Installation de linux mint

bonjour mamiemando

merci pour ta réponse ,mais du coup j'ai une question à te poser. 

le fais de conserver Windows a cote de linux cela ne fait-il pas courir un risque a l'ordinateur du fait que de ce que j'ai comprit il(Windows ) pourrait êtres pirater plus facilement fu fait qu'il n'y auras plus de mise a jours

merci de ta réponse

bonne soirée 

cordialement

bonjour, mamiemando,

je vais imprimer tout ca et le digérer tranquillement. tu est une encyclopédie.

je te souhaite une bonne journée

bien cordialement 

Bonjour,

Pour autant que les caractéristiques matérielles le permettent sur une machine de cet âge (Mint n'est pas la distribution la plus légère qui soit), il suffit d'être capable depuis le Bios de démarrer sur la clé.

Voir par exemple ici un tuto bien illustré.

https://sospc.name/installer-linux-mint-partie-1/

bonjour brucine

merci de votre réponse .

Les caractéristiques matériels semble corresponde car j'ai un Intel Core 2 avec 4 giga de ram ,le minimum pour faire tourner Mint et un disque de 500giga

je regarde le tuto que vous m'avez envoyer qui semble bien fait

encore merci et bonne journée 

Bonjour,

Le guide officiel d'installation de linux Mint se trouve ici  (sur la page de téléchargement) :

https://linuxmint-installation-guide.readthedocs.io/en/latest/

Malheureusement il n'est disponible qu'en anglais.

bonjour

merci de votre réponse;

malheureusement je ne connait que la langue de Molière , qui est maltraité par le globish  aujourd'hui

merci quand même et bon dimanche

cordialement

ah ben grand merci 

je n'i es tout simplement pas pense 

j'essai tout de suite

merci aussi vous brucine

bon dimanche

Bonjour,

Au pire du pire, la procédure d'installation de Linux Mint doit être quasiment identique à celle d'Ubuntu pour laquelle tu trouveras de nombreux tutoriels en français (par exemple le tutoriel d'openclassroom).

Je pense que le plus important c'est surtout de comprendre les notions mise en jeu lors de l'installation (en particulier, le partitionnement, surtout si tu as l'intention de faire un dual boot {Linux Mint/Windows} -- ce serait dommage d'écraser Windows par mégarde).

Bonne chance

bonsoir mamiemando

je te remercie pour ta longue réponse très bien explique et très complète pour moi.

en suivant les conseils de ccm je me suis inscrit aux mise a jours de windwos jusqu'an 2026 .

que soit remercie ici touts les contributeurs de ccm qui mettent leurs talent à notre service 

je part en week end demain mais je compte revenir vers toi et profiter de tes talents informatique pour le chiffrement des disque dur ;

a lundi si tu es dispo

je te souhaite une bonne soirée et un bon weekend 

bien cordialement

Bonjour @ChamoisImposant61 StatutMembre

En réponse à #15 :

Si tu souhaites chiffrer tes partitions Linux, sache que c'est une considération qui a des conséquences lors de l'installation et ensuite lors de l'utilisation.

Quelques connaissances préalables avant de se lancer.

Disque dur, partitions

• Un disque dur est décomposé en une ou plusieurs partitions (physiques).
• Une partition est notamment caractérisée par une position de départ, une taille, et un système de fichiers (~ langue dans laquelle sont écrites les et organisées données).
  • Le système de fichiers est choisi en fonction du rôle de la partition car il définit ce que sait faire la partition.
  • Attention : "Formater" une partition, c'est réécrire son système de fichiers (ce qui détruit toutes les données qui étaient préalablement sur ladite partition). Donc avant de formater quoi que ce soit, assure-toi d'avoir récupérer les fichiers auxquels tu tiens !

Généralement, une machine utilisateur Linux est installé sur trois partitions :

• / : le système d'exploitation, généralement formaté en ext4
• /home : les données utilisateurs (~ Mes Documents sous Windows), généralement formaté en ext4
• swap : le fichier d'échange, utilisé quand le PC manque de mémoire ou utilisé lors des hibernation, formaté en swap.

Table des partitions et notations

Linux et Windows notent les partitions différemment. Par exemple Windows parle de lecteurs, typiquement notés C:, D:, etc. Linux adopte d'autres notations. Rien de très passionnant (ou compliqué) mais tu y seras confronté lors de l'installation (à l'étape de partitionnement) donc autant les comprendre :

• Les disques (IDE, SATA, SSD) généralement notés /dev/sda (1er disque), /dev/sdb (2e disque), etc. Chaque disque peut être décomposé en partition physiques : /dev/sda1 (1er partition de /dev/sda), /dev/sda2 (2e partition de /dev/sda), etc, et sur le même principe /dev/sdb1, /dev/sdb2, etc.
  • Dans des temps reculés, la table des partitions des disque dur était écrite dans le format MBR. MBR pose des contraintes : par exemlpe on ne peut pas avoir plus de 4 partitions (primaires). Cela obligeait à définir des partitions primaires décomposables (partitions étendues) en sous partitions (partitions secondaires). Cela affecte cette numérotation.
  • De nos jours, les disques durs sont formatés en GPT et donc on peut avoir un nombre arbitraire de partitions ("primaires"). Il est assez simple de basculer de MBR vers GPT (et réciproquement).
  • Dans ce qui suit, les partitions (primaires ou secondaires) seront appelées partitions physiques.
• Les disques NVME ont des notations un peu différentes. Par exemple, une partition se note /dev/nvme0n1p1 où :
  • l'entier derrière le "n" indexe le disque
  • l'entier derriere le "p" indexe la partition.

