiés ne négligeront jamais aucune des étapes citées ci-dessus… vous savez maintenant reconnaître les pros ;-)
Je reste à votre disposition si vous souhaitez aller plus loin dans votre projet: www.octa.fr
Bonjour,
Pour une PME il fait sens aujourd'hui de choisir une solution Web/"cloud" versus un logiciel qu'il faudra installer/configurer/maintenir/sauvegarder... Avec une version en-ligne vous serez operationnel quasi-instantannement sans couts initiaux (materiel, logiciel...).
Aujourd'hui, myERP.com est la premiere solution de gestion en-ligne pour PME, avec plus de 20 000 petites entreprises utilisatrices dans plus de 100 pays differents. myERP.com est aussi parfaitement integre aux outils Google (Google Apps) comme Gmail ou Google Calendar et vous pouvez nous trouver sur la place de marche Google Apps Marketplace (en anglais): https://gsuite.google.com/marketplace/?pann=gam
Nous sommes sur le point de lancer la version francaise de notre application, aujourd'hui disponible en version beta. Si vous desirez faire partie de notre programme de test, n'hesitez pas a m'envoyer un email a jbsu@myerp.com.
Cordialement,
Jean-Baptiste
Pour une PME il fait sens aujourd'hui de choisir une solution Web/"cloud" versus un logiciel qu'il faudra installer/configurer/maintenir/sauvegarder... Avec une version en-ligne vous serez operationnel quasi-instantannement sans couts initiaux (materiel, logiciel...).
Aujourd'hui, myERP.com est la premiere solution de gestion en-ligne pour PME, avec plus de 20 000 petites entreprises utilisatrices dans plus de 100 pays differents. myERP.com est aussi parfaitement integre aux outils Google (Google Apps) comme Gmail ou Google Calendar et vous pouvez nous trouver sur la place de marche Google Apps Marketplace (en anglais): https://gsuite.google.com/marketplace/?pann=gam
Nous sommes sur le point de lancer la version francaise de notre application, aujourd'hui disponible en version beta. Si vous desirez faire partie de notre programme de test, n'hesitez pas a m'envoyer un email a jbsu@myerp.com.
Cordialement,
Jean-Baptiste
ge.fo
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dimanche 3 avril 2011
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Modifié par ge.fo le 4/04/2011 à 10:47
Modifié par ge.fo le 4/04/2011 à 10:47
Une solution crée pour les PME : COMARCH ALTUM
Simple et efficace.
https://www.comarch.fr/erp/
et le formulaire contact:
http://www.comarch.fr/erp/contact
Etudiant
Journal des NTIC
Simple et efficace.
https://www.comarch.fr/erp/
et le formulaire contact:
http://www.comarch.fr/erp/contact
Etudiant
Journal des NTIC
PME françaises, copions l'Allemagne !
Par PHILIPPE MICHELIN PDG de BFD (groupe Aebis)
Une campagne présidentielle est toujours propice à la réflexion, notamment sur le champ de l'emploi, préoccupation numéro un des Français, à en croire les sondeurs.
Après vingt-quatre ans de management d'une PME dont je suis le fondateur (37 personnes, 4 millions d'euros de CA) il m'a semblé important d'expliquer ce qui se passe dans une petite structure qui tente de se développer dans la situation économique actuelle. Ce qui conditionne le processus de création d'emplois d'une PME est son carnet de commandes. Pour parvenir à une commande, il faut une activité longue et patiente en amont (prospection, réponse à appel d'offres, remontée d'une chaîne de décision, vente, etc.), qui s'appuie sur les produits vendus ou les projets réalisés précédemment par l'entreprise ; d'où le besoin de relations longues avec ses clients. Elles existent en France entre les grandes entreprises elles-mêmes (informellement, à travers les membres de leur conseil d'administration), et entre ces grandes entreprises et les administrations (autour des marchés publics).
Au-delà des problèmes bien réels de financement et de contraintes réglementaires excessives, il y a avant tout des obstacles systémiques au développement des PME en France. C'est là où le bât blesse : contrairement à l'Allemagne, les relations à long terme en France n'existent pratiquement pas entre les grandes entreprises et les PME. Au contraire, en cas de crise, la PME française est la première variable d'ajustement, avant même les salariés de la grande entreprise : au premier coup de vent, on commence par «se débarrasser» des petits sous-traitants ! En outre, les grandes entreprises françaises reçoivent de manière détournée des subventions indirectes de l'Etat ou des collectivités pour ne pas licencier. Véritable écosystème vertueux, évidemment inaccessible pour des PME, TPE.
