Créer une petite histoire ...

neo2010 - 12 juin 2010 à 14:34
 neo2010 - 9 juil. 2012 à 00:03
Bonjour,

J'invite toutes les personnes sur le forum à compléter le début de la phrase que je vais donner pour créer une petite histoire. Le résultat sera sans doute sympathique!
Chacun peut rajouter ce qu'il veut à condition que cela soit cohérent, qu'il n'y ait pas d'insultes ou de propos déplacés.
La personne rajoutant un ou plusieurs mot devra reprendre l'intégralité ce qui a déjà été écrit avant (en faisant simplement un copier-coller) pour que cela puisse être facile pour la personne suivante.
Le début de l'histoire est le suivant:

Il était une fois...

A vous de jouer! Merci d'avance pour vos contributions.
A voir également:

25 réponses

duff01 Messages postés 438 Date d'inscription mardi 7 juillet 2009 Statut Membre Dernière intervention 25 décembre 2010 71
26 juil. 2010 à 12:00
Il était une fois un beau jeune homme vivant dans une contrée lointaine qui rêvait du grand amour. Il n'y avait pas si loin une belle fée qui lui envoyait un message. La fée était d'une beauté sans égal, son visage parfait était entouré de magnifique cheveux blonds qui reflaitaient la lumière du soleil. Sa peau aussi douce que la soie était si lisse que l'on aurait pu la confondre avec la surface d'une rivière calme à l'eau limpide. Quand à son minuscule corps de fée il était toujours recouvert d'une petite robe de tissus délicat et scintillant comme les étoiles. Malheureusement c'est avec cette robe qu'avait commencé la malédiction. Elle avait hérité cette robe de sa mère, la reine du royaume Morytana. Un royaume que seules les fées étaient capables de voir, un royaume où la nuit était maître et où les habitants vivaient dans la crainte et la peur. Une peur liée à la tyrannie exercée par la reine du royaume Morytana. La plupart des habitants du royaume étaient sous le joug de la reine et attendaient tous avec impatience le moment où un jeune homme au coeur pur et au courage infinie viendrait vaincre leur bourreau. Et ce moment était peut-être arrivé. En effet, les habitants de Lancio, un petit village à l'ouest du royaume en étaient persuadés lorsqu'ils aperçurent pour la première fois un jeune homme venant de l'est. Il montait un superbe destrier noir et était vêtu d'une armure d'un éclat écarlate...
Les habitants eurent tôt fait de mettre ce preux chevalier au courant de la malediction qui pesait sur le royaume car, ils en étaient certain, avec cette lourde armure de fer qui le cachait de la tête aux pieds et cette imposante épée ornée de pierres précieuses, il ne pouvait être qu'un brave chevalier envoyé pour les sauver. Le jeune homme ne manqua pas de sang froid et à peine eut il vent de la misère qui frappait ce peuple qu'il se mit en tête de les sauver et pour cela il devait sacrifier leur reine. Un problème se posa cependant : comment libérer une royaume que l'on ne peut voire ? Les villageois de Lancio le savaient bien, seul les fées aux sang pur pourrait accéder au royame Morytana et eux meme qui n'étaient que de pauvres paysans ignoraient comment percer cette enchantement.
Le chevalier décidait donc de retrouver la fée qui lui avait envoyé un message. Mais lorsqu'il demanda aux villageois où elle pouvait se trouver et lorsqu'il évoqua la reine, les habitants terrorisés parlèrent de la malédiction. Certains d'entre-eux se recroquevillèrent en se cachant le visage avec leurs mains tandis que d'autres s'enfuirent dans leurs maisons en fermant leurs portes à double tour. Seul et dépité, le chevalier continuait son chemin. Il arriva aux abords du village et vit une petite cabane en bois près de laquelle se tenait un gnome. Celui-ci était en train de couper du bois et n'était pour le moins pas surpris par l'arrivée du chevalier à sa porte.
"Je t'attendais. La prophétie doit s'accomplir chevalier." Ce dernier était vraiment surpris qu'une personne du village daigne enfin lui révéler quoique ce soit à propos de la malédiction. Le jeune homme resta un instant bouche bée. Les gnomes qu'il avait rencontré auparavant était des créatures vils et dénués de paroles...
Le gnome fronça méchemment ses gros sourcils brousailleux devant le manque de réaction du chevalier. Un homme digne de se rang ne se devait il pas d'être courageux, vif d'esprit et sans peur ? "Ce n'est pas avec cet air de lapin aveuglé par la lumière du jour que tu réussiras à anéantir la reine et à tous nous sauver !" Grogna le gnome. Ces mots eut pour le chevalier l'effet d'un coup de poing dans le ventre. Brave il l'était alors ce serait avec un honneur immense qu'il délivrerait le royaume ainsi que la belle fée à laquelle il ne cessait de réver. Il c'était promis qu'aprés l'avoir libérer il lui demanderait sa main. "Que dois je faire ?" Demanda t'il alors, enhardi par cette pensée
"Tu devras te diriger dans les lointaines contrées septentrionales pour y trouver le calice dorée" rétorqua le gnome. "Si l'on en croit la légende, il serait remplit du sang de la reine de Morytana. En buvant ce sang tu seras toi aussi maudit mais tu pourras alors retrouver la fée et donc accéder à la partie du royaume de Morytana où se trouve le château de la reine tyrannique. Mais fais attention, cette région est peuplée de créatures aussi mythiques que terrifiantes. En seras-tu capable chevalier?"