Le partitionnement lors de l'installation de Linux

Au moment de partitionner ton disque dur, l'installeur te proposera de définir les partitions de ton future système Linux (taille, position, système de fichiers), leur éventuel point de montage (typiquement / et /home) et éventuellement d'utiliser LUKS et/ou LVM.

• Selon ce que tu veux faire tu peux :
  • ni LUKS ni LVM (l'installation la plus simple, très commune) ;
  • utiliser LVM mais pas LUKS ;
  • LUKS mais pas LVM ;
  • LUKS et LVM ;
• La mise en place de LUKS (ou non) et de LVM (ou non) peut se faire assez facilement lors de l'installation. Cependant, c'est compliqué à mettre en œuvre a posteriori (surtout LVM). Donc si tu souhaites envisage d'utiliser LVM et/ou LUKS, je t'encourage vivement à le faire dès l'installation.

LUKS permet de chiffrer une partition, généralement protégée à l'aide d'un mot de passe.

• Pour accéder à une partition chiffrée, il faut taper son mot de passe quand tu veux la déverrouiller (en particulier au démarrage de Linux)
• Il ne faut jamais oublier le mot de passe d'une partition LUKS ! Et il faut garder à l'esprit que tu auras à le taper assez souvent (typiquement quand tu démarres Linux qui utilise une partition LUKS)
• Si plusieurs partitions doivent être chiffrées par LUKS, mais que tu souhaites les déverrouiller en une saisie mot de passe, LVM est nécessaire.

LVM permet de définir des partitions logiques, soit au niveau du disque complet, soit dans une partition. Je reviendrai sur LVM plus tard (en admettant que tu sois concerné).

• Si tu souhaites uniquement chiffrer ta partition utilisateur (/home) mais pas les autres (/ et swap), a priori pas besoin de LVM.
• Si tu veux chiffrer toutes tes partitions (/, /home, swap) :
  • Soit on les chiffre indépendamment (donc un mot de passe à saisir par partition, ce qui à la longue est fastidieux)
  • Soit on les chiffre toutes d'un coup en "un mot de passe"  en un mot de passe, mais pour cela il faut utiliser LVM.

LVM

L'une des promesses de LVM est de permettre de revoir le partitionnement plus facilement (notamment ajouter, redimensionner, ou supprimer des volumes logiques). Voyons la terminologie qui lui est propre :

• pv: Chaque partition de disque dur est appelée physical volume (pv) potentiellement provenant de différents disques durs.
• vg: On définit ensuite un ou plusieurs groupe de volumes appelés volume group (vg) dont la capacité est la somme des capacités de ses volumes physique.
• lv: Enfin, on décompose chaque groupe de volume en volumes logiques (lv). Ces volumes logiques sont utilisés comme des partitions "ordinaires", à ceci prêt que physiquement partant, leur donnée peut être disséminée à cheval sur plusieurs disque durs.

Exemple : Considérons un disque dur /dev/sda sur lequel on veut installer Linux.

• Sans LVM : on peut définir faire trois partitions physiques /dev/sda1, /dev/sda2, /dev/sda3 pour héberger respectivement la swap, / et /home et respectivement formatée en swap, ext4, ext4.
• Avec LVM : on peut définir une partition formatée en LVM (/dev/sda1). Puis on peut définir un volume de groupe (notons le vg0) qui ne contient que /dev/sda1. Enfin, on peut décomposer vg0 en trois volumes logiques (notons-les swap, root, home), correspondant respectivement à la swap, /, et /home, et respectivement formatées en swap, ext4, ext4.
• Si tu veux plus de détails, je t'invite à lire cette page.

LUKS et LVM en tandem

Un problème posé par un partitionnement LVM c'est que Windows ne sait pas l'utiliser. Cela veut dire qu'on ne peut ni installer Windows dans des volumes logiques LVM. Cependant, Windows n'est pas impacté par une partition LUKS (c'est juste une partition qu'il ne sait pas lire et qu'il va donc ignorer, au même titre qu'une partition ext4 si on installait Linux sans LUKS ni LVM). On pourrait craindre que cela contrecarre notre plan de chiffrer les trois partitions Linux "d'un coup". Heureusement, il n'en est rien. En effet, si les trois partitions Linux sont trois  "sous partitions" LVM encapsulées dans une partition physique chiffrée avec LUKS, les partitions Windows n'étant pas gérées par LVM, Windows n'est pas impacté. Et côté Linux, en déverrouillant la partition LUKS, on déverrouille les trois partitions d'un coup. 

Exemple : Ce lien montre un système fedora qui utilise LUKS et LVM en tandem.  La partition /dev/sdb3 est chiffrée avec LUKS. Et cette partition est décomposée en trois sous partitions avec LVM. Windows pourrait donc avoir ses propres partitions dans /dev/sdb sans être perturbé par LVM.

J'espère que mes explications (bien que techniques) restent claires et t'aideront à trouver ton chemin.

Bonne chance