1 réponse
Salut Stefano,
Voici de quoi éclairer ta lanterne.
Pour profiter pleinement de la technologie HyperThreading, il faut en effet que l'application soit prédisposée à un traitement multiprocesseur. Il s'agit en général d'applications opérant de nombreux calculs simples et répétitifs, tels les logiciels de traitement vidéo, d'image de synthèse, de retouche d'images, de CAO... Pour cette catégorie d'applications, le gain de puissance escompté peut atteindre 60 %. En revanche, dans un contexte de traitement bureautique, l'apport de l'HyperThreading est quasi nul. Enfin, certaines applications comme la détection de virus gagneront à être traitées en tâche de fond grâce à l'HyperThreading.
Quant à l'OS, il se doit d'être compatible avec la notion de processeur logique, ce qui est par exemple le cas de Windows Server 2003. Dans le cas contraire, mieux vaut désactiver cette fonction au niveau du Bios afin d'éviter une dégradation des performances. Côté environnement client, seuls les systèmes Windows XP avec une mise à niveau SP1 (Service Pack 1) ainsi que les versions de Linux à partir du noyau 2.4.x s'avèrent compatibles avec cette technologie.
BàT Surfiant
Voici de quoi éclairer ta lanterne.
Pour profiter pleinement de la technologie HyperThreading, il faut en effet que l'application soit prédisposée à un traitement multiprocesseur. Il s'agit en général d'applications opérant de nombreux calculs simples et répétitifs, tels les logiciels de traitement vidéo, d'image de synthèse, de retouche d'images, de CAO... Pour cette catégorie d'applications, le gain de puissance escompté peut atteindre 60 %. En revanche, dans un contexte de traitement bureautique, l'apport de l'HyperThreading est quasi nul. Enfin, certaines applications comme la détection de virus gagneront à être traitées en tâche de fond grâce à l'HyperThreading.
Quant à l'OS, il se doit d'être compatible avec la notion de processeur logique, ce qui est par exemple le cas de Windows Server 2003. Dans le cas contraire, mieux vaut désactiver cette fonction au niveau du Bios afin d'éviter une dégradation des performances. Côté environnement client, seuls les systèmes Windows XP avec une mise à niveau SP1 (Service Pack 1) ainsi que les versions de Linux à partir du noyau 2.4.x s'avèrent compatibles avec cette technologie.
BàT Surfiant