Et comment! Je suis le digne héritier du roi de motalvy! Je libérerais se village de cette sombre reine! La réponse du gnome ne se fit pas attendre, " Alors pars brave chevalier et n'oublie pas, quand la reine dort, le peuple danse!
Le jeune homme se remit en selle, le cheval se mit à galoper, sa cape flottait au vent comme un drapeau qui ornait un village. L'énigme du gnome lui restait en tête et il se demandait ce que pouvait bien dire ces paroles.
Le jour commençait à tomber, il s'arrêta donc prêt d'une auberge.
Il attacha sa monture près d'une étable où se trouvait un abreuvoir puis entra dans l'auberge. Celle-ci grouillait de monde. D'un côté se trouvait des hommes ivres devant leurs chopes de bières tandis que de l'autre côté des gobelins étaient en train de jouer aux cartes. Au fond de l'auberge, une plantureuse serveuse dévisageait le chevalier qui venait de rentrer. Ses cheveux blonds et ses traits du visage laissaient à penser qu'elle était d'origine nordique. Tout en contemplant le nouveau venu dans son auberge, elle essuyait une chope avec un vieux torchon à moitié abimée.
Le chevalier alla à sa rencontre. "Que puis-je vous servir à boire monseigneur" dit-elle avec un accent prononcé du nord.
"Un tord-boyeaux" répondit le preux chevalier.
"Je vais vous servir un breuvage typique des contrées nordhiennes, les terres de mes ancêtres". Elle partit à l'arrière du bar pour préparer sa recette à base d'eau-de-vie. Le chevalier connaissait bien la province d'origine de la serveuse. Elle était peuplée d'hommes et de femmes de grandes bravoures qui n'avaient jamais peur de relever un défi.
Tout en regardant la serveuse s éloigner, le chevalier pris place sur une table prêt d'une fenêtre, il pouvait ainsi garder un oeil sur son cheval. Bien qu'il pouvait être brave et courageux, une lueur d'anxiété se lisait dans ses yeux, se que remarqua la serveuse en lui servant sa boisson.
Elle lui demanda si il était à l'aise, il lui répondis en lui souriant que oui, mais qu'il avait des choses importantes à s'occuper dès l'aube. La serveuse plus que curieuse lui demanda : "Brave chevalier d'y m'en plus s'il te plait, si tu savait comme cette auberge est monotone, j'aimerais tant vivre l'aventure!"
"Eh bien voit-tu - La serveuse se plaça à coté de notre héros et tandis l'oreille -, il y a non-loin d'ici, dans un village nommé Morytana, un peuple qui m'attend, je doit sauver leur village de la malédiction qui les pèsent depuis trop longtemps, cependant, je ne connait presque rien de cette malédiction, je craint que la tache que je doit accomplir sera plus que difficile.
"Oh chevalier comme tu est courageux! S'il te plait emmène moi avec toi!" Dit-elle avec excitation...
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duff01 Messages postés 438 Date d'inscription mardi 7 juillet 2009 Statut Membre Dernière intervention 25 décembre 2010 71
Modifié par duff01 le 29/07/2010 à 02:52
Il était une fois un beau jeune homme vivant dans une contrée lointaine qui rêvait du grand amour. Il n'y avait pas si loin une belle fée qui lui envoyait un message. La fée était d'une beauté sans égal, son visage parfait était entouré de magnifique cheveux blonds qui reflaitaient la lumière du soleil. Sa peau aussi douce que la soie était si lisse que l'on aurait pu la confondre avec la surface d'une rivière calme à l'eau limpide. Quand à son minuscule corps de fée il était toujours recouvert d'une petite robe de tissus délicat et scintillant comme les étoiles. Malheureusement c'est avec cette robe qu'avait commencé la malédiction. Elle avait hérité cette robe de sa mère, la reine du royaume Morytana. Un royaume que seules les fées étaient capables de voir, un royaume où la nuit était maître et où les habitants vivaient dans la crainte et la peur. Une peur liée à la tyrannie exercée par la reine du royaume Morytana. La plupart des habitants du royaume étaient sous le joug de la reine et attendaient tous avec impatience le moment où un jeune homme au coeur pur et au courage infinie viendrait vaincre leur bourreau. Et ce moment était peut-être arrivé. En effet, les habitants de Lancio, un petit village à l'ouest du royaume en étaient persuadés lorsqu'ils aperçurent pour la première fois un jeune homme venant de l'est. Il montait un superbe destrier noir et était vêtu d'une armure d'un éclat écarlate...
Les habitants eurent tôt fait de mettre ce preux chevalier au courant de la malediction qui pesait sur le royaume car, ils en étaient certain, avec cette lourde armure de fer qui le cachait de la tête aux pieds et cette imposante épée ornée de pierres précieuses, il ne pouvait être qu'un brave chevalier envoyé pour les sauver. Le jeune homme ne manqua pas de sang froid et à peine eut il vent de la misère qui frappait ce peuple qu'il se mit en tête de les sauver et pour cela il devait sacrifier leur reine. Un problème se posa cependant : comment libérer une royaume que l'on ne peut voire ? Les villageois de Lancio le savaient bien, seul les fées aux sang pur pourrait accéder au royame Morytana et eux meme qui n'étaient que de pauvres paysans ignoraient comment percer cette enchantement.