Dès lors, voilà ce qui se passe dans la relation entre une PME et ses grands clients, dès que le climat économique s'assombrit :
1. les départements opérationnels (ceux qui passent commande) s'empressent de geler les projets et d'arrêter (souvent brutalement) les commandes en cours, pour réduire les coûts ;
2. les départements d'achats déclenchent des campagnes de baisses unilatérales des prix sur les rares projets ou commandes qui subsistent ;
3. les départements comptables mettent en place des barrières non contractuelles qui génèrent autant de retards dans les délais de paiement, que la PME doit accepter pour survivre ;
4. les départements de ressources humaines organisent le débauchage des collaborateurs des PME les plus utiles pour eux, et dont la PME ne peut plus augmenter la rémunération ; ceci leur évite en plus de former des jeunes ou des apprentis.
Cette situation s'aggrave pour une PME oeuvrant dans le secteur des services, qui souffre d'un déficit d'image par rapport à l'industrie manufacturière ; en bas de l'échelle se trouvent les services informatiques, et plus généralement le secteur du numérique, bien qu'il s'agisse aujourd'hui d'une source d'investissement en l'avenir. En effet, pour une PME innovante dans les métiers du numérique, il est essentiel de valoriser ses savoir-faire sur tous ses clients. Mais les savoir-faire, s'ils sont assez bien reconnus pour la fabrication des biens matériels, sont assez faciles à nier pour les produits immatériels de l'industrie du numérique. Il est donc aisé, pour une grande entreprise, d'organiser le pillage des employés clefs formés par les PME, quitte à détruire la valeur de leurs investissements sur le capital humain.
Le résultat de ces pratiques est un effet «tenaille» pour les PME, entre les recettes qui s'effondrent et les coûts qui explosent. La PME ne peut s'en sortir qu'en retrouvant un point d'équilibre bien plus bas entre ses emplois et ses marchés, produits et projets...
Ainsi va le non-développement des PME en France.
Ce phénomène devient systémique au sens où la plupart des grands comptes de la PME procèdent de la même façon et au même moment. La barre est donc de plus en plus haute : peu de chefs de petites entreprises (sans être pour autant des petits chefs d'entreprise) sont capables de tenir longtemps physiquement et psychologiquement dans un contexte économique aussi déséquilibré au profit des grandes entreprises !
En résumé, le développement des PME françaises passera par la création d'écosystèmes qui leur sont favorables, en inversant le cercle vicieux des pratiques actuelles. En contrepartie, ces PME devront s'engager à continuer à former (notamment des jeunes), à innover et à s'internationaliser chaque fois que possible. Pour le secteur du numérique, les transferts de technologie entre PME innovantes et grandes entreprises permettraient que l'économie de la connaissance se développe enfin en France. Le tout sera bénéfique pour toute l'économie car une PME qui se développe devient une de ces fameuses entreprises de taille intermédiaire qui manquent tant à la France, en comparaison avec l'Allemagne.
Par PHILIPPE MICHELIN PDG de BFD (groupe Aebis)
Une campagne présidentielle est toujours propice à la réflexion, notamment sur le champ de l'emploi, préoccupation numéro un des Français, à en croire les sondeurs.
Après vingt-quatre ans de management d'une PME dont je suis le fondateur (37 personnes, 4 millions d'euros de CA) il m'a semblé important d'expliquer ce qui se passe dans une petite structure qui tente de se développer dans la situation économique actuelle. Ce qui conditionne le processus de création d'emplois d'une PME est son carnet de commandes. Pour parvenir à une commande, il faut une activité longue et patiente en amont (prospection, réponse à appel d'offres, remontée d'une chaîne de décision, vente, etc.), qui s'appuie sur les produits vendus ou les projets réalisés précédemment par l'entreprise ; d'où le besoin de relations longues avec ses clients. Elles existent en France entre les grandes entreprises elles-mêmes (informellement, à travers les membres de leur conseil d'administration), et entre ces grandes entreprises et les administrations (autour des marchés publics).