Le chevalier décidait donc de retrouver la fée qui lui avait envoyé un message. Mais lorsqu'il demanda aux villageois où elle pouvait se trouver et lorsqu'il évoqua la reine, les habitants terrorisés parlèrent de la malédiction. Certains d'entre-eux se recroquevillèrent en se cachant le visage avec leurs mains tandis que d'autres s'enfuirent dans leurs maisons en fermant leurs portes à double tour. Seul et dépité, le chevalier continuait son chemin. Il arriva aux abords du village et vit une petite cabane en bois près de laquelle se tenait un gnome. Celui-ci était en train de couper du bois et n'était pour le moins pas surpris par l'arrivée du chevalier à sa porte.
"Je t'attendais. La prophétie doit s'accomplir chevalier." Ce dernier était vraiment surpris qu'une personne du village daigne enfin lui révéler quoique ce soit à propos de la malédiction. Le jeune homme resta un instant bouche bée. Les gnomes qu'il avait rencontré auparavant était des créatures vils et dénués de paroles...
Le gnome fronça méchemment ses gros sourcils brousailleux devant le manque de réaction du chevalier. Un homme digne de se rang ne se devait il pas d'être courageux, vif d'esprit et sans peur ? "Ce n'est pas avec cet air de lapin aveuglé par la lumière du jour que tu réussiras à anéantir la reine et à tous nous sauver !" Grogna le gnome. Ces mots eut pour le chevalier l'effet d'un coup de poing dans le ventre. Brave il l'était alors ce serait avec un honneur immense qu'il délivrerait le royaume ainsi que la belle fée à laquelle il ne cessait de réver. Il c'était promis qu'aprés l'avoir libérer il lui demanderait sa main. "Que dois je faire ?" Demanda t'il alors, enhardi par cette pensée
"Tu devras te diriger dans les lointaines contrées septentrionales pour y trouver le calice dorée" rétorqua le gnome. "Si l'on en croit la légende, il serait remplit du sang de la reine de Morytana. En buvant ce sang tu seras toi aussi maudit mais tu pourras alors retrouver la fée et donc accéder à la partie du royaume de Morytana où se trouve le château de la reine tyrannique. Mais fais attention, cette région est peuplée de créatures aussi mythiques que terrifiantes. En seras-tu capable chevalier?"
Et comment! Je suis le digne héritier du roi de motalvy! Je libérerais se village de cette sombre reine! La réponse du gnome ne se fit pas attendre, " Alors pars brave chevalier et n'oublie pas, quand la reine dort, le peuple danse!
Le jeune homme se remit en selle, le cheval se mit à galoper, sa cape flottait au vent comme un drapeau qui ornait un village. L'énigme du gnome lui restait en tête et il se demandait ce que pouvait bien dire ces paroles.
Le jour commençait à tomber, il s'arrêta donc prêt d'une auberge.
Il attacha sa monture près d'une étable où se trouvait un abreuvoir puis entra dans l'auberge. Celle-ci grouillait de monde. D'un côté se trouvait des hommes ivres devant leurs chopes de bières tandis que de l'autre côté des gobelins étaient en train de jouer aux cartes. Au fond de l'auberge, une plantureuse serveuse dévisageait le chevalier qui venait de rentrer. Ses cheveux blonds et ses traits du visage laissaient à penser qu'elle était d'origine nordique. Tout en contemplant le nouveau venu dans son auberge, elle essuyait une chope avec un vieux torchon à moitié abimée.
Le chevalier alla à sa rencontre. "Que puis-je vous servir à boire monseigneur" dit-elle avec un accent prononcé du nord.
"Un tord-boyeaux" répondit le preux chevalier.
"Je vais vous servir un breuvage typique des contrées nordhiennes, les terres de mes ancêtres". Elle partit à l'arrière du bar pour préparer sa recette à base d'eau-de-vie. Le chevalier connaissait bien la province d'origine de la serveuse. Elle était peuplée d'hommes et de femmes de grandes bravoures qui n'avaient jamais peur de relever un défi.
Tout en regardant la serveuse s'éloigner, le chevalier pris place sur une table près d'une fenêtre, il pouvait ainsi garder un oeil sur son cheval. Bien qu'il pouvait être brave et courageux, une lueur d'anxiété se lisait dans ses yeux, se que remarqua la serveuse en lui servant sa boisson.
Elle lui demanda si il était à l'aise, il lui répondit en lui souriant que oui, mais qu'il avait des choses importantes à s'occuper dès l'aube. La serveuse plus que curieuse lui demanda : "Brave chevalier d'y m'en plus s'il te plait, si tu savais comme cette auberge est monotone, j'aimerais tant vivre l'aventure!"
"Eh bien vois-tu - La serveuse se plaça à côté de notre héros et tendit l'oreille -, il y a non-loin d'ici, dans un village nommé Morytana, un peuple qui m'attend, je dois sauver leur village de la malédiction qui leur pèsent depuis trop longtemps, cependant, je ne connais presque rien de cette malédiction, je crains que la tâche que je doit accomplir sera plus que difficile.
"Oh chevalier comme tu est courageux! S'il te plait emmène moi avec toi!" Dit-elle avec excitation
"Non je ne peux, cela semble bien trop risqué pour vous" dit le chevalier.
La serveuse s'exclama alors: "je suis de la lignée Thorienne et rien ne me fait peur, preux chevalier!"
Les hommes arrêtèrent alors de boire tandis que les gobelins cessèrent également de jouer aux cartes. Tous les regards étaient rivés vers la serveuse.
Le chevalier,surpris et intrigué par la réaction de tous, demanda alors à la serveuse: "Qui sont les Thoriens?" Un gobelin s'avança vers lui et répondit. "C'est un peuple d'hommes et de femmes de grandes valeurs et ce sont surtout de très grands guerriers. Ils vainquirent le terrible dragon de feu Indoloria et délivrèrent par la même occasion le royaume de Pandovia qui se situe à côté des contrées nordhiennes, leur province d'origine."
Le regard du chevalier envers la serveuse changea alors. Un profond respect pouvait se lire au fond de ses yeux.
"Tu as gagné, tu peux m'accompagner. Quel est ton nom gente dame?"
"Eléonora!" dit-elle fièrement. "Et toi chevalier, comment te prénommes-tu?"
"Je suis Duff007" répondit-il.
"Le voyage qui nous attend risque ne pas être de tout repos. Nous partirons à l'aube"
Il savais que Eléonora lui sera bien utile durant son voyage et aussi pour secourir le peuple Morytanien.
Elle était tellement contente de pouvoir enfin sortir et de partir avec notre chevalier, que ne pouvant plus tenir, elle laissa s échapper un énorme : "Merciiiiii" de sa bouche.
"Calmez vous" lui répondis le chevalier, "Nous devons accomplir la prophétie et se n'est pas de tout repos; pourriez vous me montrer ou se situe ma chambre s'il vous plait?"
"Euh, oui bien sur! Suivez moi" dit-elle en se remettant de ses émotion. Il la suivi, en montant un grand escalier de bois, il pouvait admirer, à travers une fenêtre, le soleil qui allait se cacher derrière les montagne.
Elle l'installa dans une chambre puis retourna au bars servir les gobelins qui se plaignaient d'avoir leur chope vide.
Le chevalier s'installa dans son lit, et ne mit gère longtemps à s'endormir.
Au file de la soirée les gobelin partir les uns après les autres, une fois les derniers partis, notre ravissante serveuse est épuisée, il se fait tard, elle remit tout en ordre, donna à manger et à boire au cheval de notre guerrier, pour enfin pouvoir aller dormir tranquillement.
L'aube venu, les première lueurs commencèrent a chauffer le visage de notre héros, il était en forme, de bonne humeur, rien de mieux pour partir serein se dit-il, il s'étira puis remit ses habits et son armure, descendit au rez de chaussé, Eléonora était déjà debout, rayonnante de beauté elle lui dit :
"Bien dormit?"-" Oui, très bien même !" dit-il souriant.
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P''tite écrivaine Messages postés 82 Date d'inscription dimanche 8 août 2010 Statut Membre Dernière intervention 30 décembre 2011 1
17 août 2010 à 17:42
C'est bon j'ai compris j'avais mal lu ce qui était dans le message du créateur de cette discussion.
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J'ai tenté de rectifier une partie des fautes d'orthographe et de conjugaison pour le plaisir des futurs lecteurs.

Il était une fois un beau jeune homme vivant dans une contrée lointaine qui rêvait du grand amour. Il n'y avait pas si loin une belle fée qui lui envoya un message. La fée était d'une beauté sans égal, son visage parfait était entouré de magnifiques cheveux blonds qui reflètaient la lumière du soleil. Sa peau, aussi douce que la soie, était si lisse que l'on aurait pu la confondre avec la surface d'une rivière calme à l'eau limpide. Quand à son minuscule corps de fée, il était toujours recouvert d'une petite robe de tissus délicat et scintillant comme les étoiles. Malheureusement c'est avec cette robe qu'avait commencé la malédiction. Elle avait hérité cette robe de sa mère, la reine du royaume Morytana. Un royaume que seules les fées étaient capables de voir, un royaume où la nuit était maîtresse et où les habitants vivaient dans la crainte et la peur. Une peur liée à la tyrannie exercée par la reine du royaume Morytana. La plupart des habitants avoisinant le royaume étaient sous le joug de la reine et attendaient tous avec impatience le moment où un jeune homme au coeur pur et au courage infini viendrait vaincre leur bourreau. Et ce moment était peut-être arrivé. En effet, les habitants de Lancio, un petit village à l'ouest du royaume en furent persuadés lorsqu'ils aperçurent pour la première fois un jeune homme venant de l'est. Il montait un superbe destrier noir et était vêtu d'une armure d'un éclat écarlate...
Les habitants eurent tôt fait de mettre ce preu chevalier au courant de la malédiction qui pesait sur le royaume car, ils en étaient certains, avec cette lourde armure de fer qui le cachait de la tête aux pieds et cette imposante épée ornée de pierres précieuses, il ne pouvait être qu'un brave héros envoyé pour les sauver. Le jeune homme ne manqua pas de sang froid et à peine eut-il vent du sort qui frappait ce peuple qu'il se mit en tête de les sauver. Et, pour cela il devait sacrifier leur reine. Un problème se posa cependant : comment libérer une royaume d'une tyran que l'on ne pouvait voir ? Les villageois de Lancio le savaient bien, seules les fées de lignées pures pourrait accéder au royaume de Morytana et eux mêmes qui n'étaient que de pauvres paysans ignoraient comment percer cette enchantement.
Le chevalier décida donc de retrouver la fée qui lui avait envoyé un message. Mais lorsqu'il demanda aux villageois où elle pouvait se trouver et lorsqu'il évoqua la reine, les habitants terrorisés parlèrent de la malédiction. Certains d'entre-eux se recroquevillèrent en se cachant le visage avec leurs mains tandis que d'autres s'enfuirent dans leurs maisons en fermant leurs portes à double tour. Seul et dépité, le chevalier continua son chemin. Il arriva aux abords du village et vit une petite cabane en bois près de laquelle se tenait un gnome. Celui-ci était en train de couper du bois et ne fut pour le moins pas surpris par l'arrivée du chevalier à sa porte.