Au-delà des problèmes bien réels de financement et de contraintes réglementaires excessives, il y a avant tout des obstacles systémiques au développement des PME en France. C'est là où le bât blesse : contrairement à l'Allemagne, les relations à long terme en France n'existent pratiquement pas entre les grandes entreprises et les PME. Au contraire, en cas de crise, la PME française est la première variable d'ajustement, avant même les salariés de la grande entreprise : au premier coup de vent, on commence par «se débarrasser» des petits sous-traitants ! En outre, les grandes entreprises françaises reçoivent de manière détournée des subventions indirectes de l'Etat ou des collectivités pour ne pas licencier. Véritable écosystème vertueux, évidemment inaccessible pour des PME, TPE.
Dès lors, voilà ce qui se passe dans la relation entre une PME et ses grands clients, dès que le climat économique s'assombrit :
1. les départements opérationnels (ceux qui passent commande) s'empressent de geler les projets et d'arrêter (souvent brutalement) les commandes en cours, pour réduire les coûts ;
2. les départements d'achats déclenchent des campagnes de baisses unilatérales des prix sur les rares projets ou commandes qui subsistent ;
3. les départements comptables mettent en place des barrières non contractuelles qui génèrent autant de retards dans les délais de paiement, que la PME doit accepter pour survivre ;
4. les départements de ressources humaines organisent le débauchage des collaborateurs des PME les plus utiles pour eux, et dont la PME ne peut plus augmenter la rémunération ; ceci leur évite en plus de former des jeunes ou des apprentis.
Cette situation s'aggrave pour une PME oeuvrant dans le secteur des services, qui souffre d'un déficit d'image par rapport à l'industrie manufacturière ; en bas de l'échelle se trouvent les services informatiques, et plus généralement le secteur du numérique, bien qu'il s'agisse aujourd'hui d'une source d'investissement en l'avenir. En effet, pour une PME innovante dans les métiers du numérique, il est essentiel de valoriser ses savoir-faire sur tous ses clients. Mais les savoir-faire, s'ils sont assez bien reconnus pour la fabrication des biens matériels, sont assez faciles à nier pour les produits immatériels de l'industrie du numérique. Il est donc aisé, pour une grande entreprise, d'organiser le pillage des employés clefs formés par les PME, quitte à détruire la valeur de leurs investissements sur le capital humain.
Le résultat de ces pratiques est un effet «tenaille» pour les PME, entre les recettes qui s'effondrent et les coûts qui explosent. La PME ne peut s'en sortir qu'en retrouvant un point d'équilibre bien plus bas entre ses emplois et ses marchés, produits et projets...
Ainsi va le non-développement des PME en France.
Ce phénomène devient systémique au sens où la plupart des grands comptes de la PME procèdent de la même façon et au même moment. La barre est donc de plus en plus haute : peu de chefs de petites entreprises (sans être pour autant des petits chefs d'entreprise) sont capables de tenir longtemps physiquement et psychologiquement dans un contexte économique aussi déséquilibré au profit des grandes entreprises !
En résumé, le développement des PME françaises passera par la création d'écosystèmes qui leur sont favorables, en inversant le cercle vicieux des pratiques actuelles. En contrepartie, ces PME devront s'engager à continuer à former (notamment des jeunes), à innover et à s'internationaliser chaque fois que possible. Pour le secteur du numérique, les transferts de technologie entre PME innovantes et grandes entreprises permettraient que l'économie de la connaissance se développe enfin en France. Le tout sera bénéfique pour toute l'économie car une PME qui se développe devient une de ces fameuses entreprises de taille intermédiaire qui manquent tant à la France, en comparaison avec l'Allemagne.
OMboy
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lundi 18 octobre 2010
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20 octobre 2010
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20 oct. 2010 à 14:24
20 oct. 2010 à 14:24
J'ai trouvé ce site spécialisé en PME qui propose l'erp de cegid et qui propose un formulaire pour avoir un devis gratuit... (d'ailleurs j'ai l'impression que c'est le seul) http://www.gpao-pmi.com
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
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myERP.com
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jeudi 10 mars 2011
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10 mars 2011
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10 mars 2011 à 01:03
10 mars 2011 à 01:03
Bonjour,
Pour une PME il fait sens aujourd'hui de choisir une solution Web/"cloud" versus un logiciel qu'il faudra installer/configurer/maintenir/sauvegarder... Avec une version en-ligne vous serez operationnel quasi-instantannement sans couts initiaux (materiel, logiciel...).