"Je t'attendais. La prophétie doit s'accomplir, chevalier." Ce dernier était vraiment surpris qu'une personne du village daigne enfin lui révéler quoique ce soit à propos de la malédiction. Le jeune homme resta un instant bouche bée. Les seuls gnomes qu'il avait rencontré auparavant étaient des créatures viles et dénuées de parole...
Le gnome fronça méchament ses gros sourcils brousailleux devant le manque de réaction du chevalier. Un homme digne de ce rang ne se devait-il pas d'être courageux, vif d'esprit et sans peur ?
"Ce n'est pas avec cet air de lapin aveuglé par la lumière du jour que tu réussiras à anéantir la reine et à tous nous sauver !" Grogna le gnome. Ces mots eurent pour le chevalier l'effet d'un coup de poing dans le ventre. Brave, il l'était. Alors ce serait avec un honneur immense qu'il délivrerait le royaume ainsi que la belle fée à laquelle il ne cessait de réver. Il s'était promis qu'après l'avoir libérée il lui demanderait sa main. "Que dois je faire ?" Demanda-t-il alors, enhardi par cette pensée.
"Tu devras te diriger dans les lointaines contrées septentrionales pour y trouver le calice dorée, rétorqua le gnome, Si l'on en croit la légende, il serait remplit du sang de la reine de Morytana. En buvant ce sang tu seras toi aussi maudit mais tu pourras alors retrouver la fée et donc accéder à la partie du royaume de Morytana où se trouve le château de la reine tyrannique. Mais fais attention, cette région est peuplée de créatures aussi mythiques que terrifiantes. En seras-tu capable chevalier?"
"Et comment! Je suis le digne héritier du roi de motalvy! Je libérerais se village de cette sombre reine!"
La réponse du gnome ne se fit pas attendre: " Alors pars brave chevalier et n'oublie pas, quand la reine dort, le peuple danse!
Le jeune homme se remit en selle, le cheval se mit à galoper, sa cape flottait au vent comme un drapeau qui ornait un village. L'énigme du gnome lui restait en tête et il se demandait ce que pouvait bien dire ces mots.
Le jour commençait à tomber, il s'arrêta donc à une auberge.
Il attacha sa monture près d'une étable où se trouvait un abreuvoir puis entra dans l'auberge. Celle-ci grouillait de monde. D'un côté se trouvait des hommes ivres devant leurs chopes de bières, tandis que de l'autre côté des gobelins étaient en train de jouer aux cartes. Au fond de l'auberge, une plantureuse serveuse dévisageait le chevalier qui venait de rentrer. Ses cheveux blonds et les traits de son visage laissaient à penser qu'elle était d'origine nordique. Tout en contemplant le nouveau venu dans son auberge, elle essuyait une chope avec un vieux torchon à moitié usé.
Le chevalier alla à sa rencontre. "Que puis-je vous servir, monseigneur ?" dit-elle avec un accent prononcé du nord.
"Un de vos meilleurs tord-boyaux" répondit le preu chevalier.
"Je vais vous servir un breuvage typique des contrées nordhiennes, les terres de mes ancêtres". Elle partit à l'arrière du bar pour préparer sa recette à base d'eau-de-vie. Le chevalier connaissait bien la province d'origine de la serveuse. Elle était peuplée d'hommes et de femmes de grande bravoure qui n'avaient jamais peur de relever un défi.
Tout en regardant la serveuse s'éloigner, le chevalier prit place sur une table près d'une fenêtre, il pouvait ainsi garder un oeil sur son cheval à l'écurie. Bien qu'il pouvait être brave et courageux, une lueur d'anxiété se lisait dans ses yeux,lueur que remarqua la serveuse en lui servant sa boisson.
Lorsqu'elle lui demanda s'il était à l'aise, il lui répondit en lui souriant que oui, mais qu'il avait des choses importantes à s'occuper dès l'aube. La serveuse plus que curieuse lui demanda : "Brave chevalier, dis m'en plus s'il te plait, si tu savais comme cette auberge est monotone, j'aimerais tant vivre l'aventure!"
"Eh bien vois-tu - La serveuse se plaça à côté de notre héros et tendit l'oreille -, il y a non loin d'ici, dans un village nommé Morytana, un peuple qui m'attend, je dois sauver leur village de la malédiction qui pèse depuis trop longtemps, cependant, je ne connais presque rien de cette malédiction,et je crains que la tâche que je doit accomplir ne soit plus que difficile.
"Oh, chevalier comme tu es courageux! S'il te plait emmène moi avec toi!" Dit-elle avec excitation.
"Non je ne peux, c'est bien trop risqué pour vous" dit le chevalier.
La serveuse s'exclama alors: "Je descend de la lignée Thorienne, et rien ne me fait peur, preu chevalier!"
Les hommes arrêtèrent alors de boire et que les gobelins cessèrent également de jouer aux cartes. Tous les regards étaient rivés vers la serveuse.
Le chevalier,surpris et intrigué par la réaction de tous, demanda alors à la serveuse: "Qui sont les Thoriens?" Un gobelin s'avança vers lui et répondit: "C'est un peuple d'hommes et de femmes de grande valeur. Ce sont surtout de très grands guerriers. Ils vainquirent le terrible dragon de feu Indoloria et délivrèrent par la même occasion le royaume de Pandovia qui se situe à l'Est des contrées nordhiennes, leur province d'origine."
Le regard du chevalier envers la serveuse changea alors. Un profond respect pouvait se lire dans ses yeux.
"Tu as gagné, tu peux m'accompagner. Quel est ton nom gente dame?"
"Eléonora!" dit-elle fièrement. "Et toi chevalier, comment te nommes-tu?"
"Je suis Duff007" répondit-il.
"Le voyage qui nous attend risque ne pas être de tout repos. Nous partirons demain à l'aube"
Il savait que Eléonora lui serait bien utile comme guide durant son voyage, mais aussi pour secourir le peuple Morytanien.
Elle était tellement contente de pouvoir enfin sortir, et de partir avec notre chevalier, que ne pouvant plus tenir, elle laissa échapper un énorme : "Merciiiiii" de sa bouche.
"Calmez vous" lui répondis le chevalier, "Nous devons accomplir la prophétie et ce n'est pas de tout repos; pourriez vous me montrer ou se situe ma chambre s'il vous plait?"
"Euh, oui biensûr! Suivez moi" dit-elle en se remettant de ses émotion. Il la suivit, et en montant le grand escalier de bois, il pouvait admirer, à travers une fenêtre, le soleil qui allait se cacher derrière les montagnes.
Elle l'installa dans une chambre puis retourna au bar servir les gobelins qui se plaignaient d'avoir leurs chope vides.
Le chevalier s'installa dans son lit, et ne mit guère longtemps à s'endormir.
Au fil de la soirée, les gobelin partirent les uns après les autres,et une fois les derniers partis, notre ravissante serveuse épuisée, il se faisait tard, remit tout en ordre, donna à manger et à boire au chevaux, pour enfin pouvoir aller dormir tranquillement."
L'aube venue, les première lueures commencèrent à chauffer le visage de notre héros. Il était en forme, de bonne humeur-rien de mieux que de partir serein se dit-il-. Il s'étira puis remit ses habits et son armure, descendit au rez de chaussé,où Eléonora,déjà debout et rayonnante de beauté et de joie lui dit :
"Bien dormi?"-" Oui, très bien même !" dit-il souriant.
"Alors allons-y ! Mes affaires sont déjà prêtes à côté de ma mule."
En tant que prince,Duff007 n'eut pas de difficulté à payer la compensation du départ de la serveuse à l'aubergiste en même temps que chambre.
L'herbe de la campagne scintillait encore des gouttes de rosées lorsqu'ils pirent la direction du des territoires du nord. Mais la mule d'Eléonora contraignait le prince à une allure plus lente que le galop qui lui avait fait parcourir tant depuis les bordures du royaume de Morytania.
Cette lenteur était en revanche perçue comme une chance inouïe pour Astur,le chef de la bande de brigands rôdait dans ces espaces de plaines peu habitées. Les roulottes de marchand devenaient rares, alors pensez- dont ! Un Chevalier ! Rien qu'un cheval de cette qualité avait de quoi les rendre riches, et la femme semblait très attirante, même de loin.
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À noter que j'ai laissé "nordhienne" parce que je sais pas si c'est volontaire ou juste de l'analphabétisme
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duff01 Messages postés 438 Date d'inscription mardi 7 juillet 2009 Statut Membre Dernière intervention 25 décembre 2010 71
Modifié par duff01 le 29/07/2010 à 14:51
c'est toi qui corrige nos fautes,mais toi tu en fait autant :D comme :
-"...en même temps que (la) chambre."
-"...lorsqu'ils p(r)irent"
-"...du royaume de Morytania. ->> Morytana!
-"...le chef de la bande de brigands (qui) rôdait
-"...scintillait encore des gouttes de (la) rosée
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Salut Felias,

C'est un nom totalement inventé tout comme le royaume Morytana et le village de Lancio!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Merci pour ta participation.
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Felias > duff01 Messages postés 438 Date d'inscription mardi 7 juillet 2009 Statut Membre Dernière intervention 25 décembre 2010
1 août 2010 à 23:07
Oups...^^'
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Vite ! Quelqu'un pour écrire la suite et me corriger !!!!
lol
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Il était une fois un beau jeune homme vivant dans une contrée lointaine qui rêvait du grand amour. Il n'y avait pas si loin une belle fée qui lui envoya un message. La fée était d'une beauté sans égal, son visage parfait était entouré de magnifiques cheveux blonds qui reflétaient la lumière du soleil. Sa peau, aussi douce que la soie, était si lisse que l'on aurait pu la confondre avec la surface d'une rivière calme à l'eau limpide. Quand à son minuscule corps de fée, il était toujours recouvert d'une petite robe de tissus délicat et scintillant comme les étoiles. Malheureusement c'est avec cette robe qu'avait commencé la malédiction. Elle avait hérité cette robe de sa mère, la reine du royaume Morytana. Un royaume que seules les fées étaient capables de voir, un royaume où la nuit était maîtresse et où les habitants vivaient dans la crainte et la peur. Une peur liée à la tyrannie exercée par la reine du royaume Morytana. La plupart des habitants avoisinant le royaume étaient sous le joug de la reine et attendaient tous avec impatience le moment où un jeune homme au coeur pur et au courage infini viendrait vaincre leur bourreau. Et ce moment était peut-être arrivé. En effet, les habitants de Lancio, un petit village à l'ouest du royaume en furent persuadés lorsqu'ils aperçurent pour la première fois un jeune homme venant de l'est. Il montait un superbe destrier noir et était vêtu d'une armure d'un éclat écarlate...