Aujourd'hui, myERP.com est la premiere solution de gestion en-ligne pour PME, avec plus de 20 000 petites entreprises utilisatrices dans plus de 100 pays differents. myERP.com est aussi parfaitement integre aux outils Google (Google Apps) comme Gmail ou Google Calendar et vous pouvez nous trouver sur la place de marche Google Apps Marketplace (en anglais): https://gsuite.google.com/marketplace/?pann=gam
Nous sommes sur le point de lancer la version francaise de notre application, aujourd'hui disponible en version beta. Si vous desirez faire partie de notre programme de test, n'hesitez pas a m'envoyer un email a jbsu@myerp.com.
Bien a vous,
Jean-Baptiste
Pour une PME il fait sens aujourd'hui de choisir une solution Web/"cloud" versus un logiciel qu'il faudra installer/configurer/maintenir/sauvegarder... Avec une version en-ligne vous serez operationnel quasi-instantannement sans couts initiaux (materiel, logiciel...).
Aujourd'hui, myERP.com est la premiere solution de gestion en-ligne pour PME, avec plus de 20 000 petites entreprises utilisatrices dans plus de 100 pays differents. myERP.com est aussi parfaitement integre aux outils Google (Google Apps) comme Gmail ou Google Calendar et vous pouvez nous trouver sur la place de marche Google Apps Marketplace (en anglais): https://gsuite.google.com/marketplace/?pann=gam
Nous sommes sur le point de lancer la version francaise de notre application, aujourd'hui disponible en version beta. Si vous desirez faire partie de notre programme de test, n'hesitez pas a m'envoyer un email a jbsu@myerp.com.
Bien a vous,
Jean-Baptiste
Bonjour,
Si vous souhaitez consulter des éditeurs d'ERP pour les PME, il y a le site AchatsDirects qui propose plusieurs ERP pour les PME. Vous pouvez contacter directement les éditeurs et même demander un devis ou un chiffrage en fonction de votre projet.
http://www.achatsdirects.fr/2/logiciel-erp_1349.html
Si vous souhaitez consulter des éditeurs d'ERP pour les PME, il y a le site AchatsDirects qui propose plusieurs ERP pour les PME. Vous pouvez contacter directement les éditeurs et même demander un devis ou un chiffrage en fonction de votre projet.
http://www.achatsdirects.fr/2/logiciel-erp_1349.html
Bonjour,
Le petit consultant est un portail qui a pour objectif de créer un
référentiel unique d'applications professionnelles (progiciels de
gestion, de gestion de la relation client, de gestion de projet, de
supply chain...) et de les faire évaluer par les utilisateurs.
Le site propose un classement de ces progiciels par type, avec une liste
de modules associés et des renseignements sur la société éditrice.
Chaque membre peut ainsi évaluer ces progiciels sur la base de critères
et poster des commentaires.
Les directeurs informatiques et chefs de projets peuvent donc se baser
sur ces retours d'expérience réels pour les aider dans leurs appels
d'offres, contacter des utilisateurs, et se faire une idée nouvelle du
progiciel en plus de ce que peut donner une réponse à un cahier des
charges.
Ceci n'existe pas actuellement ou alors, existe de façon très
restreinte avec une armée d'intégrateurs cachés derrière.
Le petit consultant lui, est TOTALEMENT INDÉPENDANT et le restera.
Vous pouvez faire partager votre expérience sur
http://www.lepetitconsultant.com
Le petit consultant est un portail qui a pour objectif de créer un
référentiel unique d'applications professionnelles (progiciels de
gestion, de gestion de la relation client, de gestion de projet, de
supply chain...) et de les faire évaluer par les utilisateurs.
Le site propose un classement de ces progiciels par type, avec une liste
de modules associés et des renseignements sur la société éditrice.
Chaque membre peut ainsi évaluer ces progiciels sur la base de critères
et poster des commentaires.
Les directeurs informatiques et chefs de projets peuvent donc se baser
sur ces retours d'expérience réels pour les aider dans leurs appels
d'offres, contacter des utilisateurs, et se faire une idée nouvelle du
progiciel en plus de ce que peut donner une réponse à un cahier des
charges.
Ceci n'existe pas actuellement ou alors, existe de façon très
restreinte avec une armée d'intégrateurs cachés derrière.
Le petit consultant lui, est TOTALEMENT INDÉPENDANT et le restera.