Les habitants eurent tôt fait de mettre ce preu chevalier au courant de la malédiction qui pesait sur le royaume car, ils en étaient certains, avec cette lourde armure de fer qui le cachait de la tête aux pieds et cette imposante épée ornée de pierres précieuses, il ne pouvait être qu'un brave héros envoyé pour les sauver. Le jeune homme ne manqua pas de sang froid et à peine eut-il vent du sort qui frappait ce peuple qu'il se mit en tête de les sauver. Et, pour cela il devait sacrifier leur reine. Un problème se posa cependant : comment libérer une royaume d'une tyran que l'on ne pouvait voir ? Les villageois de Lancio le savaient bien, seules les fées de lignées pures pourrait accéder au royaume de Morytana et eux mêmes qui n'étaient que de pauvres paysans ignoraient comment percer cette enchantement.
Le chevalier décida donc de retrouver la fée qui lui avait envoyé un message. Mais lorsqu'il demanda aux villageois où elle pouvait se trouver et lorsqu'il évoqua la reine, les habitants terrorisés parlèrent de la malédiction. Certains d'entre-eux se recroquevillèrent en se cachant le visage avec leurs mains tandis que d'autres s'enfuirent dans leurs maisons en fermant leurs portes à double tour. Seul et dépité, le chevalier continua son chemin. Il arriva aux abords du village et vit une petite cabane en bois près de laquelle se tenait un gnome. Celui-ci était en train de couper du bois et ne fut pour le moins pas surpris par l'arrivée du chevalier à sa porte.
"Je t'attendais. La prophétie doit s'accomplir, chevalier." Ce dernier était vraiment surpris qu'une personne du village daigne enfin lui révéler quoique ce soit à propos de la malédiction. Le jeune homme resta un instant bouche bée. Les seuls gnomes qu'il avait rencontré auparavant étaient des créatures viles et dénuées de parole...
Le gnome fronça méchament ses gros sourcils brousailleux devant le manque de réaction du chevalier. Un homme digne de ce rang ne se devait-il pas d'être courageux, vif d'esprit et sans peur ?
"Ce n'est pas avec cet air de lapin aveuglé par la lumière du jour que tu réussiras à anéantir la reine et à tous nous sauver !" Grogna le gnome. Ces mots eurent pour le chevalier l'effet d'un coup de poing dans le ventre. Brave, il l'était. Alors ce serait avec un honneur immense qu'il délivrerait le royaume ainsi que la belle fée à laquelle il ne cessait de réver. Il s'était promis qu'après l'avoir libérée il lui demanderait sa main. "Que dois je faire ?" Demanda-t-il alors, enhardi par cette pensée.
"Tu devras te diriger dans les lointaines contrées septentrionales pour y trouver le calice dorée, rétorqua le gnome, Si l'on en croit la légende, il serait remplit du sang de la reine de Morytana. En buvant ce sang tu seras toi aussi maudit mais tu pourras alors retrouver la fée et donc accéder à la partie du royaume de Morytana où se trouve le château de la reine tyrannique. Mais fais attention, cette région est peuplée de créatures aussi mythiques que terrifiantes. En seras-tu capable chevalier?"
"Et comment! Je suis le digne héritier du roi de motalvy! Je libérerais se village de cette sombre reine!"
La réponse du gnome ne se fit pas attendre: " Alors pars brave chevalier et n'oublie pas, quand la reine dort, le peuple danse!
Le jeune homme se remit en selle, le cheval se mit à galoper, sa cape flottait au vent comme un drapeau qui ornait un village. L'énigme du gnome lui restait en tête et il se demandait ce que pouvait bien dire ces mots.
Le jour commençait à tomber, il s'arrêta donc à une auberge.
Il attacha sa monture près d'une étable où se trouvait un abreuvoir puis entra dans l'auberge. Celle-ci grouillait de monde. D'un côté se trouvait des hommes ivres devant leurs chopes de bières, tandis que de l'autre côté des gobelins étaient en train de jouer aux cartes. Au fond de l'auberge, une plantureuse serveuse dévisageait le chevalier qui venait de rentrer. Ses cheveux blonds et les traits de son visage laissaient à penser qu'elle était d'origine nordique. Tout en contemplant le nouveau venu dans son auberge, elle essuyait une chope avec un vieux torchon à moitié usé.
Le chevalier alla à sa rencontre. "Que puis-je vous servir, monseigneur ?" dit-elle avec un accent prononcé du nord.
"Un de vos meilleurs tord-boyaux" répondit le preu chevalier.
"Je vais vous servir un breuvage typique des contrées nordhiennes, les terres de mes ancêtres". Elle partit à l'arrière du bar pour préparer sa recette à base d'eau-de-vie. Le chevalier connaissait bien la province d'origine de la serveuse. Elle était peuplée d'hommes et de femmes de grande bravoure qui n'avaient jamais peur de relever un défi.
Tout en regardant la serveuse s'éloigner, le chevalier prit place sur une table près d'une fenêtre, il pouvait ainsi garder un oeil sur son cheval à l'écurie. Bien qu'il pouvait être brave et courageux, une lueur d'anxiété se lisait dans ses yeux,lueur que remarqua la serveuse en lui servant sa boisson.
Lorsqu'elle lui demanda s'il était à l'aise, il lui répondit en lui souriant que oui, mais qu'il avait des choses importantes à s'occuper dès l'aube. La serveuse plus que curieuse lui demanda : "Brave chevalier, dis m'en plus s'il te plait, si tu savais comme cette auberge est monotone, j'aimerais tant vivre l'aventure!"
"Eh bien vois-tu - La serveuse se plaça à côté de notre héros et tendit l'oreille -, il y a non loin d'ici, dans un village nommé Morytana, un peuple qui m'attend, je dois sauver leur village de la malédiction qui pèse depuis trop longtemps, cependant, je ne connais presque rien de cette malédiction,et je crains que la tâche que je doit accomplir ne soit plus que difficile.
"Oh, chevalier comme tu es courageux! S'il te plait emmène moi avec toi!" Dit-elle avec excitation.
"Non je ne peux, c'est bien trop risqué pour vous" dit le chevalier.
La serveuse s'exclama alors: "Je descend de la lignée Thorienne, et rien ne me fait peur, preu chevalier!"
Les hommes arrêtèrent alors de boire et que les gobelins cessèrent également de jouer aux cartes. Tous les regards étaient rivés vers la serveuse.
Le chevalier,surpris et intrigué par la réaction de tous, demanda alors à la serveuse: "Qui sont les Thoriens?" Un gobelin s'avança vers lui et répondit: "C'est un peuple d'hommes et de femmes de grande valeur. Ce sont surtout de très grands guerriers. Ils vainquirent le terrible dragon de feu Indoloria et délivrèrent par la même occasion le royaume de Pandovia qui se situe à l'Est des contrées nordhiennes, leur province d'origine."
Le regard du chevalier envers la serveuse changea alors. Un profond respect pouvait se lire dans ses yeux.
"Tu as gagné, tu peux m'accompagner. Quel est ton nom gente dame?"
"Eléonora!" dit-elle fièrement. "Et toi chevalier, comment te nommes-tu?"
"Je suis Duff007" répondit-il.
"Le voyage qui nous attend risque ne pas être de tout repos. Nous partirons demain à l'aube"
Il savait que Eléonora lui serait bien utile comme guide durant son voyage, mais aussi pour secourir le peuple Morytanien.
Elle était tellement contente de pouvoir enfin sortir, et de partir avec notre chevalier, que ne pouvant plus tenir, elle laissa échapper un énorme : "Merciiiiii" de sa bouche.
"Calmez vous" lui répondis le chevalier, "Nous devons accomplir la prophétie et ce n'est pas de tout repos; pourriez vous me montrer ou se situe ma chambre s'il vous plait?"
"Euh, oui biensûr! Suivez moi" dit-elle en se remettant de ses émotion. Il la suivit, et en montant le grand escalier de bois, il pouvait admirer, à travers une fenêtre, le soleil qui allait se cacher derrière les montagnes.
Elle l'installa dans une chambre puis retourna au bar servir les gobelins qui se plaignaient d'avoir leurs chope vides.
Le chevalier s'installa dans son lit, et ne mit guère longtemps à s'endormir.
Au fil de la soirée, les gobelin partirent les uns après les autres,et une fois les derniers partis, notre ravissante serveuse épuisée, il se faisait tard, remit tout en ordre, donna à manger et à boire au chevaux, pour enfin pouvoir aller dormir tranquillement."
L'aube venue, les première lueures commencèrent à chauffer le visage de notre héros. Il était en forme, de bonne humeur-rien de mieux que de partir serein se dit-il-. Il s'étira puis remit ses habits et son armure, descendit au rez de chaussé,où Eléonora,déjà debout et rayonnante de beauté et de joie lui dit :
"Bien dormi?"-" Oui, très bien même !" dit-il souriant.
"Alors allons-y ! Mes affaires sont déjà prêtes à côté de ma mule."
En tant que prince,Duff007 n'eut pas de difficulté à payer la compensation du départ de la serveuse à l'aubergiste en même temps que chambre.
L'herbe de la campagne scintillait encore des gouttes de rosées lorsqu'ils pirent la direction du des territoires du nord. Mais la mule d'Eléonora contraignait le prince à une allure plus lente que le galop qui lui avait fait parcourir tant depuis les bordures du royaume de Morytania.
Cette lenteur était en revanche perçue comme une chance inouïe pour Astur,le chef de la bande de brigands rôdait dans ces espaces de plaines peu habitées. Les roulottes de marchand devenaient rares, alors pensez- dont ! Un Chevalier ! Rien qu'un cheval de cette qualité avait de quoi les rendre riches, et la femme semblait très attirante, même de loin.
Les brigands se lancèrent à la poursuite du chevalier Duff007 et d'Eléonora. Ils rattrapèrent assez rapidement le chevalier et sa nouvelle compagne et les encerclèrent.
"Descendez de vos montures!" ordonna Astur, le chef des brigands..........
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(Punaise , vous devriez faire un livre en votre nom ! ;-D)
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Salut,

N'aurais pas tu envie de lire le dernier texte en page 1 en date du 23 janvier 2011 )et d'y ajouter ta contribution personelle ?
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Je ne suis pas forte pour écrire , désolé ;)
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neo2010 > Nuage
8 juil. 2012 à 23:58
Moi non plus. Ca pourrait être sympa de nouvelles idées, ça enrichirait l'histoire.
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Je suis vraiment désolée , je n'ai pas d'idée
Je vais en chercher , en je revient si j'en trouver ;p
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Cool merci ;)
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