Vous pouvez faire partager votre expérience sur
http://www.lepetitconsultant.com
seodune
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vendredi 4 octobre 2013
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8 octobre 2013
1
8 oct. 2013 à 16:03
8 oct. 2013 à 16:03
Bonjour,
Pour une grand entreprise ou une PME, il est conseillé d'utiliser une plateforme en ligne car elles peuvent être accèdes à distance et très souvent de manière très sure. Personnellement, j'utilise Dune Gestion https://www.dunegestion.com/ qui est un très bon progiciel de gestion intégré.
Pour une grand entreprise ou une PME, il est conseillé d'utiliser une plateforme en ligne car elles peuvent être accèdes à distance et très souvent de manière très sure. Personnellement, j'utilise Dune Gestion https://www.dunegestion.com/ qui est un très bon progiciel de gestion intégré.
Bonjour,
votre logiciel est arrivé en France. avez vous décidé de créer des programme de partenaire ?
Nous sommes une filiale de laposte et Docapost-dps.com : MAILEVA
Pensez vous qu'il y est un intérêt à un partenariat avec votre solution intégrer à notre plateforme de gestion documentaires middle market ? Nous pourrions étoffer nos offres (Editique, Demat, Marketing direct multicanal) et prendre des positions sur le numérique pour proposer à nos clients une ERP en mode saas.
voici notre site www.maileva.com
cdt
votre logiciel est arrivé en France. avez vous décidé de créer des programme de partenaire ?
Nous sommes une filiale de laposte et Docapost-dps.com : MAILEVA
Pensez vous qu'il y est un intérêt à un partenariat avec votre solution intégrer à notre plateforme de gestion documentaires middle market ? Nous pourrions étoffer nos offres (Editique, Demat, Marketing direct multicanal) et prendre des positions sur le numérique pour proposer à nos clients une ERP en mode saas.
voici notre site www.maileva.com
cdt
greg450
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samedi 16 février 2013
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31 mai 2013
31 mai 2013 à 12:25
31 mai 2013 à 12:25
Ca depend beaucoup de si tu as besoin de développements spécifiques ou bien si tu peux te "contenter" d'un logiciel standard.
et surtout je pense que ca ne sera pas le même prix
et surtout je pense que ca ne sera pas le même prix
paradoxius
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Modifié par paradoxius le 10/10/2013 à 14:10
Modifié par paradoxius le 10/10/2013 à 14:10
Bonjour,
Je suis totalement d'accord avec : greg450, Consultant erp, maxim
Mais je te rajouterai le fait que les solutions clouding sont à bien peser.
Le clouding solution est à choisir en dernière solution question de confidentialité.
Qui est derrière, qui gère, où sont les serveurs, quel est le niveau de sécurité, mon entreprise doit il se protéger de l'espionnage industriel?
Etant donné que l'on met à nu son entreprise à autrui bien masqué.
Donc même si la solution toute faite et gratuite est sous le nez. Des questions évidentes sont à ce poser.
Mais je dirai qu'il faut pas non plus être totalement parano.
J'en ai vu certain offrir des solutions complets et pas mal fournie en service.
Certain en été énuméré au dessus.
Moi j'ai une préférence pour openerp et dolibarr.
https://www.odoo.com
https://www.dolibarr.org/?lang=fr&l=fr
Surtout bien suivre son cahier de charge pour ne pas avoir de mauvaise surprise et choisir une solution uniquement adapté à sa société.
Prendre beaucoup de temps pour faire son choix
Je suis totalement d'accord avec : greg450, Consultant erp, maxim
Mais je te rajouterai le fait que les solutions clouding sont à bien peser.
Le clouding solution est à choisir en dernière solution question de confidentialité.
Qui est derrière, qui gère, où sont les serveurs, quel est le niveau de sécurité, mon entreprise doit il se protéger de l'espionnage industriel?
Etant donné que l'on met à nu son entreprise à autrui bien masqué.
Donc même si la solution toute faite et gratuite est sous le nez. Des questions évidentes sont à ce poser.
Mais je dirai qu'il faut pas non plus être totalement parano.
J'en ai vu certain offrir des solutions complets et pas mal fournie en service.
Certain en été énuméré au dessus.
Moi j'ai une préférence pour openerp et dolibarr.
https://www.odoo.com
https://www.dolibarr.org/?lang=fr&l=fr
Surtout bien suivre son cahier de charge pour ne pas avoir de mauvaise surprise et choisir une solution uniquement adapté à sa société.
Prendre beaucoup de temps pour faire son choix